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  • Comment ils ont trouvé la vérité
    Réveillez-vous ! 1971 | 22 octobre
    • “Mes parents connaissaient mes sentiments à l’égard de la religion et ils n’ont pas essayé de m’imposer leurs idées. Un jour cependant, je lus une de leurs brochures qui dévoilait l’hypocrisie et les fausses doctrines des Églises. J’étais d’accord avec presque tout ce qu’elle disait. Je me mis donc à lire d’autres publications des témoins de Jéhovah, généralement quand j’étais seul à la maison. Je découvris enfin la réponse à une question qui me troublait depuis longtemps : Pourquoi le mal règne-​t-​il en maître sur la terre s’il y a un Dieu ? J’appris que selon la Bible Dieu a permis le mal pendant un temps bien déterminé, mais que bientôt il y mettra fin ainsi qu’au présent ordre de choses corrompu. Quelle joie pour moi d’apprendre que le nouvel ordre de choses divin soulagera l’humanité affligée de tous les maux dont elle souffre depuis tant de siècles ! — Rom. 9:17 ; II Pierre 3:13 ; Rév. 21:3, 4.

      “En l’espace de quelques semaines je me suis rendu compte, grâce à mes lectures assidues, que j’avais trouvé la vérité divine. Dans le même temps, j’assistai aux offices de plusieurs églises new-yorkaises pour comparer leurs enseignements avec ce que j’apprenais. Je constatai aussitôt que le message de ces confessions était superficiel, antibiblique, et qu’il ne m’apportait aucune satisfaction. Depuis lors, ma foi augmente d’année en année à mesure que je vois s’accomplir les prophéties de la Bible.”

      Effectivement, la vérité divine est un trésor précieux qui apporte beaucoup de bonheur à ceux qui la trouvent (Ps. 119:162). Non seulement elle donne la perspective de la vie éternelle dans le paradis, mais elle affranchit de la fausse religion, de la crainte de l’homme et de l’esclavage du péché qui cause le chagrin. — Jean 8:32.

      Peut-être possédez-​vous des publications bibliques des témoins de Jéhovah et notamment l’ouvrage intitulé La vérité qui conduit à la vie éternelle. Si oui, sans doute ces témoins vous ont-​ils revisité afin de vous aider à étudier la Bible. Nous vous exhortons à profiter de cette aide sans tarder pour que vous connaissiez vous aussi la joie qu’éprouvent tous ceux qui trouvent la vérité.

  • Une bonne raison d’être modeste
    Réveillez-vous ! 1971 | 22 octobre
    • Une bonne raison d’être modeste

      CERTAINS médecins sont enclins à s’exprimer de façon très dogmatique. Persuadés que leur jugement est le seul bon, ils estiment que le “profane” n’a pas le droit de le mettre en doute. Que montrent les faits cependant ?

      Dans son numéro du 1er août 1967, le New York State Journal of Medicine a publié un article qui parle des erreurs de diagnostic. Sous le titre “Le désaccord entre le diagnostic et l’autopsie”, cet article cite de nombreux cas où l’autopsie a prouvé que le diagnostic établi par le médecin pendant que le malade vivait encore était erroné. Après avoir déclaré qu’il existe dans les publications médicales “quantité d’exemples de contradiction entre le diagnostic et l’autopsie”, l’article donne des chiffres relatifs à 11 affections.

      Il dit notamment que dans les cas d’embolie pulmonaire (où un caillot de sang bouche une branche de l’artère pulmonaire), moins de 50 pour cent avaient été diagnostiqués correctement ; selon les séries de cas étudiés, il y avait de 10 à 89 pour cent d’erreurs. Trente-trois pour cent des diagnostics d’hémorragie gastro-intestinale étaient erronés. La plupart des cas d’infarctus rénaux n’ont pas été décelés avant la mort du malade. Il en allait de même des myocardites (inflammation du tissu musculaire du cœur).

      En France, sur 1 000 autopsies, on constata que 55,4 pour cent seulement des diagnostics avaient été corrects. Dans 23,5 pour cent des cas le malade souffrait d’une grave affection secondaire que l’on n’a découverte qu’à l’autopsie.

      L’article cite comme exemple le cas d’une malade qui avait des haut-le-cœur quand elle mangeait et qui mourut au cours d’un repas au restaurant. Deux médecins attribuèrent son décès à une crise cardiaque grave. L’autopsie révéla qu’un morceau de viande lui avait bouché la trachée. Un diagnostic correct aurait pu lui sauver la vie.

      L’article fait ce commentaire pertinent : “Le désaccord fréquent entre l’autopsie et le diagnostic (...) montre qu’il reste encore à la médecine beaucoup à apprendre.”

      Puisqu’il en est ainsi, la modestie n’est-​elle pas une vertu que les médecins feraient bien de cultiver ?

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