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  • La volonté suprême qu’il faut accomplir
    La Tour de Garde 1959 | 1er janvier
    • L’OFFRANDE DE SOI-​MÊME APPORTE LE BONHEUR

      20. Quelles sont quelques-unes des bénédictions que Jéhovah répand sur les serviteurs voués ? Qu’est-​ce qui procure de la joie ?

      20 Pourquoi ne pas opposer ce que vous abandonnez aux choses promises par Jéhovah ? (Mat. 19:27-29.) Méditez sur ce point. Que possédez-​vous que vous n’ayez reçu de Jéhovah, y compris la faculté de lui offrir votre dévouement, vos louanges et votre service ? Voilà les choses que vous offrirez joyeusement à Jéhovah, avec votre personne. Vous les donnerez volontairement à Dieu par l’intermédiaire de Jésus-Christ le Juste, moyennant les privilèges ineffables qui sont continuellement conférés aux serviteurs voués. N’oubliez pas que la personne acquiert par là le droit d’être appelée du nom de Jéhovah et de parler en ce nom en tant que son témoin. Au sein de ce monde condamné, ces serviteurs voués sont les gens les plus heureux de la terre. Ces hommes espèrent survivre à la bataille d’Harmaguédon et vivre éternellement dans un paradis universel de perfection. Si beaucoup de choses dépendent donc de notre décision de nous vouer à Dieu, tout dépend de notre fidélité à remplir notre engagement. Maintenir notre intégrité et conformer notre vie aux vœux contractés par notre offrande personnelle, voilà ce qui nous apportera un bonheur sans mélange. La voie de l’infidélité conduit au désespoir.

      21. Jusqu’à quel point faut-​il se vouer ?

      21 L’importance et la portée de l’offrande de soi-​même peuvent se résumer par cette parole de Jésus : “ Ainsi donc, quiconque d’entre vous ne renonce pas à tout ce qu’il possède ne peut être mon disciple. ” (Luc 14:33). Rien ne doit mettre obstacle à l’accomplissement de notre engagement, même s’il s’agit d’une femme, d’un mari, d’une famille ou d’autres choses regardées comme précieuses. L’offrande de soi-​même à Jéhovah doit être totale. Il est de notre devoir d’offrir à Dieu un dévouement exclusif.

  • Le baptême
    La Tour de Garde 1959 | 1er janvier
    • Le baptême

      “ Jésus... fut baptisé... Au moment où il sortait de l’eau... l’esprit (descendit) sur lui comme une colombe. Et une voix fit entendre des cieux ces paroles : Tu es mon Fils bien-aimé, en toi j’ai mis toute mon affection. ” — Marc 1:9-11.

      1. Quel pas succède à l’offrande de soi-​même ? Qu’est-​ce qui symbolisa l’offrande de Jésus et quand reçut-​il le saint esprit ?

      APRÈS s’être voué dans son esprit et dans son cœur au service du Tout-Puissant, comment faut-​il consommer cette offrande ? Il convient de faire un autre pas, qui consiste à annoncer ou à confesser publiquement son engagement par le baptême. Il est intéressant de noter que Jésus-Christ a posé le modèle de cette pratique juste. “ Dès que Jésus eut été baptisé, il sortit de l’eau. Et voici, les cieux s’ouvrirent, et il vit l’esprit de Dieu descendre comme une colombe et venir sur lui. Et voici, une voix fit entendre des cieux ces paroles : Celui-ci est mon Fils bien-aimé, en qui j’ai mis toute mon affection. ” (Mat. 3:16, 17). Ces paroles nous montrent que Jésus-Christ symbolisa publiquement son offrande par le baptême. Après sa sortie de l’eau, l’esprit de Jéhovah vint sur lui et c’est alors que Dieu prononça en présence de Jean-Baptiste les paroles par lesquelles il exprimait son plaisir pour la conduite adoptée par son Fils.

      2. Quelle est la signification du terme grec d’où dérive le mot “ baptême ” ? Comment convient-​il d’effectuer le baptême ?

