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  • Comment résoudre les problèmes de conscience
    La Tour de Garde 1973 | 15 janvier
    • telle que l’ivrognerie, la malhonnêteté et le vol. — I Cor. 6:9, 10 ; Jean 8:44 ; Éph. 4:28.

      Des problèmes de conscience difficiles à résoudre

      9. a) Attendu que le chrétien n’est pas laissé sans lois ni principes bibliques, pourquoi certains problèmes sont-​ils laissés à sa conscience ? b) Qu’est-​ce qui détermine généralement le rôle que doit jouer la conscience lorsqu’il s’agit de décider si une chose est bonne ou mauvaise ?

      9 Il y a donc de nombreux actes ou des pratiques que la Bible approuve ou condamne nettement. D’autres, très nombreux également, sont, de façon évidente, en harmonie ou en contradiction avec les principes qu’elle renferme. Cependant, et plus particulièrement dans la société humaine, moderne et compliquée qui s’est développée dans de nombreuses régions de la terre, il existe des situations ou des circonstances qui exigent que le chrétien prenne une décision personnelle selon sa propre conscience. Dans la vie, de nombreuses choses sont une question de degré. La différence entre une tape amicale et un coup vicieux est affaire de force. La différence entre un simple respect, — par exemple, le respect accordé à une autorité ou à un emblème national, — et un acte d’adoration est aussi une question de degré. Il n’y a pas vraiment de problème quand il s’agit de choisir entre deux solutions extrêmes. En revanche, la situation devient problématique quand on se trouve dans ce qu’on pourrait appeler une ‘zone intermédiaire’, proche de la ligne de démarcation séparant ce qui est nettement bien de ce qui est franchement mal. Plus nous nous trouvons près de cette ‘zone frontière’, plus notre conscience individuelle doit jouer un grand rôle dans notre décision. Que ferions-​nous dans une telle situation ?

      10, 11. a) À quoi Dieu s’attend-​il de notre part quand de telles questions de conscience sont soulevées ? b) Quand nous nous trouvons devant un problème de conscience, devons-​nous nous attendre à recevoir une règle nous disant ce que nous devons faire, et qui doit assumer la responsabilité de nos décisions ? c) Qu’est-​ce qui est rendu manifeste devant Dieu par de telles décisions ?

      10 Jéhovah Dieu s’attend à ce que nous utilisions notre intelligence, notre connaissance et nos facultés de jugement pour agir en toute conscience en fonction de ce que nous dicte notre foi. Dans de tels cas, Dieu ne nous soumet pas à la conscience de quelqu’un d’autre. Chacun doit prendre sa propre décision selon sa conscience éduquée par la Parole de Dieu. Nous devons également accepter les conséquences de notre décision et ne pas nous attendre à ce que quelqu’un d’autre prenne la décision à notre place et en assume la responsabilité.

      11 Il serait mal de chercher à arracher d’un autre chrétien, du collège des aînés d’une congrégation ou du collège central de la congrégation chrétienne une loi ou une règle établissant la ‘ligne de démarcation’ dans une certaine situation. Quand la Parole de Dieu elle-​même ne précise pas cette ‘ligne de démarcation’, aucun homme n’a le droit d’y ajouter quelque chose. Dans sa sagesse, Dieu nous permet de lui faire connaître ‘la personnalité secrète de notre cœur’ en la lui révélant par les décisions personnelles que nous prenons dans de telles situations. Il est vrai que nous pouvons parfois nous tromper sans pour autant avoir de mauvais mobiles, mais Dieu, qui lit dans nos cœurs, s’en rend compte.

      12. Le fait que nous n’ayons pas conscience d’avoir commis une erreur est-​il une garantie que nous sommes justes ? Pourquoi ?

      12 Toutefois, quelle que soit notre décision, et même si nous la prenons avec une conscience nette, il nous faut toujours reconnaître qu’en dernier ressort c’est Dieu qui révélera si elle est bonne ou mauvaise, en son temps et à sa manière. Comprenant cela, l’apôtre Paul écrivit : “Car je ne suis pas conscient de quelque chose contre moi-​même. Cependant, par cela, je ne suis pas révélé comme juste, mais celui qui m’interroge est Jéhovah. Aussi ne jugez rien avant le temps voulu, jusqu’à ce que le Seigneur vienne, qui portera les choses secrètes des ténèbres à la lumière et rendra manifestes les conseils des cœurs, et alors chacun verra sa louange venir à lui de la part de Dieu.” — I Cor. 4:3-5.

      13. a) Selon Romains 14:4, 10-12, quelle est la bonne attitude à adopter envers celui qui prend une décision selon sa conscience ? b) Cependant, quand la conscience des chrétiens assumant une responsabilité dans la congrégation intervient-​elle ?

      13 Quand surgissent des situations délicates, nous ne devrions pas juger un chrétien qui doit prendre une décision selon sa conscience. Nous n’aurons pas non plus le sentiment de commettre une erreur en le considérant toujours comme un serviteur approuvé par Dieu même si sa décision dans un tel cas n’est pas précisément celle que nous aurions prise à sa place. C’est Dieu qui le juge (Rom. 14:4, 10-12). D’autre part, les chrétiens occupant des positions de responsabilité dans la congrégation chrétienne doivent aussi se laisser guider par leur conscience dans leur œuvre de surveillance. Bien qu’ils puissent penser que leur décision aurait été différente de celle d’un frère se trouvant dans une situation particulière, la réaction de leur conscience sera modérée si, selon les Écritures, cette question doit manifestement être réglée par une décision personnelle. Si le chrétien montre de façon évidente qu’il a agi avec une conscience nette, leur conscience à eux les autorisera peut-être à lui confier une tâche ou à le recommander à une certaine position de responsabilité. Cependant, il se peut que leur conscience réagisse avec suffisamment de force pour qu’ils ne puissent le recommander à cette fonction. Là encore, c’est Dieu qui est leur juge, et on ne peut les condamner.

      14. Quelles questions faut-​il considérer ?

      14 Ces questions délicates se posent très souvent dans le domaine de l’emploi. Votre travail vous permet-​il de garder une conscience nette devant Dieu ? Vous permet-​il de ‘vous recommander à toute conscience d’homme’ en tant que disciple sincère de Jésus-Christ ? Ce sont là d’importantes questions que nous examinerons dans l’article suivant.

  • Votre conscience et votre emploi
    La Tour de Garde 1973 | 15 janvier
    • Votre conscience et votre emploi

      1. Pourquoi le travail du chrétien est-​il un domaine important dans lequel il doit faire intervenir sa conscience ?

      NOTRE travail occupe la plus grande partie de notre journée. Les chrétiens désirent sans aucun doute avoir une conscience nette quant au travail qu’ils accomplissent, en faisant “toutes choses pour la gloire de Dieu”. (I Cor. 10:31.) Votre emploi vous permet-​il cela ?

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