BIBLIOTHÈQUE EN LIGNE Watchtower
Watchtower
BIBLIOTHÈQUE EN LIGNE
Français
  • BIBLE
  • PUBLICATIONS
  • RÉUNIONS
  • Jéhovah est outragé à cause de l’hostilité babylonienne manifestée à l’ég
    La Tour de Garde 1967 | 15 janvier
    • LES APOSTATS ÉVITENT D’EMPLOYER LE NOM DIVIN

      26, 27. a) Quel modèle les apostats suivent-​ils toujours quant à l’utilisation du nom divin ? b) Comment les oints ont-​ils défendu diligemment le nom de Jéhovah à l’occasion d’une récente accusation ?

      26 Comme cela a déjà été démontré, les conducteurs religieux influencés par les méthodes babyloniennes, ont de tout temps évité d’appeler le vrai Dieu par son nom propre, communément connu aujourd’hui sous l’orthographe Jéhovah. Il en fut ainsi pour les trois faux consolateurs de Job ; du temps de Jésus, les Juifs sectaires ont agi de même, et en ces derniers jours, il n’en va pas autrement de l’“homme d’iniquité”, le clergé de la chrétienté. Les conducteurs imprégnés de la religion babylonienne ont fait pression sur les traducteurs de la Bible, afin qu’ils en enlèvent le nom divin. Prenez connaissance de ces attaques déloyales lancées contre les témoins de Jéhovah par un professeur d’un séminaire presbytérien. Il leur reproche d’être inconséquents dans leur rétablissement du nom divin dans les Écritures grecques chrétiennes — Traduction du monde nouveau. Il les accuse d’adhérer à la “théologie arienne” (antitrinitaire) et d’avoir donné à leur traduction un esprit antitrinitaire, en remettant le nom de Jéhovah dans certains textes où le mot grec kurios (seigneur) apparaissait sans être accompagné d’un article défini, et de ne pas l’avoir remis en d’autres endroits.

      27 Devant tant d’hostilité, les témoins publièrent une réponse longue de trois pages :

      “Compte tenu de ce qui précède, nous nous demandons pourquoi le membre de la faculté du séminaire théologique de Princeton ne cite que partiellement, à partir de la page 9, la préface susmentionnée, mais passe sous silence toutes les explications des pages précédentes de cette préface, dans lesquelles est exposée la façon dont les traducteurs ont déterminé s’il convenait ou non de replacer le nom divin dans les Écritures grecques. (...) Il n’y a pas d’inconséquence dans la Traduction du monde nouveau et celle-ci ne viole aucune règle générale établie dans sa préface, quand elle rend l’expression ‘Jésus est Seigneur’ et non ‘Jésus est Jéhovah’ dans I Corinthiens 12:3 et Philippiens 2:11. Ainsi, on ne peut accuser les traducteurs de s’être laissé influencer par la théologie antitrinitaire d’Arius. (...) Il est aisé pour un théologien trinitaire de la chrétienté de critiquer une traduction de la Bible qui n’est pas en accord avec sa doctrine trinitaire. Mais quand il agit de la sorte en cachant la base même sur laquelle la traduction critiquée a fait reposer son argumentation, est-​il honnête et érudite ?”

      Une fois de plus, une coutume babylonienne consistant à rejeter la divinité souveraine de Jéhovah a été dénoncée par les oints vigilants, ou Jobs modernes. — Job 6:10.

      UN ÉVÊQUE ANGLICAN ADMET QUE DIEU A UN NOM

      28. Qu’a reconnu un évêque anglican à propos du nom de Dieu ?

      28 Un évêque anglican admet que la coutume babylonienne suivie par le clergé, consistant à éviter le nom personnel de la Divinité et à l’ôter des traductions de la Bible, est mauvaise. Il écrit :

      “Si la Divinité n’avait pas de nom propre permettant de l’identifier, aucun nom autre que le terme générique Dieu, nous n’aurions aucune raison de croire que la Divinité nous aime et qu’elle exige notre amour en retour. Si l’on nous disait que nous sommes dans l’obligation d’aimer Dieu, nous n’aurions rien de mieux à faire que de prétendre que nous l’aimons. (...) À Israël, Dieu se fit connaître comme une personne, par son nom propre Yahvé (Ex. 3:15). Le nom Yahvé apparaît 665 fois rien que dans les Psaumes. (...) On a déjà noté que dans la version du roi Jacques de 1611 et dans la Version révisée (angl.) de 1885, le mot Jéhovah n’apparaît que quatre fois seulement, parce que pour une raison ou une autre il était embarrassant d’omettre le Nom dans ces cas-​là. Par contre, dans la Version standard révisée de 1952, le nom de Jéhovah ne figure pas une seule fois. (...) Je n’ai jamais eu le plaisir de rencontrer un membre de la secte dynamique des témoins de Jéhovah. (...) Il semble qu’ils ont du zèle pour Dieu, mais pas selon la connaissance. Aussi je comprends leur aversion à l’égard de la Version standard révisée et de ses auteursf.” (C’est nous qui soulignons.)

