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  • “ Ayez une bonne conscience ”
    La Tour de Garde 1952 | 1er juin
    • à la Parole de Dieu, simplement parce que cela aurait pu blesser les consciences mal instruites par les fausses religions de son époque.

      Si donc notre conscience est instruite selon les justes principes de la Parole de Dieu, nous devons lui obéir. Nous devons aussi avoir beaucoup d’égards pour la conscience plus faible de notre frère moins mûr dans la foi. Mais nous ne devons pas nous laisser guider par les consciences souillées et incrédules des gens de ce monde ou leur permettre de nous empêcher de faire ce qui est bien. Peut-être nous faudra-​t-​il du courage pour garder cette conscience pieuse, mais cela sera agréable à Dieu et à nous aussi : “ C’est en effet chose agréable à Dieu que d’endurer des afflictions et des peines injustes, par motif de conscience envers Dieu. ” (I Pi. 2:19, Les Moines de Maredsous). En tout temps et en toutes circonstances “ ayez une bonne conscience ”. — I Pi. 3:16, Osty.

  • Éducation des enfants pour la vie dans le monde nouveau
    La Tour de Garde 1952 | 1er juin
    • Éducation des enfants pour la vie dans le monde nouveau

      “ Laissez venir à moi les petits enfants, et ne les empêchez pas. ” — Luc 18:16.

      1. Actuellement, quel problème confronte les parents, et quelles sont les perspectives de le résoudre heureusement ?

      UN problème qui préoccupe maintenant, avant Armaguédon, les parents consacrés est celui d’élever convenablement les enfants dans la faveur divine. Dans la mesure où l’État empiète sur les droits des parents, le problème devient plus complexe. En exerçant davantage d’autorité sur tout ce qui touche à l’éducation et à l’instruction des enfants, la société décadente de ce vieux monde cherche à ramener à son niveau bas, qui n’est pas chrétien, celui très élevé de l’éducation biblique que donnent les parents craignant Dieu. Ceux qui ont une vision de la société naissante du monde nouveau considèrent sérieusement cette question. Ils s’aperçoivent que dans le passé les vrais adorateurs de Jéhovah furent confrontés par le même problème et le résolurent en appliquant les principes bibliques justes et bien éprouvés relatifs à l’éducation. Les efforts de ces parents fidèles furent couronnés de succès, comme en témoigne ce que dit la Bible des nombreux serviteurs de Dieu qui dès leur première enfance furent formés par la piété. Ceux-ci trouvèrent la faveur de Jéhovah et reçurent l’espérance certaine de vivre dans le monde nouveau. — Héb. 11:8-40.

      2. Quelle éducation donne la faveur divine, et qu’a signifié cela pour le peuple de Jéhovah ?

      2 L’éducation qui donne la faveur divine n’est pas française, américaine, allemande ou anglaise et ne provient pas d’une nation culturelle quelconque de la société de ce vieux monde. L’éducation qui a de l’importance est théocratique, chrétienne. Cela signifie que l’éducation de tous les futurs membres de la société du monde nouveau doit être refaite pour qu’ils apprennent des voies nouvelles menant à un niveau plus élevé. C’est exactement ce qui a eu lieu, au cours des nombreuses années passées, avec la communauté mondiale des témoins de Jéhovah qui ont suivi un cours incomparable d’éducation divine. Leurs maîtres ont été Jéhovah et son Fils Jésus-Christ (És. 30:20). À l’aide de leur manuel, la Bible, ils ont appris la langue pure de la vérité (Soph. 3:9). Aussi sont-​ils devenus une société unifiée. Ils sont comme un peuple du monde nouveau, un peuple différent qui a une claire vision d’avenir : celle d’une civilisation théocratique durable. Même actuellement ils persistent à faire leur éducation et celle de leurs enfants d’après les hautes exigences chrétiennes exposées dans la Bible à l’intention des futurs sujets du monde nouveau.

