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  • Ils ne vont plus à l’Église
    La Tour de Garde 1970 | 1er octobre
    • Ils ne vont plus à l’Église

      DE NOS jours, les Églises de la chrétienté sont sur leur déclin. Le soutien qui leur est accordé et la fréquentation des offices diminuent chaque année dans un pays après l’autre. Beaucoup de personnes quittent leur Église après avoir vu ce qui s’y passe et parce qu’elles désirent connaître la vérité de la Bible ! Les deux faits suivants illustrent ce qui se produit actuellement. Le premier nous vient du Canada.

      “Dès l’enfance, j’étais devenu membre de la religion pentecôtiste parce que c’était celle de mes parents. Toutefois, je me rendais compte que toutes les religions ne pouvaient être bonnes, puisqu’elles enseignaient tant de doctrines différentes et contradictoires. C’est pourquoi je suis allé voir mon pasteur du temple du Calvaire, à Winnipeg, afin de m’entretenir avec lui de ce sujet.

      “Je l’ai interrogé sur la trinité. À aucun moment sa réponse n’a été catégorique, mais il m’a répété à plusieurs reprises que l’explication qu’on en donne : trois personnes en un seul Dieu, est un mystère et que je devais l’accepter avec foi. Un autre enseignement de la religion pentecôtiste qui m’a tourmenté pendant plusieurs années, déclare que tous les bons vont au ciel. Jugeant difficile d’accepter pareille doctrine, j’ai dit à mon pasteur : ‘Pourquoi Dieu a-​t-​il créé notre globe ? Était-​ce simplement pour l’abandonner et nous emmener tous au ciel ?’

      “Mon pasteur me répondait invariablement ‘oui’. Mon désarroi augmentait, et je recherchais la vérité de Dieu avec plus d’acharnement. En 1967, j’ai cessé de fréquenter le temple du Calvaire et me suis mis à prier Dieu avec ferveur pour qu’il m’accorde sa direction. Un peu plus tard cette année-​là, j’ai senti la nécessité de changer d’emploi et sans toutefois savoir pourquoi j’ai quitté ma place. Je suis devenu chef de service dans un magasin où je m’occupais du rayon des animaux domestiques. Sous mes ordres se trouvait, entre autres, une employée avec laquelle j’avais de nombreuses discussions sur la vie en général. Je n’ai pas tardé à remarquer que ses déclarations étaient émaillées de citations bibliques. Cela m’a encouragé à lui parler, et il ne m’a pas fallu longtemps pour comprendre qu’elle me faisait connaître la vérité de la Bible. C’était précisément ce que je cherchais.

      “Cette humble femme appartenait à l’organisation des témoins de Jéhovah, contre lesquels la plupart des gens semblaient nourrir des préventions. Tout cela m’importait peu. Je sentais que ces témoins avaient la vérité de la Bible, et j’étais si heureux d’avoir trouvé le moyen de la connaître.

      “J’ai supplié littéralement cette femme d’étudier régulièrement la Bible avec moi. Elle a accepté, et son mari est venu avec elle. J’étais si transporté de joie que j’avais l’impression de ne jamais apprendre assez. Deux semaines après ma première étude biblique, je leur ai demandé s’il m’était permis de les accompagner dans leur activité de prédication de maison en maison. Surpris, ils m’ont encouragé à augmenter d’abord ma connaissance de la Parole de Dieu. Je me suis retiré de l’Église pentecôtiste, et depuis mai 1968 j’ai le bonheur de partager la vérité divine avec mes semblables en tant que serviteur voué de Dieu.

      “Quand je me reporte au temps où je fréquentais le temple du Calvaire, je comprends maintenant pourquoi je ne pouvais comprendre les doctrines de la trinité, de l’immortalité de l’âme et de l’enfer de feu. En fait, ces enseignements ne sont pas ceux de la Bible.”

      Le second fait nous est relaté par une femme d’Afrique du Sud. Elle nous écrit :

      “J’appartenais à l’Église réformée de Hollande établie ici, à Johannesburg, en Afrique du Sud, et mon fils, étudiant à l’université, faisait partie de l’Église méthodiste. Un jour que nous parlions de nos religions respectives, nous avons découvert à notre grande consternation que, l’un comme l’autre, nous ignorions tout de la sainte Bible. Il y avait là quelque chose qui clochait, mais nous pensions que c’était notre faute. Aussi, avons-​nous décidé d’être à l’avenir plus attentifs à l’église afin de voir ce que nous pourrions apprendre. Mais au bout de quelques semaines, nous avons constaté qu’en dépit de notre attention, si grande fût-​elle, nous ne retirions aucun bienfait spirituel des offices.

