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    La Tour de Garde 1961 | 15 août
    • appliquant une telle liberté dans l’exercice du culte, il montrera à sa femme qu’il l’aime comme lui-​même. — Éph. 5:28, 29.

      De même, le père incroyant, en tant que chef du foyer, peut déterminer la religion de ses enfants. Cependant, en considérant le fait que la mère est responsable de la conduite des enfants en l’absence du père, elle doit leur inculquer de justes principes et leur rendre témoignage quand l’occasion se présente. Au cas où le mari s’y opposerait fermement, elle ne peut les prendre avec elle dans le service ou les emmener aux réunions. Mais elle peut, par différents moyens, continuer à enseigner à ses enfants les principes et vérités bibliques. Si les enfants posent des questions, elle a le droit de leur répondre.

      Supposez qu’un père incroyant demande que l’on salue un drapeau. Puisque chaque chrétien est instruit par la Parole de Dieu pour présenter une défense de ses croyances et actes, une mère chrétienne a le droit de confesser une telle défense et de donner une explication, non seulement à ses enfants, mais encore à son mari, afin que toute sa famille comprenne sa fidélité aux principes chrétiens (I Pierre 3:15). “ Dans ce cas, le père est opposé à ce que les enfants adoptent la position de la mère à l’égard du salut au drapeau. Alors, en dehors du fait d’avoir expliqué aux enfants ce que les Écritures ont à dire sur ce sujet, la mère n’aurait pas raison d’insister pour que ceux-ci se soumettent à ce principe scriptural car le père, qui est le chef du foyer, leur a demandé de participer à cette cérémonie. Les enfants auront à considérer la volonté du père. La mère ne peut s’interposer en envoyant une lettre au maître de l’enfant pour lui demander de le dispenser de la cérémonie qui va avoir lieu. Cependant, après avoir appris la position de leur mère et s’être rendu compte qu’elle était scripturale, conforme à la volonté de Dieu et que, d’après leur propre conscience, ils prennent position à l’école ou ailleurs, refusant de participer à de telles cérémonies, alors, une telle attitude est due à la persévérance de la mère ; mais elle est le fruit de la libre détermination de l’enfant et le mari ne peut le reprocher à sa femme. C’est la responsabilité de l’enfant de prendre position suivant sa propre conscience, et si son père vient à le punir pour avoir refusé de participer à des cérémonies patriotiques, il souffre alors pour la cause de la justice. — I Pierre 2:19, 20.

      En harmonie avec le conseil énoncé en I Pierre 3:1-6, la femme chrétienne vouée mariée à un incroyant aura une conduite exemplaire ; elle montrera un profond respect pour son mari et enseignera de même aux enfants. Elle ne manquera toutefois pas de participer activement à la vraie adoration et, par sa conduite fidèle et les choses dont elle parle, elle exercera une forte influence à la fois sur son mari et sur ses enfants, afin qu’ils puissent être sauvés. — I Cor. 7:14, 16.

      Dans le cas où un enfant montre de l’appréciation pour les vérités bibliques apprises de la bouche du parent croyant, il doit se laisser guider aussi par les principes chrétiens. Le parent incroyant peut cependant insister pour que l’enfant aille à l’église. Mais l’enfant, mineur, soumis comme il se doit à son père, devra obéir. À l’église, il ne peut participer dans son esprit aux cérémonies idolâtres et lorsqu’il en aura l’occasion, il défendra la Parole de son Père céleste. Si un parent incroyant lui demande un acte qui violerait directement la loi de Dieu, l’enfant sera alors guidé par le conseil de la Bible : “ Il faut obéir à Dieu plutôt qu’aux hommes. ” “ Celui qui aime son père ou sa mère plus que moi n’est pas digne de moi. ” “ Enfants, obéissez à vos parents selon le Seigneur, car cela est juste. ” — Actes 5:29 ; Mat. 10:37 ; Éph. 6:1.

      Ainsi, en toute occasion, les membres voués apprécieront bien les circonstances dans lesquelles ils se trouvent. Ils reconnaîtront que leur responsabilité première est envers Dieu et, en harmonie avec ce fait, ils se soumettront au Dieu qui a donné des instructions pour reconnaître la tête du foyer et ils montreront l’amour et le profond respect qui y sont attachés.

