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AstrologuesAuxiliaire pour une meilleure intelligence de la Bible
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ses côtés présentait deux zones: le “jour” et la “nuit”, alors que le bord était divisé en seize sections qui portaient les noms de seize divinités du ciel. Ainsi les pratiquants de cette forme de divination divisaient non seulement le ciel d’une manière purement imaginaire, mais également le foie de leurs victimes sacrificielles. Quand ils offraient celles-ci, ils examinaient leur foie, qu’ils considéraient comme la représentation en miniature du ciel, afin de voir quels présages les dieux leur révélaient. — Voir DIVINATION.
DIEU CONDAMNE L’ASTROLOGIE
Une vérité très importante est énoncée en ces termes tout simples: “Au commencement Dieu créa les cieux et la terre”, y compris les planètes de notre système solaire ainsi que les étoiles et leurs constellations (Gen. 1:1, 16; Job 9:7-10; Amos 5:8). Toutefois, quand Jéhovah procéda à cette merveilleuse création, il ne voulait pas que l’homme fasse de ces corps célestes des dieux. Il interdit donc formellement à son peuple d’adorer “une chose quelconque qui est dans les cieux en haut”. (Ex. 20:3, 4.) L’astrologie, sous quelque forme que ce soit, était condamnée. — Deut. 18:10-12.
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AsyncriteAuxiliaire pour une meilleure intelligence de la Bible
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ASYNCRITE
{Article non traduit.}
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AtadAuxiliaire pour une meilleure intelligence de la Bible
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ATAD
{Article non traduit.}
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AtarahAuxiliaire pour une meilleure intelligence de la Bible
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ATARAH
{Article non traduit.}
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AtarothAuxiliaire pour une meilleure intelligence de la Bible
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ATAROTH
{Article non traduit.}
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Ataroth-AddarAuxiliaire pour une meilleure intelligence de la Bible
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ATAROTH-ADDAR
{Article non traduit.}
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AterAuxiliaire pour une meilleure intelligence de la Bible
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ATER
{Article non traduit.}
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AthachAuxiliaire pour une meilleure intelligence de la Bible
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ATHACH
{Article non traduit.}
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AthaïahAuxiliaire pour une meilleure intelligence de la Bible
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ATHAÏAH
{Article non traduit.}
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AthalieAuxiliaire pour une meilleure intelligence de la Bible
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ATHALIE
(peut-être Yah[u] est grand, élevé).
Reine de Juda, fille d’Achab, roi d’Israël, et de Jézabel, sa femme; petite fille d’Omri (II Rois 8:18, 26). Elle était la sœur, de soixante-dix autres fils d’Achab, que Jéhu fit mettre à mort (II Rois 3:1, 2; 10:1-9). Dans un dessein politique, son père la donna en mariage à Joram, fils aîné de Josaphat, roi de Juda (II Rois 8:27; II Chron. 18:1). Elle était la mère d’Achaziah, qui devint roi de Juda.
À l’exemple de Jézabel, sa mère, Athalie incita son mari, Joram, à faire ce qui est mauvais aux yeux de Jéhovah pendant son règne de huit ans (I Rois 21:25; II Chron. 21:4-6). Comme sa mère, elle versa beaucoup de sang innocent. Après la mort d’Achaziah, son fils, un roi méchant qui ne régna qu’un an, Athalie fit tuer tous les autres descendants royaux, à l’exception de Joas, encore enfant, que cachèrent Jéhoïada, le grand prêtre, et sa femme, qui était la tante de Joas. Athalie se fit alors reine et exerça son règne pendant six ans, de 904 à 898 avant notre ère (II Chron. 22:11, 12). Ses fils dérobèrent les choses saintes du temple de Jéhovah et les offrirent à Baal. — II Chron. 24:7.
