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  • Paître le troupeau de Dieu
    La Tour de Garde 1958 | 1er août
    • dangers de la part des animaux sauvages, des voleurs, etc. En quoi consiste leur défense ? Premièrement elle consiste à rester auprès des autres brebis dans le troupeau et deuxièmement à faire confiance au berger qui veille sur elles. Il en va ainsi des autres brebis du Seigneur à notre époque. Vous ne connaissez aucun moyen de défense contre les attaques des hommes et des organisations féroces de ce monde. Quelle est alors votre défense ? Elle consiste à rester auprès du troupeau de Dieu, en son sein, et à mettre toute votre confiance en Jéhovah Dieu, le Pasteur de l’Israël spirituel, et dans le Seigneur Jésus-Christ, le Vrai Berger, et aussi en vos frères fidèles établis comme bergers du troupeau.

      22. Que signifie appartenir à la société d’un monde nouveau ? Comment êtes-​vous protégé ?

      22 Aujourd’hui Jéhovah Dieu possède une organisation théocratique. Le Seigneur Jésus-Christ est le Roi-Berger et le Surveillant de cette organisation, et ceux qui sont établis surveillants en son sein ont la responsabilité de veiller sur les brebis appartenant à la société d’un monde nouveau. Ceux qui sont éclairés et qui ont les yeux ouverts pour comprendre la vérité connaissent la disposition bénie permettant de s’associer au sein de ce troupeau théocratique, l’organisation du peuple de Dieu, les témoins de Jéhovah, lesquels sont régis par de fidèles bergers travaillant sous la conduite des dirigeants légaux de cette organisation, la Watch Tower Bible and Tract Society. Restez en son sein. Rappelez-​vous qu’il n’y a pas de protection en dehors de la disposition que Jéhovah a prise pour son peuple. Il peut arriver que des hommes méchants cherchent à vous prendre par ruse ; les fidèles bergers veilleront et les arrêteront dans leurs entreprises. Des organisations de ce monde chercheront parfois à faire du mal, mais vous êtes toujours protégés par les Bergers célestes, lesquels ont sous leurs ordres les anges, des milliers et des milliers d’anges. Vous êtes donc protégés par des hommes fidèles sur la terre et par des forces invisibles sous la direction du Seigneur Jésus-Christ. Vous n’avez pas à craindre car vous êtes le troupeau de Dieu.

      FAITES CONFIANCE AUX GARDIENS FIDÈLES

      23. a) Pourquoi peut-​on se fier aux bergers fidèles ? b) Si un berger devient infidèle, quelle mesure est prise pour vous protéger ?

      23 Peut-​on se fier aux frères fidèles ? Oui, pour la raison suivante : À moins de remplir les conditions requises, ils ne seront pas établis bergers par ceux qui ont cette responsabilité au sein de l’organisation du Seigneur. Ils doivent être à la hauteur de ces exigences et capables de servir comme bergers du troupeau. S’ils ne craignent pas vraiment Jéhovah Dieu et Jésus-Christ, ils ne sont pas de vrais bergers, et ils ne seront pas désignés pour veiller sur le troupeau de Dieu. Il peut arriver qu’un berger nommé ne veille pas bien sur le troupeau, peut-être l’opprime-​t-​il. S’il en est ainsi, et si le troupeau a subi un tort, un tel berger est premièrement conseillé et corrigé ou châtié, et si ce berger ne change pas ses méthodes, il sera privé de sa charge de berger et un autre prendra sa place. Pourquoi faut-​il qu’il en soit ainsi ? Vous êtes le troupeau de Dieu, et en fréquentant le peuple de Dieu dans la société d’un monde nouveau vous ne devez subir aucun mal, car seuls les bergers fidèles continueront de servir. Ils désirent vous voir acquérir la vie éternelle. Ils ne vous forceront pas ni ne domineront sur vous, parce que vous êtes l’héritage de Dieu. Quiconque vous fait du tort fait du tort aux intérêts de Dieu et il devra en rendre compte à Dieu et non aux hommes.

      24. a) En quel sens servons-​nous sous la conduite d’hommes ? b) Quel doit être notre comportement à l’égard de ces bergers ?

