notre organisme. À l’automne dernier [1983], aux États généraux de la boulangerie artisanale, le professeur Gounelle de Pontanel, président de l’Académie de médecine, a dénoncé notre grande erreur: manger plus de viande que de pain. ‘Le pain, dit-​il, possède une qualité négative: il ne contient aucun lipide, aucune graisse.’ Le pain est donc excellent pour le cœur. C’est même un élément de lutte contre les maladies cardiovasculaires. (...) Autre avantage: la présence de sels minéraux et de vitamines, surtout dans les pains complets. Il est donc rare que les médecins interdisent le pain”.

Réduire les risques de cancer

● Selon de récentes études, on peut réduire les risques de cancer en modifiant simplement ses habitudes alimentaires. Des recherches ont montré qu’une bonne nourriture permettait de lutter efficacement contre le cancer de l’œsophage. D’autres études parallèles révèlent que les risques de cancer de la bouche et du pharynx diminuent si l’on consomme suffisamment de fruits et de légumes. Selon Mme Regina Ziegler, du Centre national [américain] de lutte contre le cancer, “les régimes alimentaires qui permettent de réduire substantiellement les risques n’exigent pas une quantité spéciale de telle ou telle nourriture ni de suppléments en vitamines. (...) Il suffit au contraire d’augmenter légèrement la consommation de certains types d’aliments”. Des études sont maintenant en cours pour évaluer le rôle du régime alimentaire dans d’autres types de cancer.

Les victimes sont les enfants

● Selon un périodique allemand le Kölner Stadt-Anzeiger, ce sont souvent les enfants “qui souffrent le plus lorsque leurs parents ne s’entendent plus ou traversent des moments difficiles”. Une étude ouest-allemande, réalisée dans l’État de Rhénanie-du-Nord-Westphalie, révèle que la violence apparaît beaucoup plus souvent qu’on ne l’imagine dans les familles considérées comme “normales”. Rien qu’en République fédérale d’Allemagne, on enregistre tous les ans environ 30 000 cas d’enfants sévèrement maltraités et plusieurs centaines d’entre eux meurent des suites de leurs mauvais traitements. En fait, on estime même à 400 000 le nombre annuel d’enfants martyrs. Dans 80 pour cent des cas découverts, celui qui commet ces violences est, soit un parent, soit un des proches de la famille. Dans de nombreux cas, on cherche à dissimuler les blessures en affirmant que l’enfant “s’est blessé” ou “qu’il saigne facilement”.

La mort — Qu’est-​ce que c’est?

La mort est-​elle la fin de toute vie? Y a-​t-​il quelque chose qui survit à la mort? Les morts revivront-​ils un jour?

À ces questions, le livre Tout finit-​il avec cette vie? fournit une réponse réconfortante. Examinez les preuves dignes de confiance qui nous font croire que tout ne finit pas avec cette vie. Retournez le coupon-réponse à l’une des adresses indiquées à la deuxième page de ce périodique.

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