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  • Esther
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    • parure de “la personne cachée du cœur, dans le vêtement incorruptible de l’esprit calme et doux”. (I Pierre 3:4.) Grâce à ces qualités, elle obtint la faveur de Hégaï, le gardien des femmes, ainsi que celle du roi lui-​même. Elle n’accordait pas beaucoup d’importance aux parures voyantes, si bien qu’elle “ne demanda rien d’autre que ce que se mit à mentionner Hégaï”. (Esther 2:15.) Elle fit preuve de beaucoup de délicatesse et de maîtrise de soi. Elle était soumise à son mari, Assuérus, devant lequel elle se présenta avec tact et respect quand sa vie et celle de son peuple furent menacées. Elle sut se taire quand il était sage de le faire, mais lorsque cela devint nécessaire, elle parla hardiment, sans crainte et au bon moment (2:10; 7:3-6). Elle accepta de suivre les conseils de son cousin Mardochée, un homme mûr, même au péril de sa vie (4:12-16). En agissant en faveur des Juifs, elle fit preuve d’amour et de fidélité envers son peuple, qui était aussi en relations d’alliance avec Dieu.

  • Esther (Livre d’)
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    • ESTHER (LIVRE D’)

      Livre des Écritures hébraïques qui porte le nom de son personnage principal, bien que certaines copies de la Vulgate latine l’intitulent “Assuérus”, du nom du roi perse qui joue un grand rôle dans le récit. Les Juifs l’appelle Meghillath ʼEstêr ou simplement Meghillâh, ce qui signifie “rouleau, volume”, car, pour eux, il constitue en lui-​même un rouleau très précieux.

      LE RÉDACTEUR DU LIVRE

      Les Écritures ne disent pas qui rédigea le livre d’Esther. Certains biblistes pèsent en faveur de Mardochée. Selon la Grande Synagogue des Juifs, Josèphe et Clément d’Alexandrie, Mardochée en est le rédacteur. Celui-ci était bien placé pour connaître, dans leurs moindres détails, tous les faits rapportés dans le récit: ceux dans lesquels Esther et lui-​même était impliqués, les agissements des membres de la famille de Haman et, en particulier, ce qui se passait à Suse le château. Quand il fut nommé premier ministre du roi Perse, il put accéder aux documents officiels mentionnés dans le récit. Ainsi, tout comme Daniel, Esdras et Néhémie occupèrent des postes officiels dans le gouvernement perse à différentes époques et rédigèrent des livres bibliques qui décrivaient les rapports entre les Juifs et cette puissance mondiale, de même, selon toute vraisemblance, Mardochée était le mieux placé pour écrire le livre d’Esther, avec la bénédiction de Jéhovah.

      CIRCONSTANCES HISTORIQUES

      Le récit situe les événements sous le règne d’Assuérus, roi de Perse, à l’époque où l’Empire perse s’étendait de l’Inde à l’Éthiopie et comprenait 127 provinces ou districts juridictionnels (Esther 1:1). Ces renseignements, outre le fait qu’Esdras inclut ce livre dans le canon de la Bible, permettent de situer les événements pendant le règne d’un des trois rois suivants dont parle l’Histoire: Darius Ier le Perse, Xerxès Ier ou Artaxerxès Longuemain. Toutefois, on sait que Darius Ier et Artaxerxès Longuemain se sont tous deux montrés favorables aux Juifs avant la douzième année de leur règne. Or cela ne correspond pas à L’Assuérus du livre d’Esther qui semblait mal connaître les Juifs et leur religion, et qui n’était pas favorablement disposé à leur égard. En outre, on sait que Xerxès Ier fit un grand banquet et tint un conseil de guerre dans la troisième année de son règne, avant de faire campagne contre la Grèce, ce qui tend à confirmer qu’il est bien l’Assuérus du livre d’Esther (Esther 1:3). D’ailleurs la Traduction Œcuménique de la Bible substitue même dans son texte le nom de Xerxès à celui d’Assuérus. Xerxès Ier commença à régner en 486 avant notre ère et, d’après les écrits de Thucydide (Ve s. av. n. è.), considérés conjointement avec une table chronologique de Diodore (Ier s. av. n. è.), son règne s’acheva vers 474. Il régna donc environ douze ans et commença sans doute sa treizième année, comme l’indiquent les dates mentionnées en Esther 3:7 et 9:1, ainsi que les événements décrits en Esther 9:15 à 10:3. Puisque les premiers événements relatés dans ce livre eurent lieu durant la troisième année du règne d’Assuérus et que le récit s’étend sur le reste de son règne, le livre couvre donc une période d’une dizaine d’années de 484 environ à 474. — Voir ASSUÉRUS No 3.

