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    La Tour de Garde 1984 | 1er mars
    • Regard sur l’actualité

      Un point de vue neuf sur la résurrection

      En principe, les théologiens protestants et catholiques reconnaissent à présent que ‘la croyance en l’immortalité de l’âme n’est pas biblique, mais qu’il s’agit d’un concept hellénistique qui s’est glissé par erreur parmi les enseignements chrétiens’. C’est là ce qu’a déclaré Gene Wehrli, professeur spécialisé dans l’étude du Nouveau Testament au séminaire d’Éden, dans le Missouri (États-Unis). Selon un reportage publié dans le “St Louis Post-Dispatch”, le professeur Wehrli affirme également que l’enseignement chrétien relatif à une survie après la mort repose sur la croyance, non pas en une âme immortelle, mais en un corps transformé par la résurrection’. Il explique: “D’après la pensée hellénistique, l’homme est immortel de par sa nature; son âme, retenue dans le corps, est destinée à retourner à Dieu (...). La résurrection dont parle la Bible suppose que dans un certain sens les morts sont bien morts et que Dieu les ramène à la vie avec les caractères qui leur sont propres.” Partant, la “survie” ne serait plus une faculté intrinsèque de l’homme, mais plutôt “un don gratuit de Dieu”.

      Il est intéressant de savoir que certains exégètes contemporains se rapprochent du point de vue des Écritures. En effet, la Parole de Dieu nous encourage indéniablement à nourrir la merveilleuse espérance d’une résurrection des morts. Jésus lui-​même fortifie notre foi en elle quand il déclare: “Je suis la résurrection et la vie. Celui qui exerce la foi en moi, même s’il meurt, viendra à la vie.” “Ne soyez pas surpris de ceci, car l’heure vient où tous ceux qui sont dans les tombeaux commémoratifs entendront sa voix et sortiront, ceux qui ont fait des choses bonnes, pour une résurrection de vie, ceux qui ont pratiqué des choses mauvaises, pour une résurrection de jugement.” — Jean 11:25; 5:28, 29.

      La vie et la législation

      “Voir dans la destruction du fœtus une intervention chirurgicale comme une autre revient à méconnaître des siècles de criminologie, de théologie et d’éthique.” Cette phrase est extraite d’une lettre que Billups Percy, professeur de droit à l’Université Tulane, a adressée au “New York Times” à propos d’un récent arrêt de la Cour suprême des États-Unis sur la question de l’avortement.

      Au lieu de traiter le pour et le contre de cette décision, le professeur est d’avis que “la cour n’aurait rien dû arrêter du tout”. Pourquoi donc? Il s’explique: “De toute évidence, la question de l’avortement est un exemple type des problèmes devant lesquels la seule législation dont nous sommes dotés se révèle arbitraire, car elle est le produit d’un formalisme juridique qui n’est vraiment pas à la hauteur de la situation.” Pour illustrer cela, il rappelle que “la cour a défini l’identité du fœtus en divisant la gestation en trois périodes sensiblement égales. Ainsi (...), selon cet arrêt, le droit d’une mère à disposer comme elle l’entend du fœtus qu’elle porte ne peut être soumis à des restrictions que pendant le dernier trimestre de sa grossesse”.

      La vie n’ayant pas été créée par l’homme, mais par Dieu, toute “législation” humaine sur le caractère sacré de la vie ne peut être qu’“arbitraire”. “Car auprès de toi [Dieu] est la source de la vie”, dit le psalmiste en Psaume 36:9. Seul le Créateur a le droit de décréter comment la vie, y compris celle des êtres humains qui ne sont pas encore nés, doit être considérée. Nous qui sommes ses créatures, nous avons des comptes à lui rendre. — Psaume 100:3

  • Un soldat fidèle achève son combat
    La Tour de Garde 1984 | 1er mars
    • Un soldat fidèle achève son combat

      Sous le titre “Je vais de l’avant avec l’organisation de Dieu”, “La Tour de Garde” du 1er décembre 1983 publiait le récit relatif à la vie de Grant Suiter, un courageux soldat du Royaume de Jéhovah. À la fin de l’article, nous vous apprenions que frère Suiter avait été gravement blessé à la colonne vertébrale. L’accident s’était produit le 30 mai 1983. Bien qu’il fût presque totalement paralysé et privé de l’usage de la parole, frère Suiter a lutté près de six mois pour vivre. Malgré son infirmité il continuait à s’intéresser de très près aux progrès de l’organisation terrestre de Jéhovah. Rappelons qu’il avait été pendant trente-six ans le secrétaire-trésorier de la Société. Toutefois il a achevé sa carrière terrestre le 22 novembre. La nouvelle a été annoncée le jour même à la famille du Béthel de Brooklyn et de Watchtower Farms, après le culte matinal et le petit déjeuner.

      Le mercredi soir 23 novembre, un service commémoratif s’est tenu au Béthel de Brooklyn, dans la Salle du Royaume. Le programme a été retransmis par le circuit de télévision intérieur dans les salles à manger du Béthel et par téléphone à Watchtower Farms. C’est ainsi que la plupart des 3 123 frères et sœurs qui composent la famille du Béthel, les élèves de l’École de Galaad et de nombreux invités ont pu entendre les discours prononcés par plusieurs membres du Béthel. Ceux-ci n’avaient pas pour but de faire le panégyrique de frère Suiter, mais d’encourager tous les assistants à tirer parti de l’exemple de fidélité qu’il a donné sa vie durant. Effectivement, ce frère s’est révélé être un ‘grand arbre de justice’, et il a remporté la victoire: dans le combat qu’il a mené pour l’œuvre du Royaume (Ésaïe 61:3; Révélation 14:13). Les orateurs ont aussi exprimé la reconnaissance que tous éprouvaient envers sa femme Edith, qui l’a beaucoup soutenu dans les derniers jours de son service dévoué sur la terre.

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