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  • Pourra-t-on résoudre le problème ?
    Réveillez-vous ! 1971 | 22 décembre
    • suffisant, le système économique mondial, fondé sur des intérêts nationaux et individuels égoïstes, s’effondrerait, comme tant d’autres avant lui.

      Cependant, la fin des systèmes économiques du présent monde n’arrivera pas uniquement du fait de leur cupidité ; elle sera provoquée par l’intervention divine. Parlant de notre époque, la Bible dit : “Dans le temps de ces rois, le Dieu des cieux suscitera un royaume qui ne sera jamais détruit, et qui ne passera point sous la domination d’un autre peuple ; il brisera et anéantira tous ces royaumes-​là, et lui-​même subsistera éternellement.” — Dan. 2:44.

      Il ressort de cette prophétie que la puissance divine anéantira bientôt tous les gouvernements actuels avec leurs systèmes économiques. Alors, les affaires humaines ne seront plus dirigées par des régimes politiques et économiques égoïstes, mais par une administration juste, le gouvernement céleste de Dieu, qui cherchera le bien de toute l’humanité dans tous les domaines, y compris le domaine économique. Dieu a promis d’établir une telle administration pour le bonheur éternel de tous les amis de la justice. — Éph. 1:8-10.

      Jouirez-​vous des bienfaits de cette administration ? Cela dépend en grande partie des efforts que vous déployez dès maintenant pour la connaître et pour conformer votre vie aux justes lois de Dieu, son Créateur.

  • À quoi servent les irrégularités du pavillon de l’oreille ?
    Réveillez-vous ! 1971 | 22 décembre
    • À quoi servent les irrégularités du pavillon de l’oreille ?

      PENDANT longtemps on a pensé que le pavillon de l’oreille était surtout décoratif. Il n’avait d’autre utilité, croyait-​on, que de servir de cornet acoustique, peu efficace d’ailleurs. Dernièrement cependant, le Dr Dweight Batteau, chercheur de Cambridge (États-Unis), a découvert que les irrégularités de surface du pavillon de l’oreille ont une grande utilité. Les sillons, les saillies et les fossettes, de l’oreille externe nous aident à déterminer de quelle direction provient le son que nous entendons et même la distance approximative de la source de ce son. Voici l’hypothèse du Dr Batteau :

      La configuration du pavillon de l’oreille, ses saillies, ses fossettes et ses circonvolutions, bref toutes ses irrégularités de surface, réfléchissent les sons que nous captons de manière à leur ajouter un léger écho. Cet écho varie suivant la direction d’où le son arrive. Il ne sera pas le même, par exemple, si le son vient d’au-dessus de notre tête que s’il vient d’en bas ou de derrière nous.

      Ce léger écho pénètre dans l’oreille interne une fraction de seconde après le son lui-​même. La région du cerveau qui préside à l’audition analyse le son et l’écho qui l’accompagne puis nous fait savoir dans quelle direction se trouve la source du son. Toutes ces opérations ont lieu si rapidement que nous n’en sommes même pas conscients. En outre, lorsqu’un son nous arrive du côté droit, notre oreille droite le capte un peu avant l’oreille gauche, et vice versa. C’est là une autre disposition qui nous aide à déterminer d’où vient le son.

      C’est pourquoi, même avec les yeux fermés, nous savons si un son vient de derrière nous, d’au-dessus de notre tête, du côté droit ou du côté gauche. La configuration du pavillon de notre oreille confère à l’audition le sens de la direction qui augmente notre joie de vivre. En effet, grâce à ce sens, nous savons où il faut regarder quand nous entendons le beau chant d’un oiseau s’égosillant dans un arbre proche ou le bruit caractéristique d’un pic à la recherche d’insectes. Ce sens augmente également le plaisir que nous éprouvons à écouter la musique stéréophonique, à entendre le son doux des violons sortant d’un haut-parleur et la fanfare des trompettes provenant de l’autre.

