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  • C’est la bénédiction de Jéhovah qui enrichit
    La Tour de Garde 1963 | 1er mai
    • “ Les Adorateurs unis ”, à São Paulo, le mois suivant.

      Mes frères brésiliens me sont chers au cœur et comme je suis riche, aujourd’hui, avec 24 000 d’entre eux au lieu des soixante que nous avons trouvés ici à notre arrivée au Brésil, il y a vingt-cinq ans ! Les Brésiliens sont très hospitaliers, généreux et abordables. C’est une vraie joie de leur rendre témoignage et d’étudier avec eux.

      En période de vacances, j’aime emmener avec moi une sœur plus jeune afin de passer deux précieuses semaines encore comme pionnier, dans un territoire isolé. Cela satisfait ce désir ardent, “ mata as saudades ” (dissipe la nostalgie), comme disent les Brésiliens. La vie du Béthel est incomparable ; je ne l’échangerais pas pour toute autre chose sur la terre.

      Quand j’y réfléchis, je peux vraiment dire : “ Toute la route a été glorieuse ”, et je suis sûre qu’elle continuera de l’être dans l’avenir. Comme nous sommes riches en tant que ministres à plein temps grâce à la bénédiction de Jéhovah !

  • Comment empêcher la délinquance d’entrer dans votre foyer
    La Tour de Garde 1963 | 1er mai
    • Comment empêcher la délinquance d’entrer dans votre foyer

      DERNIÈREMENT, on pouvait voir dans toute la ville de New York des affiches publiant le slogan : “ La délinquance commence au moment où la vie de famille prend fin. ” De nombreuses personnes, après avoir étudié le grave problème de la délinquance juvénile, sont arrivées à la même conclusion. Leurs observations devraient intéresser tous les parents.

      Les remarques de Sheldon et Eleanor Glueck, directeurs du centre de recherches en criminologie de Harward Law School, retiennent particulièrement l’attention. Après trente-cinq années d’études sur le crime et la délinquance, ils sont frappés du “ rôle considérable joué par les relations entre les personnes d’une même famille ; de l’absence très évidente de rapports étroits entre les pères des jeunes délinquants et ces derniers ; et des révélations d’un manque, quasi total, d’unité familiale ”. D’autres études confirment les observations précédentes.

      À Buffalo, New York, une récente étude sur la question révéla que, “ dans aucun des cas il n’y avait un foyer et une situation familiale vraiment sains ”. Dans un rapport sur la délinquance juvénile en Inde, on lit : “ En fin de compte, la famille restera le dernier moyen, et le meilleur, pour remuer la fibre morale et faire renaître chez l’enfant le respect de la loi et de l’ordre. ” C’est aussi la conclusion du Dr Harry A. Snyder : “ S’il y a une solution au manque de respect à l’égard de la loi, à la pauvreté des valeurs morales et à l’absence de direction religieuse, il apparaît que le cercle familial doit assumer la première responsabilité. ” La difficulté, c’est que la vie familiale n’est pas ce qu’elle était.

      CHANGEMENT DANS LA VIE DE FAMILLE

      Tout d’abord la famille des temps modernes a perdu la cohésion qui caractérisait la famille d’autrefois. Dans les temps les plus reculés, quand le père était aux champs et “ les mères laborieuses ” à la cuisine, les enfants étaient sous l’étroite surveillance des parents. Des parents qui lisaient la Bible inculquaient à leurs enfants de puissantes valeurs morales. Les parents étaient sévères mais laissaient savoir aux enfants ce qu’ils désiraient et aimaient. Il n’y avait pas de vieux tacot pour emporter le petit loin du regard vigilant de papa. Au lieu de recourir à des divertissements commercialisés, on passait des heures agréables dans la salle familiale. La famille fonctionnait comme un tout, “ tous pour chacun et chacun pour tous ”. Même les jeunes avaient la responsabilité de contribuer au bien-être des autres en participant à des travaux de ménage appropriés. En ces jours-​là, les familles jouissaient ordinairement de l’action réciproque de l’unité, de l’amour, de l’ordre, du sens de la responsabilité et du respect mutuel ; aussi la délinquance était-​elle réduite au minimum. Toutefois, avec l’arrivée des “ temps critiques, difficiles à affronter ”, prédits, le modèle de vie familiale est bien différent dans de nombreux foyers. — II Tim. 3:1, 2, NW.

      Les progrès industriels et technologiques ainsi que la guerre totale ont fait entrer les pères et les mères dans les usines. L’immigration de la province à la ville, d’un pays à un autre, a rompu les liens fondamentaux avec les traditions pondératrices. L’automobile a emmené les enfants loin du foyer et de la surveillance des parents. L’influence morale de la Bible a été sapée dans de nombreuses vies par le retour à la théorie de l’évolution et aux accusations téméraires de la prétendue “ haute critique ”. Tout cela a ouvert la voie à un code moral honteusement relâché. Le sexe et la violence sont devenus le thème dominant des films, des revues, des journaux, de la radio et de la télévision.

      Dans cette nouvelle atmosphère, le foyer est devenu moins un centre d’éducation qu’un lieu de ravitaillement. L’autorité de la famille, au lieu de graviter autour de la volonté des parents, se concentre sur les caprices des jeunes. À la place de l’ancienne unité, chaque membre de la famille s’occupe, bien trop souvent, du “ numéro un ”, de lui-​même. Pour beaucoup, l’argent et le plaisir sont les seuls objectifs. Des pratiques immorales sont considérées comme “ habiles ” et avantageuses. Les jeunes gens idéalistes voient de nombreux adultes rendre des hommages peu sincères à la loi et à la morale. Désabusés, attachés aux choses matérielles, ils ont rejeté la compagnie des adultes et adopté un code à eux pour gens de la rue. Là, privés de la direction des personnes mûres, sans but qui en vaille la peine, ils en arrivent à considérer la “ réputation ” et les sensations fortes comme les choses les plus importantes de la vie. Les jeunes ont vu qu’ils pouvaient se faire cette réputation, et la garder, grâce au frisson que procurent le vandalisme, le vol, le pugilat et leurs sensations personnelles touchant le sexe et les drogues. Même si les facilités de trouver un emploi abondaient, ces jeunes gens ne connaissent plus la satisfaction du travail bien fait. Ils n’ont réellement aucun motif de travailler et d’économiser pour se procurer ce qu’ils peuvent dérober. La délinquance est devenue, on le comprend aisément, ce que le juge Samuel Leibowitz de New York a qualifié récemment “ de question aussi sérieuse qu’une conflagration mondiale ”. Néanmoins, vous pouvez empêcher cette conflagration d’atteindre votre foyer si vous le voulez vraiment.

      FORMATION DES PARENTS ET DES ENFANTS

      Pour les parents, la première chose à faire est celle-ci : “ Ne soyez pas inconsidérés, mais comprenez quelle est la volonté (de Jéhovah). ” (Éph. 5:17). Les autorités trouvent souvent qu’il est plus difficile de s’occuper des parents délinquants que des enfants eux-​mêmes. Les parents sont mieux à même de prévenir la délinquance lorsqu’ils étudient attentivement la Parole de Dieu et appliquent avec enthousiasme ses principes. Il leur est alors possible d’élever leurs enfants “ dans la discipline et sous les avertissements de (Jéhovah) ”. (Éph. 6:4, Da.) Ils acquièrent ainsi l’assurance dont un grand nombre

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