BIBLIOTHÈQUE EN LIGNE Watchtower
Watchtower
BIBLIOTHÈQUE EN LIGNE
Français
  • BIBLE
  • PUBLICATIONS
  • RÉUNIONS
  • Tribunal
    Auxiliaire pour une meilleure intelligence de la Bible
    • Jéhovah Dieu a confié tout jugement à son Fils (Jean 5:22, 27), et tous doivent comparaître devant le ‘tribunal de Christ’. (II Cor. 5:10.) Il est aussi appelé avec raison le ‘tribunal de Dieu’, car Jéhovah est à l’origine de cette disposition et il juge par l’entremise de son Fils. — Rom. 14:10.

  • Tribunal, II
    Auxiliaire pour une meilleure intelligence de la Bible
    • TRIBUNAL, II

      {Voir TRIBUNAL (entrées “Court, judicial”, “Judgment Seat” et “Tribunal” regroupées).}

  • Tribunal, III
    Auxiliaire pour une meilleure intelligence de la Bible
    • TRIBUNAL, III

      {Voir TRIBUNAL (entrées “Court, judicial”, “Judgment Seat” et “Tribunal” regroupées).}

  • Tribut
    Auxiliaire pour une meilleure intelligence de la Bible
    • TRIBUT

      Il s’agit généralement d’argent ou d’autres biens, comme du bétail, payés par un État ou un dirigeant à une puissance étrangère en reconnaissance de sa soumission ou encore dans le but de préserver la paix ou d’obtenir une protection. Les nations qui imposaient le tribut à d’autres peuples recevaient souvent de l’or, de l’argent ou d’autres produits rares dans leur propre pays. Elles affermissaient ainsi leur économie tout en affaiblissant celle des autres nations dont elles pillaient les ressources.

      Les rois de Juda, David (II Sam. 8:2, 6), Salomon (Ps. 72:10; voir I Rois 4:21; 10:23-25), Josaphat (II Chron. 17:10, 11) et Ozias (II Chron. 26:8), ainsi que le roi d’Israël Achab (II Rois 3:4, 5), reçurent des tributs d’autres peuples. Toutefois, en raison de leur infidélité, les Israélites se trouvaient souvent en position d’infériorité et devaient payer le tribut à d’autres nations. Dès l’époque des juges, sous la domination du roi moabite Églon, ils payèrent le tribut (Juges 3:12-17). Plus tard, le royaume de Juda comme le royaume du Nord, Israël, payèrent le tribut à des puissances étrangères lorsqu’ils furent soumis à leur domination (II Rois 17:3; 23:35). À différentes occasions, ils versèrent l’équivalent d’un tribut, pour acheter des nations ennemies ou pour les soudoyer afin d’obtenir leur aide militaire. — II Rois 12:18; 15:19, 20; 18:13-16; pour connaître les termes originaux, voir IMPÔT.

  • Troas
    Auxiliaire pour une meilleure intelligence de la Bible
    • TROAS

      Principal port sur la côte nord-ouest de l’Asie Mineure d’où Paul partit pour sa première visite en Macédoine. Plus tard il y retourna de temps à autre. Cette ville était située à 32 kilomètres au sud de l’Hellespont (le détroit des Dardanelles) et à un peu plus de la moitié de cette distance au sud du site traditionnel de l’ancienne Troie. D’ailleurs, Troas tire son nom de Troade, terme appliqué à cette partie de la Mysie qui entourait Troie.

      La ville de Troas fut bâtie au cours de la dernière moitié du IVe siècle avant notre ère par Antigone, un lieutenant d’Alexandre le Grand. En 133, elle passa sous la domination romaine, et par la suite la Mysie devint une partie de la province romaine d’Asie. Pendant un moment, Jules César pensa établir à Troas le siège du gouvernement romain. Plus tard, l’empereur Auguste privilégia la ville en en faisant une colonia indépendante du gouverneur provincial de l’Asie et en exemptant les citoyens des impôts fonciers et de capitation.

