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  • “Nous adorons ce que nous connaissons”
    La Tour de Garde 1971 | 1er mars
    • Psaumes, mais, comme Jésus-Christ l’a montré à ces Juifs, ils rendaient les commandements de Dieu nuls et sans effet à cause de leurs traditions et des enseignements d’hommes non inspirés (Mat. 15:1-9, Luc 24:44, 45). De plus, ils refusèrent de discerner et de reconnaître l’accomplissement des prophéties hébraïques inspirées en la personne de Jésus-Christ. Ils ne l’acceptèrent donc pas comme le Messie annoncé par les Écritures. En conséquence, ils ne se sont pas associés au “reste” des croyants juifs qui ont reçu l’esprit saint de Dieu le jour de la Pentecôte. En outre, ils n’ont pas accepté la dernière partie des Saintes Écritures, c’est-à-dire les Écritures inspirées écrites en grec par de fidèles apôtres et disciples de Jésus le Messie. Pour ces Juifs incroyants, l’inspiration divine et la révélation de la vérité avaient cessé avec les livres de Malachie et des Chroniques, si bien que pour eux les écrits allant de Matthieu à la Révélation ne sont pas une addition inspirée aux Écritures hébraïques.

      23, 24. Par suite de l’attitude de cette nation, en quel sens le Dieu qu’elle adore serait-​il inférieur au Dieu connu ?

      23 Quel en a été le résultat pour cette nation dont la ville de Jérusalem et son temple furent détruits en l’an 70 de notre ère, et les prêtres déchus de leurs fonctions ? Il en résulta une conception erronée de Dieu. Ses membres adorent un Dieu qui, jusqu’à ce jour, n’aurait pas tenu ses promesses ni accompli ses prophéties, un Dieu qui n’aurait pas envoyé son Messie promis en la personne de Jésus-Christ, le “fils de David, fils d’Abraham”. (Mat. 1:1.) Ils rendent un culte à un Dieu qui n’aurait pas ressuscité son Messie d’entre les morts et ne l’aurait pas installé à sa droite dans les cieux en tant que “Seigneur et Christ”. (Actes 2:22-36.) Ils adorent un Dieu qui n’aurait pas fait une “nouvelle alliance” avec une nouvelle “nation sainte”, un “Israël de Dieu” spirituel, par le moyen d’un médiateur plus grand que Moïse, savoir Jésus le Messie. — Jér. 31:31-34 ; Deut. 18:15-18 ; Actes 3:20-24 ; Héb. 8:7-13 ; I Tim. 2:5, 6.

      24 Ils adorent donc un Dieu dont le Messie ne devrait pas venir une deuxième fois pour établir sur toute la terre le règne messianique qui bénira l’humanité entière par le moyen d’un gouvernement éternel de paix et de justice (II Sam. 7:4-17 ; És. 9:5, 6 9:6, 7, NW ; Dan. 2:44 ; 7:13, 14). Par conséquent, bien que les ancêtres fidèles de la nation juive aient rendu un culte au vrai Dieu, cette nation ne l’adore pas actuellement.

      25. Qu’a déclaré l’apôtre Paul à propos du zèle de sa nation envers Dieu, et qui adore-​t-​elle encore aujourd’hui ?

      25 À propos des Juifs, un apôtre chrétien, qui avait été un persécuteur du reste juif chrétien, écrivit : “Frères, la bonne volonté de mon cœur et ma supplication à Dieu pour eux, c’est vraiment pour leur salut. Car je leur rends témoignage qu’ils ont du zèle pour Dieu ; mais pas selon la connaissance exacte ; car, ne connaissant pas la justice de Dieu, mais cherchant à établir la leur, ils ne se sont pas soumis à la justice de Dieu. Car le Christ [le Messie] est la fin de la Loi, afin que quiconque exerce la foi ait la justice.” (Rom. 10:1-4 ; I Tim. 1:12-16 ; Gal. 1:13, 14). Que dirons-​nous donc de cette nation, autrefois privilégiée, qui rejette le Dieu du Messie ? Le zèle religieux de ses membres n’est pas “selon la connaissance exacte” et ils adorent ce qu’ils ne connaissent pas. Ils ne rendent pas un culte au Dieu des Écritures grecques chrétiennes inspirées, qui est aussi le Dieu des Écritures hébraïques inspirées.

