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    Réveillez-vous ! 1974 | 22 novembre
    • ce périodique conclut ainsi : “Cet appel sera-​t-​il mieux entendu que tous les avertissements lancés par les physiciens nucléaires avant la bombe atomique ?”

      Une plante africaine contre la bilharziose

      La bilharziose est une maladie qui affecte environ 250 millions d’individus en Afrique, en Asie et en Amérique du Sud. Elle est difficile à combattre, car la contamination se fait par l’eau, et les réinfections sont pratiquement inévitables. En effet, le schisostome excrété par l’homme ou l’animal infecté se transforme dans l’eau et parasite un escargot. De là il pondra des larves qui infecteront de nouveau l’homme. Pour lutter contre la bilharziose, il faut éliminer l’hôte intermédiaire, l’escargot. Les communautés pauvres de ces continents ne peuvent utiliser des produits chimiques trop coûteux. Mais le Dr Aklilu Lomma, de l’Université Hailé Sélassié d’Addis-Abeba, a découvert que les baies d’une plante africaine, Phytolacce decandia, fournissent une substance efficace dans la lutte contre la bilharziose. Ces baies ont à la fois des propriétés détergentes et sont toxiques pour les mollusques. Ainsi, lorsque les habitants d’un village les utilisent pour laver leur linge dans une rivière, les escargots meurent en aval. Cependant, les plantes n’en souffrent pas. En 1969, on a procédé à un essai dans le village d’Adoua. Dès 1971, l’incidence de la bilharziose avait diminué d’une manière spectaculaire, tombant de 50 à 15 pour cent. Le Dr Lomma envisage la fabrication d’un détergent auquel il serait ajouté la substance toxique de cette plante. Le coût peu élevé et la simplicité d’application de la substance permettraient ainsi aux villageois de se protéger sans avoir recours à une aide technique extérieure très coûteuse.

      1974 en vision et dans la réalité

      Les hommes ne sont pas en mesure de prédire l’avenir. En voici un exemple : le 6 juillet 1949, le journal Sentinel de Milwaukee (États-Unis) publia une “prévision” pour les vingt-cinq années à venir. Que prédisait-​il ? “En 1974, les prix seront si bas que l’acheteur pourra sélectionner les choses qui lui plaisent sur le moment et s’en débarrasser aussi facilement qu’un vêtement de l’année précédente.” Comparons cette prédiction avec la réalité. Le 6 juillet 1974, on a pu lire dans le New York Times : “La montée des prix des denrées alimentaires fait que les nations les plus pauvres — et les gens les plus pauvres de tous les pays — ont de plus en plus de difficultés à se procurer de la nourriture en quantité limitée et à trouver l’argent nécessaire pour satisfaire d’autres besoins pratiquement aussi vitaux.”

      Concile œcuménique de... quoi ?

      Quand un laïc assiste à une conférence religieuse, il s’attend à entendre parler de religion. Est-​ce le cas ? Eh bien, Magnus Pike, secrétaire de l’Association britannique pour le progrès de la science, assista récemment à une réunion du Concile œcuménique des Églises à Bucarest, en Roumanie. Selon le New Scientist, voici les remarques qu’elle lui suggéra : “Pour un étranger scientifique et non religieux, les travaux de Bucarest ont été très surprenants. La plupart des discussions — certaines étant très enflammées — tournaient autour de la politique : Par quelle sorte de ‘socialisme’ la justice sociale devait-​elle être réalisée (personne n’a prononcé une bonne parole sur le capitalisme) ? Que devraient faire les nations riches pour expier leur richesse et pour devenir pauvres, de sorte qu’à la suite de cela (...) les nations pauvres deviennent riches ?”

      Les maladies de cœur plus faciles à prévenir qu’à guérir

      En septembre dernier, le VIIe Congrès international de cardiologie tenu à Buenos Aires a réuni plus de 4 000 spécialistes du cœur, venus de 80 pays. Ils ont fait le point sur le combat mené contre le fléau du siècle : les maladies cardiovasculaires. Elles tuent quatre Français sur dix, soit deux fois plus que le cancer, la leucémie et la tuberculose réunis. En Grande-Bretagne et aux États-Unis, plus de 80 pour cent des hommes âgés de 35 à 44 ans présentent déjà diverses lésions des vaisseaux sanguins. Malgré les nombreux prodiges réalisés par la science médicale depuis vingt ans, cette maladie demeure mystérieuse et on ne sait pas la guérir. En revanche, dans de nombreux cas, on sait la prévenir. Selon les statistiques, sept sur dix des morts par maladies cardiovasculaires pourraient être évitées si l’on se décidait à agir sur trois facteurs : 1) L’hypertension. Il y a en effet des traitements éprouvés qui permettent de faire baisser la tension. 2) Le cholestérol. Un régime bien conçu, parfois accompagné de quelques médicaments, peut le ramener à un taux normal. 3) Enfin, le tabac dont l’action nocive sur les vaisseaux sanguins n’est plus guère mise en doute. Ainsi, de nos jours, dans sept cas sur dix les maladies cardiovasculaires. ne relèvent plus de la recherche, mais de la santé publique.

      “Le courant qui endort”

      C’est sous ce titre que L’Express des 16-22 septembre 1974 parle d’une découverte française : l’anesthésie par l’électricité, qui a l’avantage de supprimer les douleurs postopératoires. On savait depuis le début du siècle que certains courants électriques à haute et basse fréquence anesthésient. Cependant, cet endormissement par l’électricité n’était jusqu’à ce jour ni agréable ni aisé. Cette technique avait donc été rapidement délaissée, d’autant que l’anesthésie chimique était devenue la panacée des chirurgiens et reconnue irremplaçable. Aujourd’hui, on parvient facilement à anesthésier un sujet par des dosages savants de neuroleptiques, d’analgésiques, de curarisants et de tranquillisants. Cependant, on intoxique le patient. En effet, ces gaz produisent des toxines qui engorgent l’organisme de l’opéré à mesure que l’intervention qu’il subit se prolonge. Aux États-Unis, où le risque a été calculé, on a établi qu’un malade sur 10 000 ne se réveille pas. C’est pour ces raisons que le professeur Aimé Limoge, enseignant la physiologie à la faculté de chirurgie dentaire de Paris, a relancé l’électro-anesthésie. Il explique cette méthode en ces termes : “L’électro-anesthésie doit démarrer avec l’amalgame médicamenteux employé en anesthésie classique. (...) Après trente minutes, en moyenne, l’électricité assure le relais. Par trois électrodes (...) le courant circule (...). On procède par impulsions : 4 millisecondes de passage, puis 8 millisecondes de repos. On prolonge ce ‘sommeil’ pendant des heures, s’il le faut. Pour l’interrompre, on coupe le courant. Le patient se réveille aussitôt.” L’électro-anesthésie testée avec succès depuis deux ans, a déjà permis près de 400 opérations graves. Quels sont ses avantages ? À l’exception des grands hypertendus, elle peut être reçue par n’importe quel patient, quel que soit son âge, sans précaution particulière. Elle facilite les interventions sur les malades dont l’organisme supporte mal les médicaments d’une lourde anesthésie générale. Enfin, elle efface toute sensation de douleur après l’opération, et cela pendant seize heures en moyenne, parfois quarante-huit heures. Cette méthode comporte cependant un mystère : on ne comprend pas encore comment elle parvient à endormir les malades ; on ignore sur quel centre nerveux agit l’orage soporifique qu’elle déclenche à la base du cerveau.

  • Une aide pour instruire les jeunes enfants
    Réveillez-vous ! 1974 | 22 novembre
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