      24 Vous avez peut-être entendu dire ceci : “ Nous ne servons pas les hommes. Nous servons Jéhovah Dieu et Jésus-Christ. ” Est-​ce à dire qu’on peut ignorer les hommes ? Pouvez-​vous servir Dieu sans servir les hommes ? Non. Même au temps de l’Israël selon la chair, cette nation servit sous la conduite de Moïse le médiateur et d’autres hommes fidèles. Aux jours des apôtres, les brebis ne servirent-​elles pas sous la conduite des apôtres ? “ Dieu a établi les éléments respectifs dans l’assemblée. ” (I Cor. 12:28, NW). L’apôtre Paul a dit : “ Nous vous prions, frères, d’avoir de la considération pour ceux qui travaillent parmi vous, qui vous dirigent dans le Seigneur, et qui vous exhortent. Ayez pour eux beaucoup d’affection, à cause de leur œuvre. Soyez en paix entre vous. ” (I Thess. 5:12, 13). Et encore : “ Que les anciens qui dirigent bien soient jugés dignes d’un double honneur, surtout ceux qui travaillent à la prédication et à l’enseignement. ” (I Tim. 5:17). De ces versets il ressort que ce serait un tort que d’ignorer les serviteurs du Seigneur, d’en faire peu de cas ou de les traiter juste d’une façon ordinaire, car ils ont été institués par Jéhovah. Ils ont été choisis pour servir le troupeau de Dieu. Celui qui pense qu’on peut ignorer les surveillants parmi le troupeau ne fait pas honneur à Dieu et aboutira dans de mauvais sentiers.

      25. Pourquoi les brebis doivent-​elles obéir à leurs conducteurs ?

      25 Les brebis ont une grande responsabilité envers le berger, laquelle ne peut être ignorée ou esquivée. Les brebis ne doivent pas seulement être obéissantes à Jéhovah Dieu et à Jésus-Christ mais aussi à ceux qui les conduisent. Les sous-bergers n’ont pas la prérogative d’établir des règles parmi le troupeau, leur rôle consiste à les expliquer et à lui montrer comment accomplir la volonté de Dieu. Voyez le conseil donné par l’apôtre Paul : “ Obéissez à vos conducteurs et ayez pour eux de la déférence, car ils veillent sur vos âmes comme devant en rendre compte ; qu’il en soit ainsi, afin qu’ils le fassent avec joie, et non en gémissant, ce qui ne vous serait d’aucun avantage. ” — Héb. 13:17.

      26. Dans quelle crainte la classe de “ l’esclave fidèle et prudent ” a-​t-​elle gouverné et pourquoi ?

      26 Il est très important de comprendre que les intérêts du Royaume ayant trait à la terre ont été tous placés sous la garde de la classe de “ l’esclave fidèle et prudent ”. (Mat. 24:45-47.) Ce serviteur doit veiller constamment sur les brebis. Quelle immense responsabilité ! Les âmes de toutes ces centaines de milliers de brebis ont été placées sous la garde de cet esclave, lequel doit rendre compte à Dieu de son activité de Berger. Qu’aucune des brebis ne pense que cette classe de bergers prend sa responsabilité à la légère. Tous ses membres ne savent que trop bien que Jéhovah Dieu et Jésus-Christ les tiennent pour responsables de la vie des brebis. Aujourd’hui vous bénéficiez du service et des soins d’hommes craignant Dieu et qui savent que la façon dont ils vous traitent est observée par le ciel. Ils sont “ comme envoyés de Dieu, sous le regard de Dieu, en compagnie du Christ ”. (II Cor. 2:17, NW.) Les membres de la classe de “ l’esclave fidèle et prudent ” servent les brebis dans la crainte de Jéhovah. Vous êtes un troupeau protégé. Aucun mal ne vous arrivera de la part de vos frères fidèles.

      27. De quelle manière les dirigeants spirituels et ceux qu’ils ont nommés ont-​ils protégé, guidé et nourri les brebis ?

      27 Les dirigeants spirituels des témoins de Jéhovah, associés à la Watch Tower Bible and Tract Society de Pennsylvanie, ont accompli leur service dans la crainte de Jéhovah. Ceux qui ont été nommés par ces frères dirigeants ont suivi l’exemple du Vrai Berger et ont fait la même chose. Ils sont allés de l’avant et ont accompli leur travail dans la crainte de Dieu. Les brebis n’ont-​elles pas été gardées ? Les brebis ont été nourries durant toutes ces années d’une abondante nourriture spirituelle. Elles ne connaissent pas la faim. Les brebis n’ont jamais eu à se priver d’un seul repas spirituel. La fidèle classe de bergers n’en a jamais revendiqué le mérite ni n’a essayé d’attirer leur cœur et leur esprit, elle a constamment tourné leur cœur vers les Bergers célestes. Les brebis ont été protégées contre les fausses doctrines et les erreurs. Elles ont été averties des ruses de Satan. On les a mises en garde contre l’immoralité, le matérialisme, la glorification des hommes, l’amitié avec ce monde et contre maints autres dangers. Mais pourquoi tout cela ? C’est dans notre intérêt que ces frères ont donné avec joie tout ce qu’ils avaient pour servir les brebis, afin que vous puissiez vivre dans la paix et dans la faveur de Jéhovah Dieu.

