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  • Déluge
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    • hommes voulurent défier Dieu en construisant la tour de Babel, Jéhovah confondit leur langage et les dispersa “sur la surface de la terre”. (Gen. 11:9.) Il était tout à fait logique que ces hommes emportent avec eux leurs récits sur le déluge et les transmettent à leurs enfants. Le fait qu’il y a plus de 90 récits différents sur ce déluge universel et que ses histoires sont incluses dans les traditions de nombreuses races primitives un peu partout dans le monde, ce fait est une preuve convaincante que tous ces peuples avaient une même origine, et que leurs tout premiers ancêtres communs ont vécu ce déluge.

      Ces histoires traditionnelles relatives au déluge s’accordent avec quelques-uns des aspects les plus importants du récit biblique: 1) un lieu de refuge pour quelques survivants; 2) la destruction par l’eau de toutes les autres âmes vivantes sur la terre entière; 3) quelques humains furent préservés pour perpétuer la race humaine. Les Égyptiens, les Grecs, les Chinois, les druides de Bretagne, les Polynésiens, les Esquimaux, les Groenlandais, les Africains, les Hindous et les Indiens d’Amérique, tous ont leur histoire du déluge. Cette similitude impressionna un voyageur qui déclara: “Des 120 tribus que j’ai visitées en Amérique du Nord, du sud et centrale, toutes sans exception m’ont fait part d’un récit traditionnel, précis ou vague, relatif à un cataclysme de ce genre, auquel auraient survécu une, trois ou huit personnes en se réfugiant sur une haute montagne, au-dessus des eaux.” — The International Standard Bible Encyclopaedia, t. II, p. 822.

      LA CONFIRMATION DES ÉCRITURES

      Le témoignage divinement inspiré d’autres rédacteurs de la Bible, témoignage qui confirme l’historicité du déluge, constitue une preuve plus convaincante que les traditions des peuples primitifs et païens. En dehors du récit de la Genèse, on ne trouve le même mot hébreu (mabbûl, déluge) que dans une mélodie de David dans laquelle il représente Jéhovah “assis sur le déluge”. (Ps. 29:10.) Cependant, d’autres rédacteurs, tel Ésaïe, confirment le récit de la Genèse auquel ils font référence (És. 54:9). Ézéchiel appuie aussi l’historicité du personnage Noé (Ézéch. 14:14, 18, 20). Dans ses lettres, Pierre fait beaucoup allusion au déluge (I Pierre 3:20; II Pierre 2:5; 3:5, 6). Quant à Paul, il rend témoignage à la grande foi dont fit preuve Noé en construisant l’arche qui permit la survie de sa famille (Héb. 11:7). Luc inclut Noé dans la liste des ancêtres du Messie. — Luc 3:36.

      Luc et Matthieu rapportent l’un et l’autre les paroles de Jésus concernant les jours du déluge. Jésus ne confirme pas seulement la véracité du récit relatif au déluge, mais il révèle également la signification symbolique et prophétique de cet événement du passé. Répondant à une question de ses disciples, savoir: “Quel sera le signe de ta présence et de la conclusion du système de choses?”, Jésus déclara entre autres choses: “Car, comme ont été les jours de Noé, ainsi sera la présence du Fils de l’homme. Comme ils étaient, en effet, en ces jours d’avant le déluge: ils mangeaient et buvaient, les hommes se mariaient et les femmes étaient données en mariage, jusqu’au jour où Noé entra dans l’arche; et ils ne s’aperçurent de rien jusqu’à ce que le déluge vînt et les emportât tous, ainsi sera la présence du Fils de l’homme.” (Mat. 24:3, 37-39; Luc 17:26, 27). Les Saintes Écritures divinement inspirées fournissent donc elles-​mêmes de nombreuses preuves de l’authenticité et de la véracité du récit relatif au déluge. Elles ne reposent pas simplement sur les traditions des hommes, sur les récits folkloriques des peuples primitifs ou sur les découvertes géologiques et archéologiques.

  • Démas
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    • DÉMAS

      (peut-être “populaire”, ou bien abréviation de Démétrius, nom qui signifie “qui appartient à Déméter”).

