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  • Esclaves dociles de Jéhovah
    La Tour de Garde 1955 | 15 avril
    • de ceux qui croient en lui. C’est à lui, la puissance suprême, que le baptisé doit vouer sa vie, à lui que chaque créature doit se soumettre et obéir. Quiconque se voue à Dieu promet de défendre sa cause, de l’adorer et de maintenir bien haut sa Parole et son nom. “ Car il faut que celui qui s’approche de Dieu croie que Dieu existe, et qu’il est le rémunérateur de ceux qui le cherchent. ” — Héb. 11:6.

      Le baptême doit être administré “ au nom du Fils ”, ce qui veut dire que nous devons reconnaître que c’est uniquement par le mérite du Fils qu’on accède au Père. Nous devons reconnaître la position élevée du Christ dans l’organisation de Jéhovah, sa qualité de Roi oint et de Souverain du Royaume de Jéhovah. Cela implique aussi que nous suivions l’exemple de Jésus, que nous ayons la certitude qu’il nous sauvera et que nous le reconnaissions en tant que “ chef et dominateur des peuples ”. — És. 55:4.

      Le baptisé doit reconnaître que sans le “ saint esprit ” il serait incapable de rester fidèle à Dieu. Le saint esprit est la force active de Jéhovah, celle qui accomplit sa volonté. Le baptisé doit avoir pris la résolution d’agir en harmonie avec l’esprit de Jéhovah et de ne pas le diffamer. Il doit demander, par la prière, d’être toujours plus rempli de cet esprit, d’être conduit par lui au lieu de faire sa propre volonté ou celle d’un homme quelconque.

      Il ne s’agit pas de s’adonner à ces choses temporairement mais de vouer toute sa vie à Jéhovah. C’est à ce moment-​là seulement, lorsque quelqu’un fait don de soi-​même, qu’il est réellement baptisé “ au nom du Père, du Fils et du saint esprit ”. Les paroles prononcées lors du baptême ne sont pas l’essentiel, ni l’endroit où le baptême est administré, ni les habits dont on est revêtu, mais c’est la question de savoir si la personne baptisée s’est réellement vouée à Dieu, si elle a donné sa vie à Jéhovah.

      Ce baptême n’est pas une chose à laquelle on se soumet pour l’oublier ensuite. Dans Ecclésiaste (5:4) nous lisons : “ Lorsque tu as fait un vœu à Dieu, ne tarde pas à l’accomplir. ” Et Jésus dit : “ Quiconque met la main à la charrue, et regarde en arrière, n’est pas propre au royaume de Dieu. ” (Luc 9:62). Par conséquent, les personnes qui se sont vouées à Dieu, au nombre de plus d’un demi-million, et qui déploient une activité chrétienne en aidant des milliers d’autres à s’engager dans la même voie, sont tenues de garder leur intégrité envers Jéhovah.

      Si les gens du monde ne comprennent pas qu’un homme ou une femme se voue de tout cœur et sans réserve au service de Jéhovah, on ne peut que le regretter. S’ils ne saisissent pas ce qui incite certains hommes à se libérer de leur plein gré de l’esclavage de Satan et à se séparer de son vieux monde, qu’ils examinent donc les faits se rapportant à Jéhovah Dieu et à son monde nouveau. Après un examen consciencieux, nombre de moqueurs ont changé d’opinion. Ils ont rejeté l’esclavage d’un mauvais maître et se sont joints avec enthousiasme à la multitude grandissante des personnes qui sont devenues avec joie les esclaves dociles et obéissants du vrai Dieu. Êtes-​vous parmi elles ?

  • Le caractère sacré de notre guerre
    La Tour de Garde 1955 | 15 avril
    • Le caractère sacré de notre guerre

      “ Car Jéhovah, ton Dieu, marche au milieu de ton camp, pour te protéger et pour te livrer tes ennemis ; ton camp doit donc être saint, afin que Jéhovah ne voie chez toi rien de malfaisant et qu’il ne se détourne pas de toi. ” — Deut. 23:14, Cr 1905.