      3. Quel intérêt Jésus manifesta-​t-​il pour les enfants ?

      3 Lors de son séjour terrestre de trois ans et demi, Jésus-Christ fut un modèle parfait que les chrétiens imitent aujourd’hui en faisant leur éducation pour devenir les sujets du monde nouveau. Pour être occupé par la prédication et l’enseignement, Jésus ne l’était pas au point d’oublier les enfants de son temps. Il aimait les enfants d’autrui et les serrait tendrement dans ses bras (Marc 9:36). Il imposa affectueusement les mains sur des petits enfants et pria pour eux (Mat. 19:13). À ses disciples il recommanda de devenir humbles comme eux (Mat. 18:3). Il approuva le fait de donner de bonnes choses aux enfants et se servit d’eux comme exemples dans ses discours (Mat. 7:11 ; Luc 9:48). Des enfants accompagnés de leurs parents assistèrent à ses réunions et parmi ses grands miracles il en accomplit trois qui les concernaient (Mat. 14:21). L’un était la guérison d’une petite fille, celle de Jaïrus, l’autre la guérison d’un garçon possédé d’un démon que Jésus remit entre les mains de son père anxieux et étonné. Le troisième cas est celui où Jésus guérit de loin le fils d’un officier du roi. Par amour, Jésus appela même ses disciples “ mes petits enfants ”. — Luc 8:42, 54 ; 9:42 et Jean 4:49-51 ; 13:33.

      4. Quelle attention les disciples de Jésus accordent-​ils aux enfants ?

      4 Les disciples imitèrent leur Maître en manifestant un grand amour et de la considération pour les enfants. Pierre prend des enfants bien éduqués comme exemple d’obéissance. Il montre comment les précieuses promesses du monde nouveau s’appliquent aussi aux enfants des chrétiens (I Pi. 1:14 ; Actes 2:39). Paul nous conseille d’aimer les enfants et recommande aux parents de les soigner tendrement (I Thess. 2:7 ; Tite 2:4). L’apôtre Jean en écrivant une de ses lettres mentionne des enfants dans l’introduction (II Jean 1). Paul et Jean parlant des chrétiens en général les appellent “ petits enfants ” (Gal. 4:19, Liénart ; I Jean 2:1). Nous constatons donc que les enfants et leurs manières d’agir innocentes reçurent beaucoup d’attention au temps de Jésus et de l’assemblée primitive. Qui sommes-​nous alors, comme peuple craignant Dieu au vingtième siècle, pour ne pas veiller soigneusement à l’éducation des enfants et à ce qu’ils s’associent avec nous dans notre assemblée ?

      5. Quel intérêt Luc 18:16 présente-​t-​il actuellement ?

      5 À l’opposé des Césars de ce monde qui proscrivent l’éducation biblique de leurs écoles, Jésus déclare clairement : “ Laissez venir à moi les petits enfants, et ne les en empêchez pas. ” (Luc 18:16). Ici Jésus plaide nettement en faveur d’une éducation chrétienne des enfants de parents craignant Dieu. Les parents chrétiens obéiront à l’injonction de laisser venir les petits enfants à Jésus. Ils ne s’attireront pas une condamnation comme le monde qui tente d’empêcher les enfants de suivre le Christ, le Roi du monde nouveau. Mentionnons seulement la manière d’agir honteuse qui a cours dans de nombreux pays où le corps enseignant expulse, malgré leur bonne conduite, des enfants de témoins de Jéhovah parce que ceux-ci ne peuvent pas à cause de leur conscience saluer le drapeau, acte considéré comme de l’idolâtrie pure et contraire aux commandements bibliques (Ex. 20:4, 5). Malgré les malentendus et les oppositions, le peuple fidèle de Jéhovah, y compris ses enfants, continuera d’obéir premièrement à la loi de Dieu (Actes 5:29). Comme une partie de leur vraie adoration rendue à Jéhovah, les témoins de Jéhovah s’acquitteront de leur devoir envers Dieu en lui rendant ce qui lui appartient et ils résisteront aux Césars qui n’ont aucune autorité pour mettre obstacle aux droits chrétiens relatifs à l’instruction que les parents doivent donner en suivant les voies et les commandements bibliques (Luc 20:25). Quels sont donc les voies et les principes chrétiens concernant l’éducation des enfants et qui vont à l’encontre des méthodes d’éducation du système de choses inique actuel ?

