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  • La sainteté de Dieu est glorifiée dans le Lévitique
    La Tour de Garde 1977 | 1er août
    • LOIS SUR LA PURETÉ ET L’IMPURETÉ

      Afin que les Israélites puissent être un peuple saint, Jéhovah leur donna des lois sur ce qu’il considérait comme pur et impur. Étaient interdites sous peine de mort les pratiques moralement impures telles que l’inceste, l’adultère et la bestialité. C’est à cause de ces mœurs avilissantes que Jéhovah ordonna l’extermination des habitants de Canaan. Un châtiment semblable était requis contre l’apostasie et la pratique de tous les faux cultes, ainsi que contre tout ce qui avait un lien avec le spiritisme et contre toute parole blasphématoire à l’adresse du saint nom de Jéhovah Dieu. — Chapitres 18 et 20.

      Selon le Lévitique, les Israélites n’avaient pas le droit de manger la chair de certains animaux domestiques ou sauvages. Cette interdiction servait deux desseins. D’une part, elle supprimait la consommation de différentes viandes dont certaines étaient particulièrement exposées à l’infection par des micro-organismes nuisibles. D’autre part, ces interdictions renforçaient la barrière qui séparait les Israélites des nations environnantes. Comme ils constituaient une nation sainte mise à part pour Jéhovah Dieu, les Israélites étaient moins enclins à s’associer avec d’autres peuples ou à imiter leurs mauvaises voies (Comparez avec I Corinthiens 15:33). Par ailleurs, le contact avec le cadavre d’un homme ou d’un animal les rendait impurs ; il en était de même pour un ustensile de cuisine. Or, le monde médical n’a su apprécier la sagesse de ces mesures restrictives que des milliers d’années plus tard, lorsque les hommes ont découvert les microbes. Les lois qui régissaient l’impureté causée par la lèpre et qui comprenaient l’obligation d’observer la quarantaine étaient très complexes. Il y avait aussi des lois concernant l’impureté qu’entraînaient l’accouchement et les écoulements sortant des voies génitales. — Chapitres 11 à 15.

      Il faut encore ajouter que ces lois n’ordonnaient pas simplement aux Israélites ‘d’aimer leur prochain comme eux-​mêmes’, mais précisaient tout ce qu’impliquait ce commandement, à savoir l’obligation de reprendre le pécheur et de témoigner des égards à l’aveugle, au boiteux, au sourd et au pauvre, à qui ils devaient prêter sans intérêt. Il leur était interdit de pratiquer la calomnie et de tricher sur les poids et les mesures. Quiconque faisait du tort à son prochain devait recevoir un juste châtiment. — Lév. 19:9-18, 26, 32-37.

      LES SABBATS ET LES FÊTES

      D’une façon générale, les Israélites devaient observer obligatoirement trois sortes de sabbats : premièrement, le sabbat hebdomadaire, qu’ils observaient non pas le dimanche, qui était le premier jour de la semaine, mais le septième jour ; deuxièmement, le sabbat qui était observé le premier jour de chaque mois ; et troisièmement, l’année sabbatique, tout au long de laquelle il était défendu d’ensemencer et de récolter, afin que la terre puisse se reposer. Pour que ce sabbat qui durait une année entière soit supportable, Jéhovah avait promis aux Israélites que les récoltes de la sixième année leur permettraient de subsister jusqu’au moment où ils commenceraient à jouir des produits de la terre au cours de la huitième année. Tous les cinquante ans, c’est-à-dire immédiatement après la septième année sabbatique, c’était le grand Jubilé. Cette année-​là, tout homme qui avait perdu une propriété quelconque au cours des quarante-neuf années précédentes, soit à cause de la maladie ou de circonstances défavorables, soit même à la suite de sa mauvaise gestion, rentrait en possession de son bien. Ainsi, il n’y aurait jamais de familles qui s’enrichiraient indéfiniment, tandis que d’autres deviendraient de plus en plus pauvres. — Chapitres 23 et 25.