      26, 27. La chrétienté “trinitaire” adore-​t-​elle ce qu’elle connaît, et comment pouvons-​nous trouver la bonne réponse ?

      26 La chrétienté, qui rend un culte à une divinité trine, adore-​t-​elle ce qu’elle connaît ? Ou bien adore-​t-​elle ce qu’elle ne connaît pas ? Comment pouvons-​nous le savoir ? En examinant les Écritures hébraïques et les Écritures grecques, car ces deux recueils constituent ensemble un seul Livre inspiré.

      27 Dans aucune partie de ce Livre le chercheur ne pourra trouver l’expression “Divinité trine” ou “trinité”, ni le moindre argument biblique en faveur d’un prétendu “Dieu en trois personnes”, savoir Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit. Bien au contraire, car répondant à la question : “Quel est le premier de tous les commandements ?”, Jésus-Christ dit : “Le premier c’est : ‘Écoute, ô Israël, Jéhovah notre Dieu est l’unique Jéhovah, et tu dois aimer Jéhovah ton Dieu de tout ton cœur et de toute ton âme et de tout ton esprit et de toute ta force.’” Dans sa réponse, Jésus cita le Pentateuque, et plus précisément le texte de Deutéronome 6:4, 5 (Marc 12:28-30). Néanmoins, la chrétienté n’obéit pas à ce “premier” commandement nous enjoignant d’adorer le seul Dieu dont le nom est Jéhovah.

      28. Dans quelle mesure la conception de Dieu préconisée par la chrétienté varie-​t-​elle, et peut-​on obtenir le salut par son intermédiaire ?

      28 Comment la chrétienté peut-​elle alors rendre un culte véridique ? Bien qu’elle ne veuille pas l’admettre, elle adore un Dieu d’une conception païenne, une trinité. Sa conception de Dieu est aussi variée que les centaines d’Églises qui la divisent. Qui pourrait nier que la chrétienté adore ce qu’elle ne connaît pas ? Il n’y a pas de salut par elle.

      29. Quel genre de connaissance Dieu désire-​t-​il voir toutes sortes d’hommes acquérir, et par l’intermédiaire de qui pourrons-​nous donc adorer ce que nous connaissons ?

      29 Pour obtenir la vie éternelle dans le bonheur, il faut adorer le vrai Dieu que Jésus et ses véritables disciples connaissent. L’un de ceux-ci, l’apôtre Paul, fut inspiré par Dieu pour déclarer : “C’est là ce qui est excellent et agréable au regard de notre Sauveur, Dieu, dont la volonté est que toutes sortes d’hommes soient sauvés et parviennent à une connaissance exacte de la vérité. Car il y a un seul Dieu, et un seul médiateur entre Dieu et les hommes : un homme, Christ Jésus, qui s’est donné lui-​même en rançon correspondante pour tous.” (I Tim. 2:3-6). “Or il n’y a pas de médiateur lorsqu’une seule personne est intéressée, mais Dieu est seul.” (Gal. 3:20). Dieu est donc une partie contractante de sa “nouvelle alliance” et les hommes qui y sont admis constituent l’autre partie. Ceux-ci peuvent parvenir à une “connaissance exacte de la vérité” par le “seul médiateur entre Dieu et les hommes”. Ce médiateur était autrefois sur la terre en tant qu’homme et, puisqu’il était parfait et sans péché, il fut capable de s’offrir “en rançon correspondante pour tous”. Il s’agit de Jésus le Messie ou Jésus-Christ. Étant donné qu’il sert de médiateur pour le Dieu qu’il connaît, il nous permet d’‘adorer ce que nous connaissons’, c’est-à-dire Dieu.

  • La seconde présence du Christ
    La Tour de Garde 1971 | 1er mars
    • La seconde présence du Christ

      Selon un sondage, 24 pour cent seulement des membres de l’Église épiscopalienne croient à la seconde présence du Christ (Look, 29 avril 1969, p. 55). Et vous ? La Bible l’enseigne clairement. — Jean 14:3 ; Mat. 24:37-42.

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