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  • Qui fait des disciples ?
    La Tour de Garde 1972 | 1er novembre
    • Ils prêchent le dimanche et à d’autres moments opportuns, les nouveaux étant aidés par d’autres témoins plus expérimentés. Ils abordent les gens avec un sourire amical et s’efforcent de les engager dans une conversation sur les conditions actuelles, la nécessité d’un meilleur gouvernement pour l’humanité, besoin que comblera le Royaume de Dieu pour lequel Jésus enseigna ses disciples à prier. Là où l’intérêt est suscité, ils laissent des écrits bibliques et effectuent de nouvelles visites dans le but de commencer une étude biblique à domicile. Tous, jeunes et vieux, hommes et femmes, et même les enfants, participent à cette œuvre consistant à faire des disciples.

      L’apôtre Paul conseilla aux chrétiens de Corinthe de ‘devenir ses imitateurs, tout comme je le suis de Christ’. Il prit une part active à l’œuvre consistant à faire des disciples, à prêcher et à enseigner publiquement ou au domicile des personnes s’intéressant au message. Puisque l’apôtre Paul fut un prédicateur et un enseignant remarquable, il s’ensuit que tous ceux qui suivent son exhortation sont dans l’obligation d’être aussi des prédicateurs et des enseignants. Désirez-​vous être un imitateur de Jésus et de Paul ? — I Cor. 11:1 ; Actes 20:20.

      Si votre pasteur ou votre prêtre ne vous équipe pas pour ce ministère, si votre Église ne vous montre pas comment être un témoin pour Dieu et pour le Christ, pourquoi ne pas fréquenter les réunions des témoins chrétiens de Jéhovah, où vous recevrez cette instruction et cette aide ? Vous y serez le bienvenu.

  • Celui qui veut se rendre indépendant de Dieu court à sa perte
    La Tour de Garde 1972 | 1er novembre
    • Celui qui veut se rendre indépendant de Dieu court à sa perte

      “Je le sais, ô Jéhovah, ce n’est pas à l’homme qu’appartient sa voie, ce n’est pas à l’homme qui marche de diriger ses pas.” — Jér. 10:23, AC.

      1. Quand est-​il normal qu’une personne choisisse l’indépendance ? Donnez un exemple.

      À LEUR naissance, les hommes sont absolument impuissants et, dans les années qui suivent, ils doivent rester sous la dépendance de quelqu’un. Mais cela ne leur fait pas de mal. Afin de devenir des adultes équilibrés et de se préparer à assumer les responsabilités qui incombent à ceux qui quittent leurs parents pour mener une existence indépendante, les enfants ont besoin d’être dirigés, surveillés et disciplinés. Le livre des Proverbes déclare : “La verge et la correction donnent la sagesse, mais l’enfant livré à lui-​même fait honte à sa mère.” (Prov. 29:15). En revanche, il n’est ni souhaitable ni normal que des fils et des filles adultes, qui assument convenablement leurs responsabilités dans le cadre du mariage, restent sous la dépendance totale de leurs parents. Cela ne serait pas conforme à ce que Dieu déclara lorsqu’il institua le mariage, savoir : “C’est pourquoi l’homme quittera son père et sa mère, et s’attachera à sa femme, et ils deviendront une seule chair.” (Gen. 2:24). Évidemment, ce sont les besoins et la situation d’une personne qui détermineront si elle est en droit de se rendre indépendante de quelqu’un d’autre.

      2. Une personne est-​elle en droit de se rendre indépendante de Dieu ?

      2 Si tout le monde reconnaît spontanément que les adultes sont indépendants et que les enfants dépendent totalement d’autres personnes, nombreux sont ceux qui acceptent difficilement de se soumettre à Dieu. Ils désirent agir à leur guise. Mais leur situation leur donne-​t-​elle le droit de se rendre indépendants de leur Créateur ? Le prophète Jérémie répondit à cette question en ces termes : “Je le sais, ô Jéhovah, ce n’est pas à l’homme qu’appartient sa voie, ce n’est pas à l’homme qui marche de diriger ses pas.” — Jér. 10:23, AC.

      Il est raisonnable et juste de rester dans la dépendance de Dieu

      3. Qui a le droit absolu de déterminer comment l’homme doit se conduire, et pourquoi ?

      3 Étant le Créateur, Dieu, et non les créatures humaines, a le droit absolu d’édicter des lois pour diriger les pas de ses créatures intelligentes. C’est ce que soulignent ces questions pertinentes soulevées il y a de nombreux siècles : “La hache se glorifie-​t-​elle envers celui qui s’en sert ? Ou la scie est-​elle arrogante envers celui qui la manie ? Comme si la verge faisait mouvoir celui qui la lève, comme si le bâton soulevait celui qui n’est pas du bois !” (És. 10:15). “Ô homme, qui es-​tu vraiment pour répliquer à Dieu ? Est-​ce que la chose modelée dira à celui qui l’a modelée : ‘Pourquoi m’as-​tu faite de cette façon ?’ Quoi ? Le potier n’a-​t-​il pas pouvoir sur l’argile pour faire de la même masse un vase pour un usage honorable, un autre pour un usage déshonorant ?” (Rom. 9:20, 21). Le comble de l’orgueil pour des ‘hommes d’argile’ est de revendiquer avec insistance leur indépendance par rapport à Dieu. Cela est tout aussi insensé que de prétendre qu’un fabricant n’a pas le droit de décider du mode d’emploi de ses produits.

      4. De quelle façon Dieu a-​t-​il montré à Adam que l’homme ne pouvait sans risque ignorer les principes divins concernant le bien et le mal ?

      4 Au premier homme Adam, Dieu avait déclaré que, s’il transgressait la loi divine indiquant comment il devait se conduire, il mourrait. Jéhovah Dieu lui dit : “Tu pourras manger de tous les arbres du jardin ; mais tu ne mangeras pas de l’arbre de la connaissance du bien et du mal, car le jour où tu en mangeras, tu mourras.” (Gen. 2:16, 17). Puisque le fruit lui-​même n’était évidemment pas mauvais il était mal d’en manger uniquement à cause de l’interdiction prononcée par Dieu. En désobéissant et en mangeant de ce fruit, Adam allait montrer qu’il prenait le parti de sa femme. Il suivit sa femme qui prétendait se rendre indépendante de Dieu en décidant elle-​même de ce qui était bien et de ce qui était mal au lieu de s’en référer au jugement de son Créateur.

      5. Pourquoi était-​il juste qu’Adam se soumette à Dieu ?

      5 Il faut remarquer que le commandement de Dieu n’avait rien de déraisonnable et qu’Adam n’avait rien à regretter en restant soumis à son Créateur. Il ne devait pas endurer une domination insupportable qui aurait pu lui faire croire que l’indépendance et la mort étaient préférables à la soumission et à la vie. Le commandement de Dieu n’avait pas imposé à Adam une situation difficile. Il pouvait se nourrir en mangeant autant de fruits qu’il désirait des nombreux autres arbres. Tout ce qu’il possédait : sa vie, son travail intéressant et le très beau jardin dans lequel il vivait avec sa femme, était autant de dons de Dieu et de marques d’amour de sa part. En examinant la création autour de lui, Adam pouvait facilement se rendre compte que la sagesse de Jéhovah était bien supérieure à la sienne. En considérant ce que Dieu avait fait dans sa sagesse et dans son amour, Adam pouvait avoir l’assurance que, s’il se conformait aux décisions de son Créateur déterminant le bien et le mal, il continuerait à vivre heureux et en bonne santé.

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