commun entre la lumière et les ténèbres ? Quel accord y a-​t-​il entre le Christ et Bélial ? Quelle part le croyant peut-​il avoir avec l’incroyant ?” — II Cor. 6:14, 15, Maredsous.

Le curieux mélange de croyances qui existe en Bolivie montre combien ces déclarations inspirées sont négligées. Comment Dieu pourrait-​il approuver un pareil “mélange” ? Aux dires de son propre Fils, le Père recherche les personnes qui ‘l’adorent avec l’esprit et la vérité’. (Jean 4:23, 24.) Il est clair que ces croyances mythologiques non chrétiennes ne sont pas l’expression de la vérité et que les gens qui y restent attachés ne peuvent rendre à Dieu le culte qu’il approuve.

Heureusement, grâce à l’activité zélée des Témoins de Jéhovah, de nombreux Boliviens sincères ont appris à aimer les enseignements de la Bible et ils ont rejeté les pratiques non chrétiennes. Ils prennent garde au conseil inspiré suivant : “Sortez du milieu d’eux et tenez-​vous à l’écart (...). Ne touchez pas à ce qui est impur.” (II Cor. 6:17, Maredsous). Avez-​vous suivi ce conseil ? Si ce n’est pas le cas, envisagez-​vous maintenant de le faire ?

Preuves d’un déluge universel

La Bible déclare que Dieu “ne s’est pas retenu de châtier un monde ancien, mais a sauvegardé Noé, prédicateur de justice, avec sept autres, quand il a amené un déluge sur un monde d’impies”. (II Pierre 2:5.) Ces huit survivants étaient le patriarche Noé, sa femme, ses trois fils et leurs femmes. Ils furent préservés, ainsi que les représentants de diverses familles d’animaux domestiques et sauvages, y compris les oiseaux, dans une grande arche construite sous la direction divine. À l’extérieur de l’arche “expira toute chair qui se mouvait sur la terre, parmi les créatures volantes et parmi les animaux domestiques, et parmi les bêtes sauvages, et parmi tous les pullulements qui pullulaient sur la terre, ainsi que toute l’espèce humaine”. — Gen. 7:11-23.

Cependant, y a-​t-​il des preuves géologiques du déluge ? Oui, et elles sont admises depuis longtemps par nombre de savants. Par exemple, en 1761, Alexander Catcott a écrit Un traité sur le déluge (angl.) dans lequel il mentionnait ce qu’il considérait comme des preuves du cataclysme. Il disait entre autres : “Une fois de plus, nous nous adressons à la Nature et nous découvrons qu’il y a aujourd’hui des preuves aussi évidentes, aussi nettes, aussi incontestables d’un déluge sur la surface de la terre (...) que s’il était survenu l’an passé (...). Fouillez la terre et vous trouverez des orignaux d’Amérique enterrés en Irlande, des éléphants d’Asie et d’Afrique enfouis dans le centre de l’Angleterre, des crocodiles du Nil au cœur de l’Allemagne, des coquillages inconnus dans les eaux américaines en même temps que des squelettes entiers de baleines dans les régions les plus intérieures de l’Angleterre, des arbres de grandes dimensions avec leurs racines et leurs cimes et d’autres avec leurs feuilles et leurs fruits au fond des mines.”

Certes, les étudiants de la Bible ne fondent pas leur croyance en un déluge universel sur le témoignage de la géologie, car ils acceptent les Saintes Écritures comme la Parole véridique de Dieu (I Thess. 2:13). Mais il est intéressant de noter que d’éminents savants ont découvert sur la terre des particularités qu’ils acceptent comme la preuve d’un déluge universel.