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  • Ne sous-estimez pas le besoin de détente
    Réveillez-vous ! 1979 | 22 mai
    • Mais tout le monde ne s’amuse pas des mêmes choses, et l’on peut très bien rester froid devant ce qui passionne une tierce personne. L’intérêt que l’on prend à une activité est fonction de l’âge, du sexe, etc. Une personne âgée ne croira pas que les jeunes vont se contenter de rester assis à parler, à lire ou à jouer aux dames, simplement parce que c’est ce qui plaît à des gens plus vieux. Les adolescents ont de l’énergie à revendre et ils auraient plutôt envie de faire une partie de football, de volley-ball, de badminton ou de handball, ou bien de se livrer à une autre activité récréative du même genre.

      Deux familles ou plus peuvent très bien aller pique-niquer au bois. Ensuite, ceux qui le désirent peuvent rester à “tailler une bavette”, tandis que ceux qui ont de l’énergie à dépenser iront jouer à l’un des jeux cités plus haut. Tant que le match ne dégénère pas, il n’y a rien à redire. C’est lorsque quelqu’un veut gagner à tout prix que les disputes apparaissent. Tout le plaisir du jeu est alors gâché.

      Avec les plus jeunes, une balançoire ou un bac à sable suffisent pour s’amuser. Entre leurs mains, quelques cubes ou un vulgaire carton deviendront successivement maison, grotte, avion, voiture, etc., tout ce que leur imagination fertile d’enfant leur suggérera. Combien de fois un jouet coûteux est resté par terre, alors que l’enfant passait des heures sur un tas de sable ou à jouer avec une boîte en carton que son imagination transformait au gré de sa fantaisie! Effectivement, une voiture de pompiers, même si elle coûte très cher, restera toujours une voiture de pompiers. Tandis qu’avec une grande boîte en carton, que de possibilités!

      Un adulte prend plaisir à voir un enfant jouer ou à le regarder courir après une balle, et, s’il se sent en forme, il n’hésitera pas à se joindre à lui. C’est tout bénéfice pour une famille quand elle est réunie par ce biais. L’union profonde ainsi créée évitera qu’un fossé se creuse entre les générations. En outre, cela permettra d’avoir l’œil sur sa progéniture. Le fait de pratiquer un même culte envers le Créateur permet d’éviter que de mauvaises compagnies gâtent les saines habitudes (I Cor. 15:33). Quand les familles ne se contentent pas d’étudier et de prêcher ensemble, mais qu’elles trouvent également plaisir à se distraire à plusieurs, cela donne des congrégations où règne plus d’affection fraternelle et dont les membres se comprennent mieux.

      La musique et la danse

      Dans certains foyers il y a des mélomanes. Peut-être n’est-​il pas toujours facile d’apprendre à jouer d’un instrument, mais c’est un divertissement aussi agréable pour celui qui s’y livre que pour ses auditeurs. Si deux ou trois familles s’associent pour jouer en groupe, là encore, ce sera pour la plus grande joie des exécutants comme de l’auditoire. Il se peut même que certains désirent danser pendant que les autres jouent.

      La musique vocale ou instrumentale ainsi que la danse n’ont rien de mal en soi. En Israël, le culte de Jéhovah faisait appel à des instrumentistes et à des chœurs. Jeunes et moins jeunes dansaient au son de la musique, parfois seuls, parfois en groupes (Ex. 15:20; Juges 11:34; Ps. 87:7; 149:3; 150:4; Jér. 31:13; Mat. 11:17; Luc 15:25). Lors d’une telle occasion, quelqu’un trouva un jour à redire à ce que l’un des danseurs se démenât avec entrain. Mais la suite montra que Jéhovah n’approuvait pas cette critique. — II Sam. 6:20.

      Il en va de la danse comme de la nourriture et de la boisson dont nous avons parlé plus haut. La danse est bonne ou néfaste suivant qu’on en reste maître ou non. Peu importe que l’on joue une musique langoureuse ou très rythmée, ce qui compte c’est qu’elle n’agresse pas les facultés auditives et qu’elle ne dégénère pas en tintamarre pour les voisins. De même, il importe peu qu’un pas de danse soit lent ou rapide, du moment qu’il n’a rien de lascif ou de suggestif; autrement on sortirait du cadre de la simple détente.

      La voie de l’expérience dicte de placer ces réunions sous bonne surveillance. Il ne s’agit évidemment pas de censurer les amusements innocents et décents, mais plutôt d’éviter les excès qui pourraient nuire à la morale chrétienne. Même la valse, en certaines circonstances, peut devenir une incitation à la débauche. En résumé, on peut très bien prendre plaisir à exécuter des danses folkloriques, des quadrilles ou des danses modernes, mais, là où les choses se gâtent, c’est quand la compagnie est malsaine.