      1. Quelle guerre livrent les témoins de Jéhovah ? Depuis combien de temps ? Pourquoi n’y renoncent-​ils pas ?

      SI quelqu’un est en guerre, ce sont bien les témoins de Jéhovah (És. 43:10-12 ; 44:8). Sur les six mille ans écoulés, rares ont été les siècles, si toutefois il y en eut, qui ne furent pas traversés par des guerres et des massacres. Mais les témoins du Dieu très-haut livrent un combat continuel, quotidien, qui dure toute la vie des combattants. Cette lutte se poursuit sans trêve ni armistice depuis six mille ans. Grâce à l’aide céleste, les témoins ont pu tenir jusqu’à présent et le combat continue. Aucun de ces serviteurs de Dieu ne renoncera à cette guerre, car il s’agit là d’une guerre sainte, d’un conflit sacré, livré au sein d’un monde impie.

      2. Comment les nations ont-​elles essayé de faire de la guerre une chose sacrée ? Pourquoi ?

      2 Jusqu’à ce jour, les guerres livrées par ce monde n’ont été qu’un règlement violent et sanglant de questions en suspens. On a toujours cherché à couvrir ces conflits du manteau de la religion, dans le dessein de justifier les violences et d’apaiser les consciences. Les combattants croyaient alors que leur devoir et la volonté de leur dieu étaient de prendre part au combat et de commettre des cruautés. De tous temps, on a essayé d’attribuer à Dieu la responsabilité de la guerre, en proclamant que telle était sa volonté et que le combattant servait le Très-Haut et sa cause. Parmi les nations, on a fait de la guerre une chose sacrée, un devoir saint.

      3. Quel fait prouve que les nations païennes considéraient la guerre comme sacrée ?

      3 Le fait que les nations de l’Antiquité avaient des dieux de la guerre prouve que la guerre était considérée comme une chose sacrée. Les Grecs belliqueux avaient le dieu Arès et les Romains Mars. Des temples furent dédiés à ces divinités. Quand les Philistins battirent les Israélites et tuèrent le roi Saül et trois de ses fils, “ ils le dépouillèrent, et emportèrent sa tête et ses armes. Puis ils firent annoncer ces bonnes nouvelles par tout le pays des Philistins à leurs idoles et au peuple. Ils mirent les armes de Saül dans la maison de leur dieu, et ils attachèrent son crâne dans le temple de Dagon ”. (I Chron. 10:9, 10.) Non seulement les nations païennes attribuaient leurs victoires à leurs dieux, mais elles consultaient aussi, avant d’entamer une campagne, ces divinités ou les puissances occultes pour recevoir aide et instruction. Vers la fin du VIIe siècle avant Jésus-Christ, l’empereur babylonien Nebucadnetsar se trouvait placé devant un choix. Il se trouvait en Palestine, au point de départ de deux chemins, l’un menant au sud-est, à Rabbath, la ville des enfants d’Ammon, et l’autre au sud-ouest, à Jérusalem. Pour fixer son choix, il interrogea des sources supérieures à l’homme. “ Car le roi de Babylone se tient au carrefour, à l’entrée des deux chemins, pour tirer des présages ; il secoue les flèches, il interroge les théraphim (images), il examine le foie. Le sort, qui est dans sa droite, désigne Jérusalem, où l’on devra dresser des béliers, commander le carnage, et pousser des cris de guerre ; on dressera des béliers contre les portes, on élèvera des terrasses, on formera des retranchements. ” (Ézéch. 21:26, 27 21:21, 22, NW). Ainsi guidé par une décision qui ne venait pas de lui, Nebucadnetsar marcha avec confiance sur Jérusalem, persuadé qu’il exécutait la volonté de son dieu Mardouk et qu’il remporterait la victoire. Jérusalem tomba sous ses coups en été de l’an 607 av. J.-C., non pas à cause de l’intervention de Mardouk mais parce que Jéhovah, le Dieu que la ville infidèle avait abandonné, avait décrété sa ruine. — Jér. 1:1-3, 13-16.

      4. Comment les hommes de guerre se préparaient-​ils ? Comment se conduisaient-​ils devant leurs dieux ?

      4 En accord avec la nature sacrée de leurs guerres, les combattants païens se sanctifiaient en vue de leurs expéditions militaires. Ils allaient au combat au nom de leurs dieux, juraient par eux et leur adressaient des prières pour la victoire.

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