BIBLIOTHÈQUE EN LIGNE Watchtower
Watchtower
BIBLIOTHÈQUE EN LIGNE
Français
  • BIBLE
  • PUBLICATIONS
  • RÉUNIONS
  • Questions de lecteurs
    La Tour de Garde 1961 | 15 août
    • appliquant une telle liberté dans l’exercice du culte, il montrera à sa femme qu’il l’aime comme lui-​même. — Éph. 5:28, 29.

      De même, le père incroyant, en tant que chef du foyer, peut déterminer la religion de ses enfants. Cependant, en considérant le fait que la mère est responsable de la conduite des enfants en l’absence du père, elle doit leur inculquer de justes principes et leur rendre témoignage quand l’occasion se présente. Au cas où le mari s’y opposerait fermement, elle ne peut les prendre avec elle dans le service ou les emmener aux réunions. Mais elle peut, par différents moyens, continuer à enseigner à ses enfants les principes et vérités bibliques. Si les enfants posent des questions, elle a le droit de leur répondre.

      Supposez qu’un père incroyant demande que l’on salue un drapeau. Puisque chaque chrétien est instruit par la Parole de Dieu pour présenter une défense de ses croyances et actes, une mère chrétienne a le droit de confesser une telle défense et de donner une explication, non seulement à ses enfants, mais encore à son mari, afin que toute sa famille comprenne sa fidélité aux principes chrétiens (I Pierre 3:15). “ Dans ce cas, le père est opposé à ce que les enfants adoptent la position de la mère à l’égard du salut au drapeau. Alors, en dehors du fait d’avoir expliqué aux enfants ce que les Écritures ont à dire sur ce sujet, la mère n’aurait pas raison d’insister pour que ceux-ci se soumettent à ce principe scriptural car le père, qui est le chef du foyer, leur a demandé de participer à cette cérémonie. Les enfants auront à considérer la volonté du père. La mère ne peut s’interposer en envoyant une lettre au maître de l’enfant pour lui demander de le dispenser de la cérémonie qui va avoir lieu. Cependant, après avoir appris la position de leur mère et s’être rendu compte qu’elle était scripturale, conforme à la volonté de Dieu et que, d’après leur propre conscience, ils prennent position à l’école ou ailleurs, refusant de participer à de telles cérémonies, alors, une telle attitude est due à la persévérance de la mère ; mais elle est le fruit de la libre détermination de l’enfant et le mari ne peut le reprocher à sa femme. C’est la responsabilité de l’enfant de prendre position suivant sa propre conscience, et si son père vient à le punir pour avoir refusé de participer à des cérémonies patriotiques, il souffre alors pour la cause de la justice. — I Pierre 2:19, 20.

      En harmonie avec le conseil énoncé en I Pierre 3:1-6, la femme chrétienne vouée mariée à un incroyant aura une conduite exemplaire ; elle montrera un profond respect pour son mari et enseignera de même aux enfants. Elle ne manquera toutefois pas de participer activement à la vraie adoration et, par sa conduite fidèle et les choses dont elle parle, elle exercera une forte influence à la fois sur son mari et sur ses enfants, afin qu’ils puissent être sauvés. — I Cor. 7:14, 16.

      Dans le cas où un enfant montre de l’appréciation pour les vérités bibliques apprises de la bouche du parent croyant, il doit se laisser guider aussi par les principes chrétiens. Le parent incroyant peut cependant insister pour que l’enfant aille à l’église. Mais l’enfant, mineur, soumis comme il se doit à son père, devra obéir. À l’église, il ne peut participer dans son esprit aux cérémonies idolâtres et lorsqu’il en aura l’occasion, il défendra la Parole de son Père céleste. Si un parent incroyant lui demande un acte qui violerait directement la loi de Dieu, l’enfant sera alors guidé par le conseil de la Bible : “ Il faut obéir à Dieu plutôt qu’aux hommes. ” “ Celui qui aime son père ou sa mère plus que moi n’est pas digne de moi. ” “ Enfants, obéissez à vos parents selon le Seigneur, car cela est juste. ” — Actes 5:29 ; Mat. 10:37 ; Éph. 6:1.

      Ainsi, en toute occasion, les membres voués apprécieront bien les circonstances dans lesquelles ils se trouvent. Ils reconnaîtront que leur responsabilité première est envers Dieu et, en harmonie avec ce fait, ils se soumettront au Dieu qui a donné des instructions pour reconnaître la tête du foyer et ils montreront l’amour et le profond respect qui y sont attachés.

  • Chantez et faites entendre des sons joyeux !
    La Tour de Garde 1961 | 15 août
    • Chantez et faites entendre des sons joyeux !