      Ancien collaborateur de l’apôtre Paul, Démas se trouvait à Rome avec lui lorsqu’il y fut emprisonné pour la première fois, puisque Paul inclut les salutations de Démas dans les lettres qu’il adressa aux Colossiens et à Philémon (Col. 4:14; Philém. 24). Lorsque Paul écrivit à Timothée pendant son second emprisonnement, Démas l’avait abandonné pour se rendre à Thessalonique, qui était peut-être sa ville natale. — II Tim. 4:10.

      La Bible ne révèle pas comment ni dans quelle mesure Démas avait abandonné Paul ‘parce qu’il avait aimé le présent système de choses’. L’apôtre ne dit pas que Démas devint un adversaire ou un apostat. Peut-être l’amour que Démas portait aux biens et aux plaisirs du monde est-​il devenu plus puissant que celui qui l’attachait aux choses spirituelles. Il se peut encore que, par crainte de subir le martyre avec Paul, Démas se soit mis en quête d’un endroit plus sûr afin de garder la vie dans le système de choses qui existait alors. Quoi qu’il en fût, lorsque la situation devint difficile, Démas ne saisit pas l’occasion magnifique qui lui était offerte de fortifier son frère chrétien Paul.

  • Démence
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    • DÉMENCE

      Voir FOLIE.

  • Démétrius
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    • DÉMÉTRIUS

      (qui appartient à Déméter [déesse grecque de l’agriculture]).

      1. Orfèvre de la ville d’Éphèse, en Asie Mineure, qui fomenta une émeute contre l’apôtre Paul et ses compagnons, vers la fin du séjour de Paul dans cette ville, séjour qui dura entre deux et trois ans (env. 53-​55 de n. è.), à l’occasion de son troisième voyage missionnaire. — Actes 19:18, 19, 23-41; 20:1.

      2. Chrétien vivement recommandé par l’apôtre Jean dans sa lettre à Gaïus (env. 98 de n. è.). C’est peut-être Démétrius qui porta cette lettre à Gaïus. Les témoignages que Jean a faits en faveur de Démétrius avaient peut-être pour objet d’encourager Gaïus à exercer l’hospitalité en sa faveur, car il semble que les congrégations avaient coutumes de pourvoir à la nourriture et au logement des frères fidèles qui voyageaient pour la bonne nouvelle. — III Jean 1, 12.

  • Démon
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    • DÉMON

      Créature spirituelle invisible méchante, parfois appelée “ange déchu”, et dotée de pouvoirs suprahumains. Les démons n’ont pas été créés en tant que tels par Dieu. Le premier qui se fit lui-​même démon est Satan le Diable; il devint le chef des autres fils de Dieu angéliques qui se firent démons (Mat. 12:24, 26). Aux jours de Noé, ces anges désobéissants se matérialisèrent, épousèrent des femmes, engendrèrent une progénitures hybride connue sous le nom de Néphilim et finirent par se dématérialiser quand le déluge vint (Gen. 6:1-4). Toutefois, lorsqu’ils regagnèrent les sphères spirituelles, ils ne retrouvèrent pas leur haute position originelle, car Jude (v. 6) dit: “Les anges qui n’ont pas gardé leur position originelle, mais ont abandonné leur propre demeure, il les a réservés dans des liens éternels, sous l’obscurité épaisse, pour le jugement du grand jour.” (I Pierre 3:19, 20). C’est donc dans cette condition de ténèbres spirituelles épaisses qu’ils doivent maintenant limiter leurs opérations (II Pierre 2:4). Bien qu’il ne leur soit plus possible de revêtir un corps charnel, ils ont néanmoins un grand pouvoir et beaucoup d’influence sur l’esprit et la vie des humains. Ils peuvent en effet prendre possession d’hommes et de bêtes, et aussi se servir de choses inanimées, telles que des maisons, des fétiches, des charmes, etc. — Mat. 12:43-45; Luc 8:27-33.