      Le livre d’Esther fut certainement rédigé vers l’an 474, peu après les événements qu’il rapporte. Le style coloré du récit laisse à penser qu’il fut écrit par un témoin oculaire. En outre, puisque tout porte à croire que le rédacteur eut accès aux archives gouvernementales (Esther 10:2), le livre fut très probablement écrit à Suse, dans la province alors perse d’Élam. D’ailleurs, l’hébreu parsemé de mots perses et chaldéens qui est utilisé dans le texte correspond bien à la date et au lieu de rédaction évoqués plus haut.

      Esdras a peut-être apporté le livre de Babylone à Jérusalem en 468, car il figurait déjà dans le canon de la Grande Synagogue de Jérusalem avant que celle-ci disparaisse, vers l’an 300 avant notre ère.

      AUTHENTICITÉ ET CANONICITÉ

      Certains mettent en doute la canonicité du livre d’Esther sous prétexte qu’il n’est ni cité ni même évoqué dans les Écritures grecques chrétiennes. Mais cet argument n’est pas concluant, car on peut en dire autant d’autres livres bibliques dont la canonicité est bien établie. Esdras ou l’Ecclésiaste par exemple. Méliton de Sardes, Grégoire de Nazianze et Athanase sont de ceux qui l’omirent dans leur liste des livres canoniques. Par contre, Jérôme, Augustin et Origène le citent nommément. Dans la collection Chester Beatty, les livres d’Ézéchiel, de Daniel et d’Esther font partie du même codex, lequel fut probablement compilé dans la première moitié du troisième siècle de notre ère. Son autorité ne semble jamais avoir été contestée par les Juifs ni par les premiers chrétiens dans leur ensemble. Dans leur Bible, les Juifs placent Esther après le Pentateuque, entre les livres de Josué et de l’Ecclésiaste ou, parfois parmi les Hagiographes (les Écrits), entre l’Ecclésiaste et Daniel.

      Des passages apocryphes furent insérés plus tard dans le livre. Certains biblistes situent leur rédaction vers l’an 100 avant notre ère, soit environ 300 ans après que le canon des Écritures eut été fixé, selon la tradition.

      On a accusé l’ouvrage d’exagération parce qu’il mentionne un banquet long de 180 jours dans la troisième année du règne d’Assuérus (1:3, 4). Cependant, certains on fait remarquer que le roi a pu organiser un aussi long festin pour recevoir la multitude des fonctionnaires venus des nombreuses provinces qui ne pouvaient pas, en raison de leurs charges, se libérer tous en même temps ou pour toute la durée de la fête. D’ailleurs, le texte ne dit pas que le banquet dura tout ce temps, mais que le roi leur montra les richesses et la gloire de son royaume pendant 180 jours. Les versets 3 et 5 du premier chapitre parlent tous deux d’un banquet. Il ne s’agissait peut-être pas de deux festins différents, mais le banquet de sept jours à l’intention de tous les habitants de Sure le château, banquet qui clôturait la grande assemblée, pouvait être aussi celui qui est mentionné au verset 3 1:3 (Keil et Delitzsch, Commentaries on the Old Testament, “Esther”). L’importance de l’assemblée et de la fête s’accorde avec les déclarations d’Hérodote sur les préparatifs entrepris par Xerxès en vue de sa campagne en Grèce.

      Sous prétexte que le livre ne mentionne pas directement Dieu, on l’a accusé d’être un ouvrage profane. Toutefois, il décrit le jeûne et l’“appel à l’aide” des Juifs, actes qui impliquaient des prières (4:3, 16; 9:31). En outre, l’insomnie providentielle du roi (6:1), ainsi que l’allusion qui fut faite au rôle du dessein de Dieu dans l’accession d’Esther à la dignité royale (4:14), indiquent que Dieu dirigeait les événements. Enfin, l’attitude de Mardochée, qui refusa catégoriquement de s’incliner devant Haman, un Agaguite, ennemi de Dieu, c’est-à-dire vraisemblablement un descendant de la lignée royale des Amalécites, prouve qu’il était un adorateur de Jéhovah. — 3:1-6; Ex. 17:14.