      28, 29. Pourquoi les brebis sont-​elles bénies ? Qu’est-​ce qui apportera encore un accroissement ?

      28 Les brebis ont été aidées par les fidèles bergers pour qu’elles sachent comment servir Jéhovah Dieu et Jésus-Christ d’une manière agréable, comment prêcher la bonne nouvelle du Royaume, comment annoncer la bonne nouvelle de son salut, comment chanter ses louanges, comment parler de ses actes glorieux pour les enfants des hommes, comment publier la paix et comment faire connaître les desseins merveilleux de notre Père céleste et de son Fils Jésus-Christ (Ps. 96:2). Les brebis ont été formées pour qu’elles puissent faire ces choses elles-​mêmes. On leur a aussi montré comment elles pouvaient à leur tour en former d’autres. Les brebis ont été unies et celles qui étaient perdues ont été amenées dans le troupeau. Que ces brebis sont bénies ! Que vous êtes privilégié d’être une brebis de Dieu et de recevoir les soins des fidèles bergers, de savoir que ce sont des hommes éprouvés et fidèles ! Troupeau de Dieu, tu es protégé contre le mal, parce que les fidèles bergers terrestres doivent rendre compte à ton sujet à Jéhovah Dieu et à Jésus-Christ.

      29 Le moment est venu d’accroître le troupeau. Toutes les brebis doivent être rassemblées et Jéhovah a ordonné à son peuple de les faire venir du nord et du sud, de l’est et de l’ouest (És. 43:1-7). Aujourd’hui la voix du Vrai Berger se fait entendre dans plus de 160 pays, apportant la consolation à un nombre toujours plus grand de brebis perdues. Elles viendront en foules. Le jour est venu de les rassembler. La prospérité du troupeau ne manquera pas de grandir si les bergers sont conscients de leurs responsabilités envers Jéhovah Dieu et Jésus-Christ. Les membres de l’organisation, les brebis du Seigneur, facilitent l’accomplissement de ces devoirs par leur obéissance et leur soumission.

      30. Pour rester sous la protection, que doivent faire les brebis ?

      30 Le troupeau de Dieu reste ensemble. Les brebis ne s’égarent pas hors de la société d’un monde nouveau. Dans le présent monde il y a de nombreux pièges. Les dangers sont multiples. Les hommes et les organisations profiteront de vous et vous n’aurez pas de protection. Restez au sein de l’organisation. Pour cela il est nécessaire d’apprendre quelle est la volonté de Dieu. Il vous faut obéir aux exigences théocratiques. Il faut suivre la paix et obéir à la justice. Il faut se laisser guider par ceux qui ont été établis bergers. En faisant ces choses, vous serez formé à la justice et vous pourrez offrir des louanges au Dieu tout-puissant, dont le nom est Jéhovah. Réjouissez-​vous d’avoir été délivré de ce monde et d’avoir pris rang dans la société d’un monde nouveau. Réjouissez-​vous de tout ce que Jéhovah a fait et fait pour vous et de toutes les choses merveilleuses qu’il vous réserve dans le monde nouveau qui suivra la bataille d’Harmaguédon. Vous faites partie de ce troupeau heureux ; réjouissez-​vous dans le Grand Pasteur de l’Israël spirituel et dans son Vrai Berger. Sachez qu’aucun mal ne vous arrivera mais qu’Il vous conduira pour toujours dans de verts pâturages et vers les lieux paisibles à cause de son nom.

  • Comment je poursuis le but de ma vie
    La Tour de Garde 1958 | 1er août
    • Comment je poursuis le but de ma vie

      Raconté par Donald E. Baxter

      ICI AU Venezuela, la radio diffuse chaque soir un programme de musique et de nouvelles mondiales, en anglais. Récemment, j’écoutai une chanson appelée : “ Comptez vos bénédictions au lieu des brebis. ” Plus tard, je me suis mis à y penser. Voyez-​vous, dans l’œuvre missionnaire, on peut compter les deux — ses bénédictions et les brebis. En allant dans de nouveaux champs pour trouver les “ autres brebis ” du Seigneur, on reçoit beaucoup de bénédictions, et on fait beaucoup d’expériences dans cette grande campagne d’instruction.