  • Abraham “ père de tous ceux qui croient ”
    La Tour de Garde 1961 | 15 août
    • Abraham “ père de tous ceux qui croient ”

      “ TA PAROLE est une lampe à mes pieds, et une lumière sur mon sentier. ” Cette vérité touchant la Parole de Dieu s’est confirmée maintes fois ; par exemple, dans le récit des relations de Dieu avec des hommes fidèles, dont l’un des plus remarquables fut Abraham. À plusieurs reprises, le vrai Dieu Jéhovah s’est identifié comme “ le Dieu d’Abraham ” ; se trouver “ dans le sein d’Abraham ” signifiait jouir de la faveur de Jéhovah. Ce n’est pas sans raison qu’Abraham est appelé “ ami de Jéhovah ”, et “ le père de tous ceux qui croient ”. — Ps. 119:105 ; Mat. 22:32 ; Luc 16:22 ; Jacq. 2:23, NW ; Rom. 4:11, Da.

      Abram, nom sous lequel il fut d’abord connu et qui signifie “ père élevé ”, naquit 352 ans après le déluge et vécut jusqu’à l’âge avancé de 175 ans. De lui sont issus les Israélites, les Édomites et les Ismaélites, ainsi que les Médanites et les Madianites. Non seulement l’archéologie atteste l’historicité d’Abram et de ses ancêtres mais, par dessus tout, Jésus-Christ et ses apôtres en témoignent, car ils ont parlé de lui plus de soixante-dix fois. — I Chron. 1:28, 32, 34.

      Ur, sa ville natale, était située à quatre-vingts kilomètres du golfe Persique, près du confluent de l’Euphrate et du Tigre. On l’appelait Ur “ des Chaldéens ”, parce qu’elle était située dans la basse Mésopotamie, région que les Chaldéens occupèrent des siècles après le jour d’Abram. — Gen. 11:28, 31, Da ; 15:7 ; Actes 7:2.

      Au jour d’Abram, Ur était une ville importante, bien qu’elle ne fût plus la puissante capitale sumérienne qu’elle était quelque 150 ans plus tôt, avant l’invasion des Élamites. À l’intérieur de ses murs, de forme ovale, en partie démolis, vivait au moins un quart de million d’habitants. D’après Keller, dans The Bible as History, Ur en ce temps-​là était une “ capitale puissante, prospère, pittoresque et affairée ”.

      Mais c’était avant tout une ville religieuse. Toute la partie nord-ouest s’adonnait au culte païen, principalement celui du dieu lune Nanna et de son associé Ningal ; c’est là que s’élevaient les ziggourats et les temples. Comme si cela ne suffisait pas, toute la ville était parsemée de chapelles consacrées à l’adoration d’autres dieux, et toutes les demeures, à l’exception des plus pauvres, possédaient leur propre chapelle. “ Sa religion consistait en un polythéisme du genre le plus grossier ”, déclare l’archéologue Woolley dans son livre Abraham. Telle était donc la ville où Abram fut élevé.

      “ PÈRE DE TOUS CEUX QUI CROIENT ”

      La foi se prouve par les œuvres (Jacq. 2:14-26). Abram prouva qu’il avait la foi, par ses œuvres, pendant plus de cent ans. D’après la Parole de Dieu, la première épreuve de foi s’offrit très probablement à lui vers ses soixante-dix ans ; Dieu lui apparut et lui dit : “ Va-​t’en de ton pays, de ta patrie, et de la maison de ton père, dans le pays que je te montrerai. Je ferai de toi une grande nation, et je te bénirai ; je rendrai ton nom grand, et tu seras une source de bénédiction. Je bénirai ceux qui te béniront, et je maudirai ceux qui te maudiront ; et toutes les familles de la terre (se béniront, NW) en toi. ” Étienne dit clairement “ Abram reçut cet appel “ lorsqu’il était en Mésopotamie, avant qu’il s’établît à Charran ”. — Gen. 12:1-3 ; Actes 7:2.

