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  • g79 22/5 p. 29-31
  • Coup d’œil sur le monde

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  • Coup d’œil sur le monde
  • Réveillez-vous ! 1979
  • Intertitres
  • La science confirme la Bible
  • Cerveaux au chômage
  • “... Et si l’homme ne descendait pas du singe?”
  • “Encore un médicament nocif”
  • Les progrès du “roi du Nord”
  • “Il y a encore de braves gens”
Réveillez-vous ! 1979
g79 22/5 p. 29-31

Coup d’œil sur le monde

La science confirme la Bible

La revue française Réalités a publié un article selon lequel “la science a confirmé la Bible: l’univers serait né d’une déflagration inimaginablement violente, il y a environ 15 milliards d’années”. L’article ajoute: “La théorie de la création singulière et instantanée de l’Univers, à un moment précis dans le passé lointain, s’est imposée de façon générale, et les observations des quinze dernières années sont interprétées comme des preuves de son exactitude. L’idée opposée, celle d’un univers permanent, immuable et sans commencement, s’est avérée incapable d’expliquer certaines de ces observations. (...) Ce point de départ, la Bible l’appelle la Création. Les cosmologues le nommèrent le ‘Big Bang’, ou le Grand Boum, car tous les calculs concluent à une déflagration inimaginablement violente. (...) Les estimations courantes situent le Big Bang à environ 15 milliards d’années. Pour ceux qui acceptent la théorie du Big Bang, l’Univers a donc eu un commencement (...). Exposées de façon également brillante et convaincante, les deux principales théories — celle du Big Bang et [celle] de la Création Continue — s’affrontèrent pendant une vingtaine d’années avec une véhémence et une intolérance rarement vues dans un débat d’astronomie. (...) Depuis 1965, rares sont ceux qui croient encore à la création continue. Le coup de grâce à cette théorie imaginative fut porté par une découverte sensationnelle faite par hasard par deux radioastronomes américains des laboratoires Bell, Arno Penzias et Robert Wilson. (...) Ils captèrent un radio-bruit inexplicable, correspondant à un rayonnement thermique de 3 degrés absolus. Le rayonnement mystérieux était uniforme et constant, et venait de toutes les directions, comme si l’Univers entier en était imprégné. (...) Il s’agissait en effet de la chaleur-fossile du Big Bang présente partout, à la température presque exactement prédite par la théorie. Ce fut la meilleure confirmation de l’hypothèse de l’expansion universelle.”

Cerveaux au chômage

“Polytechnique mène à tout, dit la revue Valeurs Actuelles, même au chômage. Le fichier de l’Association pour l’emploi des cadres (Apec) compte en permanence, depuis plusieurs mois, une centaine de ‘X’”, c’est-à-dire d’anciens élèves de la célèbre école.

“... Et si l’homme ne descendait pas du singe?”

Sous ce titre, le quotidien Nice-Matin a rendu compte d’une conférence du professeur Pétrel, membre de l’Académie des sciences de New York et directeur de l’Institut des hautes synthèses, qui expliquait: “Nous avons tous à l’esprit le schéma classique du quadrumane se redressant, empoignant la hache et devenant homme, mais dont aucune preuve n’a jamais été administrée. Car si certains se réfugient dans une évolution unilatérale et font parler les fossiles, le darwinisme, révolutionnaire en son temps, fait de plus en plus figure de dogme ne résistant guère à l’opposition des faits. Nous gardons nos idées périmées par conformisme; or l’hypothèse de la sélection naturelle prêtant à la nature un pouvoir exceptionnel (opposée à l’idée d’un dieu créateur), fait long feu. (...) Gardons-​nous d’un retour à un culte animiste camouflé, à une divinisation du milieu, comme le fait plus d’un manuel récent. (...) Si des hommes avaient atteint la terre au moment des toutes premières manifestations de la vie, ils n’auraient pas survécu, disent certains biologistes. On peut ajouter que la matière est bien trop complexe pour invoquer le hasard. (...) La sélection naturelle, est-​ce vraiment la nécessité? Ces animaux survivant, les plus aptes, aux espèces éliminées, sont contredits par les ‘fossiles vivants’ défiant l’évolutionnisme total, la nature n’éliminant pas d’elle-​même les solutions les moins fiables. ‘C’est un faux messianisme’, dit le professeur Pétrel, qui nous cite l’exemple du dauphin et de la chauve-souris. Tous deux possèdent un sonar de haute fiabilité, ne provenant ni du hasard ni de l’évolution. (...) La vérité du transformisme n’est pas non plus prouvée et tous les fossiles intermédiaires que nous n’avons jamais retrouvés n’existent sans aucun doute que dans notre imagination. (...) ‘Nous devons, conclut M. Pétrel, étudier l’homme dans sa spécificité, sans le faire régresser. On ne peut l’appeler singe parmi les singes. L’homme descendant du singe, c’est un aphorisme, presque une boutade.”’

