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  • Laissons-nous instruire par le grand Enseignant
    La Tour de Garde 1972 | 1er juin
    • s’enfuir de cette région pour se réfugier dans les montagnes. Il eût été insensé et dangereux de tarder à le faire. Que se serait-​il passé si des femmes chrétiennes avaient remis à plus tard leur départ et s’étaient trouvées enceintes ou en train d’allaiter leurs enfants lorsque le moment favorable pour fuir était passé ? Elles se seraient trouvées alors dans une situation très difficile. Cependant, dans la réalisation moderne, il ne s’agit pas de fuir, au sens physique du terme, d’une ville ou province proprement dite pour se réfugier dans les montagnes au sens littéral. Il s’agit d’une fuite spirituelle consistant à se retirer complètement de la chrétienté, la Jérusalem antitypique, ainsi que de toute autre partie de Babylone la Grande, qui inclut la chrétienté, car elle est condamnée à être désolée lors de la prochaine tribulation. Dans cet accomplissement en grand de la prophétie de Jésus, le message est toujours le même : ne remettez pas à plus tard votre fuite hors de la Jérusalem antitypique, la chrétienté. Toutefois, cette invitation ne signifie pas aujourd’hui un véritable déplacement d’un point géographique à un autre. Les femmes enceintes ou qui allaitent des enfants ne sont donc pas appelées à voyager au sens propre du terme et, sous ce rapport, elles ne sont pas particulièrement désavantagées lorsqu’il s’agit de sortir spirituellement parlant de la chrétienté ou des autres parties de Babylone la Grande. Cependant, si ces femmes permettent aux intérêts familiaux de les occuper à un point tel qu’elles omettent d’entretenir de bonnes relations avec Jéhovah, cela est une autre affaire. En effet, pour ces femmes comme pour tous les autres chrétiens, le point important est celui-ci : ne remettez pas à plus tard votre fuite symbolique hors de la zone dangereuse, car si vous tardez à le faire, certaines circonstances futures et imprévisibles pourraient rendre cette action beaucoup plus difficile.

      18. a) Comment le fait d’avoir des enfants est-​il considéré dans les Écritures ? b) Pourquoi cela ne signifie-​t-​il pas que les chrétiens chargés de famille pourront participer sans exception aux mêmes formes de service que les autres chrétiens ? c) Quelle que soit notre situation, de quelle façon pouvons-​nous servir Dieu et son Fils ?

      18 La Parole de Dieu dit que “des fils sont un héritage de l’Éternel [Jéhovah], le fruit des entrailles est une récompense”. (Ps. 127:3-5.) Cela est toujours vrai. La maternité est honorée dans les Écritures ; le grand Enseignant, envoyé par Dieu, n’a rien dit pour en diminuer le caractère honorable. En revanche, il est évident que celui qui doit prendre soin d’une grande famille ne pourra pas entreprendre certaines activités, comme l’apôtre Paul qui dut faire de longs voyages et consacrer de nombreuses heures à la prédication ainsi qu’à l’enseignement des disciples et des autres personnes. Aussi, dans la mesure où les chrétiens mariés peuvent contrôler la situation, il leur appartiendra de décider à quelle activité du service de Dieu ils désirent participer ou pour laquelle les circonstances leur semblent favorables. Mais, quel que soit notre désir ou notre situation, nous devons mettre tout notre cœur dans le service que nous rendons à Dieu et à son Fils. De cette façon nous serons de véritables disciples fidèles du grand Enseignant. — Luc 10:27.