      Qui a conçu nos oreilles de façon à augmenter notre joie de vivre ? La sainte Bible répond à cette question en ces termes : “L’oreille qui entend et l’œil qui voit, c’est Jéhovah qui les a faits l’un et l’autre.” Remercions-​le et louons-​le pour ce don merveilleux ! — Prov. 20:12, Crampon 1905.

  • La résistance vitale atteste la sagesse de Dieu
    Réveillez-vous ! 1971 | 22 décembre
    • La résistance vitale atteste la sagesse de Dieu

      LA VIE animale existe sur la terre depuis de nombreux millénaires, avant même l’apparition de l’homme. Pendant ces millénaires, d’innombrables générations se sont succédé. Certaines espèces ou variétés ont disparu, mais un grand nombre existent encore à notre époque, probablement presque toutes les espèces animales qui ont survécu au déluge universel.

      Pendant cette longue période de temps, des cataclysmes ont frappé de vastes régions de la terre ; des maladies ont décimé les populations végétales, animales et humaines. Et pourtant, la vie subsiste. De plus, on a découvert des fossiles qui sont pour ainsi dire identiques aux formes de vie actuelles. De légères variations apparaissent par-ci par-là, tout comme il existe de légères variations dans certaines espèces végétales et animales contemporaines.

      Puisque la vie semble si fragile et que le mécanisme extrêmement complexe de la reproduction dépend de cellules microscopiques, comment expliquer cette faculté étonnante de survivre aux maladies et aux cataclysmes ? Malgré son incroyable complexité, le processus de la reproduction est en réalité si stable que la majorité des créatures vivantes sont normales et dotées de toutes les facultés et fonctions nécessaires à la vie. La plupart des nouveau-nés, par exemple, sont à même de rester en vie ; ils possèdent des yeux, des membres, des organes internes et un cerveau normaux ainsi que la capacité de se servir de ces organes.

      Toutes ces capacités témoignent de la sagesse et de la gloire du Créateur. La résistance des organismes vivants et la persistance de la vie à travers les siècles malgré toutes les causes de destruction, révèlent que le dessein de Dieu est que la vie existe à jamais sur notre planète.

      La résistance aux produits toxiques s’est-​elle développée ?

      Les personnes bien informées savent qu’au bout d’un certain temps les insectes et les micro-organismes semblent développer une résistance aux produits toxiques utilisés pour les combattre. Les insectes contre lesquels le DDT se révélait tout d’abord très efficace, finissent apparemment par devenir immunisés contre ce produit. Certains d’entre eux résistent même à des produits aussi mortels que l’acide cyanhydrique. De même, les “médicaments miracle” perdent leur efficacité contre les microbes pathogènes. Combattre des infections comme la syphilis exige des doses de plus en plus massives d’antibiotiques, et encore certains microbes y résistent. Il existe, dit-​on, des microbes dont la capacité de résister à la pénicilline a augmenté 16 000 fois.

      Les évolutionnistes pensent avoir là une confirmation de la théorie de l’évolution. Cette immunisation des insectes et des micro-organismes signifie-​t-​elle qu’ils ont développé une résistance aux produits toxiques ? Pas du tout, car soit que ces produits détruisent les organismes contre lesquels ils sont utilisés, soit qu’ils se révèlent inefficaces. Les microbes qui sont détruits ne peuvent développer une résistance ou avoir une progéniture immunisée. La survivance de certains de ces organismes signifie que ceux-ci étaient immunisés dès le départ. Cette immunisation est un facteur génétique dont l’espèce a été dotée lors de sa création, un facteur susceptible de faire son apparition dans certains descendants ou de ne pas apparaître dans d’autres. Le même principe génétique s’applique à l’homme.