Quand Joas eut sept ans, Jéhoïada, qui craignait Dieu, fit sortir le garçon du secret et couronna l’héritier légitime du trône royal. Au bruit du tumulte, Athalie se précipita au temple où, voyant ce qui s’y passait, elle se mit à crier: “Conspiration! Conspiration!” Le grand prêtre ordonna alors qu’elle dût conduite hors des cours du temple et qu’on la mît à mort à la porte du palais, à l’entrée dite des chevaux. Athalie était peut-être le dernier survivant de l’infâme maison d’Achab (II Rois 11:1-20; II Chron. 22:1 à 23:21), auquel cas ces paroles se sont révélées tout à fait véridiques: “Rien ne tombera à terre sans que cela se soit accompli de la parole de Jéhovah, celle que Jéhovah a prononcée contre la maison d’Achab.” — II Rois 10:10, 11.
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ATHARIM
{Article non traduit.}
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ATHÈNES
(nom qui vient probablement d’Athéna, déesse mythique grecque, la Minerve romaine).
Aujourd’hui capitale de la Grèce moderne, Athènes était la ville grecque la plus illustre dans l’Antiquité. Elle est située au sud de la plaine de l’Attique, à sept kilomètres du port du Pirée, sur la côte de la mer Égée. Dans les temps préchrétiens, la voie qui conduisait au Pirée était protégée par deux murailles presque parallèles. La situation géographique d’Athènes contribua beaucoup à sa prospérité au cours de l’Histoire. Les montagnes qui l’entourent constituaient une défense naturelle qui lui évitait tout risque d’une attaque surprise du fait de l’éloignement des cols. Elle était également assez éloignée de la côte pour ne pas risquer une attaque navale. Les trois ports naturels du Pirée étaient néanmoins facilement accessibles depuis la ville.
UN CENTRE CULTUREL ET RELIGIEUX
Bien qu’au cinquième siècle avant notre ère Athènes connût une certaine renommée militaire en tant que capitale d’un petit empire et d’une puissance maritime, elle était surtout célèbre comme centre de la culture, de la littérature et des arts grecs. Elle devint une cité universitaire où affluaient professeurs, orateurs et philosophes. Des philosophes aussi célèbres que Socrate, Platon et Aristote avaient d’ailleurs choisi d’y vivre. À Athènes naquirent ainsi quatre écoles de philosophie: les écoles platonicienne, aristotélicienne, épicurienne et stoïcienne (Actes 17:18), qui étaient fréquentées par des étudiants venus de toutes les parties de l’Empire romain.
Athènes était aussi un grand centre religieux, ce qui fit dire à l’apôtre Paul que les Athéniens semblaient, “plus que les autres, voués à la crainte des divinités”. (Actes 17:22.) En fait, d’après Hésiode, poète grec du huitième siècle avant notre ère, les anciens Grecs adoraient plus de 30 000 divinités. L’État avait la main sur la religion, qu’il encourageait en subventionnant des processions, des cérémonies et des sacrifices publics en l’honneur des dieux. Il y avait des idoles dans les temples, sur les places publiques et dans les rues, et les Grecs priaient régulièrement les dieux avant de participer à leurs “banquets” intellectuels ou “symposiums”, à des réunions politiques ou sportives. Pour n’offenser aucun de ces dieux, les Athéniens avaient même dressé des autels sur lesquels était écrit: “À un Dieu inconnu”, comme le rapporte Paul en Actes 17:23. Pausanias, géographe du deuxième siècle de notre ère, confirme ce fait quand il raconte que sur le chemin qui conduit du port de Phalère à Athènes (chemin que Paul a peut-être emprunté quand il est venu à Athènes), il a remarqué la présence d’“autels dédiés à des dieux inconnus et à des héros”.
HISTOIRE ANTIQUE D’ATHÈNES
L’origine de la ville est obscure, bien que l’archéologie ait révélé qu’elle existait depuis très longtemps. Toujours est-il qu’avec le temps, Athènes devint le centre du premier État qui fit l’expérience d’un gouvernement démocratique. Ajoutons toutefois que ce n’était une démocratie que pour les citoyens libres, car une grande partie de la population était constituée d’esclaves.