      Pour quitter Ur, il fallut une véritable foi à Abram, ainsi qu’à Térach, son père, à Lot, son neveu, et à tous les membres de leur famille. Ils parcoururent un long trajet en direction du nord-ouest, et séjournèrent à Charran pendant quelque temps. Charran était vouée, elle aussi, au culte du dieu lune, aussi n’est-​il pas surprenant qu’à la mort de Térach, Abram, alors âgé de soixante-quinze ans, se mît en route vers la terre que Dieu lui avait promise. — Gen. 11:32 ; 12:4.

      Dans sa discussion de la foi, l’apôtre Paul souligne d’une façon très appropriée la foi d’Abraham. Il dit : “ C’est par la foi qu’Abraham, lors de sa vocation, obéit et partit pour un lieu qu’il devait recevoir en héritage, et qu’il partit sans savoir où il allait. C’est par la foi qu’il vint s’établir dans la terre promise comme dans une terre étrangère, habitant sous des tentes (...) Car il attendait la cité qui a de solides fondements, celle dont Dieu est l’architecte et le constructeur. ” Jésus-Christ rendit le même témoignage : “ Abraham, votre père, a tressailli de joie de ce qu’il verrait mon jour : il l’a vu, et il s’est réjoui. ” — Héb. 11:8-16 ; Jean 8:56.

      À cause de la foi d’Abram, Jéhovah Dieu était près de lui. À maintes reprises, nous lisons qu’il éleva des autels à Jéhovah pour y invoquer son nom, c’est-à-dire, le proclamer ou le prêcher, et que Jéhovah lui apparut maintes et maintes fois. La promesse de Jéhovah de lui donner un fils dans sa vieillesse n’ébranla pas sa foi mais il “ eut foi à Jéhovah, et Jéhovah le lui imputa à justice ”. Après qu’Abram eut erré pendant vingt-quatre ans, Dieu établit avec lui et sa maison l’alliance de la circoncision ; c’est à la même époque que Dieu changea son nom Abram en celui d’Abraham, signifiant “ père d’une multitude ”. Dans l’intervalle, Abram, sur le conseil de Sarah, eut d’Agar, servante de celle-ci, un fils qu’il appela Ismaël ; mais, selon la volonté de Jéhovah, c’est par Sarah que l’héritier promis devait venir. — Gen. 15:6, AC ; 17:5, 9-14, 24-27.

      Finalement, après avoir attendu de longues années, Abraham eut un fils, Isaac, l’héritier de la promesse. Pendant toute cette période d’attente, sa foi avait été sévèrement éprouvée ; pourtant, la plus cruelle des épreuves devait encore le frapper, quand Isaac serait devenu un jeune homme. Jéhovah apparut alors à Abraham et lui dit : “ Prends ton fils, ton unique, celui que tu aimes, Isaac ; va-​t’en au pays de Morija, et là offre-​le en holocauste sur l’une des montagnes que je te dirai. ” Dans quelle angoisse Abraham a-​t-​il dû écouter ces paroles et se mettre en route ! — Gen. 22:2.

      Jéhovah Dieu n’aurait pu imaginer pour la foi et l’obéissance d’Abraham de plus cruelle épreuve que celle-là, car auparavant et depuis, sans nul doute, aucun père humain n’a éprouvé de plus grand amour pour son fils qu’Abraham pour le sien, Isaac. N’avait-​il pas plaidé auprès de Jéhovah : “ Que me donneras-​tu ? Je m’en vais sans enfants ; et l’héritier de ma maison, c’est Éliézer de Damas. ” N’avait-​il pas attendu Isaac de longues années ? D’autre part, Dieu ne lui avait-​il pas promis que sa postérité sortirait d’Isaac ? Et voilà qu’il lui ordonnait maintenant de sacrifier ce dernier. Alors, comment cette promesse s’accomplirait-​elle ? — Gen. 15:2.