      L’EXÉCUTION était excellente. Le jeune garçon observait les musiciens avec une attention profonde, tout entier aux gestes des nombreux instrumentistes. “ C’était vraiment merveilleux, n’est-​ce pas grand-mère ? ” “ Oui ! André, c’est l’un des précieux dons que l’homme reçut de Dieu, le don et le talent de la mélodie, l’art d’exprimer en musique et en chants toutes ses émotions. Mais, comme pour tous les talents de l’homme, si innés qu’ils soient, il faut les cultiver et les former. Aujourd’hui, dans le cercle familial, on joue moins de la musique et l’on chante moins ; c’est si facile de tourner le bouton de la radio ou de mettre un disque sur le pick-up pour entendre les musiciens professionnels, plutôt que d’écouter un amateur à la maison. ”

      “ Grand-mère, je suppose que les hommes ont toujours chanté, mais je me demande quand ils commencèrent à faire de la musique. ”

      “ À travers les siècles, la musique et le chant semblent avoir joué un rôle significatif dans les événements marquants et joyeux. La Bible se réfère de nombreuses fois à des cantiques, au chant et à des instruments de musique. Voyons donc ce que nous pouvons y trouver !

      “ Il est tout naturel de supposer que le premier homme, Adam, et sa femme, Ève, chantaient de joie, de la simple joie de vivre dans la perfection, le murmure de l’eau et le chant des oiseaux leur donnant la note. Leurs enfants, bien que nés imparfaits, apprirent vite l’art d’unir ces sons pour créer des compositions offrant une facture et une signification bien définies, conformément aux lois de la mélodie, de l’harmonie et du rythme. Grâce à son pouvoir créateur, à la force de ses émotions, l’homme vit les innombrables possibilités de combiner ces sons et de produire d’expressives mélodies.

      “ L’homme apprit donc rapidement l’art de fabriquer des instruments qui marquaient le rythme et accompagnaient les mélodies qu’il avait créées, car nous lisons au sujet de Jubal, au début de l’histoire de l’humanité : “ Il fut le père de tous ceux qui jouent de la harpe et du chalumeau. ” (Gen. 4:21). Laban parle de chants, du tambourin et de la harpe (Gen. 31:27). Un grand événement historique célébré par des chants fut la délivrance d’Israël près de la mer Rouge. Les Israélites semblaient pris au piège par les Égyptiens, qui s’en approchaient dangereusement, mais Dieu fraya miraculeusement dans les eaux un chemin pour son peuple ; celui-ci traversa la mer à pied sec et parvint en lieu sûr. Là il vit le bras puissant de Jéhovah qui s’était levé en sa faveur. Remplis d’une ineffable gratitude et d’une indicible crainte, tous éclatèrent en un magnifique chant de louange et de triomphe : “ Alors Moïse et les enfants d’Israël chantèrent ce cantique à Jéhovah ; ils dirent : Je chanterai à Jéhovah, car il a fait éclater sa gloire : Il a précipité dans la mer cheval et cavalier. Marie (...) prit à la main un tambourin, et toutes les femmes vinrent à sa suite avec des tambourins et en dansant. Marie répondait aux enfants d’Israël : Chantez Jéhovah, car il a fait éclater sa gloire : Il a précipité dans la mer cheval et cavalier. ” — Ex. 15:1, 20, 21, AC.

      “ C’est le plus ancien des cantiques consignés et préservés pour nous dans la Bible. Le deuxième par ordre de date, celui de Débora et de Barak, est rapporté dans le cinquième chapitre du livre des Juges. Ce chant magnifie Jéhovah, décrit une grande délivrance de sa part et montre le lien unissant Dieu et l’homme grâce à la musique et au chant.

      “ Quand nous pensons à la musique et au chant rapportés dans la Bible, immanquablement David nous vient à l’esprit. Il fut l’un des premiers musiciens, car il composa, joua et chanta des cantiques, organisa un orchestre et un chœur merveilleux pour adorer Jéhovah dans le sanctuaire. ”

      “ Grand-mère, je me demande de quels instruments se composait l’orchestre de ce lointain passé ? ”

      INSTRUMENTS DE MUSIQUE DE LA BIBLE

      “ Eh bien ! Nous jetterons un regard sur les divers instruments, que nous classerons en trois catégories : Les instruments de percussion, les instruments à vent et les instruments à cordes. Certains étaient tout à fait primitifs ; d’autres, d’une singulière beauté. L’archéologie nous a révélé bien des choses du passé reculé.

      “ Voyons en premier lieu les instruments à percussion. D’abord le tambourin. C’était un petit tambour à une seule peau. Il était formé d’un disque légèrement bombé en bois recouvert de peau d’un seul côté et que l’on frappait des doigts ou de la main. Son âge remonte très loin. On l’utilisait fréquemment dans les fêtes familiales ; c’étaient le plus souvent les femmes qui en jouaient pour accompagner les chants et marquer le temps pour les danses. C’est probablement la raison pour laquelle nous ne le trouvons pas dans l’orchestre du temple, puisque les femmes restaient derrière, dans la Cour des femmes. C’est probablement de cet instrument que jouaient Marie et ses suivantes, ainsi que la fille de Jephthé lorsqu’elle sortit à la rencontre de son père pour célébrer sa victoire sur les Ammonites.