      “C’est alors que mon fils a découvert à la maison un exemplaire du périodique La Tour de Garde et m’a proposé de le lire avec lui. L’article principal traitait de la merveilleuse espérance biblique relative à la vie éternelle sur une terre paradisiaque. C’était clair comme le jour. Immédiatement, nous avons souscrit un abonnement à La Tour de Garde. Dix jours plus tard, comme nous n’avions encore rien reçu, nous avons cherché le numéro de téléphone de la filiale de la Société Watch Tower pour nous informer de la raison de ce retard. On nous a expliqué qu’il fallait un peu plus de temps pour que les périodiques nous parviennent, mais qu’en attendant quelqu’un viendrait nous voir et nous apporter les derniers numéros.

      “Plus tard, un témoin de Jéhovah s’est présenté chez nous, et nous avons accepté sa proposition : une étude biblique gratuite à domicile. Dès lors, nous avons reçu une riche nourriture spirituelle. Nous ne sommes plus retournés à l’église. Après notre deuxième étude, nous avons assisté pour la première fois à la réunion à la Salle du Royaume. Nous avons été émerveillés de la bienveillance et de l’enthousiasme manifestés par tout le monde. Depuis, nous assistons régulièrement aux réunions des témoins de Jéhovah. Nous avons appris les magnifiques vérités contenues dans la Parole de Dieu, la Bible, vérités que nos anciennes Églises ne nous enseignaient pas.”

      Combien ces gens ont été sages de sortir de ces Églises qui, loin d’enseigner comme elles le prétendent les vérités divines, les nient par leurs paroles et leurs actions. — Tite 1:16 ; Rév. 18:4, 5, 8.

  • Questions de lecteurs
    La Tour de Garde 1970 | 1er octobre
    • Questions de lecteurs

      ● J’ai vu dans un journal une photographie représentant des bergers et des troupeaux dans un champ en dehors de Bethléhem à l’époque de Noël. Je pensais qu’il faisait trop froid aux environs du 25 décembre, date traditionnelle de la naissance du Christ, pour que les bergers vivent aux champs. Est-​ce vrai ?

      Un certain nombre de journaux des États-Unis ont publié cette photographie. À titre d’exemple, voici la légende qui a paru sous cette photo dans le Chronicle-Tribune (Marion, Indiana) du 26 décembre 1968: “Veille de Noël. Dans un champ à l’extérieur de Bethléhem, des soldats israéliens recherchent des mines censées y avoir été déposées par des terroristes. À l’arrière-plan, des bergers font paître leurs troupeaux (AP phototélégramme transmise par radio de Tel-Aviv).”

      Bien que, selon cette légende, la photographie représente la “veille de Noël”, il est manifeste qu’elle a été prise à un moment où, ce jour-​là, le soleil était haut dans le ciel, car les personnages éloignés sont bien éclairés et très visibles, et les ombres sont très courtes.

      Que dit la Bible à propos des bergers qui se trouvaient près de Bethléhem, au temps de la naissance de Jésus ? Dans Luc 2:8, nous lisons : “Il y avait aussi dans la même contrée des bergers qui vivaient aux champs et qui la nuit faisaient les veilles auprès de leurs troupeaux.” Veuillez noter que les bergers vivaient réellement dans les champs et ne se bornaient pas à se déplacer çà et là dehors pendant la journée. En outre, leurs troupeaux étaient dehors la nuit. Ce fait s’accorde-​t-​il avec la date traditionnelle, fixée en décembre ou au début de janvier, et tenue pour vraie par les Églises copte et orthodoxe ? Certainement pas ! La saison froide et pluvieuse qui sévit dans cette contrée vers la fin de décembre ne cadre pas avec ce que dit la Bible à propos de l’époque où Jésus naquit.

      En janvier 1969, le surveillant de la congrégation des témoins de Jéhovah de Bethléhem est allé voir les bergers faisant paître les troupeaux dans le traditionnel “champ des bergers”, et il les a interviewés. Voici quelques extraits de leur conversation :

      “Près du champ se trouve une grande grotte servant d’abri en hiver pour les moutons, les chèvres et les bergers. Jusqu’à la fin du mois de novembre, les troupeaux dorment dans les champs. Au cours de cette période de vie passée en plein air, les familles des bergers se joignent à eux, dressant leurs tentes noires en peaux de chèvres dans les environs. En octobre et en novembre, le jour, les chèvres paissent avec les moutons, mais la nuit, comme elles ont besoin de protection, on les rentre dans la grotte.

      “À la fin de novembre, une nouvelle baisse de température se produit et l’on rentre aussi les moutons au coucher du soleil. Les bergers suivent les moutons et les chèvres afin de veiller sur eux nuit et jour. L’herbe se faisant rare dans les champs, on donne à manger aux troupeaux la paille et le foin engrangés. Pendant les jours très froids, tous restent jour et nuit à l’intérieur de l’abri, mais les jours ensoleillés,

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