      Dans le Lévitique, Jéhovah donne aussi ses instructions pour la célébration de trois grandes fêtes annuelles. Ces rassemblements étaient des occasions pour les Israélites de ‘se réjouir devant Jéhovah’ et les aidaient à renforcer leurs relations avec Jéhovah en l’adorant dans l’unité (Lév. 23:40). La première de ces fêtes, la Pâque, qui se prolongeait pendant une semaine par la fête des pains sans levain, était célébrée au début du printemps. Elle était suivie, vers la fin du printemps, par la fête des Semaines ou Pentecôte qui ne durait qu’un jour. La troisième fête avait lieu à l’automne, après l’achèvement de la moisson. Elle était appelée fête de la Récolte ou des Huttes, car pendant la semaine que durait sa célébration, les Israélites devaient habiter des huttes afin de se souvenir de l’époque où leurs ancêtres campaient de cette façon dans le désert.

      Le livre du Lévitique atteint, pourrait-​on dire, son point culminant dans le chapitre 26 qui énumère les bienfaits découlant de l’obéissance et les châtiments réservés à la désobéissance. En effet, Jéhovah informe les Israélites de ce qui leur arriverait ‘s’ils continuaient à marcher dans ses ordonnances’. Ils jouiraient de la prospérité, de la paix et de récoltes abondantes, ils vaincraient leurs ennemis et deviendraient très nombreux. Mais, ‘s’ils rejetaient les ordonnances de Dieu’, ils connaîtraient la famine, la peste, les défaites, et seraient même emmenés en captivité dans un pays étranger. Toutefois, le chapitre se termine sur une note d’espérance avec la promesse d’une restauration, qui s’est en effet réalisée quand les Israélites revinrent de Babylone en 537 avant notre ère. Finalement, le chapitre 27 conclut en donnant des instructions au sujet des offrandes votives.

      Pour les serviteurs de Dieu, le livre du Lévitique est, sans conteste, aussi utile aujourd’hui qu’il l’était dans les temps anciens. Entre autres choses, il insiste sur l’extrême gravité du péché, la nécessité d’un sacrifice propitiatoire, le caractère sacré du sang, et il souligne l’importance de la justice et de l’amour. Mais, par-dessus tout, il nous apporte une démonstration de la grandeur de Jéhovah comme Souverain et Législateur, tout en mettant l’accent sur son nom et sur sa sainteté.

  • Le bonheur que procure un “esprit bien disposé”
    La Tour de Garde 1977 | 1er août
    • Le bonheur que procure un “esprit bien disposé”

      “PUIS-​JE vous aider ?” Ces quatre petits mots aimables expriment beaucoup de choses de la part d’une personne. Qu’indiquent-​ils ? Un “esprit bien disposé”. Le fait d’aider quelqu’un ou de participer à un travail utile procure à un individu une joie et un bonheur indescriptibles. Beaucoup de personnes aujourd’hui se procurent un grand bonheur en participant à l’œuvre mondiale ordonnée par Jésus. De quelle œuvre s’agit-​il ? “Et cette bonne nouvelle du royaume sera prêchée par toute la terre habitée, en témoignage pour toutes les nations ; et alors viendra la fin.” (Mat. 24:14). Oui, l’Annuaire des Témoins de Jéhovah 1977 montre qu’en obéissant à ce commandement, 2 248 390 personnes ont manifesté cette bonne disposition d’esprit durant l’année 1976 et ont passé 359 258 019 heures à communiquer cette “bonne nouvelle” à leurs semblables dans 210 pays et îles. C’est là en vérité un remarquable accomplissement des paroles prophétiques de David, qui déclara : “Ton peuple s’offrira volontairement au jour de tes forces militaires.” — Ps. 110:3.

      Cet esprit spontané s’est toujours manifesté chez les adorateurs de Jéhovah, depuis

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