  • Démon (Possédé par le)
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    • DÉMON (POSSÉDÉ PAR LE)

      Personne dominée et influencée par un esprit méchant et invisible. Dans les temps bibliques, la possession s’accompagnait de différentes manifestations: privation de la parole, de la vue, épilepsie et force suprahumaine. Tous les possédés étaient maltraités par ces brutes invisibles (Mat. 9:32; 12:22; 17:15; Marc 5:3-5; Luc 8:29; 9:42; 11:14; Actes 19:16). Hommes, femmes et enfants étaient leurs victimes (Mat. 15:22; Marc 5:2). C’était parfois un véritable supplice pour le possédé lorsque plusieurs démons l’habitaient (Luc 8:2, 30). Une fois l’esprit malfaisant chassé d’un individu, celui-ci revenait normal et sain d’esprit. Il ne faut pas confondre la possession démoniaque et la maladie proprement dite, car Jésus guérit aussi bien les possédés que les mal portants. — Mat. 8:16; 17:18; Marc 1:32, 34.

      Quelques-uns des plus grands miracles de Jésus furent la délivrance de possédés. Les démons étaient impuissants devant lui. Mais les expulsions opérées par le Christ n’eurent pas l’approbation de tous, tant s’en faut. Les Pharisiens l’accusèrent d’avoir partie liée avec Béelzébub, le chef des démons, alors qu’en fait, dit Jésus, ce sont eux qui procèdent du Diable (Mat. 9:34; 12:24; Marc 3:22; Luc 11:15; Jean 7:20; 8:44, 48-52). Jésus savait parfaitement bien d’où lui venait cette autorité sur les démons, aussi confessa-​t-​il ouvertement qu’il agissait par la puissance et l’esprit saint de Jéhovah (Mat. 12:28; Luc 8:39; 11:20). Les démons eux-​mêmes identifièrent Jésus et l’appelèrent “le Fils de Dieu”, “le Saint de Dieu” et “Jésus, Fils du Dieu Très-Haut”. (Mat. 8:29; Marc 1:24; 3:11; 5:7; Luc 4:34, 41; Actes 19:15; Jacq. 2:19.) Toutefois, à aucun moment Jésus ne les autorisa à rendre témoignage en sa faveur (Marc 3:12). En revanche, un homme qui venait d’être délivré de l’emprise des démons fut encouragé à faire connaître à sa parenté ‘tout ce que Jéhovah avait fait pour lui’. — Marc 5:18-20.

      Jésus conféra également l’autorité sur les démons à ses douze apôtres et par la suite aux soixante-dix disciples qu’il envoya, afin qu’au nom de Jésus ils puissent, eux aussi, guérir les possédés (Mat. 10:8; Marc 3:15; 6:13; Luc 9:1; 10:17). Même un exorciste qui ne fréquentait pas Jésus et ses apôtres fut capable de chasser un démon sur la base du nom de Jésus (Marc 9:38-40; Luc 9:49, 50). Après la mort de Jésus, les apôtres continuèrent à exercer ce pouvoir. Paul expulsa un “démon de divination” qui habitait une jeune esclave, à la grande colère de ses maîtres cupides (Actes 16:16-19). Mais lorsque certains imposteurs, tels les sept fils de prêtre Scéva, tentèrent d’exorciser un démon au nom de “Jésus que Paul prêche”, le possédé bondit sur eux, les molesta et les dépouilla tous les sept de leurs vêtements. — Actes 19:13-16.

      La violence incontrôlée d’un déséquilibre mental est souvent due à a la possession démoniaque. Notons que certains médiums se sont fait la réputation d’être capables de chasser ces démons; cela nous rappelle les paroles suivantes de Jésus: “Beaucoup me diront en ce jour-​là: ‘Seigneur, n’avons-​nous pas (...) expulsé des démons en ton nom (...)?’ Et pourtant à eux je confesserai alors: Je ne vous ai jamais connus!” (Mat. 7:22, 23). Voilà donc des raisons impérieuses de suivre ces conseils: “Soyez vigilants”, “revêtez l’armure complète de Dieu pour pouvoir tenir ferme contre les manœuvres du Diable” et de ses démons.— I Pierre 5:8; Éph. 6:11.

  • Démon en forme de bouc
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    • DÉMON EN FORME DE BOUC

      (héb. sâʽîr; pluriel seʽîrîm).