      Preuves historiques et archéologiques

      Des découvertes historiques et archéologiques sont venues confirmer l’authenticité du livre d’Esther. Quelques exemples suffiront à le montrer. La façon dont les Perses honoraient un homme est décrite avec exactitude (Esther 6:8). Le blanc et le bleu (ou violet) étaient des couleurs royales perses. Esther 8:15 déclare que Mardochée portait “des vêtements royaux d’étoffe bleue et de lin”, ainsi qu’une cape d’un violet rougeâtre.

      Esther “vint se placer dans la cour intérieure de la maison du roi, vis-à-vis de la maison du roi, alors que le roi était assis sur son trône royal, dans la maison royale, vis-à-vis de l’entrée de la maison. Et il advint, dès que le roi vit Esther, la reine, se tenant dans la cour, qu’elle s’attira de la faveur à ses yeux”. (5:1, 2.) Des fouilles ont révélé toute la véracité de cette description détaillée. Un couloir menait de la maison des femmes à la cour intérieure, tandis que la salle du trône, dans le palais, se trouvait juste en face, de l’autre côté de la cour. Le trône était placé au fond de la salle, au milieu par rapport aux murs latéraux, et, de là, le roi pouvait regarder au-dessus de l’écran intermédiaire et voir la reine qui attendait d’être reçue. D’autres détails du livre montrent que le rédacteur connaissait très bien le palais. I va sans dire que les objections formulées contre ce livre, sous prétexte qu’il ne serait ni historique ni exact dans sa description des mœurs et des costumes perses, sont dénuées de tout fondement.

      On trouve une preuve éclatante de l’authenticité de ce livre dans la fête des Purim ou des “Sorts” que les Juifs commémorent encore aujourd’hui. En ce jour anniversaire, on lit le livre d’Esther en entier dans les synagogues. On dit qu’une inscription en caractères cunéiformes trouvée à Borsippa mentionne un fonctionnaire perse du nom de Mardukâ (Mardochée?), qui vivait à Suse à la fin du règne de Darius Ier ou au commencement du règne de Xerxès Ier.

      CONTENU

      Après avoir situé brièvement le cadre, le chapitre 1 décrit une scène qui se déroule dans la cour du jardin du palais du roi où l’on donne un grand banquet pour tous les habitants de Suse le château. La fête est à son comble quand le roi Assuérus ordonne qu’on fasse venir la reine Vaschti pour qu’elle montre sa beauté au peuple et aux princes. Mais la reine refuse d’obéir. Alors, sur le conseil de ses princes, le roi la dépose et fait proclamer la nouvelle à tous les peuples de son royaume.

      Selon le chapitre 2, des dispositions sont prises pour rassembler au château toutes les belles jeunes filles vierges de l’empire et pour leur donner un traitement de beauté avant de le présenter au roi. Il choisira l’une d’entre elles comme nouvelle reine. C’est une jeune fille juive nommée Esther qui est choisie. Elle a pour tuteur son cousin Mardochée, serviteur à la porte du roi.

      Le chapitre 3 relate la promotion de Haman et montre comment il réussit à obtenir du roi l’autorisation de promulguer un décret ordonnant la destruction de tous les Juifs de l’empire.

      Alors Mardochée exhorte Esther à intercéder pour son peuple, bien que cela lui fasse risquer sa vie. — Esther 4:2-17.

      Esther paraît devant le roi sans y avoir été invitée et le prie d’assister avec Haman à un banquet le jour même. Après le banquet, le récit nous transporte dans la maison de Haman où celui-ci s’est réuni avec un groupe d’amis. Tous décident d’ériger un poteau haut de 50 coudées pour y pendre Mardochée. — Esther 5:1-14.

      Haman se présente devant le roi pour solliciter l’exécution de Mardochée. Au lieu de cela, le roi lui demande d’honorer Mardochée pour le service qu’il lui a rendu en révélant un complot contre sa vie. Haman se voit donc obligé de revêtir Mardochée des habits royaux et de le promener à cheval sur la place publique en criant: “Voici comment on fait à l’homme dans l’honneur duquel a pris plaisir le roi lui-​même.” Après cette épreuve humiliante, Haman se hâte de rentrer chez lui. — Esther 6:4-14.