      “ Viennent ensuite les cymbales. Composées de deux parties distinctes, elles sont faites de disques de cuivre, concaves, certains presque plats, d’autres consistant en cônes creux destinés à être frappés l’un contre l’autre. Asaph, premier musicien de David, était un cymbalier professionnel. Sous Esdras, 128 joueurs de cymbales de la famille d’Asaph revinrent de l’exil.

      “ Les instruments à vent étaient surtout des flûtes, des chalumeaux et des cors. Le simple chalumeau était tenu verticalement et comportait à l’un des bouts une embouchure par laquelle on faisait parler l’instrument. Il en existait un autre dont on jouait comme d’une flûte et que l’on tenait de la même manière. On se servait de chalumeaux se composant de un, deux ou davantage de roseaux. On les utilisait dans l’orchestre pour accompagner les joyeux chants et les louanges religieuses, mais les prêtres en interdirent l’usage dans le temple, à cause des associations païennes.

      “ La trompette et le cor, instruments à vent, étaient faits de cornes de bœufs ou de béliers ou de cornes artificielles. Plus tard, on les fit d’argent et d’autres métaux. On en jouait pour rassembler l’armée ou sonner l’alarme ; et les prêtres s’en servaient pour annoncer les fêtes. La trompette proclamait l’avènement du roi et le début de l’année du jubilé. À la dédicace du temple, 120 trompettes d’argent furent utilisées. ”

      INSTRUMENTS À CORDES

      “ Nous en venons maintenant aux instruments à cordes. Ils se composaient d’un coffre de bois et de cordes de boyau ; on en jouait avec les doigts ou un plectre de bois, d’ivoire ou de métal. La harpe, d’un usage courant, était un instrument à cordes de forme triangulaire, dont les cordes étaient tendues entre la table d’harmonie et le manche courbé et pincées avec les doigts. Il y en avait de deux sortes. La plus grande, de la hauteur d’un homme, était richement sculptée, de forme élégante et touchée des deux mains. La plus petite, portable, était en vogue en Israël. On pouvait la suspendre au cou, la porter sur soi ou la mettre sur un tabouret pour en jouer. C’était l’instrument dont jouait Jubal. David toucha habilement de la harpe pour calmer Saül pendant ses accès de folie. C’était l’instrument que, dans leur affliction, les Israélites en exil accrochaient aux saules de Babylone.

      “ Le psaltérion ressemblait à la harpe. Il était accordé sur le registre du soprano tandis que la harpe l’était sur l’octave inférieure. Les deux instruments s’harmonisaient donc parfaitement dans l’orchestre. Les cordes étaient de boyau ; l’une des variétés en comptait dix. Un expert en la matière décrit le psaltérion comme étant de forme triangulaire ; un autre, comme ayant la table d’harmonie au-dessus des cordes.

      “ David était connu comme le “ chantre agréable d’Israël ”. (II Sam. 23:1.) Il fit monter l’arche de l’alliance à la ville de David, avec accompagnement de chants, de lyres, de harpes, de tambourins, de castagnettes et de cymbales. Il composa de nombreux cantiques de louange et de prière, lesquels sont rapportés pour nous dans les Psaumes ; ils étaient chantés, accompagnés de la harpe et du psaltérion. Il est certain que nul autre recueil de chants n’a été mieux connu ni lu davantage que celui-là. Traduits en plusieurs centaines de langues, ils ont été chantés depuis plus de 3 000 ans. Nul autre cantique ne révèle comme ceux-là les émotions du cœur : la foi et la confiance, la douleur et le désespoir, l’espérance et l’assurance, l’exultation et la contrition. Nulle part ailleurs, Jéhovah n’est l’objet de tant de révérence et de bénédictions, de supplications et de prières, de louanges et d’adoration.

      “ Trois chefs de musique, Asaph, Héman et Jeduthun, prêtèrent leur concours à David. Sous son règne, le chœur des chantres et des musiciens comptait 4 000 membres (I Chron. 23:5). 288 d’entre eux étaient des musiciens d’élite, soutenus par un corps d’assistants moins habiles. Ils étaient divisés en vingt-quatre classes, comprenant chacune douze excellents musiciens. L’orchestre se composait d’instruments à cordes et de cymbales. On sait peu de chose du caractère de la musique. Les Hébreux avaient une gamme de huit notes. Leurs chœurs sacrés chantaient probablement tous la même simple mélodie, toutefois les chœurs étaient divisés en deux parties dont l’une était à une octave supérieure et qui représentaient les voix masculine et féminine. Plusieurs psaumes étaient composés de telle sorte que les chanteurs se répondaient. ”

      “ Il aurait été intéressant d’assister à l’une des fêtes en Israël, n’est-​ce pas, grand-mère ? ”