      Lors du deuxième voyage de Paul, probablement au printemps de l’an 50 de notre ère, et après être passés à travers la Phrygie et la Galatie, l’apôtre et ses compagnons arrivèrent à Troas, car “l’esprit de Jésus ne (...) leur permit pas” d’entrer en Bithynie (Actes 16:6-8). À Troas, Paul eut une vision inhabituelle. Un homme l’appelait, disant: “Passe en Macédoine et viens à notre aide.” Immédiatement ils ont tiré cette conclusion: “Dieu nous avait appelés pour leur annoncer la bonne nouvelle.” Le pronom “nous” dans ce texte (et dans les versets suivants) donne à penser que Luc avait rejoint Paul et ses compagnons à Troas et qu’il fit le voyage avec eux à travers la mer Égée jusqu’à Néapolis. — Actes 16:9-12.

      Après avoir quitté Éphèse lors de son troisième voyage, Paul s’arrêta à Troas où il prêcha la bonne nouvelle au sujet du Christ, car, comme il le dit, “une porte m’a été ouverte dans le Seigneur”. Mais après un certain temps non précisé, inquiet de ne pas voir arriver Tite, il partit pour la Macédoine, espérant l’y trouver. — Actes 20:1; II Cor. 2:12, 13.

      Paul passa vraisemblablement l’hiver en Grèce avant de retourner à Troas au printemps de l’an 56 (Actes 20:2-6). Cette fois, Paul resta sept jours à servir et à édifier spirituellement les frères chrétiens de la ville. Comme il était assemblé avec eux le soir précédant son départ et qu’il avait “prolongé son discours jusqu’à minuit”, un jeune homme nommé Eutyche, assis à une fenêtre du troisième étage, s’est endormi; il est tombé par la fenêtre et s’est tué. L’apôtre ramena miraculeusement le garçon à la vie et continua à parler jusqu’au point du jour. — Actes 20:6-12.

      Il est vraisemblable que Paul visita de nouveau Troas quand il fut libéré, en 61, après avoir été assigné à résidence. C’est à Rome que Paul écrivit à Timothée pendant son second emprisonnement, vers 65. Il lui demandait d’apporter un manteau et certains rouleaux et parchemins qu’il avait laissés chez Carpus, à Troas. Il semble très improbable que Paul ait demandé cela quelque neuf ans après être passé chez Carpus, ce qui aurait été le cas s’il avait visité Carpus pour la dernière fois lors de son troisième voyage en 56. — II Tim. 4:13.

  • Trois-Tavernes
    Auxiliaire pour une meilleure intelligence de la Bible
    • TROIS-TAVERNES

      C’était une halte sur la voie Appienne, route célèbre qui reliait Rome au port de Puteoli, sur le bord de ce qu’on appelle aujourd’hui la baie de Naples. Cette halte s’appelait peut-être ainsi parce qu’il s’y trouvait trois auberges où les voyageurs pouvaient s’arrêter pour se reposer et se restaurer. Selon des écrits anciens, elle était située à 33 miles romains (50 kilomètres environ) de Rome et, par conséquent, aux trois quarts de la distance qui séparait Rome de la Place du Marché d’Appius. À la nouvelle de l’arrivée de Paul, certains chrétiens de Rome vinrent à sa rencontre jusqu’à la Place du Marché d’Appius, tandis que d’autres l’accueillirent aux Trois-Tavernes. — Actes 28:13-15.

  • Tromperie
    Auxiliaire pour une meilleure intelligence de la Bible
    • TROMPERIE

      Supercherie ou travestissement de la vérité, afin d’inciter quelqu’un à se défaire d’un bien précieux lui appartenant ou à renoncer à un droit légal.

      Dans la Bible, la tromperie est généralement associée aux relations commerciales. La loi de Dieu interdisait la malhonnêteté en affaires. Les Israélites devaient traiter entre eux avec probité. L’ouvrier à gages était spécialement protégé par la Loi (Lév. 19:13; Deut. 24:14). Jésus Christ inclut l’interdiction de frustrer parmi les “commandements” de Dieu (Marc 10:19). Sous l’alliance de la Loi, si un homme qui avait pris frauduleusement quelque chose à son compagnon se repentait par la suite, révélait l’affaire et confessait sa faute, il devait restituer à la victime la totalité de la chose ravie et y ajouter le cinquième de sa valeur. En outre, il devait offrir un sacrifice de culpabilité à Jéhovah. — Lév. 6:1-7.

