antarctiques. Dix pays, sur les douze qui ont signé le traité de l’Antarctique, maintiennent leur base au cours de l’hiver. La Russie possède la station Billinghausen, sur la péninsule. La principale base américaine est la station McMurdo, sur la côte du Pacifique. Elle fonctionne à l’énergie nucléaire et abrite une population moyenne de 900 personnes en été et de 200 en hiver. Les États-Unis gardent également de petites stations tout au long de l’année au Pôle Sud et sur la péninsule. Si peu hospitalier que paraisse ce continent, on le considère pourtant comme une future région touristique. Déjà actuellement, des touristes viennent visiter les stations scientifiques et les colonies de manchots. Évidemment l’Antarctique pourrait être un paradis pour les skieurs.

Qui sait quels trésors on va encore découvrir dans cet immense “réfrigérateur” ? On n’a pas fini de l’explorer ni d’y faire des recherches. Peut-être pourra-​t-​on exploiter ses riches gisements. En outre, on pense que l’étude de ses conditions atmosphériques et de l’océan qui l’entoure permettra de mieux comprendre les conditions atmosphériques du reste de la terre. Maintenant qu’on le connaît mieux, il est certain qu’avec le temps on appréciera de plus en plus notre “réfrigérateur” antarctique.

Une recherche couronnée de succès

MA FEMME et moi sentions qu’il nous manquait quelque chose. Elle voulait mieux connaître la Bible et estimait que nous devions aller à l’église. Mais, comme j’avais pu le constater, les Églises veulent simplement gagner de l’argent. Ma femme décida de se rendre dans une église pentecôtiste. Quand elle en revint, elle était effrayée. Elle avait vu des gens courir çà et là en criant. “Je te l’avais bien dit”, lui ai-​je fait remarquer.

Ensuite elle entendit parler d’une autre organisation religieuse qui donnait des cours bibliques, mais il fallait les payer. Plus tard, un Témoin de Jéhovah se proposa d’étudier la Bible avec elle à domicile et gratuitement, ce qu’elle accepta. Finalement, elle se rendit à la Salle du Royaume et revint enchantée par ce qu’elle avait appris. Je pouvais à peine le croire. Les gens ne sont pas très joyeux quand ils reviennent de l’église. “Et tu sais, s’exclama-​t-​elle, ils ne font pas de collecte.”

Je lui ai rétorqué que dans toutes les églises on passe le plateau. Sans doute ne l’avait-​elle pas remarqué. J’ai donc décidé de l’accompagner le dimanche suivant uniquement pour m’assurer qu’on faisait bien une collecte. Le titre du discours était “L’authenticité de la Bible”. Il était si intéressant que j’en ai oublié de vérifier si on faisait la quête. Il fallait donc que je retourne la semaine suivante. Cette fois-​là, le discours était encore plus intéressant. Aussi ai-​je de nouveau oublié de regarder si on faisait une collecte. À la fin de la réunion, la troisième semaine, je savais que nous avions trouvé ce qui nous manquait. J’ai, moi aussi, accepté une étude biblique à domicile et à présent nous nous réjouissons d’avoir appris la vérité de la Parole de Dieu. — D’un de nos lecteurs.