Au début du cinquième siècle avant notre ère, les Athéniens entrèrent en conflit avec la Perse, la puissance mondiale de l’époque, en soutenant les Ioniens dans leur révolte contre cet empire. Darius (Hystaspe), le monarque perse, organisa donc une campagne contre la Grèce, mais il fut vaincu à Marathon, en 490, défaite qui lui fut infligée surtout par les Athéniens. En 480, Athènes dut être évacuée et abandonnée à Xerxès qui avait succédé à Darius, mais par la victoire navale de Salamine, les Athéniens obligèrent Xerxès et son armée à battre en retraite.
DE L’EMPIRE À LA DOMINATION ROMAINE
Après ces victoires, Athènes connut une période de prospérité durant laquelle elle devint la capitale d’un petit empire qui étendait sa domination sur presque toutes les côtes de la mer Égée. Les Athéniens commerçaient et exerçaient leur influence depuis l’Italie et la Sicile, à l’ouest, jusqu’à Chypre et la Syrie, à l’est. Sous le gouvernement très éclairé de Périclès, Athènes devint le centre culturel du monde antique où naquirent de brillantes œuvres artistiques et littéraires. C’est à cette époque-là que furent construits de nombreux et magnifiques bâtiments publics ainsi que des temples, notamment le Parthénon (dédié à Athéna) et L’Érechthéion dont on peut encore admirer les ruines sur l’Acropole. Le Parthénon, qui était considéré comme le monument architectural le plus important de la religion païenne antique, était orné d’une gigantesque statue d’Athéna, en or et en ivoire, haute de plus de neuf mètres.
Mais ces chefs-d’œuvre n’élevèrent pas spirituellement les Athéniens, car, d’après la mythologie grecque, les dieux et les déesses auxquels ils les dédiaient se livraient à tous les actes immoraux et criminels courants chez les humains. Ainsi, aux jours de Paul, Apollonios, philosophe grec, critiquaient les danses orgiaques des Athéniens quand ils fêtaient Dionysos (Bacchus) ainsi que leur engouement pour les combats sanglants de gladiateurs.
L’Empire athénien se désagrégea après la défaite que lui infligèrent les Spartiates au cours de la guerre du Péloponnèse, à la fin du cinquième siècle. Mais les conquérants d’Athènes eurent des égards pour la ville à cause de sa culture et ils ne la détruisirent pas complètement. Même quand, au quatrième siècle, Philippe et Alexandre, rois macédoniens, devinrent maîtres de la ville, ils la traitèrent avec bienveillance et permirent qu’elle demeurât le siège de la démocratie et de la philosophie. En 86 avant notre ère, Athènes fut conquise par les Romains et elle perdit sa puissance commerciale. Quand Jésus et les premiers chrétiens parurent en Palestine, Athènes devait sa renommée essentiellement à ses universités et à ses écoles de philosophie, renommée qui dépassait celle de Tarse et d’Alexandrie, ses principales rivales dans ce domaine. Beaucoup de Romains connus venaient s’instruire dans les écoles d’Athènes, qui étaient pratiquement autonomes.
PAUL À ATHÈNES
Athènes bénéficiait de ce statut quand Paul s’y rendit vers l’an 50, au cours de son deuxième voyage missionnaire. Silas et Timothée étaient restés à Bérée, mais Paul leur fit dire de le rejoindre dès que possible (Actes 17:13-15). Pendant qu’il les attendaient, il s’irrita à la vue des nombreux faux dieux que comptait Athènes et il commença à raisonner avec les habitants, aussi bien dans la synagogue des Juifs que sur la place du marché (Actes 17:16, 17). L’École américaine d’études classiques a complètement dégagé la place du marché, l’agora, au nord de l’Acropole. Selon toute apparence, on ne procédait pas seulement à des opérations commerciales sur l’agora; on y discutait aussi des questions civiques. La curiosité des Athéniens, qui transparaît dans le récit d’Actes 17:18-21, est également soulignée dans les propos de Démosthène quand il critique ses concitoyens qui aiment flâner sur la place du marché en demandant constamment: “Que dit-on de nouveau?”