      Les fausses religions sont également considérées comme une tromperie dans les Écritures. Élymas, le sorcier, fut frappé de cécité après que Paul eut dévoilé avec véhémence la façon trompeuse et scélérate avec laquelle il ‘gauchissait les voies droites de Jéhovah’. (Actes 13:8-11.) Paul redressa également le point de vue de certains chrétiens de Corinthe qui avaient des procès entre eux. Il leur dit qu’ils faisaient du tort à leurs frères quand ils allaient en justice devant des hommes injustes et non devant les saints de la congrégation. Il valait mieux se laisser frustrer que de porter de telles affaires devant des hommes du monde. — I Cor. 6:1-8.

      À de nombreuses reprises, la Bible met en garde contre la tromperie et les pratiques trompeuses, et elle les condamne. Elle fait également remarquer que Dieu jugera les trompeurs et qu’il délivrera son peuple de telles personnes. — Ps. 62:10; 72:4; 103:6; Prov. 14:31; 22:16; 28:16; Michée 2:1, 2; Mal. 3:5.

  • Trompette
    Auxiliaire pour une meilleure intelligence de la Bible
    • TROMPETTE

      (héb. ḥatsotserah; gr. salpigx).

      Avant qu’Israël ne levât le camp pour la première fois dans le désert, Jéhovah ordonna à Moïse de faire “deux trompettes d’argent (...) en ouvrage martelé”. (Nomb. 10:1-10, 13.) Bien que les Écritures ne décrivent pas ces instruments, on sait, grâce à des pièces de monnaie en circulation au temps des Maccabées et à un bas-relief sur l’Arc de Titus, que les trompettes devaient avoir entre 45 et 90 cm de longueur, qu’elles étaient droites et se terminaient en forme de cloche. Josèphe déclare qu’elles s’élargissaient légèrement à l’embouchure et que le calibre était légèrement plus large qu’une flûte, ce qui produisait probablement un son strident. Lors de la dédicace du temple de Salomon 120 trompettes ont sonné. — II Chron. 5:12.

      La Bible décrit trois signaux et deux sonneries: 1) si l’on sonnait des deux trompettes, tous les représentants de l’assemblée d’Israël devaient se rendre à la tente de réunion; 2) si l’on sonnait seulement d’une trompette, les chefs des milliers uniquement devaient s’y rendre; 3) une sonnerie modulée signalait la levée du camp. — Nomb. 10:3-7.

      Jéhovah ordonna aussi qu’en temps de guerre les trompettes fassent retentir une “sonnerie de guerre”. (Nomb. 10:9.) Par la suite, c’était le prêtre accompagnant l’armée qui faisait entendre cette sonnerie (Nomb. 31:6). Abijah, roi de Juda, quand il essayait d’éviter la guerre avec Jéroboam, roi d’Israël, parla des “trompettes du signal pour faire retentir (...) la sonnerie de la bataille” comme d’une assurance divine de la victoire de Juda. Mais Jéroboam s’entêta et ses armées furent défaites par celles de Juda, grandement encouragées par les prêtres qui “sonnaient des trompettes avec éclat”. — II Chron. 13:12-15.

      Jésus recommanda à ses auditeurs de ne pas sonner de la trompette pour attirer l’attention sur leurs actes de charité, comme font les hypocrites (Mat. 6:2). Le terme trompette est employé ici métaphoriquement; Jésus voulait évidemment dire qu’il ne faut pas faire des dons de miséricorde avec ostentation.

  • Trône
    Auxiliaire pour une meilleure intelligence de la Bible
    • TRÔNE

      (héb. kisséʼ; gr. thronos).