      “ Certainement. Nous aurions vécu des instants émouvants. Représente-​toi l’inauguration du temple de Salomon, telle qu’elle est rapportée dans II Chroniques, au chapitre cinq ! Tout Israël est là ! La plupart des adorateurs présents passent la nuit en plein air, sur le mont des Oliviers et aux alentours de la ville. L’aube se lève ; le son de la trompette d’argent retentit sur les collines environnantes. Un grand frisson d’allégresse et d’attente heureuse agite le camp qui s’éveille, tandis que les gens se lèvent et se préparent pour ce jour mémorable. L’arche de l’alliance va être amenée dans le Très-Saint et la dédicace du nouveau temple va commencer. De tous côtés, une foule immense se dirige vers le lieu où se dresse le temple, elle chante probablement à l’unisson tout en montant ; les femmes et les jeunes filles ont leurs tambourins, les hommes, fort nombreux, portent leur harpe ou leur luth, leur flûte ou leur chalumeau.

      “ L’orchestre et le chœur ont pris place à l’est de l’autel. Les participants sont vêtus de fin lin et portent des cymbales et des instruments à cordes, cithares, psaltérions, lyres et harpes gracieuses. Cent vingt prêtres les soutiennent ; portant des vêtements impeccables, chacun d’eux tient une trompette d’argent luisante. Écoutez ! Les trompettes d’argent sonnent, le silence descend sur la foule qui attend, les cymbales résonnent tandis que le chef de musique donne le premier accord. Le puissant orchestre joue le principal refrain. Les chanteurs lévites, par centaines, élèvent leurs voix dans un glorieux chant de louange. Lorsqu’ils “ firent retentir les trompettes, les cymbales et les autres instruments de musique, et célébrèrent Jéhovah (...) la gloire de Jéhovah remplissait la maison de Dieu ”. — II Chron. 5:13, 14, AC.

      GLORIFIER JÉHOVAH AUJOURD’HUI

      “ Aujourd’hui, les témoins de Jéhovah le glorifient en chantant “ le cantique nouveau ” et en proclamant de maison en maison le message du royaume établi de Dieu. Les témoins de Jéhovah reconnaissent donc que l’exercice de la vraie adoration est la chose de toute première importance et qu’elle l’emporte sur le chant et la musique. Ils évitent la cagoterie et le sectarisme dans leurs louanges, s’attachant à la langue pure de la Bible. Dans leurs réunions d’assemblées et dans leurs grands rassemblements, ils chantent à Jéhovah de joyeux chants de louange avec enthousiasme. Lors de l’Assemblée internationale de la volonté divine des témoins de Jéhovah, qui s’est tenue à New-​York, au Yankee Stadium et dans les Polo Grounds, en 1958, il y avait deux orchestres, se composant chacun d’une centaine de musiciens professionnels. C’étaient des orchestres complets, avec des instruments à cordes, des cuivres, des bois et des instruments à percussion, y compris des timbales et des harpes.

      “ Bientôt, par son Roi Jésus-Christ, Jéhovah accomplira un acte de délivrance semblable en faveur de son peuple, comme autrefois, à la mer Rouge. Lorsque Harmaguédon aura atteint son point culminant, les survivants feront monter vers leur tout-puissant Libérateur des chants de louange, de triomphe et de gratitude. ”

      “ Avec une telle perspective, il vaut la peine qu’un chrétien fasse des efforts aujourd’hui, n’est-​ce pas, grand-mère ? ”

      “ Certainement ! Et quand le nom de notre grand Dieu sera réhabilité, nous pousserons des cris de joie et chanterons avec le psalmiste : “ Louez-​le au son de la trompette ! Louez-​le sur la harpe et la cithare ! Louez-​le dans vos danses avec le tambourin ! Louez-​le avec les instruments à cordes et le chalumeau ! Louez-​le avec les cymbales au son clair ! Louez-​le avec les cymbales retentissantes ! Que tout ce qui respire loue Jéhovah ! Alleluia (Louez Jah, Da). ” — Ps. 150:3-6, AC.

  • Abraham “ père de tous ceux qui croient ”
    La Tour de Garde 1961 | 15 août
    • Abraham “ père de tous ceux qui croient ”

      “ TA PAROLE est une lampe à mes pieds, et une lumière sur mon sentier. ” Cette vérité touchant la Parole de Dieu s’est confirmée maintes fois ; par exemple, dans le récit des relations de Dieu avec des hommes fidèles, dont l’un des plus remarquables fut Abraham. À plusieurs reprises, le vrai Dieu Jéhovah s’est identifié comme “ le Dieu d’Abraham ” ; se trouver “ dans le sein d’Abraham ” signifiait jouir de la faveur de Jéhovah. Ce n’est pas sans raison qu’Abraham est appelé “ ami de Jéhovah ”, et “ le père de tous ceux qui croient ”. — Ps. 119:105 ; Mat. 22:32 ; Luc 16:22 ; Jacq. 2:23, NW ; Rom. 4:11, Da.