Alors qu’il se trouvait sur la place du marché, Paul fut abordé par des philosophes, des stoïciens et des épicuriens, qui le soupçonnaient d’être “un annonceur de divinités étrangères”. (Actes 17:18.) C’était une accusation très grave, car la loi romaine interdisait ‘d’avoir des dieux différents ou nouveaux, d’adorer en privé des dieux étrangers, à moins qu’ils soient autorisés publiquement’. Paul connaissait probablement cette loi qui avait peut-être été la cause de ses ennuis à Philippes, une colonie romaine (Actes 16:19-24). Il fut conduit à l’Aréopage. Cependant, on ne peut dire avec certitude s’il s’agissait de la colline ou du tribunal portant ce nom. Certains affirment qu’aux jours de Paul ce tribunal ne se réunissait plus sur la colline en question, mais sur l’agora.
Le témoignage éloquent que Paul donna devant ces Athéniens instruits est une leçon de tact et d’intelligence. Il montra qu’il n’annonçait pas une nouvelle divinité, mais le Créateur même des cieux et de la terre qui n’habite pas des temples de construction humaine. Avec tact, il fit allusion au “Dieu inconnu” dont il avait vu l’autel, et il cita même Aratos, poète cilicien, et l’Hymne à Zeus de Cléante (Actes 17:22-31). La majorité de ses auditeurs le raillèrent, mais quelques Athéniens, dont Denys, juge du tribunal de l’Aréopage, et une femme nommée Damaris, devinrent croyants (Actes 17:32-34). Le récit ne dit pas si une congrégation fut formée à ce moment-là à Athènes.
DU PREMIER SIÈCLE À NOS JOURS
Athènes resta un centre culturel renommé longtemps après la visite de Paul. L’empereur Hadrien acheva en 129 la construction du temple colossal dédié à Zeus, connu sous le nom d’Olympieion, que Pisistrate avait commencée au sixième siècle avant notre ère et qu’Antiochus IV avait poursuivie entre 174 et 164. Ayant une longueur de cent mètres et une largeur de quarante mètres environ, ce temple était le plus grand de Grèce et l’un des plus imposants du monde. On peut encore en admirer les ruines au sud-est de l’Acropole. Hadrien commença aussi la construction d’un aqueduc qu’on utilise encore aujourd’hui à Athènes.
Cependant, en 529, l’empereur Justinien interdit l’étude et l’enseignement de la philosophie à Athènes, ce qui mit fin à la glorieuse renommée de la cité antique. Celle-ci ne fut plus qu’une ville provinciale tout à fait obscure durant la période byzantine au cours de laquelle le Parthénon et l’Érechthéion furent transformés en églises. Ce fut ensuite la domination latine, qui dura plus de 250 ans, après quoi les Turcs musulmans dominèrent la ville pendant 375 ans. Le Parthénon devint alors une mosquée. Quand, en 1833, les Grecs prirent la dernière forteresse turque, ils firent d’Athènes la capitale du nouveau royaume de Grèce. Depuis, Athènes, qui n’était qu’une petite ville de moins de 5 000 habitants en 1834, s’est développée rapidement pour devenir une cité moderne et prospère de plus de 600 000 habitants et dont l’agglomération rassemble plus de 1 800 000 habitants.
[Illustration, page 144]
La ville moderne avec, sur l’Acropole, le Parthénon et, au fond, la colline Lycabette.