      Esther donne un second banquet. À la demande du roi courroucé, elle révèle que l’instigateur du complot destiné à exterminer tous les Juifs de l’empire, y compris elle-​même, n’est autre que Haman. Sur quoi le roi fait pendre Haman au poteau qu’il avait préparé pour Mardochée. — Esther 7:1-10.

      Puisque le décret ordonnant la mort des Juifs est irrévocable, suivant la coutume médo-perse, on publie un nouveau décret qui autorise les Juifs à se défendre. — Esther 8:1-17.

      Le chapitre 9 relate comment les Juifs abattirent leurs ennemis à Suse et dans toutes les provinces. Les dix fils de Haman sont mis à mort et leurs cadavres sont pendus. Mardochée et Esther donnent l’ordre de commémorer cette délivrance chaque année, les 14 et 15 Adar. Ces jours sont appelés Purim, nom qui vient de ce que Haman fit jeter le Pur, ou le sort, pour déterminer le jour propice à l’exécution des Juifs.

      Le chapitre 10 conclut en mentionnant brièvement la grandeur de Mardochée et l’ardeur avec laquelle il travaille au bien de son peuple.

      Voir le livre “Toute Écriture est inspirée de Dieu et utile”, pp. 87-90.

  • Estomac
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    • ESTOMAC

      Ce mot ne se trouve qu’une seule fois dans les Écritures, lorsque L’apôtre Paul recommande au jeune Timothée d’user d’un peu de vin, à cause de son estomac (I Tim. 5:23). Apparemment, dans un certain nombre de cas, les mots hébreux traduits par “ventre” et “parties internes” incluent aussi l’estomac (Prov. 13:25; Jonas 1:17). On peut dire la même chose de l’emploi du mot “ventre” dans les Écritures grecques chrétiennes, comme, par exemple, en Romains 16:18 et en I Corinthiens 6:13. — Voir VENTRE.

  • Êta
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    • ÊTA

      {Article non traduit.}

  • Étable
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    • ÉTABLE

      Voir CRÈCHE, ÉTABLE.

  • Étain
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    • ÉTAIN

      Le terme hébreu bedhîl désigne ce qui est séparé ou enlevé des métaux précieux par fusion. Il est utilisé en Ésaïe 1:25: “Je fondrai tes scories comme avec de la lessive, et j’enlèverai tous tes déchets [bedhîl].” La Bible mentionne l’étain pour la première fois peu après l’exode, lorsqu’elle l’inclut parmi les riches dépouilles prises aux Madianites (Nomb. 31:2, 22). Il n’y avait pas de mine d’étain en Palestine; le lourd oxyde d’étain de couleur sombre appelé “cassitérite” venait des sables fluviaux de Tarsis et d’Angleterre (Ézéch. 27:12). Des six métaux produits dans les fourneaux des anciens métallurgistes, l’étain avait le point de fusion le plus bas, 232 °C seulement (Ézéch. 22:18, 20). Il semble qu’on utilisait l’étain pour faire des fils à plomb, car en Zacharie 4:10 (qui parle du “plomb”) le texte massorétique met: “la pierre [ou “le poids”], l’étain”. En Amos 7:7, 8, le mot hébreu traduit par “fil à plomb” peut signifier étain ou plomb. Toutefois, on utilisait surtout l’étain pour durcir des alliages; on a trouvé d’anciens spécimens de bronze qui contenaient entre 2 et 18 pour cent d’étain incorporé au cuivre.

  • Étam
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    • ÉTAM

      {Article non traduit.}

  • Étang
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    • ÉTANG

      Grand réservoir à ciel ouvert où l’eau peut être recueillie et gardée en réserve. Les étangs artificiels étaient creusés dans le sol ou taillés dans le roc. Parfois, ils étaient situés à l’intérieur des villes et reliés à des sources par des conduits. Ce système garantissait aux habitants une réserve d’eau même en cas de siège. Certains de ces étangs étaient à l’origine, des cavités naturelles, comme des grottes, qui avaient été agrandies et aménagées.