“Encore un médicament nocif”

Il s’agit du clioquinol, ou chloroiodoquine, qui est utilisé sous diverses appellations contre la diarrhée du voyageur. Les anti-infectieux intestinaux quinoléïques ont été lancés il y a quarante-cinq ans et se sont révélés inefficaces dans la prévention de la diarrhée. Par contre, rapporte L’Express, ce médicament a “engendré une maladie nouvelle très grave. (...) Les Japonais l’ont appelée neuropathie myélo-optique subaiguë. En abrégé, la Smon. Elle rend aveugle, elle paralyse les jambes. Parfois, elle tue. Les chercheurs ont longtemps erré. Puis, ils ont établi la corrélation entre la prise continue de clioquinol et le développement de la Smon. Le gouvernement japonais a ordonné sur-le-champ la destruction de tous les stocks existants. La Smon avait eu le temps de faire mille morts et trente mille handicapés. Dès avril 1976, Jacques Semler Collery, directeur du ‘Coopérateur de France’, avait donné l’alerte en Europe, en présentant dans sa revue les origines et les conséquences de cette épidémie. (...) C’est alors que l’on a découvert que la Smon avait également frappé hors de l’archipel nippon. Onze morts aux Pays-Bas, treize au Danemark, vingt-trois en Allemagne fédérale, dix-neuf en Suisse et douze en France. Provenant des États-Unis, une information officielle indiquait que le clioquinol y avait fait près de quatre cents victimes en 1952 (...). Le même médicament élaboré avec le clioquinol reste soumis à des indications différentes selon les pays. Liberté totale, sans ordonnance ni conseils, en Grande-Bretagne, par exemple. Deux contre-indications et risques optiques ou neurologiques signalés en Belgique, en Irlande, au Luxembourg. Trois contre-indications soulignées en Italie et en France, quatre en Allemagne fédérale. La Norvège et la Suède le boycottent et en réservent l’usage à une maladie rare de la peau.”

Les progrès du “roi du Nord”

D’après La Voix du Nord, “tout indique que le statu quo qui prévalait entre les deux superpuissances depuis plusieurs décennies est désormais rompu. (...) L’Union Soviétique est en passe de ravir aux États-Unis le rôle de gendarme de l’univers que ceux-ci s’étaient attribué au lendemain de la seconde guerre mondiale (...). Il est, en effet, facile de dresser la liste des pays qui ont basculé dans le camp soviétique depuis cette année charnière que fut 1975. Elle est impressionnante: le Sud-Viêt Nam, le Laos, le Cambodge (...), l’Afghanistan, le Yémen du Sud, l’Éthiopie, l’Angola sont devenus de simples satellites de l’URSS qui a cessé, dans le même temps, d’être une puissance purement continentale et fait flotter son drapeau sur toutes les mers. (...) Il convient d’ailleurs de constater que dans tous les cas précités, l’influence soviétique ne s’est pas imposée pacifiquement, librement, par le biais du commerce et de la diplomatie, mais bel et bien par le fer et par le feu. En même temps, Moscou a accru son potentiel militaire dans des proportions fabuleuses et peut prétendre surclasser aujourd’hui l’Amérique dans un certain nombre de domaines essentiels. (...) L’Union Soviétique a ravi en quelques années la place des États-Unis et peut prétendre se parer du titre de première puissance de l’univers (...). Le déclin américain et l’émergence de l’Union Soviétique en tant que première puissance mondiale sont des événements considérables, d’une portée immense”.

“Il y a encore de braves gens”

Le quotidien République Var-Matin rapporte une expérience menée par plusieurs de ses journalistes dans la ville de Toulon: “Comme le Petit Poucet, nous avions semé ici et là des sacs assez anodins contenant des colis qui pouvaient paraître tentateurs, l’un sur un banc du boulevard de Strasbourg, l’autre également sur un banc de l’allée ouest de la place de la Liberté, le troisième dans une cabine téléphonique de l’allée est de cette même place. Chaque colis portait un carton avec un nom et l’adresse de ‘République Var-Matin’. Nous avions décidé de laisser la providence veiller sur le premier, quant aux deux autres nous les avons surveillés du coin de l’œil. (...) Celui qui était sur un banc de la place de la Liberté fut vite fixé sur la puissance de la convoitise. Il ne resta pas deux minutes orphelin. Un homme passa devant, marqua un léger moment d’arrêt, continua son chemin, puis revint sur ses pas. Coup d’œil alentour. Prestement le sac est happé et exploré, et notre homme s’en va en se faisant petit tout en farfouillant fébrilement. Moins d’une minute après, les restes du colis éventré gisent lamentablement dans une corbeille à papier; dépité de n’avoir trouvé que du vide, l’inconnu a tout de même conservé le sac. Dans la cabine téléphonique, le sort du colis a été plus longtemps à se dessiner. (...) Le sac sera à plusieurs reprises exploré (...), puis un couple vient donner un coup de téléphone. Le sac est examiné avec soin, le colis est regardé sous toutes ses faces (...). Je retrouverai le tout à terre, dit le journaliste qui mène l’enquête, mais le colis a été éventré. Devant cette catastrophe, j’ai tout remis soigneusement en place pour voir la suite par curiosité. (...) Deux échecs, c’était beaucoup déjà, heureusement, le colis du boulevard de Strasbourg a été pour nous une source immense de joie, lorsque Mme Cais vint nous le rapporter, confirmant que les braves gens existent bien à Toulon. ‘Pour moi il n’y a pas eu de problème, nous a dit Mme Cais, je suis Témoin de Jéhovah et ma religion m’interdit de m’approprier les biens d’autrui. Je vous rapporte le colis, c’est tout naturel.’” L’article conclut: “Un seul beau geste sur trois. Évidemment, le test n’est pas probant puisqu’il ne porte pas sur un grand nombre, mais les psychologues auraient peut-être là de quoi réfléchir.”

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