      Le mot hébreu kisséʼ emporte l’idée fondamentale de “siège” (I Sam. 4:13), de “chaise” (II Rois 4:10) ou de siège d’honneur, tel un “trône”. (I Rois 22:10.) Il ne s’applique pas uniquement aux sièges des souverains (I Rois 2:19; Néh. 3:7; Esther 3:1; Ézéch. 26:16), ni ne désigne strictement un fauteuil muni d’un dossier haut et d’accoudoirs. Ainsi, à la porte de Siloh, Éli tomba à la renverse du kisséʼ sur lequel il était assis. Il s’agissait donc d’un siège sans dossier. — I Sam. 4:13, 18.

      Le seul trône d’Israël dont on ait une description détaillée est celui que fit Salomon (I Rois 10:18-20; II Chron. 9:17-19). Il se trouvait probablement dans le “Portique du Trône”, l’un des bâtiments situés sur le mont Moriah, à Jérusalem (I Rois 7:7). C’était ‘un grand trône d’ivoire recouvert d’or affiné avec un dais rond par-derrière et des accoudoirs’. L’ivoire était peut-être le matériau de base de cette chaise royale, mais compte tenu des procédés de fabrication couramment employés dans la construction du temple, il semblerait que le trône était en bois recouvert d’or affiné et richement décoré d’incrustations de panneaux d’ivoire. Aux yeux d’un observateur, un tel trône donnait l’impression d’être entièrement fait d’ivoire et d’or. Après avoir mentionné que six degrés conduisaient au trône, le récit ajoute: “Deux lions se tenaient à côté des accoudoirs. Et douze lions se tenaient là, de part et d’autre, sur les six degrés.” Le symbolisme du lion, qui représente le pouvoir, est approprié (Gen. 49:9, 10; Rév. 5:5). Il semble que les douze lions correspondaient aux douze tribus d’Israël. Ils symbolisaient peut-être la soumission de celles-ci au souverain qui siégeait sur le trône et le soutien qu’elles lui apportaient. Il y avait aussi un marchepied d’or fixé au trône. Ce trône d’ivoire et d’or, élevé, surmonté d’un dais et entouré de lions majestueux, surpassait en magnificence tous les trônes de la même époque découverts par les archéologues, représentés sur des monuments ou décrits dans des inscriptions. Le chroniqueur disait vrai lorsqu’il déclara: “Aucun autre royaume n’en avait fait de semblable.” — II Chron. 9:19.

      USAGE FIGURÉ

      Au sens figuré, le “trône” représente le siège du pouvoir (I Rois 2:12; 16:11), ou la royauté et la souveraineté elles-​mêmes (Gen. 41:40; I Chron. 17:14; Ps. 89:44); un gouvernement ou une administration exerçant le pouvoir royal (II Sam. 14:9); la domination d’un souverain sur un territoire (II Sam. 3:10) et une position d’honneur. — I Sam. 2:7, 8; II Rois 25:28.

      Jéhovah, que “le ciel des cieux” ne peut contenir, n’a pas besoin de s’asseoir littéralement sur un trône (I Rois 8:27). Toutefois, il prend ce symbole pour dépeindre son pouvoir royal et sa souveraineté. Certains serviteurs de Dieu eurent le privilège d’avoir une vision de son trône (I Rois 22:19; És. 6:1; Ézéch. 1:26-28; Dan. 7:9; Rév. 4:1-3). Les Psaumes déclarent que le trône de Jéhovah, c’est-à-dire sa majesté ou son pouvoir, sa position de Juge suprême, est établi sur la justice et le jugement “depuis le temps jadis”. — Ps. 89:14; 93:2; 97:2.

      Jéhovah étendit son trône sur la terre, d’une manière symbolique et particulière, lorsqu’il traita avec les fils d’Israël. Puisque le souverain d’Israël devait être ‘un roi choisi par Jéhovah, son Dieu’, qu’il gouvernait le peuple

Publications françaises (1950-2025)
Se déconnecter
Se connecter
  • Français
  • Partager
  • Préférences
  • Copyright © 2025 Watch Tower Bible and Tract Society of Pennsylvania
  • Conditions d’utilisation
  • Règles de confidentialité
  • Paramètres de confidentialité
  • JW.ORG
  • Se connecter
Partager