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  • On ne récolte que ce qu’on a semé
    Réveillez-vous ! 1970 | 8 juillet
    • d’ecclésiastiques ont détruit la foi des jeunes dans la Bible. Ils l’ont discréditée en qualifiant certains de ses récits de mythes et de légendes. Du fait que l’on met en doute une partie de ce Livre, les jeunes se demandent si logiquement on peut ajouter foi au reste. Dès lors, pourquoi suivre les conseils bibliques recommandant de respecter les lois et l’autorité des hommes et de Dieu ?

      Quand les gens plus âgés commencent à mépriser la loi et l’autorité, particulièrement celles de Dieu, faut-​il s’étonner que les jeunes suivent leur exemple ? Après tout, si les aînés rejettent Dieu, sa Parole, la Bible, et transgressent la loi internationale, faut-​il s’attendre à ce que les jeunes respectent des autorités moins élevées, comme leurs parents et l’administration locale ? Rien ne les encourage à le faire.

      Incontestablement, la génération des aînés a semé le mépris de l’autorité et aujourd’hui elle en récolte les fruits, car ses enfants ne respectent même pas sa propre autorité.

      Les valeurs morales

      Les hippies sont partisans de l’amour libre ; mais s’agit-​il là d’une idée nouvelle ? Qui a commencé à rejeter les principes moraux de la Bible ? L’attitude d’un éminent “intellectuel” est caractéristique de celle de nombreux adultes. Il déclara : “Nous nous sommes opposés à la morale de la Bible parce qu’elle gênait notre liberté sexuelle.”

      Des enquêtes ont révélé que de nombreux adultes, même des pères et des mères de famille, commettent l’adultère et la fornication. Il est même des couples qui ont pratiqué l’“échange de femmes” sous diverses formes.

      Les hippies ne font-​ils pas ouvertement ce que nombre de leurs aînés s’appliquent à dissimuler ? Les jeunes de notre époque, à l’esprit vif, remarquent les mœurs relâchées des adultes, malgré une apparence extérieure de bienséance. Bien souvent, l’extrême franchise de parole et de conduite des hippies est une manifestation de leur mépris pour l’hypocrisie des adultes.

      En outre, la génération des aînés multiplie les films, les programmes de télévision et les pièces de théâtre qui élèvent au rang de héros des artistes aux mœurs douteuses. De tels spectacles peuvent-​ils augmenter le respect des jeunes pour la moralité ? Quel effet la plupart de ces pièces ont-​elles sur les jeunes spectateurs ?

      En ce qui concerne l’usage de la marijuana, qui donc a encouragé l’usage de la cigarette ? Depuis leur enfance, les jeunes sont habitués à voir les adultes fumer ; ils ont vu les films et la publicité destinés à favoriser la consommation du tabac. Puisque les adultes continuent de fumer la cigarette bien qu’elle soit reconnue nuisible, les jeunes ne voient pas pourquoi ils ne fumeraient pas la marijuana.

      Ils se disent aussi que l’emploi de la drogue ne diffère guère de l’utilisation par les adultes de toutes sortes de pilules destinées à faire disparaître la tension nerveuse et l’anxiété. Et combien d’adultes abusent de boissons alcooliques ? Or, l’abus de l’alcool produit des effets euphoriques analogues à certains stupéfiants. Les jeunes en concluent que si les parents ont le droit de s’enivrer, les enfants peuvent également s’évader des réalités à leur façon à eux.

      L’exemple du clergé

      Beaucoup d’ecclésiastiques essaient de se rendre populaires en étant “modernes”, c’est-à-dire en excusant ou même en recommandant la fornication, l’adultère, l’homosexualité et l’usage de la drogue. Cependant, très souvent, leurs efforts produisent un résultat contraire à celui qu’ils recherchent. C’est ainsi que dernièrement, lorsqu’on demanda à des jeunes gens pourquoi ils n’allaient plus à l’église, l’un d’eux répondit :

      “Le pasteur à qui j’avais affaire ne cessait de nous parler des gens qu’il connaissait qui fumaient la marijuana. Nous riions de lui derrière son dos. Pour nous c’était un hypocrite. Un ministre de religion devrait être fermement convaincu de l’existence de Dieu et défendre les lois morales.” — Daily Star de Toronto, 8 mars 1969.

      Par conséquent, beaucoup de jeunes n’ont plus aucun respect pour les religions établies. De l’avis des hippies, les ecclésiastiques pharisaïques, “qui disent mais ne font pas”, ne mettent pas en pratique la “règle d’or” nous ordonnant de faire aux autres ce que nous voulons que les autres fassent pour nous (Mat. 23:3). Un hippie déclara : “Je ne puis imaginer quelqu’un de plus éloigné de Dieu qu’un évêque. On n’a jamais vu Jésus se promener en vêtements somptueux tandis que le peuple, mourait de faim.”

      Et pourtant, malgré leur idéalisme, les hippies sont-​ils en train de construire une société meilleure ? Ont-​ils trouvé la solution aux problèmes qui se posent à l’humanité ? Sont-​ils heureux ?

  • Des hippies qui vous racontent leurs expériences
    Réveillez-vous ! 1970 | 8 juillet
    • Des hippies qui vous racontent leurs expériences

      LES hippies ont-​ils trouvé les solutions qu’ils cherchent ? Leur mode de vie les a-​t-​il conduits au bonheur ? Les rapports qu’ils ont entre eux sont-​ils vraiment édifiants et empreints d’amour ? Quels résultats ont-​ils obtenus ?

      Cela vous intéressera peut-être de savoir ce que disent des personnes qui ont vécu en hippies, car elles peuvent parler en connaissance de cause. Évidemment, tous n’ont pas fait la même expérience, mais les récits suivants sont typiques.

      Est-​ce la solution aux problèmes ?

      Une jeune Américaine, imbue d’idéalisme, comme beaucoup d’autres jeunes, devint hippie. Elle recherchait une solution aux problèmes de la vie. Voici le récit qu’elle nous a fait :

      “Au début, nous essayions tous de trouver une solution aux problèmes formidables de la vie. Cependant, mes recherches m’ont amenée à faire usage de la drogue et à ériger l’érotisme en vertu. Plus tard, je me suis orientée, avec plus de ferveur encore, vers l’occultisme, le mysticisme et le démonisme.

      “Malgré tout cela, la vie n’avait pas de sens. Sous l’influence de mon soi-disant ‘guru’, je me plongeais toujours plus profondément dans le mysticisme et l’occultisme, et je recourais de plus en plus à la drogue. Et pourtant, la vie devenait sans cesse plus difficile à supporter. J’étais tellement déprimée qu’à plusieurs reprises je me suis sentie poussée à sauter du haut d’un pont.

      “Beaucoup de mes amis étaient devenus héroïnomanes et alcooliques. L’un d’eux se servit d’une aiguille sale pour s’injecter de la drogue. Il faillit mourir de la gangrène et de la septicémie qu’il contracta. Un autre ami finit par se procurer un revolver et se tua. Il ne pouvait plus lutter, particulièrement contre les forces spirites qui faisaient peser leur influence sur nous.

      “Son suicide me bouleversa. Je ne me sentais pas capable de poursuivre une pareille existence, d’autant plus qu’elle ne m’avait fourni aucune solution aux problèmes de la vie. J’en avais assez des soi-disant ‘maîtres spirituels’.”

      Cette jeune fille ne trouva donc pas les solutions qu’elle recherchait. Le mode de vie hippie ne lui apporta ni le bonheur ni une espérance.

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