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  • Partie deux
    La Tour de Garde 1964 | 15 juin
    • témoin ? Peu nous importe comment le reste du monde répond à cette question ; quant à nous, disciples et imitateurs du Seigneur Jésus-Christ, nous répondons : “Nous sommes les témoins chrétiens de Jéhovah !”

  • Damas, un joyau du désert
    La Tour de Garde 1964 | 15 juin
    • Damas, un joyau du désert

      BLOTTIE contre les monts de l’Anti-Liban, en Syrie, l’immense désert s’étendant devant elle, la ville de Damas est une oasis verdoyante, étincelante au milieu d’une terre indéfrichable et désertique. L’eau des montagnes, dégringolant à flots vers elle et derrière elle, a fait de cette cité, dès les temps anciens, une étape rafraîchissante sur la route des caravanes, entre Babylone, la Palestine et l’Égypte. Aussi longtemps qu’un peuple vécut dans cette région, l’emplacement de Damas ne pouvait être que celui d’une ville.

      L’histoire de cette ville remonte à l’époque d’Abraham, qui vécut plus de 1 900 ans avant la venue de Jésus-Christ. C’est de cette ville que venait Éliézer, l’intendant d’Abraham, comme la Bible le montre dans Genèse 15:2. Il est parlé de Damas, une autre fois, dans Genèse 14:15, pour indiquer à quelle distance au nord Abraham poursuivit les quatre rois qui avaient emmené Lot, son neveu. Aux jours du roi David, Damas fut prise ; le roi y plaça une garnison mais, sous le règne de son fils Salomon, la ville s’affranchit et devint indépendante.

      À cause de son emplacement assez écarté, la ville fut plus ou moins à la merci des envahisseurs, surtout de ceux qui, venant de l’Est, se dirigeaient vers la Palestine. Elle fut prise par les Assyriens, les Babyloniens, les Perses, les Grecs et les Romains. Tout au long de sa longue histoire, elle fut saccagée à maintes reprises par les soldats envahisseurs et, au moins deux fois, ses notables furent emmenés en captivité.

      La ville est assise sur un plateau situé à près de sept cents mètres au-dessus du niveau de la mer. Sa situation élevée par rapport au sol brûlant du désert lui permet de jouir d’une agréable température, allant de 27 à 31 degrés en été, et ne descendant que rarement au-dessous de 7 degrés en hiver. Deux fleuves, alimentés par la montagne, arrosent la région de Damas, la parant d’une végétation luxuriante. Le voyageur, échappant au désert torride et sec, considère la ville presque comme la plus belle du monde. Ses poètes l’ont appelée “la perle de l’Orient”, “l’œil du désert”. Dans les temps bibliques, les deux fleuves de Damas se nommaient l’Abana et le Parpar. Ce sont les deux fleuves dont parle Naaman le lépreux, ce Naaman qui, de Damas, se rendit auprès d’Élisée pour être guéri. Quand il lui fut ordonné de se baigner sept fois dans le Jourdain boueux, il se mit en fureur : “Les fleuves de Damas, l’Abana et le Parpar, ne valent-​ils pas mieux que toutes les eaux d’Israël ?” (II Rois 5:12). Ces fleuves étaient plus utiles à la région de Damas que le Jourdain

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