      Abram, nom sous lequel il fut d’abord connu et qui signifie “ père élevé ”, naquit 352 ans après le déluge et vécut jusqu’à l’âge avancé de 175 ans. De lui sont issus les Israélites, les Édomites et les Ismaélites, ainsi que les Médanites et les Madianites. Non seulement l’archéologie atteste l’historicité d’Abram et de ses ancêtres mais, par dessus tout, Jésus-Christ et ses apôtres en témoignent, car ils ont parlé de lui plus de soixante-dix fois. — I Chron. 1:28, 32, 34.

      Ur, sa ville natale, était située à quatre-vingts kilomètres du golfe Persique, près du confluent de l’Euphrate et du Tigre. On l’appelait Ur “ des Chaldéens ”, parce qu’elle était située dans la basse Mésopotamie, région que les Chaldéens occupèrent des siècles après le jour d’Abram. — Gen. 11:28, 31, Da ; 15:7 ; Actes 7:2.

      Au jour d’Abram, Ur était une ville importante, bien qu’elle ne fût plus la puissante capitale sumérienne qu’elle était quelque 150 ans plus tôt, avant l’invasion des Élamites. À l’intérieur de ses murs, de forme ovale, en partie démolis, vivait au moins un quart de million d’habitants. D’après Keller, dans The Bible as History, Ur en ce temps-​là était une “ capitale puissante, prospère, pittoresque et affairée ”.

      Mais c’était avant tout une ville religieuse. Toute la partie nord-ouest s’adonnait au culte païen, principalement celui du dieu lune Nanna et de son associé Ningal ; c’est là que s’élevaient les ziggourats et les temples. Comme si cela ne suffisait pas, toute la ville était parsemée de chapelles consacrées à l’adoration d’autres dieux, et toutes les demeures, à l’exception des plus pauvres, possédaient leur propre chapelle. “ Sa religion consistait en un polythéisme du genre le plus grossier ”, déclare l’archéologue Woolley dans son livre Abraham. Telle était donc la ville où Abram fut élevé.

      “ PÈRE DE TOUS CEUX QUI CROIENT ”

      La foi se prouve par les œuvres (Jacq. 2:14-26). Abram prouva qu’il avait la foi, par ses œuvres, pendant plus de cent ans. D’après la Parole de Dieu, la première épreuve de foi s’offrit très probablement à lui vers ses soixante-dix ans ; Dieu lui apparut et lui dit : “ Va-​t’en de ton pays, de ta patrie, et de la maison de ton père, dans le pays que je te montrerai. Je ferai de toi une grande nation, et je te bénirai ; je rendrai ton nom grand, et tu seras une source de bénédiction. Je bénirai ceux qui te béniront, et je maudirai ceux qui te maudiront ; et toutes les familles de la terre (se béniront, NW) en toi. ” Étienne dit clairement “ Abram reçut cet appel “ lorsqu’il était en Mésopotamie, avant qu’il s’établît à Charran ”. — Gen. 12:1-3 ; Actes 7:2.

      Pour quitter Ur, il fallut une véritable foi à Abram, ainsi qu’à Térach, son père, à Lot, son neveu, et à tous les membres de leur famille. Ils parcoururent un long trajet en direction du nord-ouest, et séjournèrent à Charran pendant quelque temps. Charran était vouée, elle aussi, au culte du dieu lune, aussi n’est-​il pas surprenant qu’à la mort de Térach, Abram, alors âgé de soixante-quinze ans, se mît en route vers la terre que Dieu lui avait promise. — Gen. 11:32 ; 12:4.

      Dans sa discussion de la foi, l’apôtre Paul souligne d’une façon très appropriée la foi d’Abraham. Il dit : “ C’est par la foi qu’Abraham, lors de sa vocation, obéit et partit pour un lieu qu’il devait recevoir en héritage, et qu’il partit sans savoir où il allait. C’est par la foi qu’il vint s’établir dans la terre promise comme dans une terre étrangère, habitant sous des tentes (...) Car il attendait la cité qui a de solides fondements, celle dont Dieu est l’architecte et le constructeur. ” Jésus-Christ rendit le même témoignage : “ Abraham, votre père, a tressailli de joie de ce qu’il verrait mon jour : il l’a vu, et il s’est réjoui. ” — Héb. 11:8-16 ; Jean 8:56.

      À cause de la foi d’Abram, Jéhovah Dieu était près de lui. À maintes reprises, nous lisons qu’il éleva des autels à Jéhovah pour y invoquer son nom, c’est-à-dire, le proclamer ou le prêcher, et que Jéhovah lui apparut maintes et maintes fois. La promesse de Jéhovah de lui donner un fils dans sa vieillesse n’ébranla pas sa foi mais il “ eut foi à Jéhovah, et Jéhovah le lui imputa à justice ”. Après qu’Abram eut erré pendant vingt-quatre ans, Dieu établit avec lui et sa maison l’alliance de la circoncision ; c’est à la même époque que Dieu changea son nom Abram en celui d’Abraham, signifiant “ père d’une multitude ”. Dans l’intervalle, Abram, sur le conseil de Sarah, eut d’Agar, servante de celle-ci, un fils qu’il appela Ismaël ; mais, selon la volonté de Jéhovah, c’est par Sarah que l’héritier promis devait venir. — Gen. 15:6, AC ; 17:5, 9-14, 24-27.

