BIBLIOTHÈQUE EN LIGNE Watchtower
Watchtower
BIBLIOTHÈQUE EN LIGNE
Français
  • BIBLE
  • PUBLICATIONS
  • RÉUNIONS
  • Le baptême est un acte de foi
    La Tour de Garde 1966 | 15 novembre
    • se vouant à Dieu, le croyant prie Jéhovah au nom de Jésus-Christ, le Fils, le Médiateur entre Dieu et l’homme. Si vous désirez vous vouer au service de Dieu, avez-​vous prié Jéhovah pour lui faire part de votre désir ? Vous êtes-​vous examiné vous-​même pour vous assurer que vous remplissez les conditions bibliques requises, ou que vous vous êtes débarrassé des pratiques répréhensibles du monde, afin que votre vœu de servir Jéhovah soit acceptable ? L’offrande de soi est une décision solennelle faite sans condition et un acte de foi. Êtes-​vous à même de répondre “oui” aux deux questions qui sont régulièrement posées aux candidats au baptême chrétien ?

      1) Avez-​vous admis devant Dieu que vous êtes un pécheur ayant besoin du salut et avez-​vous reconnu devant lui que ce salut procède de lui, le Père, par son Fils Jésus-Christ ?

      2) Sur la base de cette foi en Dieu et en son moyen de salut, vous êtes-​vous voué sans réserve à Dieu pour faire désormais sa volonté telle qu’il vous la révèle par Jésus-Christ et par la Bible sous la puissance illuminatrice du saint esprit ?

      Si oui, alors nous vous disons : “Et maintenant, que tardes-​tu ? Lève-​toi, fais-​toi baptiser et lave-​toi de tes péchés en invoquant son nom.” — Actes 22:16.

      SOUVENEZ-​VOUS DE CE QUI SUIT L’OFFRANDE DE SOI

      17, 18. a) Pourquoi peut-​on dire que l’offrande de soi et le baptême constituent “un bon commencement” ? b) Quel est l’objectif de ceux qui entreprennent le service de Dieu en collaboration avec le Christ ?

      17 La foi et les œuvres doivent continuer à être manifestées après l’offrande de soi. Non seulement le baptême est donné au nom du Père, du Fils et de l’esprit saint, mais encore, le baptisé doit par la suite montrer fidèlement qu’il apprécie ses relations avec le Père, le Fils et le saint esprit. On peut dire que l’offrande de soi et le baptême sont un bon commencement ; ils doivent être accompagnés de l’endurance pour ce qui est de faire continuellement la volonté de Jéhovah. C’est une œuvre spirituellement édifiante accomplie en collaboration avec Jésus-Christ (Mat. 11:28-30). Jésus constitue un excellent exemple de foi et d’endurance après l’offrande de soi à Dieu, et c’est lui que nous devons regarder fixement : “Ainsi donc, ayant une si grande nuée de témoins qui nous entoure, ôtons, nous aussi, tout poids et le péché qui nous entrave facilement, et courons avec endurance la course qui nous est proposée, regardant fixement Jésus, le Principal Agent de notre foi, qui la mène à la perfection. Pour la joie qui lui était proposée, il endura un poteau de torture, méprisant la honte, et s’assit à la droite du trône de Dieu. Oui, examinez bien celui qui a enduré de tels propos contradictoires de la part des pécheurs, contre leurs propres intérêts, afin que vous ne vous lassiez pas et ne renonciez pas dans votre âme.” — Héb. 12:1-3.

      18 Le baptême figure au départ de la course qui conduit à la vie. C’est une course au cours de laquelle l’endurance est un facteur primordial. À l’heure actuelle, la volonté de Dieu consiste à prêcher la bonne nouvelle du Royaume, et cette prédication n’est pas encore achevée (Mat. 24:14). Par suite de son offrande de soi, le chrétien a des obligations envers Dieu, et son bonheur vient de ce qu’il observe la foi. À la fin de son ministère, l’apôtre Paul, lui-​même baptisé, a pu dire avec confiance : “J’ai combattu l’excellent combat, j’ai fait la course jusqu’au bout, j’ai observé la foi.” (II Tim. 4:7). L’une des exigences requises du chrétien est de prêcher sans cesse et d’enseigner, jusqu’à ce que cette phase de l’œuvre de Dieu soit achevée. D’autres privilèges bénis attendent par la suite les créatures qui servent fidèlement Jéhovah. — És. 32:1.