      Mais la foi d’Abraham ne fléchit point. Il pensait “ que Dieu pouvait le (Isaac) ressusciter même d’entre les morts ”. Obéissant, il se mit en route pour le mont Morija. Là, il prit des pierres et éleva un autel, rangea le bois dessus, lia pieds et poings à Isaac puis “ étendit la main, et prit le couteau, pour égorger son fils ”. Abraham ayant triomphé de cette suprême épreuve de la foi, il lui fut permis de ne pas être éprouvé au-delà. Un ange de Jéhovah l’appela pour retenir sa main et lui procura un bélier pour le sacrifice, à la place d’Isaac. — Héb. 11:19, Da ; Gen. 22:3-14.

      Après l’offrande du bélier, l’ange de Dieu dit encore à Abraham : “ J’ai juré par moi-​même, dit (Jéhovah) : parce que tu as fait cette chose-​là (...) je te bénirai et je multiplierai abondamment ta semence comme les étoiles du ciel et comme le sable qui est sur le bord de la mer (...) Et toutes les nations de la terre se béniront en ta semence. ” Peu de temps après, Sarah mourut ; Abraham prit pour femme Ketura dont il eut miraculeusement six autres fils. — Gen 22:16-18,  Da ; 25:1, 2.

      GÉNÉREUX ET HOSPITALIER

      Ce n’est pas pour rien qu’Abraham est appelé “ le père de tous ceux qui croient ” et “ ami de Jéhovah ”. Quel exemple sa vie de foi n’offre-​t-​elle pas à tous les chrétiens ! Et pas seulement en ce qui concerne la foi ; Abraham était généreux, hospitalier ; il n’avait pas l’amour de l’argent ; et sous tous ces rapports, il se révéla encore un exemple. Il quitta sa patrie, s’en alla vers un lieu qu’il ne connaissait pas, non sans consentir à de lourds sacrifices, car le pays à l’entour d’Ur, arrosé par l’Euphrate, était excessivement fertile. Mais à peine était-​il entré en Canaan que la famine dans le pays l’obligea à descendre en Égypte. De quel désintéressement ne fit-​il pas preuve dans ses relations avec son neveu Lot ! Bien que le plus âgé et le chef des deux, il laissa Lot choisir la région aux meilleurs pâturages et prit le reste du pays. Plus tard, après avoir délivré Lot de la main des rois envahisseurs, non seulement il refusa même un fil ou un cordon de soulier à titre de butin mais il offrit la dîme de tout ce qu’il possédait au roi-prêtre Melchisédek.

      Et quelle généreuse hospitalité à l’égard des trois étrangers, un jour où le hasard, apparemment, les fit passer devant chez lui ! Il les persuada d’accepter qu’il mît à leur disposition tout le confort de sa maison ; il fit apprêter un veau tendre et bon, demanda à Sarah de pétrir des galettes de fleur de farine, puis il prit du lait et du beurre et plaça le tout devant ses hôtes, leur offrant ce qu’il avait de meilleur. — Gen. 13:5-13 ; 14:17-23 ; 18:2-8 ; Héb. 13:1, 5.

      CHEF DE FAMILLE EXEMPLAIRE

      Comme chef de famille, Abraham donna aussi le bon exemple. En accord avec les instructions que Jéhovah donna plus tard à l’Israël selon la chair et à l’Israël spirituel, Abraham ordonna “ à ses fils et à sa maison après lui de garder la voie de Jéhovah ”. Il ne fait aucun doute qu’il élevât dans la voie droite Isaac, son fils, sinon jamais ce dernier n’aurait accepté d’être lié pieds et poings par son vieux père et offert par lui en sacrifice ! En père sage, Abraham désirait vivement que son fils épousât une femme croyante, et non une païenne. — Gen. 18:19, AC ; 24:3, 4.

      Lors de l’enlèvement de Lot et de sa famille, Abraham prit sur lui de les délivrer. Accompagné de 318 de ses plus braves serviteurs, il attaqua de nuit l’ennemi pour délivrer son neveu et ceux qui étaient avec lui. Par là, Abraham fut sans doute le premier soldat de Jéhovah et livra ce qui est probablement la première des batailles rapportées dans le “ livre des Guerres de Jéhovah ”. Également, quand le jugement défavorable de Jéhovah menaçait tout le territoire où Lot s’était fixé, Abraham intercéda auprès de Dieu : “ Celui qui juge toute la terre n’exercera-​t-​il pas la justice ? ” Abraham se révéla bon chef de famille, que ce soit sous le rapport de l’emploi des armes de guerre ou sous celui de la prière à Dieu ! — Gen. 14:13-16 ; 18:25 ; Nomb. 21:14, AC.

