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  • Le ministère chrétien — en quoi consiste-t-il ?
    La Tour de Garde 1972 | 15 mars
    • honnête en dehors de la congrégation (Actes 2:17, 18 ; Héb. 10:24, 25). De toute évidence, la variété de services dans le ministère est telle que tous les vrais chrétiens ont de quoi s’occuper.

      Les éclaircissements apportés sur les divers aspects du ministère chrétien nous sont profitables. Ils nous aident à trouver la joie et la satisfaction dans le service. Les hommes, qui possèdent des aptitudes et des talents variés, voient s’ouvrir devant eux de nombreuses perspectives ; aussi devraient-​ils être encouragés à développer leurs aptitudes spirituelles en vue de servir en tant que surveillants dans l’“œuvre excellente” consistant à faire paître les brebis de Dieu (I Tim. 3:1). Les femmes peuvent comprendre l’importance des services qu’elles rendent à leurs maris chrétiens et à leurs enfants, et elles ont l’assurance que ce ministère a de la valeur aux yeux de Jésus-Christ, le Chef de la congrégation, et aux yeux de Dieu (I Pierre 2:21 ; 3:1-5). De leur côté, les jeunes ont la possibilité de se rendre utiles à la maison et au lieu de réunions, de proposer leur aide aux frères âgés ou malades et de se porter volontaires pour accomplir certaines tâches sous la direction des surveillants. Du reste, tous peuvent et doivent célébrer les louanges de Dieu, à l’intérieur comme à l’extérieur de la congrégation, afin d’assurer leur salut et celui de ceux qui les écoutent — Rom. 10:10.

      En conséquence, comment pouvez-​vous participer au ministère chrétien ? En acceptant Jésus-Christ pour Chef nommé par Dieu, en vous soumettant à lui et en servant aux côtés de sa congrégation. Vous pouvez coopérer avec ceux qui effectuent une œuvre de surveillance et d’enseignement ; vous pouvez aider vos compagnons à adorer Dieu et à le servir, lui et le Christ ; vous pouvez faire connaître la bonne nouvelle à vos semblables. Quelle que soit la tâche, grande ou petite, qui vous est assignée, acceptez-​la avec reconnaissance. Oui, “dans la mesure où chacun de vous a reçu un don, employez-​le en vous servant les uns les autres, comme des intendants accomplis de la bonté imméritée de Dieu exprimée de diverses manières”. — I Pierre 4:10.

  • Questions de lecteurs
    La Tour de Garde 1972 | 15 mars
    • Questions de lecteurs

      ● Est-​il bien de prier pour une personne qui a été exclue de la congrégation chrétienne ?

      D’après la Bible, il ne semble pas convenable qu’un chrétien fidèle prie pour une personne exclue. Les Écritures nomment certaines choses détestables que Dieu hait. Parmi celles-ci on trouve la fornication, l’idolâtrie, l’adultère, l’homosexualité et le vol (I Cor. 6:9, 10 ; Gal. 5:19-21). La loi de Jéhovah ordonne à la congrégation chrétienne d’exclure ceux qui pratiquent de telles choses et qui ne manifestent aucun repentir sincère. Les membres fidèles de la congrégation ne devraient entretenir aucune relation spirituelle avec eux. — Pour un examen du fondement biblique de l’exclusion, voir La Tour de Garde du 1er novembre 1963, pages 667-671.

      Puisque le jugement de ces personnes vient de Dieu, par l’intermédiaire de sa Parole, prier pour elles équivaudrait à lui demander d’ignorer ou d’excuser les péchés d’hommes non repentants qui pratiquent le mal. Les personnes exclues ont méprisé la miséricorde que Dieu accorde joyeusement sur la base de la rançon du Christ à quiconque se repent et se détourne de la mauvaise voie, en demandant sincèrement à Jéhovah de lui pardonner. — I Jean 1:9 ; 2:1, 2 ; 3:4-8 ; Héb. 6:1-8 ; 10:26-31.

      Rappelez-​vous aussi que la Bible confie aux “aînés” ou surveillants nommés de la congrégation la responsabilité de veiller au maintien de sa pureté doctrinale et morale, afin que le courroux de Dieu ne retombe pas sur toute la congrégation. L’apôtre Paul montra clairement cela lorsqu’il ordonna à la congrégation de Corinthe de remédier au péché très grave qu’elle avait négligé. — I Cor. 5:5-8, 12, 13.

      Les “aînés” nommés dans une congrégation doivent accorder la miséricorde s’il y a des preuves d’un repentir sincère (Mat. 9:13 ; Jacq. 3:17 ; 5:11). Mais ils doivent se montrer tout aussi zélés en faveur de la justice et pour préserver la position de la congrégation devant Jéhovah. Paul félicita les frères de Corinthe de s’être montrés indignés en comprenant l’énormité du péché qui avait été commis en leur sein et de l’opprobre jeté sur Dieu. Il les loua pour le zèle avec lequel ils réformèrent leur mauvaise attitude passée qui avait consisté à tolérer une telle pratique inique. — II Cor. 7:8-11.