      19. Grâce à l’aide de la Parole véridique de Dieu, quelle ligne de conduite devons-​nous suivre après l’offrande de soi et le baptême ?

      19 D’autres questions nécessitent également que nous soyons vigilants. Les serviteurs voués doivent rester purs en se tenant à l’écart de Babylone la Grande et du reste du système de choses satanique. Avant la grande bataille divine d’Harmaguédon, il est indispensable que les serviteurs de Dieu soient éparpillés sur toute la surface de la terre, afin de faire connaître à leurs semblables la bonne nouvelle du Royaume. Bien qu’ils ne puissent éviter le contact avec les gens du monde, ils ne se laissent pas assujettir de nouveau par celui-ci. En prêtant une attention toute particulière à la vérité, la Parole de Dieu, ils restent forts et veillent à ne pas se livrer à l’impureté. Ils se souviennent de la prière que Jésus adressa à son Père céleste avant sa mort et dans laquelle il demandait : “Je te sollicite, non pas de les sortir du monde, mais de veiller sur eux à cause du mauvais. Ils ne font pas partie du monde, tout comme je ne fais pas partie du monde. Sanctifie-​les au moyen de la vérité ; ta Parole est vérité.” — Jean 17:15-17.

      20. Comment et pourquoi les serviteurs voués de Jéhovah étudient-​ils la vérité ?

      20 Le meilleur moyen de garder fermement la vérité, c’est de l’examiner régulièrement en compagnie d’autres membres de la congrégation qui ont la foi. Ce besoin se fait d’autant plus sentir que nous approchons de la fin de la domination satanique. Les réunions organisées par la congrégation ont été prévues par Jéhovah pour édifier ses serviteurs, car chacun y fait une déclaration publique des vérités de la Bible. Ainsi, l’homme a le devoir envers Dieu de continuer sans cesse de se réunir au sein de la congrégation chrétienne “sans abandonner notre assemblée, comme quelques-uns en ont la coutume, mais en nous encourageant mutuellement, et cela d’autant plus que vous voyez approcher le jour”. (Héb. 10:23-25.) À l’absorption de la vérité, il n’y a pas de fin ; cela doit se faire sans discontinuer, si nous voulons obtenir la vie éternelle. Voici comment Jésus fit ressortir ce point dans sa prière à Jéhovah Dieu : “Ceci signifie la vie éternelle, c’est qu’ils absorbent la connaissance de toi, le seul vrai Dieu, et de celui que tu as envoyé, Jésus-Christ.” — Jean 17:3.

      21. a) Comment pouvons-​nous nous presser vers la maturité ? b) Quelle sorte de fruit les chrétiens mûrs produisent-​ils ?

      21 Grâce à la connaissance exacte, il est possible de garder une foi ferme. Au commencement, un peu de connaissance suffira au chrétien, mais il ne se contentera pas de la connaissance qu’il aura acquise au moment du baptême. Le baptême n’est que l’une des doctrines élémentaires. Nous devons absorber et employer ce que l’apôtre Paul décrit comme une nourriture spirituelle solide. Afin de bien servir Dieu, nous devrions étendre notre connaissance de ses desseins et progresser vers la maturité, avec l’aide de Dieu. Cela sera possible à condition de toujours employer la Parole de Dieu ; nous serons ainsi en mesure de mener une vie qui soit agréable à Dieu, étant à même de choisir ce qui est juste et de rejeter ce qui est mal. “Mais la nourriture solide appartient aux gens mûrs, à ceux qui, par l’usage, ont les facultés perceptives exercées à distinguer le bien et le mal. Pour cette raison, maintenant que nous avons laissé la doctrine primaire sur le Christ, pressons-​nous vers la maturité, sans poser de nouveau un fondement, à savoir la repentance des œuvres mortes, et la foi envers Dieu, l’enseignement des baptêmes et l’imposition des mains, la résurrection des morts et le jugement éternel. Et c’est ce que nous ferons, si, en fait, Dieu le permet.” (Héb. 5:14 à 6:3). Ceux qui marchent humblement avec leur Dieu avancent d’année en année vers la maturité, et cela les qualifie en vue d’un meilleur service maintenant et dans les siècles à venir s’ils sont fidèles. Cette sage ligne de conduite exerce une influence directe sur chaque serviteur de Dieu. Plus le serviteur de Dieu voué se développe et plus il vivra en conformité avec l’esprit de Dieu. Chacun de nous devrait désirer sincèrement manifester le fruit de l’esprit qui est “l’amour, la joie, la paix, la longanimité, la bienveillance, la bonté, la foi, la douceur, la maîtrise de soi”, tout en mettant au poteau “la chair avec ses passions et ses désirs”. — Gal. 5:22-24.