      La lecture et les discussions

      Il existe d’excellents livres ainsi que des articles de journaux très agréables à lire, mais il y en a aussi qui attentent à la morale. Ce genre de lectures ‘ne devrait même pas être mentionné’ parmi les chrétiens, pour qui le critère d’un bon ouvrage est qu’il soit vrai, vertueux et digne de louanges. — Éph. 5:3; Phil. 4:8.

      Il en va de même avec la télévision et le cinéma. Certes, on voit encore de bons films, propres et distrayants, mais ils ont tendance à devenir l’exception plutôt que la règle. Beaucoup d’émissions télévisées sont distrayantes et éducatives. Grâce aux documentaires, on aborde des sujets scientifiques ou d’histoire naturelle ainsi que des questions d’actualité et quantité d’autres domaines intéressants. Un bon livre nous offre également de quoi converser agréablement avec autrui.

      Qui a dit que la conversation est un art qui se perd? Pour se rendre compte du contraire, il suffit de voir la vogue des débats télévisés. Malheureusement, de plus en plus de gens semblent incapables de tenir une conversation intéressante. Certes, ils parlent, mais leurs idées et leurs réflexions montrent qu’ils n’ont rien à dire. Toutefois, même ce genre de personnes sont riches de faits intéressants à raconter sur elles-​mêmes, sur leur enfance ou sur leur premier emploi, sur les raisons qui les ont motivées à embrasser une carrière plutôt qu’une autre ou à adopter une certaine religion. Entraînée sur de tels sujets, la conversation prend rapidement un tour dont l’intérêt vous surprendra.

      Il suffit d’un peu de finesse, de courtoisie, de tact et de compliments sincères pour que les timides quittent leur réserve et parlent sans faire de difficultés. Dès que vous vous intéressez aux gens, ils s’intéressent à vous en retour. Ainsi, au lieu d’une conversation à sens unique, l’échange se fera pour le plus grand plaisir de deux, quatre, voire six personnes qui participent à une même conversation. Lisons d’ailleurs combien les Grecs du premier siècle de notre ère ainsi que leurs visiteurs raffolaient de telles discussions: “Tous les Athéniens, en effet, et les étrangers séjournant chez eux ne passaient leur temps de loisir à rien d’autre qu’à dire ou à écouter du nouveau.” — Actes 17:21.

      Aussi, lisez, écoutez, réfléchissez et observez, et vous aurez une foule de pensées intéressantes à partager lors de conversations détendues. Veillez seulement à ne pas vous échauffer dans la discussion et à ne pas exiger que tout le monde pense comme vous. Il n’y a rien de tel pour tuer une conversation. Tenez plutôt des propos agréables et de bon goût, et montrez-​vous discret. — Prov. 15:1; 16:21-24; 25:11; Eccl. 12:10; Col. 4:6.

      Bref, ne vous contentez pas de supprimer les distractions douteuses, mais trouvez quelque chose pour les remplacer. Si votre religion condamne sans discrimination tous les divertissements, soyez certain qu’à la première occasion, vos enfants quitteront et cette religion et votre foyer. Ne laissez pas se créer un “état de manque” de distractions en eux (Mat. 12:43-45). D’ailleurs, l’article à la page suivante vous offrira d’autres suggestions pour vous distraire.

  • Quelques suggestions offertes aux automobilistes de bon sens
    Réveillez-vous ! 1979 | 22 mai
    • Quelques suggestions offertes aux automobilistes de bon sens

      Une étude récente fait apparaître que sur cent automobilistes, quatre-vingts reconnaissent que leurs facultés de concentration vont déclinant quand ils conduisent sur de longues distances sans s’arrêter. La sensation de fatigue apparaît pour certains au bout de deux cents kilomètres, et pour d’autres après cinq cents kilomètres. On sait maintenant qu’il existe un rapport étroit entre l’apparition des signes de fatigue, la forme physique et les mauvaises habitudes alimentaires.

      Voici donc quelques recommandations offertes par la Société allemande de nutrition pour améliorer la sécurité des automobilistes:

      ● Prenez un bon repos avant d’entreprendre un long voyage. Ne partez jamais l’estomac vide, mais ne mangez pas trop et évitez les graisses. Choisissez des aliments riches en vitamines.

      ● Faites une pause toutes les deux heures, mais ne restez pas assis dans votre voiture. Marchez un peu et mangez quelque chose: des fruits, des biscuits, du chocolat. Mais sans excès!

      ● Prenez vos repas aux heures habituelles. Mangez légèrement, sans précipitation. Ne reprenez pas la route sitôt sorti de table, mais allez tout d’abord vous dégourdir les jambes.

      ● Au lieu d’absorber beaucoup de liquide en une seule fois, buvez plus souvent, mais en petites quantités (par exemple, du lait, des jus de fruits, de l’eau minérale; vous pouvez aussi boire du café et du thé, mais modérément).

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