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  • Ils régneront avec le “ lion de la tribu de Juda ”
    La Tour de Garde 1962 | 15 octobre
    • aidés : “ Jéhovah, descends vers moi parmi ces héros ! D’Éphraïm [le neveu de Benjamin] sont venus ceux qui ont leur racine en Amalec ; derrière toi, Benjamin s’est joint à tes troupes. ” — Juges 5:13, 14, AC.

      65. Comment Benjamin fut-​il comme un loup le matin et le soir ?

      65 Tel un loup affamé, Benjamin serait un bon chasseur. Comme un loup qui dévore la proie le matin, la tribu de Benjamin fournit le premier roi d’Israël, dès le matin du royaume d’Israël. Ce fut le roi Saül, le fils de Kis, et il combattit férocement contre les Philistins (I Sam. 9:15-17). Et comme un loup qui partage le butin le soir, la tribu de Benjamin fournit, au soir de la vie de la nation d’Israël, la reine Esther et Mardochée, premier ministre de l’empire perse au temps du roi Assuérus. Ces deux Benjamites furent employés pour faire détruire les derniers ennemis amalécites, qui cherchaient à exterminer tous les Israélites dans l’empire perse. — Esther 2:5-7.

      66. Quel membre de la tribu de Benjamin devint un vaillant combattant pour le “ lion de la tribu de Juda ”, et où cette tribu mérite-​t-​elle de figurer ?

      66 Après la mort et la résurrection de Jésus-Christ, “ le lion de la tribu de Juda ”, bon nombre de Benjamites devinrent ses disciples. Saul de Tarse était de ceux-là et il devint l’apôtre Paul (Rom. 11:1 ; Phil. 3:5). Auparavant, il avait été un ennemi acharné du christianisme mais par la suite il en devint l’un de ses défenseurs les plus capables. Il revêtit l’“ armure complète de Dieu ” et mania puissamment l’“ épée de l’esprit, qui est la parole de Dieu ”. (Éph. 6:11-17, Da.) Tel un loup, Paul le Benjamite déchira les doctrines erronées et les traditions humaines des adversaires du christianisme. La tribu de Benjamin mérite d’avoir une place parmi les tribus de l’Israël spirituel (Apoc. 7:8). Sous bien des rapports, Benjamin donna le bon exemple aux chrétiens.

      “ LES DOUZE TRIBUS D’ISRAËL ”

      67. a) Que pouvons-​nous dire de Jacob ? b) Après avoir prononcé ces paroles prophétiques, que fit Jacob ?

      67 Ainsi, la prophétie de Jacob qui commence par une référence à un incident quelque peu sordide, s’achève par une comparaison annonçant la victoire glorieuse du peuple de Jéhovah. Aujourd’hui, plus de trois mille ans après la mort de Jacob, nous sommes bien placés pour savoir que ce patriarche fut un vrai prophète et un fidèle témoin de Jéhovah. Jusqu’à la fin de sa vie, il proclama la vérité, la vérité prophétique, qui s’est réalisée pleinement dans l’Israël spirituel dont le fondement est quelqu’un de plus grand que Jacob, savoir, Jésus-Christ. Après avoir adressé ces paroles prophétiques à ses fils, Jacob prononça ses bénédictions d’adieu. En effet, le récit déclare : “ Tous ceux-là sont les douze tribus d’Israël, et c’est là ce que leur père leur dit en les bénissant : il les bénit, chacun selon sa bénédiction. ” Puis il leur donna l’ordre de l’enterrer auprès d’Abraham et d’Isaac en Terre promise. “ Et quand Jacob eut achevé de donner ses commandements à ses fils, il retira ses pieds dans le lit, et expira, et fut recueilli vers ses peuples. ” (Gen. 49:28-33). Jacob dort toujours, en attendant sa résurrection dans le monde nouveau de Dieu.

      68. a) De quoi ces “ douze tribus d’Israël ” devinrent-​elles une figure ? b) Comment sont-​elles représentées comme régnant avec le “ lion de la tribu de Juda ” ?

      68 Les douze tribus d’Israël que Jacob laissa derrière lui devinrent une figure prophétique des douze tribus de l’Israël spirituel, composées de 144 000 membres sous leur Chef céleste, Jésus-Christ, “ le lion de la tribu de Juda ”. Jadis, à la montagne où les Dix Commandements furent donnés, Dieu offrit à l’Israël terrestre l’occasion de devenir “ un royaume de prêtres et une nation sainte ”. (Ex. 19:1-6, AC.) Mais à présent, les douze tribus de l’Israël spirituel se sont montrées dignes de devenir ce royaume de prêtres, sous leur Grand Prêtre, Jésus-Christ, l’Agneau de Dieu. L’apôtre Jean, l’un des douze fondements apostoliques de l’Israël spirituel, eut une vision des douze tribus spirituelles, composées de 144 000 membres, se tenant avec l’Agneau sur la montagne de Sion, le siège du gouvernement céleste. Les 144 000 sont représentés comme régnant avec le “ lion de la tribu de Juda ”. Ils le suivent “ partout où il va ”. — Apoc. 14:1-4.