      Faites de vos enfants des disciples chrétiens

      19. Si le fait d’être père ou mère est un privilège, que comporte-​t-​il néanmoins ? Expliquez.

      19 Être père ou mère est un privilège accordé par Dieu. Cependant, il comporte une lourde responsabilité, qui est également confiée par Dieu. Avec la naissance d’un enfant commence ce qu’un père appela “un programme de vingt années”, durant lequel il faut prendre soin de l’enfant jusqu’à ce qu’il atteigne l’âge adulte. Ce n’est pas une tâche facile. Il serait difficile d’évaluer tout le temps, l’argent et le travail nécessaires pour prendre soin d’un enfant, veiller à sa propreté, lui fournir le toit, le vêtement et la nourriture, pour l’empêcher de se blesser, pour le soigner en cas de maladie et pour lui donner une bonne instruction. C’est un gros investissement qui demande beaucoup d’amour et d’abnégation. De plus, les conditions qui existent actuellement sur la terre, — l’accroissement de la criminalité et de la délinquance juvénile, ainsi que des conditions économiques incertaines, — doivent faire réfléchir les personnes mariées qui projettent d’élever des enfants.

      20. Pourquoi des parents n’assumeraient-​ils pas convenablement leurs responsabilités en se contentant de satisfaire les besoins physiques de leur enfant et en lui donnant une bonne éducation ?

      20 À notre époque, nombreux sont les parents qui se contentent de veiller au développement physique de leur enfant et à lui donner une bonne éducation intellectuelle. Mais notre responsabilité s’arrête-​t-​elle là ? Certainement pas. Si nous sommes disciples du grand Enseignant, nous savons qu’il ne servira pas à grand-chose qu’un enfant soit bien développé sur les plans physique et intellectuel, si son esprit se corrompt et si son cœur n’est ni bon ni juste. Les parents qui désirent sincèrement donner à leur enfant un excellent départ dans la vie ne sous-estimeront pas ces choses par manque de discernement.

      21. a) Pour que leurs enfants deviennent des disciples de Jésus-Christ, que doivent faire les parents ? b) Combien de fois des parents chrétiens doivent-​ils parler à leurs enfants des pratiques du monde ?

      21 Parents, vous acquittez-​vous de votre responsabilité ? Faites-​vous de vos enfants des disciples ? Les dirigez-​vous vers le grand Enseignant, afin qu’ils soient instruits par lui dans la sagesse qui conduit à la vie éternelle (Luc 18:15, 16) ? Ne pensez pas que vos enfants deviendront automatiquement des disciples, tout simplement parce que vous l’êtes vous-​mêmes. Ils ne suivront les traces de Jésus-Christ que si vous les instruisez dans ce sens. Tôt ou tard, vos enfants entrent en relation avec d’autres enfants hors du foyer. Ils les côtoient dans le quartier ou à l’école. Cette compagnie les instruira-​t-​elle à propos du grand Enseignant ? Nous nous garderons bien de penser ainsi. Nos enfants entendront des gens qui utilisent un langage obscène ou qui mentent ; ils verront des personnes qui ont des mœurs dépravées et dont les actions sont des œuvres de la chair déchue et non des fruits de l’esprit de Dieu. Vos enfants y sont-​ils préparés ? Les avez-​vous aidés à développer la force spirituelle dont ils auront besoin pour ne pas se laisser contaminer par ces choses ? Peut-être direz-​vous : “Oui, j’ai parlé de ces dangers à mes enfants.” Mais combien de fois ? Une fois, deux fois ? Plusieurs fois seulement ? N’oubliez pas que vos enfants ne devront pas faire face à de telles choses une seule fois, ni deux fois, ni plusieurs fois, mais très souvent, jour après jour. Pour qu’ils résistent à ces pressions quotidiennes et ne se laissent pas vaincre par elles, vos enfants ont besoin d’entretenir régulièrement leur force et leur discernement spirituels qui les aideront à faire face à ces pressions. Les parents qui aiment leurs enfants leur apportent cette aide.