      22. Comment l’offrande de soi et le baptême mettent-​ils notre foi à l’épreuve ?

      22 Ce bref examen des exigences divines relatives à l’offrande de soi, au baptême et à la ligne de conduite à observer par la suite, nous aide à saisir le sens des paroles de Jésus, quand il ordonna de faire des disciples et d’enseigner les gens de toutes les nations, afin qu’ils observent tous les commandements de Dieu (Mat. 28:19, 20). Nous sommes invités à faire usage de l’intelligence et du libre arbitre dont Dieu a doté l’homme, au moment où nous faisons l’offrande de nous-​mêmes. Une fois que nous avons fait ce que Dieu exige de nous et que nous nous sommes voués à lui, Jéhovah s’attend à ce que nous continuions à le servir aussi longtemps que nous vivrons, et peut-être même éternellement (Eccl. 5:4 5:5, NW). Pour y parvenir il est nécessaire d’avoir la foi. Mais nous devrions avoir la certitude que Jéhovah nous aidera à assumer nos obligations. C’est ce que firent les apôtres, et le succès couronna leurs efforts. Revenant à notre époque, l’an dernier, 64 393 personnes symbolisèrent l’offrande d’elles-​mêmes à Dieu par l’immersion dans l’eau ; Jéhovah aide ces personnes. Les chrétiens voués à Dieu peuvent également profiter de la compagnie de leurs frères pour recevoir de l’aide et être encouragés. Pour les chrétiens, le baptême est un joyeux pas vers le culte éternel de Jéhovah Dieu.

      FAISONS CE QUI DOIT ÊTRE FAIT

      23, 24. a) Que doit faire chaque homme ? b) Jéhovah est-​il indifférent à l’égard de l’homme et de la terre ?

      23 Vous êtes-​vous déjà dit que tout ce que l’homme possède il le doit à Dieu ? Est-​il raisonnable de la part de Dieu de s’attendre à ce que tous les hommes aient cette attitude ? N’oublions pas qui est à l’origine de la vie, et que sans cette dernière, l’homme ne peut jouir de rien. Toutefois, si nous servons Jéhovah, il n’y a pas de quoi nous vanter. Jésus illustra ce fait par une image : “Qui de vous ayant un esclave qui laboure ou s’occupe du troupeau, lui dira quand il rentre des champs : ‘Viens ici tout de suite et étends-​toi à table’ ? Ne lui dira-​t-​il pas plutôt : ‘Prépare-​moi de quoi faire mon repas du soir, et mets un tablier pour me servir, jusqu’à ce que j’aie mangé et bu et après cela tu pourras manger et boire’ ? Il n’éprouvera pas de gratitude pour l’esclave parce qu’il a fait les choses assignées, n’est-​ce pas ? De même vous aussi, quand vous aurez fait toutes les choses qui vous ont été assignées, dites : ‘Nous sommes des esclaves propres à rien. Ce que nous avons fait, c’est ce que nous devions faire.’” — Luc 17:7-10.

      24 En réalité, lorsque nous servons Dieu, nous ne faisons que ce qui doit être fait. C’est juste. Jéhovah Dieu sait ce qui est bon pour l’homme. Quand nous le servons, nous sommes dans une bonne position. Aux jours de Noé, nombre de personnes adoptèrent la ligne de conduite opposée et périrent dans le cataclysme. L’ancien Israël s’égara et cela ne lui valut que des difficultés. Jéhovah Dieu n’est pas indifférent à l’égard des hommes ou de ce qui se passe sur la terre. Israël le croyait : “Jéhovah ne voit pas ; Jéhovah a abandonné le pays !” (Ézéch. 8:12, AC). “Jéhovah ne fait ni bien ni mal.” (Soph. 1:12, AC). Mais ceux qui ont de telles pensées se trompent. Jéhovah est conscient de la méchanceté, de la violence et du mal, ainsi que de l’indifférence et de l’opprobre qui est jeté sur son nom, aussi va-​t-​il agir contre tous ceux qui font le mal. — Rév. 11:17, 18.