      Quand je repense à la manière dont j’ai poursuivi le but de ma vie, je me rends compte que j’ai reçu beaucoup de bénédictions, et j’ai eu la joie de connaître beaucoup de privilèges de service. Mon père et ma mère commencèrent à étudier la vérité lorsque j’avais dix ans environ. À l’âge de seize ans, lors d’une assemblée de zone, je fus immergé pour symboliser que je me vouais à Jéhovah. À cette époque, je savais ce que je faisais, mais je dois reconnaître que je ne me rendais pas pleinement compte de ce que l’on demande d’un bon ministre. Cela, je l’appris plus tard lorsque j’entrai dans les rangs des pionniers, en mai 1942. Quand je sortis de l’école secondaire, la situation internationale n’était pas rose. Les États-Unis se préparaient à la deuxième guerre mondiale. Que devrais-​je faire ? Aller à une école supérieure ou chercher un emploi ? Mon frère et ma sœur aînés étaient pionniers à Chicago, et ils m’écrivaient régulièrement des lettres pour m’encourager à devenir pionnier et à les rejoindre à Chicago.

      J’étais un proclamateur bien faible lorsqu’au printemps de 1942 je commençai le service de pionnier. Chicago et ses faubourgs étaient bien différents des fermes et des secteurs ruraux que nous avions travaillés, dans le Dakota du Sud. Je n’oublierai jamais la première semaine passée à Chicago. Chaque matin, sur le chemin qui me conduisait dans mon territoire, je sentais des tiraillements dans l’estomac. Mais ce sentiment me quitta au bout de quelques semaines, au fur et à mesure que j’acquis plus d’expérience.

      En rentrant du service, par une froide journée d’hiver, je trouvai chez moi une grande enveloppe qui venait de la Société. Je fus bien surpris, mais très heureux, d’y trouver le bulletin d’inscription pour Galaad. À la lecture de la lettre et du bulletin, une quantité de questions me vinrent à l’esprit. Puis-​je la faire, cette école ? Est-​ce que ce ne sera pas trop difficile ? D’autres l’avaient faite ; alors, je me dis que moi aussi, je pourrais la faire. Je remplis le bulletin et le retournai à la Société.

      En février 1945, j’allai à Galaad comme élève de la cinquième classe. Le temps y passa vite — jamais il n’y en avait assez pour bien étudier ou tout préparer. Ce fut un événement plein de joies, et chaque jour se chargeait de nous apprendre quelque chose de nouveau ou de nous le rappeler.

      Les cours à Galaad terminés, je fus nommé serviteur de circuit. À l’époque, le serviteur restait dans certains groupes pendant deux ou trois jours et dans d’autres pendant une semaine, selon le nombre de proclamateurs. C’est pourquoi il devait se préparer à faire tous les huit discours publics. Pendant que j’étais en route, je me demandais tout le temps où j’allais être envoyé. J’avais alors oublié presque tout mon espagnol que je m’étais efforcé d’apprendre à Galaad. En février 1946, je reçus une lettre de la Société me disant qu’on m’enverrait au Venezuela et qu’à la fin de février, il me faudrait aller au Béthel et y rester jusqu’à la réception du visa d’entrée pour le Venezuela. Le 2 juin 1946, j’atterris à Maiquetía, l’aéroport de Caracas, la capitale du pays ; il n’y avait personne pour nous accueillir ou nous aider dans la langue espagnole. Mais nous trouvâmes bientôt quatre proclamateurs qui se réunissaient dans une maison pour l’étude de La Tour de Garde et pour l’étude du livre. Une famille de bonne volonté, demeurant à proximité, assistait également à ces réunions ; il y avait donc douze personnes à cette première réunion que je visitai à Caracas.

      En avril 1946, frère Knorr et frère Franz avaient visité le Venezuela et organisé les réunions et le service dans le champ. Les quatre proclamateurs désiraient ardemment avoir des écrits et être aidés dans le champ. Nous apprîmes par ces frères qu’il y en avait d’autres qui, à l’intérieur du pays, étaient un peu actifs dans le service. La première chose à faire, c’était de les organiser et de les amener à remettre leurs rapports que nous pourrions ensuite envoyer

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