      22. Comment des enfants peuvent-​ils être fortifiés pour surmonter les épreuves qui surgissent à l’école ?

      22 À l’école, on parlera de la théorie de l’évolution à vos enfants ; on fera pression sur eux pour qu’ils manifestent l’esprit de nationalisme ; ils pourront être tentés de participer à des cérémonies religieuses ou à d’autres célébrations d’origine païenne. Vos enfants sont-​ils prêts à résister à ces épreuves et à rester attachés aux enseignements du grand Enseignant et de son Père, Jéhovah Dieu ? Les avez-​vous équipés dans ce dessein ? Ou bien attendrez-​vous le jour où l’un d’eux rentrera en pleurs à la maison parce que de telles choses ont eu lieu à l’école et que, n’étant pas préparé à cela, il aura été gêné, aura eu peur et aura peut-être fait quelque chose qu’il croira être mal ? Sachez que cela peut bouleverser un jeune enfant. Montrez-​vous donc miséricordieux envers lui. Vous avez suffisamment vécu vous-​mêmes pour savoir à quels problèmes votre enfant devra très certainement faire face. Aidez-​le avec amour à savoir ce que son Père céleste demande de lui. Développez chez votre enfant le désir de plaire à Jéhovah Dieu plutôt qu’à un homme, quel qu’il soit, et de reconnaître que c’est l’opinion de Dieu qui compte réellement pour nous. — Prov. 29:25 ; Ps. 119:11.

      23. a) En quel sens les parents chrétiens sont-​ils avantagés par rapport aux parents qui ne sont guidés que par la sagesse du monde ? b) Pour faire face aux problèmes de la vie, de quoi les enfants ont-​ils besoin, et quand ?

      23 En tant que disciples du grand Enseignant, les parents chrétiens sont avantagés par rapport aux autres parents qui ne sont guidés que par la sagesse du monde. Ces derniers ne disposent pas de la sagesse, du réconfort et de l’encouragement que nous donne la Parole de Dieu. Parents chrétiens, vous savez que vous pouvez compter sur le soutien de Dieu, tandis que vous vous acquittez de votre responsabilité qui consiste à protéger, à instruire et à former vos enfants ainsi qu’à pourvoir à leurs besoins. Vous vous gardez de penser que votre devoir est accompli parce que vous fournissez la nourriture, le vêtement et l’abri à vos enfants et parce que vous les envoyez à l’école. Vous savez que pour faire face aux problèmes de la vie, vos enfants ont besoin d’un guide moral et de principes qui régiront leur conduite. Pour disposer de la direction et de la protection nécessaires, ils doivent commencer à apprendre ces choses dès leur plus jeune âge.

      24. Comment le livre des Proverbes souligne-​t-​il l’importance de donner une bonne formation à un enfant ?

      24 La Parole de Dieu nous dit : “Instruis l’enfant selon la voie qu’il doit suivre ; et quand il sera vieux, il ne s’en détournera pas.” (Prov. 22:6). D’autre part, elle déclare que “l’enfant livré à lui-​même fait honte à sa mère” et qu’“un fils insensé fait le chagrin de son père, et l’amertume de celle qui l’a enfanté”. (Prov. 29:15 ; 17:25.) La stupidité est le contraire de la sagesse. Si les parents ne font pas d’efforts pour diriger leurs enfants vers le grand Enseignant, en qui ‘sont soigneusement dissimulés tous les trésors de sagesse et de connaissance’, ne porteront-​ils pas une lourde responsabilité si leurs enfants adoptent une attitude insensée et stupide comparable à celle du présent monde ? Quand un enfant ne reçoit pas l’aide dont il a besoin ou quand elle ne lui est pas accordée assez tôt, il peut en résulter de grands chagrins.

  • Quand faut-il commencer à instruire les enfants ?
    La Tour de Garde 1972 | 1er juin
    • Quand faut-​il commencer à instruire les enfants ?

      1. Quel point de vue concernant l’éducation des jeunes enfants, la théorie de l’évolution a-​t-​elle encouragé ?

      QUAND doit-​on commencer à instruire les enfants ? Que faut-​il entendre par “assez tôt” ? Beaucoup de gens pensent que les premières années de la vie ne sont que simple routine, que l’enfant franchira plus ou moins automatiquement

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