      25. Qu’est-​ce que Dieu veut que nous fassions pour prouver notre foi ?

      25 Jéhovah n’a pas créé l’homme pour qu’il détruise violemment ses semblables ou la terre elle-​même. Avant tout, l’homme doit garder ces deux grands commandements : “‘Tu dois aimer Jéhovah ton Dieu de tout ton cœur et de toute ton âme et de tout ton esprit.’ C’est là le plus grand et le premier commandement. Voici le second, qui lui est semblable : ‘Tu dois aimer ton prochain comme toi-​même.’ De ces deux commandements dépend la Loi tout entière, ainsi que les Prophètes.” (Mat. 22:37-40). La voie de Jéhovah est une voie d’amour. “Ne devez rien à personne, sinon de vous aimer l’un l’autre ; car celui qui aime son semblable a accompli la loi. Car le code de la loi : ‘Tu ne dois pas commettre d’adultère, Tu ne dois pas assassiner, Tu ne dois pas voler, Tu ne dois pas convoiter,’ et quelque autre commandement qu’il y ait, se résume en cette parole, à savoir : ‘Tu aimeras ton prochain comme toi-​même.’ L’amour ne fait pas de mal au prochain ; l’amour est donc l’accomplissement de la loi.” (Rom. 13:8-10). La manifestation d’amour pour Dieu et pour le prochain est un acte positif. Dans le cas où l’homme deviendrait indifférent ou négligent, en ne continuant pas d’exercer l’amour d’un cœur entier, il devrait s’attendre à être rejeté comme une créature indigne de servir Dieu (Rév. 3:16). Tandis que nous observerons le second des deux plus grands commandements en manifestant l’amour à l’égard de nos frères et de notre prochain, nous nous souviendrons toujours de ce qui vient en premier lieu, à savoir continuer d’aimer notre Créateur, Jéhovah Dieu. C’est là la preuve de notre foi, une foi réelle et agréable à Dieu.

      26. Quel devoir incombe à l’homme ?

      26 Si nous envisageons l’offrande de soi et le baptême, nous avons maintenant une excellente occasion de nous examiner et de faire le pas qui nous permettra d’être en harmonie avec Jéhovah Dieu. Si, par contre, nous nous sommes déjà voués à Dieu, il est temps de voir si nous assumons nos obligations et progressons dans la maturité chrétienne. Après avoir examiné ce sujet relatif aux relations que l’homme entretient avec son Créateur, chacun devrait être en mesure de savoir ce qu’il doit à Dieu. “Écoutons la fin du discours : Crains Dieu et observe ses commandements. C’est là ce que doit tout homme.” — Eccl. 12:15 12:13, NW.

  • La valeur de l’Annuaire
    La Tour de Garde 1966 | 15 novembre
    • La valeur de l’Annuaire

      Pendant de nombreuses années, l’Annuaire des témoins de Jéhovah a été publié en langue anglaise seulement, mais aujourd’hui, il l’est également en allemand et en espagnol. Pour montrer combien il apprécie l’Annuaire en espagnol, un témoin de Floride écrit ce qui suit : “Le fait d’avoir le privilège de le lire dans ma propre langue éveille en moi un sentiment particulier. Tandis que je lis en espagnol les faits de prédication survenus dans des contrées lointaines, je me sens en union avec les frères de ces pays-​là. Je considère l’Annuaire comme l’un des instruments les plus merveilleux auxquels l’organisation de Dieu a pourvu. J’ai parlé à plusieurs frères, et tous ont exprimé les mêmes pensées, à savoir le bonheur, l’édification et la connaissance que leur a apportés jusqu’alors la lecture de cet ouvrage. L’Annuaire en espagnol est, pour tous les frères parlant cette langue dans le monde entier, l’un des moyens les plus efficaces que Jéhovah utilise pour nous tenir au courant des progrès de son organisation.” Oui, effectivement, l’Annuaire est d’une très grande valeur.

Publications françaises (1950-2025)
Se déconnecter
Se connecter
  • Français
  • Partager
  • Préférences
  • Copyright © 2025 Watch Tower Bible and Tract Society of Pennsylvania
  • Conditions d’utilisation
  • Règles de confidentialité
  • Paramètres de confidentialité
  • JW.ORG
  • Se connecter
Partager