      Parmi les différents étangs mentionnés dans les Écritures, on peut citer ceux de Gabaon (II Sam. 2:13), d’Hébron (II Sam. 4:12), de Hesbon (Cant. 7:4), de Samarie (I Rois 22:38) et de Jérusalem. D’aucuns pensent que les étangs réalisés par le Convocateur (le roi Salomon) pour servir à l’irrigation pouvaient être les réservoirs qu’on a découverts au sud de Bethléhem (Eccl. 2:6). L’eau des sources voisines était collectée dans ces bassins, puis transportée à Jérusalem au moyen d’un aqueduc long de quelque 65 kilomètres.

      LES ÉTANGS DE JÉRUSALEM

      On pense que l’emplacement de l’ancien étant de Siloam (Jean 9:7) était à peu de chose près celui de l’actuel Birket Siloân, immédiatement au sud-ouest de la Ville de David. C’est probablement aussi le site approximatif de l’étang du roi Ézéchias, sur lequel débouchait le canal qu’il avait construit pour amener les eaux de la source de Guihon à Jérusalem. — II Rois 20:20; II Chron. 32:30.

      Lorsqu’elle parle du “vieil étang” (És. 22:11), de “l’étang supérieur” (II Rois 18:17; És. 7:3; 36:2) et de “l’étang inférieur” (És. 22:9), la Bible ne donne aucune indication sur leur emplacement exact par rapport à la ville de Jérusalem. — Voir ÉTANG DU CANAL.

      “L’Étang du Roi” se trouvait vraisemblablement entre la Porte des Monceaux de Cendres et la Porte de la Fontaine (Néh. 2:13-15). Il s’agissait peut-être de l’étang mentionné en Néhémie 3:16.

      En ce qui concerne l’étang de Bethzatha, voir BETHZATHA.

      ÉTANGS COUVERTS DE ROSEAUX

      Alors que le terme hébreu berêkhâh signifie “étang” (dans le sens de réservoir artificiel), le mot ʼagam veut dire “étang couvert de roseaux”. Il s’agissait probablement d’une étendue d’eau naturelle accumulée dans une cavité (Ex. 7:19; 8:5; Ps. 107:35; 114:8; És. 35:7; 41:18). La prophétie selon laquelle Dieu ferait de Babylone “des étangs couverts de roseaux” montre en termes imagés à quel point elle serait désolée. — És. 14:23.

  • Étang du Canal
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    • ÉTANG DU CANAL

      Étang ou réservoir situé probablement au sud de la Ville de David, là où la vallée de Hinnom et la vallée centrale (Tyropœon) se rejoignent (Néh. 3:15). Il semble qu’on l’appelait également “l’étang inférieur”. — És. 22:9.

      On a découvert les vestiges d’un canal qui se dirigeait vers le sud à partir de la source de Guihon, en longeant la rive du Cédron, pour déboucher dans un ancien réservoir qu’on appelle aujourd’hui Birket el-Hamra. Certaines portions du canal étaient recouvertes de dalles de pierre, mais il devait y avoir des ouvertures qui permettaient de puiser de l’eau pour irriguer une partie de la vallée. Il est peut-être fait allusion à la pente douce de ce canal dans l’expression “les eaux de Siloé, qui vont paisiblement”. (És. 8:6.) L’emplacement de Birket el-Hamra correspond au lieu où Néhémie situe l’Étang du Canal, près du Jardin du Roi et de l’Escalier qui monte à l’extrémité sud de la Ville de David. En arabe, le mot ḫamra désigne une sorte de mortier qu’on utilise dans la fabrication de citernes et de sols imperméables.

  • Éteignoirs
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    • ÉTEIGNOIRS

      On pense que le vocable hébreu traduit, entre autres, par “mouchettes” (TOB), “couteaux” (Jé) et “éteignoirs” (MN) provient d’une racine (zâmar) qui signifie “tailler, émonder”. Certains pensent donc qu’il s’agissait d’ustensiles semblables à des ciseaux qui servaient de mouchettes. Ceci dit, tout ce que l’on sait vraiment sur eux, c’est qu’ils étaient en or ou en cuivre et qu’on les utilisait pour le service du temple. — I Rois 7:50; II Rois 12:13; 25:14.

  • Étendue
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    • ÉTENDUE

      (héb. râqîaʽ, étendue, extension).

      Au sujet de la deuxième période ou “jour” de création, nous lisons en Genèse 1:6-8: “Puis Dieu dit: ‘Qu’une étendue se fasse entre les eaux et qu’une séparation se produise entre les eaux et les eaux!’ Alors Dieu se mit à

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