      Loin d’être un mari mené par le bout du nez comme l’insinuent certains critiques du texte biblique, Abraham était appelé “ Seigneur ” par Sarah, sa femme. Mieux encore, celle-ci se conforma à l’idée d’Abraham et se présenta comme sa sœur afin que son mari eût la vie sauve. Puisque Abraham n’est blâmé nulle part pour avoir usé de cette stratégie et que, dans les deux cas où il suivit cette ligne de conduite, Jéhovah dirigea les événements afin de protéger Sarah du mal, nous sommes dans l’impossibilité de critiquer Abraham sur ce point. Abraham et Sarah reconnaissaient le fait que, de leur temps, les femmes n’étaient guère libres de disposer d’elles-​mêmes. — Gen. 18:12 ; 12:11-20 ; I Pierre 3:6.

      TRAITS PROPHÉTIQUES

      La vie exemplaire d’Abraham, toute remplie de signification prophétique, sert encore de lumière sur notre route. À plusieurs reprises, Abraham fut employé pour représenter Jéhovah Dieu. Ainsi le fait que son nom devint grand et qu’il fut, lui, une bénédiction, préfigurait que Jéhovah exalterait son nom et qu’il serait une source de bénédiction. — Gen. 12:2 ; Mal. 1:11.

      En outre, de même que Sarah resta longtemps stérile, ainsi la Jérusalem céleste de Dieu, son organisation semblable à une femme, resta longtemps stérile avant de donner naissance à Jésus, la “ postérité ” ointe “ de la femme ”. Et de même qu’en deux circonstances Abraham avait tu les liens l’unissant à Sarah, ainsi Jéhovah semblait avoir répudié son organisation comparable à une femme ou celé les liens l’unissant à elle, pendant une longue période, induisant les agents de Satan à outrager les représentants de son organisation sur la terre. — És. 54:1-8.

      De même qu’Abraham eut deux fils de deux femmes, ainsi Jéhovah Dieu a eu deux peuples, les Juifs selon la chair par une organisation terrestre, et les Juifs spirituels par une organisation céleste, la Jérusalem d’en haut. Agar, la servante, servit temporairement ; de même la nation d’Israël, sous la servitude de l’alliance de la loi, servit provisoirement. Sarah, la femme libre, enfanta la postérité promise ; de même la Jérusalem céleste donna naissance à l’Héritier promis. — Gal. 4:21-31.

      L’offrande d’Isaac par Abraham son père préfigurait l’offrande par Jéhovah de son Fils unique. Et finalement l’envoi d’Éliézer à la recherche d’une femme pour Isaac préfigurait l’envoi par Jéhovah de son esprit saint, à la Pentecôte pour commencer, afin de procurer à son Fils une épouse spirituelle. — Jean 3:16 ; Gal. 3:16.

      En vérité, le récit de la vie d’hommes comme Abraham souligne le fait que la Bible est vraiment une lampe à nos pieds et une lumière sur notre sentier !

  • Communications
    La Tour de Garde 1961 | 15 août
    • Communications

      LE MINISTÈRE

      Rassemblez-​vous en vue d’œuvres utiles. — Eccl. 12:9.

      Jésus-Christ est le plus grand assembleur de tous les temps. Il agit en cette qualité comme l’instrument oint et choisi de son Père céleste, Jéhovah Dieu. Il rassemble des hommes bien disposés pour adorer et servir son Père, et étant un sage, il “ enseigne au peuple le savoir ”. (Eccl. 12:9, Jé.) Sous sa direction invisible ses fidèles disciples servent en qualité de témoins du vrai Dieu, Jéhovah, et diffusent partout la bonne nouvelle de son royaume établi. Grâce à cette œuvre utile, un nombre grandissant de personnes de bonne volonté envers Dieu et le Christ sont rassemblées et invitées à prendre part à ces mêmes œuvres. Au cours du mois d’août ils offriront à leurs semblables de l’instruction biblique sous forme de deux livres reliés et deux brochures, manuels pour l’étude de la Bible. Pour avoir part à cette œuvre utile, vous n’avez qu’à vous rendre à une des Salles du Royaume des témoins de Jéhovah.