      69. Conformément à la prophétie de Jacob, que fait le reste de ceux qui régneront avec le “ lion de la tribu de Juda ” ?

      69 De nos jours, il n’existe plus qu’un reste des 144 000 encore sur la terre. Les membres de ce reste marchent sur les traces du “ lion de la tribu de Juda ” car ils savent que son règne millénaire est très proche. C’est pourquoi ils annoncent “ cette bonne nouvelle du royaume ” sur la terre habitée tout entière, conformément à la prophétie de Jésus consignée dans Matthieu 24:14. Ils annoncent Jésus comme étant le Shilo promis à qui appartient l’obéissance des peuples, car Jéhovah Dieu lui a accordé le droit au Royaume. Que cela plaise aux nations ou non, il régnera sur tous les peuples de la terre.

      70. Quelle est à présent la voie de la sagesse pour les peuples de la terre, et pourquoi ?

      70 Que les peuples fassent donc preuve de sagesse. Écoutez la “ bonne nouvelle du royaume ” et rendez une obéissance complète à Celui à qui elle appartient, au “ lion de la tribu de Juda ”. Ainsi, vous recevrez la vie éternelle, la paix et la joie sur la terre transformée en un immense paradis par le règne millénaire du “ lion de la tribu de Juda ” et de ceux qui régneront avec lui.

  • Un livre merveilleux
    La Tour de Garde 1962 | 15 octobre
    • Un livre merveilleux

      La Bible est un livre merveilleux. Tel était aussi l’avis du célèbre critique italien, Francesco de Sanctis, qui fut ministre de l’Éducation publique dans le gouvernement de Cavour et qui écrivit : “ Je n’avais jamais lu la Bible, ni moi ni mes étudiants. Étant donné l’attitude d’indifférence, mêlée de mépris qui prévalait alors touchant les questions religieuses, la Bible, en tant que la Parole de Dieu, provoquait les sarcasmes. Je lisais par-ci par-là les merveilles de ce livre pour preuves de sa puissante éloquence et, entraîné par le thème de mes leçons, je jetai un coup d’œil sur le livre de Job. Je fus frappé de stupeur. Dans mes études classiques, je ne trouvai rien de comparable à sa grandeur. Immédiatement, j’apportai mes impressions en classe. J’avais déjà fait, sur l’origine du mal et la signification de ce livre, une leçon qui avait été suivie avec une profonde attention. Mais quand je lus tout le livre, mes sentiments et mon admiration écrasèrent tout le monde. Avec un égal enthousiasme, nous nous plongeâmes dans l’étude. Nous prîmes un grand plaisir à lire le Cantique des Cantiques, un psaume de David, dans lequel la contemplation de la création confirme la puissance et la grandeur du Créateur, et certaines des lamentations de Jérémie. Pour nous ce fut comme un voyage dans certains pays inconnus et lointains, nouveaux. Dans notre enthousiasme de novices, nous en oubliions nos classiques, Homère même, et, pendant plusieurs mois, on n’entendit parler que de la Bible (...) Je m’étonne que, dans nos écoles, où on lit tant de choses futiles, l’anthologie biblique n’ait pas pénétré. ” La Bibbia nel giudizio di illustri Italiani. (La Bible d’après des Italiens illustres), par Augusto Jahier, page 34.

  • Églises “ égocentriques ”
    La Tour de Garde 1962 | 15 octobre
    • Églises “ égocentriques ”

      Dans le livre Saints on Main Street, Peter Day, directeur de la revue Living Church, déclare que l’église typique de quartier est “ égocentrique ”. Les ecclésiastiques, dit-​il, concentrent leur attention sur “ les œuvres de l’église ” plutôt que sur “ la tâche de l’église ” dans le monde extérieur. Soutenant que de nombreuses églises ne songent guère à servir les autres, il écrit : “ Nous vivons un temps de grande prospérité dans la vie des paroisses. La plupart d’entre elles s’accroissent en proportion des indices du succès. Le nombre de leurs membres s’élève, l’école du dimanche est archicomble, les vieilles dettes sont réglées et de nouvelles sont contractées sans peine pour réaliser d’ambitieux projets de constructions nouvelles, hommes et femmes sont actifs dans les cercles paroissiaux, les contributions financières augmentent, et les gens prient, étudient et travaillent avec plus d’ardeur que jamais. Toutefois, il y a un fait étrange : si on examine toute l’affaire dans un autre sens, on s’aperçoit que, de façon typique, la paroisse juge au progrès non pas d’après les normes du service qu’elle rend à la communauté et au monde, mais d’après ses propres normes : son étendue et l’état de son budget. Pareillement, elle juge l’utilité de ses membres non pas au service qu’ils rendent à l’humanité mais à celui qu’ils rendent à la paroisse elle-​même. ”

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