      Finalement, après avoir attendu de longues années, Abraham eut un fils, Isaac, l’héritier de la promesse. Pendant toute cette période d’attente, sa foi avait été sévèrement éprouvée ; pourtant, la plus cruelle des épreuves devait encore le frapper, quand Isaac serait devenu un jeune homme. Jéhovah apparut alors à Abraham et lui dit : “ Prends ton fils, ton unique, celui que tu aimes, Isaac ; va-​t’en au pays de Morija, et là offre-​le en holocauste sur l’une des montagnes que je te dirai. ” Dans quelle angoisse Abraham a-​t-​il dû écouter ces paroles et se mettre en route ! — Gen. 22:2.

      Jéhovah Dieu n’aurait pu imaginer pour la foi et l’obéissance d’Abraham de plus cruelle épreuve que celle-là, car auparavant et depuis, sans nul doute, aucun père humain n’a éprouvé de plus grand amour pour son fils qu’Abraham pour le sien, Isaac. N’avait-​il pas plaidé auprès de Jéhovah : “ Que me donneras-​tu ? Je m’en vais sans enfants ; et l’héritier de ma maison, c’est Éliézer de Damas. ” N’avait-​il pas attendu Isaac de longues années ? D’autre part, Dieu ne lui avait-​il pas promis que sa postérité sortirait d’Isaac ? Et voilà qu’il lui ordonnait maintenant de sacrifier ce dernier. Alors, comment cette promesse s’accomplirait-​elle ? — Gen. 15:2.

      Mais la foi d’Abraham ne fléchit point. Il pensait “ que Dieu pouvait le (Isaac) ressusciter même d’entre les morts ”. Obéissant, il se mit en route pour le mont Morija. Là, il prit des pierres et éleva un autel, rangea le bois dessus, lia pieds et poings à Isaac puis “ étendit la main, et prit le couteau, pour égorger son fils ”. Abraham ayant triomphé de cette suprême épreuve de la foi, il lui fut permis de ne pas être éprouvé au-delà. Un ange de Jéhovah l’appela pour retenir sa main et lui procura un bélier pour le sacrifice, à la place d’Isaac. — Héb. 11:19, Da ; Gen. 22:3-14.

      Après l’offrande du bélier, l’ange de Dieu dit encore à Abraham : “ J’ai juré par moi-​même, dit (Jéhovah) : parce que tu as fait cette chose-​là (...) je te bénirai et je multiplierai abondamment ta semence comme les étoiles du ciel et comme le sable qui est sur le bord de la mer (...) Et toutes les nations de la terre se béniront en ta semence. ” Peu de temps après, Sarah mourut ; Abraham prit pour femme Ketura dont il eut miraculeusement six autres fils. — Gen 22:16-18,  Da ; 25:1, 2.

      GÉNÉREUX ET HOSPITALIER

      Ce n’est pas pour rien qu’Abraham est appelé “ le père de tous ceux qui croient ” et “ ami de Jéhovah ”. Quel exemple sa vie de foi n’offre-​t-​elle pas à tous les chrétiens ! Et pas seulement en ce qui concerne la foi ; Abraham était généreux, hospitalier ; il n’avait pas l’amour de l’argent ; et sous tous ces rapports, il se révéla encore un exemple. Il quitta sa patrie, s’en alla vers un lieu qu’il ne connaissait pas, non sans consentir à de lourds sacrifices, car le pays à l’entour d’Ur, arrosé par l’Euphrate, était excessivement fertile. Mais à peine était-​il entré en Canaan que la famine dans le pays l’obligea à descendre en Égypte. De quel désintéressement ne fit-​il pas preuve dans ses relations avec son neveu Lot ! Bien que le plus âgé et le chef des deux, il laissa Lot choisir la région aux meilleurs pâturages et prit le reste du pays. Plus tard, après avoir délivré Lot de la main des rois envahisseurs, non seulement il refusa même un fil ou un cordon de soulier à titre de butin mais il offrit la dîme de tout ce qu’il possédait au roi-prêtre Melchisédek.

      Et quelle généreuse hospitalité à l’égard des trois étrangers, un jour où le hasard, apparemment, les fit passer devant chez lui ! Il les persuada d’accepter qu’il mît à leur disposition tout le confort de sa maison ; il fit apprêter un veau tendre et bon, demanda à Sarah de pétrir des galettes de fleur de farine, puis il prit du lait et du beurre et plaça le tout devant ses hôtes, leur offrant ce qu’il avait de meilleur. — Gen. 13:5-13 ; 14:17-23 ; 18:2-8 ; Héb. 13:1, 5.