      Le mot hébreu sâʽîr signifie littéralement “chevelu ou velu”; c’est dans ce sens qu’il est utilisé à propos d’Ésaü (Gen. 27:11). Mais dans la plupart des cas, il se rapporte à un bouc ou à un chevreau (Gen. 37:31; Lév. 4:24). Toutefois, dans quatre textes (Lév. 17:7; II Chron. 11:15; És. 13:21; 34:14), les traducteurs en général pensent qu’il prend un sens inhabituel.

      En Lévitique 17:7 et II Chroniques 11:15, il est clair que ce mot (seʽîrîm, pluriel) se rapporte à des choses auxquelles on vouait un culte ou offrait un sacrifice dans le cadre de la fausse religion. Les traducteurs de la Septante et de la Vulgate ont donc traduit ce terme par “choses vaines” (LXX) et “démons” (Vg). Les traducteurs et lexicographes modernes adoptent généralement la même leçon et le traduisent par “démons” (Ro), “satyres” (Os; Jé; CT; VB) ou “démons en forme de boucs”. — MN.

      Josué (24:14) montre que durant leur séjour en Égypte, les Israélites avaient été influencés dans une certaine mesure par le faux culte qui s’y pratiquait. Ézéchiel révèle que ces coutumes païennes étaient encore un fléau très longtemps après (Ézéch. 23:8, 21). À propos du décret divin donné dans le désert, qui visait à empêcher les Israélites d’offrir des “sacrifice aux démons en force de boucs” (Lév. 17:1-7), et de l’ordre de Jéroboam disant d’établir des prêtre “pour les hauts lieux, et pour les démons en forme de boucs, et pour les veaux qu’il avait faits” (II Chron. 11:15), certains biblistes pensent que l’un et l’autre laissent entendre qu’il y avait parmi les Israélites une certaine forme de culte du bouc, culte très répandu en Égypte, et notamment dans la basse Égypte. Hérodote affirme que c’est ce culte du bouc qui était à l’origine des croyances des Grecs dans le dieu Pan ainsi que dans les satyres et les dieux champêtres lubriques, dieux que l’on finit par décrire avec des cornes, une queue et des pattes de bouc.

      Dans les deux autres textes (És. 13:21; 34:14), les mots sâʽîr et seʽîrîm n’ont pas, contrairement à ce qu’on pense généralement, de rapport avec le faux culte. Les ruines abandonnées de Babylone et d’Édom y sont décrites comme étant habitées par des créatures sauvages, dont les seʽîrîm. Peut-être Ésaïe a-​t-​il inclus les démons dans sa liste d’animaux et d’oiseaux, non pas en ce sens que de tels démons se matérialiseraient effectivement sous la forme de boucs, mais plutôt pour montrer que la population païenne d’alentour s’imaginerait que les sites désolés de Babylone et d’Édom étaient habités par de tels démons. L’Histoire révèle d’ailleurs que les peuples syriens et arabes associent depuis longtemps les créatures monstrueuses aux ruines de ce genre, et les djinns arabes sont décrits comme des monstres chevelus. Les seʽîrîm qui hantaient les ruines abandonnées d’Édom et de Babylone étaient peut-être d’authentiques animaux velus et chevelus, et il est possible qu’à cause de l’apparence de ces animaux les gens de l’endroit s’imaginaient qu’il s’agissait de démons.

  • Denier
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    • DENIER

      Ancienne monnaie romaine d’argent de la grandeur de la pièce de dix cents américains ou de 10 centimes français, et qui pesait 3,85 grammes. Elle portait l’effigie de César et représentait “l’impôt de capitation” que les Romains exigeaient des Juifs (Mat. 22:19-21). Au temps du ministère terrestre de Jésus, les ouvriers agricoles recevaient généralement un denier pour une journée de douze heures de travail (Mat. 20:2). Par conséquent, on comprend toute la gravité de la situation décrite en Révélation 6:6, lorsqu’on y lit qu’un litre de blé ou trois litres d’orge coûtent un denier, soit le salaire d’une journée de labeur.

      Si le nard coûteux dont Marie, sœur de Lazare, se servit pour enduire Jésus Christ pouvait être vendu 300 deniers (presque une année de salaire), cela veut dire qu’un somme considérable aurait pu être versée dans la caisse que gardait Judas Iscariote. Rien d’étonnant que ce malhonnête homme ait vivement protesté, puisqu’il lui serait impossible de détourner la plus infime de cette somme importante! — Jean 12:3-6; 13:29; Marc 14:3-11.