      2 Le mot “ baptême ” vient du grec baptisma, qui signifie “ immersion ”. Ce terme n’emporte en aucune façon l’idée d’une aspersion. Notez également l’acte volontaire de la part de Jésus quand il se soumit à Jean pour recevoir l’immersion. Il se mit entièrement à la disposition de ce dernier pour être plongé dans l’eau par renversement. Cette immersion ou disparition totale sous les eaux du Jourdain illustrait que Jésus était enseveli et mort à sa vie terrestre antérieure. Sa sortie de l’eau montrait qu’il était rendu à la vie pour accomplir désormais la volonté de Jéhovah. Le baptême convient donc parfaitement comme signe ou symbole public de notre offrande personnelle. Personne n’aida Jean-Baptiste à baptiser Jésus, nul autre n’étant mentionné comme étant présent à l’acte d’immersion. Cela indique la manière dont il faut donner le baptême à un disciple du Christ, c’est-à-dire qu’une seule personne doit immerger le candidat en le renversant dans l’eau et, après immersion totale, le retirer du liquide.

      3. À qui Jésus donna-​t-​il l’autorisation de baptiser ?

      3 Un autre fait important est que Jésus alla vers un serviteur voué pour recevoir le baptême. De même que le Christ se rendit auprès d’un serviteur voué pour le baptême, il dit à ses onze fidèles disciples de donner l’immersion à d’autres. Souvenez-​vous de la montagne de Galilée où il avait donné rendez-vous à ses disciples. Il leur parla d’une manière frappante : “ Tout pouvoir m’a été donné au ciel et sur la terre. Allez donc me faire des disciples dans toutes les nations ; vous les baptiserez au nom du Père et du Fils et du saint esprit, et vous leur apprendrez à observer tout ce que je vous ai prescrit. ” Ces paroles ne s’adressaient pas aux prêtres, aux sadducéens ou aux pharisiens, mais seulement aux disciples qui étaient ses loyaux ambassadeurs. Il leur fut dit, en outre, de faire des disciples dans toutes les nations. C’est-à-dire qu’il leur fallait d’abord informer et instruire ces hommes et ensuite, après réalisation de cette condition, ces derniers recevraient l’immersion et deviendraient des serviteurs voués du Tout-Puissant. En ce temps-​là, on ne recevait la vérité que par l’entremise des témoins de Jéhovah. Il en est de même aujourd’hui. Les hommes ne sont instruits dans la vérité que par les vrais témoins et les serviteurs voués du Dieu tout-puissant, et le baptême ne doit être conféré que par des personnes déjà baptisées. — Mat. 28:18-20, Jé.

      4. a) De qui l’eunuque éthiopien reçut-​il une compréhension de la Parole divine ? b) Comment l’offrande de sa personne fut-​elle symbolisée ?

      4 Nous avons, pour notre instruction, un récit intéressant concernant Philippe et l’eunuque éthiopien. “ Philippe, ouvrant la bouche et commençant par ce passage, lui annonça la bonne nouvelle de Jésus. Comme ils continuaient leur chemin, ils rencontrèrent de l’eau. Et l’eunuque dit : Voici de l’eau ; qu’est-​ce qui empêche que je sois baptisé ? Philippe dit : Si tu crois de tout ton cœur, cela est possible. L’eunuque répondit : Je crois que Jésus-Christ est le Fils de Dieu. Il fit arrêter le char ; Philippe et l’eunuque descendirent tous deux dans l’eau, et Philippe baptisa l’eunuque. Quand ils furent sortis de l’eau, l’esprit du Seigneur enleva Philippe, et l’eunuque ne le vit plus. ” Nous notons ici que des instructions furent données par le fidèle serviteur du Tout-Puissant et quand le candidat reçut la bonne nouvelle il exprima le désir d’être un serviteur et de se faire baptiser. Cela marqua la confession publique de son offrande personnelle à Jéhovah Dieu pour le servir. — Actes 8:35-39.

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