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AthlaïAuxiliaire pour une meilleure intelligence de la Bible
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ATHLAÏ
{Article non traduit.}
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Atroth-Beth-JoabAuxiliaire pour une meilleure intelligence de la Bible
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ATROTH-BETH-JOAB
{Article non traduit.}
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Atroth-SchophanAuxiliaire pour une meilleure intelligence de la Bible
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ATROTH-SCHOPHAN
{Article non traduit.}
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Attachement exclusifAuxiliaire pour une meilleure intelligence de la Bible
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ATTACHEMENT EXCLUSIF
(héb. qannâ [utilisé uniquement pour Dieu], jaloux, exigeant un service exclusif; qinʼâh, zèle, jalousie, ardeur).
Qannâ est traduit par “jaloux” (AC Jé, Os, MN), “zélé” (Yg, La) ou “qui réclame un attachement exclusif”. (MN.) Qinʼâh est traduit par les mêmes mots. Le terme “jalousie” emporte sans doute l’idée première de “chaleur”, d’“ardeur”, laquelle dérive du sentiment de possession exclusive qu’un homme éprouve à l’égard de sa femme. Appliqué à Dieu, ce terme indique que celui-ci ne tolère aucun rival, le culte d’aucun autre dieu. Il ne cédera à personne l’honneur qui lui est dû (És. 42:8). Celui qui n’accorderait pas à Dieu cet attachement exclusif encourrait la chaleur de sa colère ardente (Ex. 20:5; Deut. 4:24; 5:9; 6:15). La nation d’Israël étant considérée comme la femme de Jéhovah, celui-ci pouvait exiger d’elle un attachement exclusif, la fidélité. Il se montrerait alors plein de zèle ou d’ardeur pour elle, pour la défendre (Ézéch. 36:5). En revanche, en désobéissant ou en allant après d’autres dieux, la nation d’Israël se conduirait en adultère et, par conséquent, mériterait la juste colère de Jéhovah, qui se montre jaloux pour son nom. — Deut. 32:16, 21; Ézéch. 16:38, 42.
JÉHOVAH DIEU NE TOLÈRE AUCUNE RIVALITÉ
Jéhovah réclamait un attachement exclusif dans la deuxième des “Dix Paroles”, ou Dix Commandements, écrites de son doigt. Nous lisons: “Je suis Jéhovah, ton Dieu (...). Tu ne dois jamais avoir d’autres dieux contre ma face [ou: pour me défier] (...), car moi, Jéhovah, ton Dieu, je suis un Dieu qui réclame un attachement exclusif.” (Deut. 5:6-9). À propos d’Exode 34:14, la Version de l’abbé Drioux (1884) dit: “Dieu veut être aimé uniquement”, c’est-à-dire comme le Dieu unique. Jésus Christ confirma cette idée dans les propos qu’il tint à un Juif qui voulait le mettre à l’épreuve. — Mat. 22:37.
DES RELATIONS DE MAÎTRE À ESCLAVE
L’expression “attachement exclusif” fait aussi penser aux relations qui existent entre un maître et son esclave. Étant le Créateur, Jéhovah est le Propriétaire et le Maître de ses créatures. Il est donc Dieu, car il est en droit d’exiger un attachement exclusif de la part de ses sujets qu’il a créés et qui doivent faire sa volonté. Quand il vient à connaître Dieu et à apprécier les relations qu’il entretient avec lui, l’homme raisonnable lui voue volontairement un attachement exclusif. C’est ce que Jéhovah désire, car il hait tout attachement ou culte purement formaliste. — Mat. 15:8, 9.
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AttaïAuxiliaire pour une meilleure intelligence de la Bible
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ATTAÏ
{Article non traduit.}
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AttalieAuxiliaire pour une meilleure intelligence de la Bible
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ATTALIE
À la fin de son premier voyage missionnaire, Paul embarqua à Attalie, porte de la côte de Pamphylie, en Asie Mineure, pour retourner à Antioche de Syrie, distante d’environ 500 kilomètres. — Actes 14:24-26.
Attalie, à l’emplacement de l’actuelle Antalya, fut fondée par Attale II, roi de Pergame (159-138 av. n. è.), à l’embouchure du Cataractès. Elle devint le principal port de la province de Pamphylie, le débouché
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