      Le bon Samaritain de l’illustration de Jésus dépensa deux deniers (deux jours de salaire) pour venir en aide à un étranger inconnu, et il se montra disposé à payer le surplus des dépenses (Luc 10:33-35). Par contre, dans l’une des illustrations de Jésus mettant l’accent sur la nécessité de la clémence, un esclave à qui l’on avait remis une dette de 60 000 000 de deniers refusa de remettre la dette de 100 deniers que son compagnon d’esclavage avait contractée envers lui. — Mat. 18:24-33.

      [Illustration, page 382]

      Denier à l’effigie de Tibère.

  • Dents
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    • DENTS

      Les Écritures font souvent allusion aux dents dans des expressions imagées. Le grincement de dents évoque généralement une manifestation de fureur (Job 16:9; Actes 7:54), ou bien d’angoisse et de désespoir (Mat. 8:12; 13:42, 50; 22:13; 24:51; 25:30). Le grincement de dents s’accompagne parfois de paroles acerbes et d’actes violents contre celui qui est l’objet de la colère. En Amos 4:6, la “propreté des dents” est mise en parallèle avec le “manque de pain” pour décrire une famine.

      Les dents peuvent aussi être employées comme symbole du pouvoir de destruction que possède une nation ou un peuple (Dan. 7:5, 7, 19; Joël 1:6; Rév. 9:8). David compare les méchants qui sont hostiles au juste à des lions féroces et supplie Dieu de les frapper à la mâchoire et de leur briser les dents pour les mettre hors d’état de nuire (Ps. 3:7; 58:6). Les faux prophètes d’Israël sont dépeints comme des hommes avides et voraces “qui mordent avec leurs dents” et sanctifient la guerre contre quiconque ne les nourrit pas. — Michée 3:5; comparez avec Ézéchiel 34:2, 3; Matthieu 7:15; Actes 20:29.

      Peu avant la destruction de Jérusalem, les Israélites avaient coutume de dire: “Les père, eux, ont mangé le raisin vert, mais ce sont les dents des fils qui ont été agacées.” (Jér. 31:29; Ézéch. 18:2-4). Ils rejetaient ainsi sur leurs ancêtres la responsabilité des malheurs que connaissait leur nation à cause de sa méchanceté.

  • Dépérissement (Cuisse d’une femme)
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    • DÉPÉRISSEMENT (Cuisse d’une femme)

      {Article non traduit.}

  • Derbé
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    • DERBÉ

      ‘Ville de Lycaonie’, en Asie Mineure, que l’apôtre Paul visita personnellement deux et peut-être même trois fois. En 1964, l’ancienne ville de Derbé fut identifiée à Dervi Shehri (“ville de Derbé”), localité située à 200 kilomètres environ au nord-nord-ouest de Tarse.

      Probablement quelque temps avant l’hivers 47-​48 de notre ère, lors de son premier voyage missionnaire, Paul arriva à Derbé après avoir été lapidé dans la ville proche de Lystres. Là, Paul et Barnabas ‘annoncèrent la bonne nouvelle’ et firent “un assez grand nombre de disciples”, parmi lesquels il y avait peut-être “Gaïus, de Derbé”, qui devint plus tard l’un des compagnons de voyage de l’apôtre. Tandis qu’après 41 de notre ère l’Histoire place la ville de Derbé à l’extrémité orientale de la province politique de Galatie, la description qu’en fait Luc comme étant ‘une ville de Lycaonie’ est, semble-​t-​il, à prendre au sens régional ou ethnographique (Actes 14:6, 19-21; 20:4). Un certain nombre de mois plus tard, à la suite du concile de Jérusalem relatif à la circoncision (env. 49 de n. è.), Paul revint à Derbé dans le cadre de son deuxième voyage missionnaire. — 15:36; 16:1.

  • Derniers jours (Les)
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    • DERNIERS JOURS (LES)

      Dans les prophéties de la Bible, l’expression “derniers jours” et d’autres du même genre, comme “la période finale des jours”,

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