      CHEF DE FAMILLE EXEMPLAIRE

      Comme chef de famille, Abraham donna aussi le bon exemple. En accord avec les instructions que Jéhovah donna plus tard à l’Israël selon la chair et à l’Israël spirituel, Abraham ordonna “ à ses fils et à sa maison après lui de garder la voie de Jéhovah ”. Il ne fait aucun doute qu’il élevât dans la voie droite Isaac, son fils, sinon jamais ce dernier n’aurait accepté d’être lié pieds et poings par son vieux père et offert par lui en sacrifice ! En père sage, Abraham désirait vivement que son fils épousât une femme croyante, et non une païenne. — Gen. 18:19, AC ; 24:3, 4.

      Lors de l’enlèvement de Lot et de sa famille, Abraham prit sur lui de les délivrer. Accompagné de 318 de ses plus braves serviteurs, il attaqua de nuit l’ennemi pour délivrer son neveu et ceux qui étaient avec lui. Par là, Abraham fut sans doute le premier soldat de Jéhovah et livra ce qui est probablement la première des batailles rapportées dans le “ livre des Guerres de Jéhovah ”. Également, quand le jugement défavorable de Jéhovah menaçait tout le territoire où Lot s’était fixé, Abraham intercéda auprès de Dieu : “ Celui qui juge toute la terre n’exercera-​t-​il pas la justice ? ” Abraham se révéla bon chef de famille, que ce soit sous le rapport de l’emploi des armes de guerre ou sous celui de la prière à Dieu ! — Gen. 14:13-16 ; 18:25 ; Nomb. 21:14, AC.

      Loin d’être un mari mené par le bout du nez comme l’insinuent certains critiques du texte biblique, Abraham était appelé “ Seigneur ” par Sarah, sa femme. Mieux encore, celle-ci se conforma à l’idée d’Abraham et se présenta comme sa sœur afin que son mari eût la vie sauve. Puisque Abraham n’est blâmé nulle part pour avoir usé de cette stratégie et que, dans les deux cas où il suivit cette ligne de conduite, Jéhovah dirigea les événements afin de protéger Sarah du mal, nous sommes dans l’impossibilité de critiquer Abraham sur ce point. Abraham et Sarah reconnaissaient le fait que, de leur temps, les femmes n’étaient guère libres de disposer d’elles-​mêmes. — Gen. 18:12 ; 12:11-20 ; I Pierre 3:6.

      TRAITS PROPHÉTIQUES

      La vie exemplaire d’Abraham, toute remplie de signification prophétique, sert encore de lumière sur notre route. À plusieurs reprises, Abraham fut employé pour représenter Jéhovah Dieu. Ainsi le fait que son nom devint grand et qu’il fut, lui, une bénédiction, préfigurait que Jéhovah exalterait son nom et qu’il serait une source de bénédiction. — Gen. 12:2 ; Mal. 1:11.

      En outre, de même que Sarah resta longtemps stérile, ainsi la Jérusalem céleste de Dieu, son organisation semblable à une femme, resta longtemps stérile avant de donner naissance à Jésus, la “ postérité ” ointe “ de la femme ”. Et de même qu’en deux circonstances Abraham avait tu les liens l’unissant à Sarah, ainsi Jéhovah semblait avoir répudié son organisation comparable à une femme ou celé les liens l’unissant à elle, pendant une longue période, induisant les agents de Satan à outrager les représentants de son organisation sur la terre. — És. 54:1-8.

      De même qu’Abraham eut deux fils de deux femmes, ainsi Jéhovah Dieu a eu deux peuples, les Juifs selon la chair par une organisation terrestre, et les Juifs spirituels par une organisation céleste, la Jérusalem d’en haut. Agar, la servante, servit temporairement ; de même la nation d’Israël, sous la servitude de l’alliance de la loi, servit provisoirement. Sarah, la femme libre, enfanta la postérité promise ; de même la Jérusalem céleste donna naissance à l’Héritier promis. — Gal. 4:21-31.

      L’offrande d’Isaac par Abraham son père préfigurait l’offrande par Jéhovah de son Fils unique. Et finalement l’envoi d’Éliézer à la recherche d’une femme pour Isaac préfigurait l’envoi par Jéhovah de son esprit saint, à la Pentecôte pour commencer, afin de procurer à son Fils une épouse spirituelle. — Jean 3:16 ; Gal. 3:16.

      En vérité, le récit de la vie d’hommes comme Abraham souligne le fait que la Bible est vraiment une lampe à nos pieds et une lumière sur notre sentier !

  • Communications
    La Tour de Garde 1961 | 15 août
    • Communications

      LE MINISTÈRE

      Rassemblez-​vous en vue d’œuvres utiles. — Eccl. 12:9.