      6. Décrivez la première éducation de Jésus comme enfant et comme jeune homme.

      6 Enfant, Jésus reçut lui-​même une bonne instruction biblique. Marie, sa mère, native de la Judée, et Joseph, son père nourricier, de la maison de David, l’élevèrent selon la coutume juive de ce temps-​là. Jeune adolescent, Jésus obéissait et honorait ses parents, il leur était entièrement soumis par piété. Au cours de ces années de formation Jésus croissait sainement en sagesse et en stature. Il étudiait les Écritures hébraïques et devint apprenti-charpentier (Luc 2:47 ; Mat. 13:55). Au sujet de cette première partie de son existence humaine il est écrit : “ Puis il descendit avec eux pour aller à Nazareth, et il leur était soumis... Et Jésus croissait en sagesse, en stature, et en grâce, devant Dieu et devant les hommes. ” (Luc 2:51, 52). Plus tard, Jésus ne parla jamais avec désapprobation des principes et des pratiques dont on fit usage pour l’élever dans la faveur divine.

      7. Qu’est-​il révélé au sujet de l’éducation des enfants dans l’entrevue que Jésus eut avec le jeune chef ?

      7 Un jour, au cours de son ministère, un jeune chef lui posa une question : “ Bon maître, lui demanda-​t-​il, que dois-​je faire pour hériter la vie éternelle ? Jésus lui dit :... Tu connais les commandements : Tu ne commettras point d’adultère ; tu ne tueras point ; tu ne déroberas point ; tu ne diras point de faux témoignage ; tu ne feras tort à personne ; honore ton père et ta mère. Il lui répondit : Maître, j’ai observé toutes ces choses dès ma jeunesse. Jésus, l’ayant regardé, l’aima, et lui dit : Il te manque une chose ; va, vends tout ce que tu as, donne-​le aux pauvres, et tu auras un trésor dans le ciel. Puis viens, et suis-​moi. ” (Marc 10:17-21). D’après ce passage nous constatons que, tout en préconisant au jeune homme la nouvelle et importante condition requise pour devenir son disciple en vue du ministère, Jésus tint compte des principes fondamentaux justes se trouvant dans l’alliance de la loi que Jéhovah Dieu avait conclue avec la nation d’Israël. Par exemple, dans la liste précitée Jésus mentionna cette obligation de tous temps qu’est la soumission des enfants à leurs parents. Des années plus tard, Paul employa ce même principe contenu dans le cinquième commandement, enjoignant aux chrétiens gentils d’Éphèse de l’appliquer (Éph. 6:1-3). C’est pourquoi, bien que les lois sanctionnées de Moïse prissent fin comme telles pour Israël, quand Jésus fut cloué au bois de torture en l’an 33, les principes éternels fondamentaux de la loi restent toujours applicables (Col. 2:14). Examinons quelques-uns des premiers principes et coutumes fondamentaux qui régirent la société théocratique au temps de l’ancien Israël.

      ÉDUCATION TYPIQUE DE L’ENFANT

      8. Quelle importance attachait-​on à l’éducation des enfants dans la théocratie typique d’Israël ?

      8 La famille est l’unité fondamentale dans la structure de la société théocratique. De même que Jéhovah enseigne, éduque et châtie avec la verge qu’est son autorité théocratique, sa famille universelle de fils et de filles, de même les parents ont la grande responsabilité d’enseigner et d’éduquer leurs enfants. Quand Dieu organisa la nation théocratique d’Israël en 1513 av. J.-C., cette responsabilité des parents devint une partie de la loi du pays. Elle ordonnait aux parents d’éduquer leurs enfants dès leur tendre enfance afin que ceux-ci apprissent leur obligation envers Dieu le grand Donateur de vie. Ceci était important pour cette nation : c’était une garantie que ses futurs citoyens aimeraient Dieu et qu’elle continuerait ainsi à marcher dans des voies saines. La loi mosaïque dit : “ Écoute, Israël !... ces commandements, que je te donne aujourd’hui, seront dans ton cœur. Tu les inculqueras à tes enfants, et tu en parleras quand tu seras dans ta maison, quand tu iras en voyage, quand tu te coucheras et quand tu te lèveras. ” (Deut. 6:4-7). Comment les Israélites appliquèrent-​ils l’ordre divin ci-dessus et qu’entendaient-​ils par éducation des enfants ?

      9. Que comprenaient les Israélites par éduquer ? Donnez un exemple.

      9 Par éduquer les Israélites comprenaient davantage que le simple fait de donner de la connaissance à leurs enfants. Pour eux, éduquer signifiait former l’enfant selon une stricte autorité théocratique. Cela signifiait obliger l’enfant à s’engager dans les voies immuables de la justice. L’instruction théorique devait être mise en pratique et sa valeur gravée en traits indélébiles dans son jeune cerveau. Il en était comme pour planter et faire

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