      Notez que cet évêque adresse encore un léger reproche aux témoins de Jéhovah parce qu’ils ont du ‘zèle mais pas selon la connaissance’, bien qu’ils aient eu raison de rétablir partout le nom divin.

      JÉHOVAH SOUTIENT SES TÉMOINS

      29, 30. a) Établissez le contraste qui ressort des parallèles que nous venons d’examiner. b) Quelles tendances et quelles inclinations le clergé a-​t-​il démontrées ? c) Comment Jéhovah a-​t-​il soutenu ses témoins ?

      29 Les points qui viennent d’être cités établissent des parallèles frappants entre le drame du Job de l’Antiquité et la figure prophétique s’accomplissant à l’échelle mondiale en la personne des témoins de Jéhovah (I Cor. 4:9). Dans chacun des cas, les agents babyloniens de Satan ont dû avoir recours au mensonge, aux demi-vérités, à des faits falsifiés, à la calomnie, au sentimentalisme, à l’astrologie et ils ont argumenté dans une ignorance complète de la Bible. En revanche, les témoins ou Jobs modernes ont répondu avec vérité, retenue, amour chrétien, mettant en évidence les Écritures et adhérant aux faits ; ils ont raisonné sur la base d’une connaissance complète et exacte des Écritures, défendant sans cesse la vérité de la Bible et la divinité souveraine de Jéhovah. Dès lors, on comprend pourquoi nombre d’ecclésiastiques souscrivent aux arguments des adversaires de Job et les citent de préférence à ceux de Job. À ce propos, un ouvrage déclare : “Les paroles de ses amis [ceux de Job] (...) sont plus acceptables que nombre de déclarations inconsidérées de Jobg.”

      30 Il a maintenant été clairement montré que seuls ceux qui ont une attitude mentale babylonienne peuvent comprendre le sibboleth ou apostasie, et par conséquent, ces faux dévots ne saisiront jamais le sens du schibboleth, ou paroles relatives au vrai culte de Jéhovah, telles qu’elles ont été autrefois défendues par Job, par Jésus et ses apôtres, et telles qu’elles le sont par les témoins de Jéhovah des temps modernes. Après avoir été outragé pendant des siècles par Satan et ses agents babyloniens, le vrai Dieu Jéhovah a été justifié par ses vrais serviteurs sur terre. Jéhovah lui-​même a montré qui avait raison. Voici ce qu’il déclare aux apostats modernes : “Ma colère est enflammée contre [vous] (...) parce que vous n’avez pas parlé de moi avec droiture comme l’a fait mon serviteur Job.” (Job 42:7). Heureux sont aujourd’hui les oints de Jéhovah, qui ont entrepris depuis 1919 une œuvre de restauration semblable à celle de Job, et pour laquelle ils ne cessent d’endurer l’hostilité babylonienne dirigée contre eux, tout en soutenant fidèlement la divinité souveraine de Jéhovah, le Grand Roi d’éternité ! “Or au Roi d’éternité, incorruptible, invisible, le seul Dieu, soient honneur et gloire aux siècles des siècles. Amen.” — I Tim. 1:17.

  • Augmentons notre joie en louant Dieu tout le jour
    La Tour de Garde 1967 | 15 janvier
    • Augmentons notre joie en louant Dieu tout le jour

      LA JOIE chrétienne n’est pas un sentiment superficiel ; ce n’est pas une simple question d’inclination ou d’émotion. C’est un sentiment très profond et une exigence biblique requise de nous tous. À maintes reprises, l’apôtre Paul a fait l’exhortation suivante : “Réjouissez-​vous toujours dans le Seigneur. Encore une fois, je dirai : Réjouissez-​vous !” — Phil. 4:4.

      Il en était ainsi même dans l’ancien Israël, car Jéhovah, par Moïse, avait également ordonné au peuple de se réjouir : “Tu te réjouiras devant Jéhovah, ton Dieu, en jouissant de tous les biens que ta main aura acquis.” Cela étant, il n’est donc pas surprenant qu’Ésaïe, le prophète de Jéhovah, ait prédit que le peuple de Dieu de notre époque se réjouirait. Il dit : “Voici, mes serviteurs (...) se réjouiront (...). Voici, mes serviteurs chanteront dans la joie de leur cœur.” — Deut. 12:18, AC ; És. 65:13, 14a.

Publications françaises (1950-2025)
Se déconnecter
Se connecter
  • Français
  • Partager
  • Préférences
  • Copyright © 2025 Watch Tower Bible and Tract Society of Pennsylvania
  • Conditions d’utilisation
  • Règles de confidentialité
  • Paramètres de confidentialité
  • JW.ORG
  • Se connecter
Partager