      On pourrait prendre l’exemple du talent dans une famille. Des parents qui ne possèdent aucun talent musical peuvent avoir un enfant qui fait preuve de génie dans ce domaine. Une étude de leur ascendance révélera peut-être qu’un trisaïeul était très doué pour la musique. Certains qualifient ce phénomène de “mutation”, mais en réalité ce trait existait déjà dans les facteurs génétiques.

      Ce principe a été prouvé il y a quelques années grâce à des expériences effectuées par Milislav Demerec, généticien à l’Institut Carnegie de Cold Spring Harbor dans l’État de New York. Ce chercheur utilisa pour ses expériences des bactéries qui se trouvent dans le côlon humain et que l’on peut cultiver dans un milieu convenable (bouillon ou agar-agar). À une température de 37 degrés, les cellules bactériennes se divisent environ toutes les vingt minutes. C’est ainsi qu’en une journée, une seule cellule peut produire des milliards de descendants.

      Lorsqu’on se servit de la streptomycine, un antibiotique, pour arrêter la prolifération de ces bactéries, on constata que sur plusieurs milliards d’individus, quelques-uns résistaient à ce produit. Les évolutionnistes prétendent qu’une mutation (variation brusque d’un caractère héréditaire) s’est produite et que celle-ci représente un pas en avant dans l’évolution de l’espèce. Cette idée est infirmée toutefois par les expériences de Demerec, qui montraient que la streptomycine ne modifiait aucunement l’hérédité de l’espèce. Elle détruisait simplement les bactéries non immunisées. Les bactéries résistantes survivaient au traitement.

      Demerec constata également que dans toute culture importante quelques bactéries résistantes apparaissaient, même lorsque la culture n’avait pas été exposée au préalable à de la streptomycine. Dans chaque génération environ une cellule sur un milliard était naturellement résistante. Ce n’était donc pas la streptomycine qui provoquait les prétendues mutations.

      Demerec procéda ensuite à d’autres expériences. Dans un milieu traité avec de la streptomycine, la lignée des bactéries non résistantes disparut, mais les organismes résistants subsistaient et engendraient des descendants. Néanmoins, parmi ceux-ci, environ 37 individus sur un milliard étaient identiques à la souche d’origine et par conséquent sensibles à la streptomycine. Ensuite, on enleva du milieu traité à l’antibiotique la population qui avait survécu et on la plaça dans un bouillon de culture non traité. La lignée de bactéries non résistantes commença à se multiplier rapidement et devint la plus nombreuse. Les microbes résistants diminuèrent en nombre et finirent par apparaître, comme au début, environ une fois seulement sur un milliard.

      La vie existera à jamais sur notre planète

      La résistance vitale des organismes vivants explique pourquoi la vie a subsisté sur la terre, et aussi pourquoi, lorsque des maladies et des épidémies déciment une population, certains individus survivent grâce à une résistance naturelle au microbe meurtrier. En ce qui concerne l’humanité, malgré les ravages de près de 6 000 ans de péché, on voit encore des hommes et des femmes d’un beau physique et d’une très grande intelligence.

      Aujourd’hui cependant, l’homme est en train de détruire son milieu. Il met encore sa santé en danger en ajoutant à ses aliments des produits chimiques et en polluant l’air, l’eau et le sol. De plus, le risque de mourir en raison de la criminalité ou de la guerre augmente de jour en jour. Sans conteste, l’homme détruit la terre et, s’il disposait d’un temps suffisamment long, il la rendrait inhabitable.

      Toutefois, le dessein du Créateur est que la terre soit habitée à jamais par des hommes, des femmes et des animaux. C’est pourquoi il a déclaré son intention d’intervenir à notre époque pour empêcher la désolation de notre planète et pour “détruire ceux qui détruisent la terre”. — Rév. 11:18.

      La vie a toujours existé, car Jéhovah, la Source de la vie, existe de toute éternité, et le dessein divin est qu’elle continue d’exister éternellement sur notre planète. — Ps. 90:2 ; 36:10 36:9, NW.

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