      Jésus-Christ est le plus grand assembleur de tous les temps. Il agit en cette qualité comme l’instrument oint et choisi de son Père céleste, Jéhovah Dieu. Il rassemble des hommes bien disposés pour adorer et servir son Père, et étant un sage, il “ enseigne au peuple le savoir ”. (Eccl. 12:9, Jé.) Sous sa direction invisible ses fidèles disciples servent en qualité de témoins du vrai Dieu, Jéhovah, et diffusent partout la bonne nouvelle de son royaume établi. Grâce à cette œuvre utile, un nombre grandissant de personnes de bonne volonté envers Dieu et le Christ sont rassemblées et invitées à prendre part à ces mêmes œuvres. Au cours du mois d’août ils offriront à leurs semblables de l’instruction biblique sous forme de deux livres reliés et deux brochures, manuels pour l’étude de la Bible. Pour avoir part à cette œuvre utile, vous n’avez qu’à vous rendre à une des Salles du Royaume des témoins de Jéhovah.

      TEXTES QUOTIDIENS POUR SEPTEMBRE

      16 N’appelez personne sur la terre votre père ; car un seul est votre Père, (le Père céleste, NW). Ne vous faites pas appeler directeurs ; car un seul est votre Directeur, le Christ. — Mat. 23:9, 10. wF 15/2/61 28a

      17 Il n’y a pas de crainte dans l’amour, mais l’amour parfait bannit la crainte, car la crainte exerce une contrainte. — I Jean 4:18, NW. wF 1/6/60 23a

      18 Aussi trouvent-​ils étrange que vous ne vous précipitiez pas avec eux dans le même débordement de débauche, et ils vous calomnient. Ils rendront compte à celui qui est prêt à juger les vivants et les morts. — I Pierre 4:4, 5. wF 15/6/60 11

      19 C’est pourquoi l’homme quittera son père et sa mère, et s’attachera à sa femme. — Gen. 2:24. wF 15/3/61 25-27

      20 Les eaux dérobées sont douces. — Prov. 9:17. wF 1/4/61 11, 14, 15

      21 Le disciple n’est pas plus que le maître ; mais tout disciple accompli (parfaitement instruit, NW) sera comme son maître. — Luc 6:40. wF 1/2/61 4-6a

      22 C’est du cœur que viennent les mauvaises pensées, les meurtres, les adultères, les impudicités, les vols, les faux témoignages, les calomnies. Voilà les choses qui souillent l’homme. — Mat. 15:19, 20. wF 1/10/60 19

      23 Maris, aimez vos femmes, comme Christ a aimé l’Église, et s’est livré lui-​même pour elle, afin de la sanctifier. — Éph. 5:25. wF 1/5/61 27, 28

      24 Les jugements de l’Éternel (Jéhovah) sont la vérité, justes tous ensemble. Ils sont plus précieux que l’or (...) Aussi ton serviteur est instruit par eux ; il y a un grand salaire à les garder. — Ps. 19:9-11, Da. wF 15/2/60 20a

      25 Un surveillant doit être exempt de toute accusation comme intendant de Dieu, non obstiné, ni prompt à la colère, ni buveur bruyant, ni prompt à frapper, ni porté au gain déshonnête (...) mais (...) sachant se maîtriser. — Tite 1:7, 8, NW. wF 15/7/60 13, 15, 16a

      26 Il a paru bon au saint esprit et à nous de ne vous imposer d’autre charge que ce qui est nécessaire, savoir, de vous abstenir (...) de l’impudicité. — Actes 15:28, 29. wF 1/9/60 7, 8a

      27 Elle est libre de se marier à qui elle veut ; seulement que ce soit dans le Seigneur. — I Cor. 7:39. wF 1/11/60 20, 21

      28 (Je vous exhorte, frères), — à vous soumettre, vous aussi, à de tels hommes, et à quiconque coopère à l’œuvre et travaille. — I Cor. 16:16, Da. wF 15/11/60 17, 18a

      29 C’est dans ce dessein que je suis né et c’est dans ce dessein que je suis venu dans le monde, afin que je rende témoignage à la vérité. — Jean 18:37, NW. wF 1/1/61 27-29

      30 Puisque toutes ces choses doivent ainsi se dissoudre, quels ne devez-​vous pas être par la sainteté de la conduite et par la piété de vos œuvres, attendant et gardant constamment à l’esprit la présence du jour de Jéhovah. — II Pierre 3:11, 12, NW. wF 15/12/60 21a

      ÉTUDES DE “ LA TOUR DE GARDE ” POUR LES SEMAINES DU

      10 septembre : La valeur du discernement. Page 244.

      17 septembre : Comment former le discernement. Page 247.

Publications françaises (1950-2025)
Se déconnecter
Se connecter
  • Français
  • Partager
  • Préférences
  • Copyright © 2025 Watch Tower Bible and Tract Society of Pennsylvania
  • Conditions d’utilisation
  • Règles de confidentialité
  • Paramètres de confidentialité
  • JW.ORG
  • Se connecter
Partager