      À propos de cette question relative à la prière en faveur de personnes exclues, l’apôtre Jean nous éclaire davantage en disant : “Si quelqu’un aperçoit son frère commettant un péché qui ne fait pas encourir la mort, il demandera, et il lui donnera la vie, oui, à ceux qui ne pèchent pas de manière à encourir la mort. Il y a un péché qui fait encourir la mort. C’est à propos de ce péché que je ne lui dis pas de solliciter.” — I Jean 5:16.

      Mais comment peut-​on savoir si une personne a commis un péché encourant la mort ? De toute évidence, Jean fait allusion au péché volontaire et délibéré, qui contraste avec le péché qui n’encourt pas la mort. Lorsque les preuves démontrent qu’un péché volontaire et délibéré a été commis, le chrétien ne voudra pas prier pour celui qui a pratiqué une telle offense (et ces preuves sont nécessaires pour décider d’une exclusion). Il ne s’agit pas là d’une personne ‘ayant fait un faux pas avant qu’elle s’en rende compte’, et qui mérite par conséquent que nous priions pour elle (Gal. 6:1 ; Jacq. 5:19, 20). Évidemment, c’est Dieu qui juge en dernier ressort de l’attitude de cœur du pécheur ; cependant, dans le cas d’une exclusion, le chrétien fera bien de ne pas risquer de voir sa prière être vaine ou déplaire à Dieu.

      Mais qu’en est-​il si un membre de la congrégation pense que le comité des “aînés” a agi durement ou hâtivement en excluant une certaine personne ? Il doit garder présent à l’esprit qu’il ne lui appartient pas de prononcer un tel jugement. Le comité de la congrégation qui examine le cas rassemble toutes les preuves disponibles. Un grand nombre de faits ainsi que l’attitude de l’accusé devant le comité peuvent être ignorés des autres chrétiens. On aurait donc tort de juger l’action du comité sans disposer de toutes les preuves (Prov. 18:13). Un membre de la congrégation aurait également tort d’agir ainsi parce qu’il n’est pas désigné par les Écritures pour juger l’affaire. Jésus lui-​même refusa d’intervenir dans une affaire pour laquelle il n’avait pas été établi juge (Luc 12:13, 14). Si des fautes ou des injustices ont été commises, Jésus-Christ, le Chef de la congrégation et le Berger accompli, les corrigera certainement sans que les chrétiens fidèles en souffrent longtemps. — Col. 1:18 ; Jean 10:14 ; Rév. 3:19.

      La personne exclue peut être un parent ou un ami intime. Depuis son exclusion, elle semble peut-être donner des preuves de repentir. Serait-​il bien de prier pour elle ? Par loyauté envers Jéhovah et les dispositions qu’il a prises, le chrétien s’en abstiendra. Cependant, il puisera du réconfort dans la déclaration suivante de Jéhovah : “Ce que je désire, ce n’est pas que le méchant meure, c’est qu’il change de conduite et qu’il vive.” — Ézéch. 33:11.

      Conformément à cette déclaration de Jéhovah, nous pouvons avoir l’assurance que si une personne exclue se montre réellement repentante, Dieu la relèvera en son temps et veillera à ce qu’elle soit rétablie en union avec la congrégation. Alors, une fois que cette personne aura été réintégrée par la congrégation, le chrétien qui sera resté fidèlement et fermement attaché à la loi de Jéhovah et à la congrégation pourra lui offrir une aide véritable et vitale. — II Cor. 2:5-8.

      ● Que sont les “choses élémentaires du monde” mentionnées dans Galates 4:3 et Colossiens 2:8, 20 ?

      Dans sa lettre aux Galates, après avoir montré qu’un enfant ressemble à un esclave parce qu’il dépend d’autres personnes jusqu’à ce qu’il atteigne l’âge adulte, l’apôtre Paul écrit : “Nous aussi pareillement, quand nous étions tout petits, nous étions sans cesse rendus esclaves par les choses élémentaires appartenant au monde.” (Gal. 4:1-3). Il montre ensuite que lorsque “la pleine limite du temps fut arrivée”, le Fils de Dieu vint et affranchit de la Loi les Juifs qui devinrent ses disciples, afin qu’ils puissent recevoir “l’adoption comme fils”. (Gal. 4:3-7.) Pareillement, dans sa lettre aux Colossiens, Paul mit en garde les chrétiens de Colosses, afin qu’ils ne se laissent pas emporter “par la philosophie et de vaines tromperies selon la tradition des hommes, selon les choses élémentaires du monde et non selon Christ ; parce que c’est en lui que toute la plénitude de la qualité divine habite corporellement”. Ils devaient ‘mourir avec Christ aux choses élémentaires du monde’. — Col. 2:8, 9, 20.

      Mises en opposition avec ce que connaissaient alors ces chrétiens, les “choses élémentaires

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