      TEXTES QUOTIDIENS POUR SEPTEMBRE

      16 N’appelez personne sur la terre votre père ; car un seul est votre Père, (le Père céleste, NW). Ne vous faites pas appeler directeurs ; car un seul est votre Directeur, le Christ. — Mat. 23:9, 10. wF 15/2/61 28a

      17 Il n’y a pas de crainte dans l’amour, mais l’amour parfait bannit la crainte, car la crainte exerce une contrainte. — I Jean 4:18, NW. wF 1/6/60 23a

      18 Aussi trouvent-​ils étrange que vous ne vous précipitiez pas avec eux dans le même débordement de débauche, et ils vous calomnient. Ils rendront compte à celui qui est prêt à juger les vivants et les morts. — I Pierre 4:4, 5. wF 15/6/60 11

      19 C’est pourquoi l’homme quittera son père et sa mère, et s’attachera à sa femme. — Gen. 2:24. wF 15/3/61 25-27

      20 Les eaux dérobées sont douces. — Prov. 9:17. wF 1/4/61 11, 14, 15

      21 Le disciple n’est pas plus que le maître ; mais tout disciple accompli (parfaitement instruit, NW) sera comme son maître. — Luc 6:40. wF 1/2/61 4-6a

      22 C’est du cœur que viennent les mauvaises pensées, les meurtres, les adultères, les impudicités, les vols, les faux témoignages, les calomnies. Voilà les choses qui souillent l’homme. — Mat. 15:19, 20. wF 1/10/60 19

      23 Maris, aimez vos femmes, comme Christ a aimé l’Église, et s’est livré lui-​même pour elle, afin de la sanctifier. — Éph. 5:25. wF 1/5/61 27, 28

      24 Les jugements de l’Éternel (Jéhovah) sont la vérité, justes tous ensemble. Ils sont plus précieux que l’or (...) Aussi ton serviteur est instruit par eux ; il y a un grand salaire à les garder. — Ps. 19:9-11, Da. wF 15/2/60 20a

      25 Un surveillant doit être exempt de toute accusation comme intendant de Dieu, non obstiné, ni prompt à la colère, ni buveur bruyant, ni prompt à frapper, ni porté au gain déshonnête (...) mais (...) sachant se maîtriser. — Tite 1:7, 8, NW. wF 15/7/60 13, 15, 16a

      26 Il a paru bon au saint esprit et à nous de ne vous imposer d’autre charge que ce qui est nécessaire, savoir, de vous abstenir (...) de l’impudicité. — Actes 15:28, 29. wF 1/9/60 7, 8a

      27 Elle est libre de se marier à qui elle veut ; seulement que ce soit dans le Seigneur. — I Cor. 7:39. wF 1/11/60 20, 21

      28 (Je vous exhorte, frères), — à vous soumettre, vous aussi, à de tels hommes, et à quiconque coopère à l’œuvre et travaille. — I Cor. 16:16, Da. wF 15/11/60 17, 18a

      29 C’est dans ce dessein que je suis né et c’est dans ce dessein que je suis venu dans le monde, afin que je rende témoignage à la vérité. — Jean 18:37, NW. wF 1/1/61 27-29

      30 Puisque toutes ces choses doivent ainsi se dissoudre, quels ne devez-​vous pas être par la sainteté de la conduite et par la piété de vos œuvres, attendant et gardant constamment à l’esprit la présence du jour de Jéhovah. — II Pierre 3:11, 12, NW. wF 15/12/60 21a

      ÉTUDES DE “ LA TOUR DE GARDE ” POUR LES SEMAINES DU

      10 septembre : La valeur du discernement. Page 244.

      17 septembre : Comment former le discernement. Page 247.

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