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Les fleurs, ravissant don de Dieu à l’hommeRéveillez-vous ! 1970 | 22 décembre
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Pendant l’hiver, on peut tirer profit du noisetier de sorcière et de l’épine noire. Le printemps apporte le magnolia, le prunier, le cerisier, le pêcher, les chatons et le rhododendron hâtif. En été, une grande variété d’arbustes fleurissent (le jasmin, l’aubépine et le cytise notamment) et les fleurs abondent. En automne, les asters, les berbéris, la bourdaine et le “buisson ardent” conviennent particulièrement bien pour les compositions florales. À l’aide de quelques rameaux garnis de baies et d’un simple vase bas en grès, on peut apporter dans la salle de séjour l’incomparable beauté de la nature.
Un seul rameau de forme bizarre disposé avec art dans un pot ou une bouteille au goulot étroit, constitue une composition gracieuse qui fait l’admiration de tous. Les beaux fruits et les feuilles aux teintes vives de certains arbustes sont exactement ce qu’il faut pour combler les périodes de transition entre les saisons.
En vérité, les fleurs — ravissant don divin — sont en tout temps à la disposition de l’homme. Elles sont d’autant plus appréciées lorsqu’il nous est impossible de sortir beaucoup pour jouir de la nature.
Ceux qui vivront au jour que le Créateur de l’univers a fixé pour accomplir sa promesse de transformer notre planète en paradis, éprouveront une joie intense, car ils assisteront à la réalisation de ces paroles prophétiques : “Le désert et le pays aride se réjouiront ; la solitude s’égaiera, et fleurira comme un narcisse ; elle se couvrira de fleurs, et tressaillira de joie, avec chants d’allégresse.” — És. 35:1, 2.
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Édifices anciens et modernes qui frappent les regardsRéveillez-vous ! 1970 | 22 décembre
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Édifices anciens et modernes qui frappent les regards
De notre correspondant au Brésil
QUAND a-t-on commencé à construire des bâtiments ? Rien n’indique que l’homme avait besoin de connaître l’architecture dans le paradis originel. Les extrêmes de température et même la pluie y étaient inconnus, car “une vapeur s’éleva de la terre, et arrosa toute la surface du sol”. (Gen. 2:6.) Il n’y avait pas non plus
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À la recherche d’une Église qui satisfait les besoins spirituelsRéveillez-vous ! 1970 | 22 décembre
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À la recherche d’une Église qui satisfait les besoins spirituels
DE NOMBREUSES personnes sincères, désireuses de plaire à Dieu et de satisfaire leurs besoins spirituels, se sont tournées à cette fin vers les Églises de la chrétienté. Elles finissent par constater toutefois que ces organisations religieuses semblent se soucier plus de questions pécuniaires que des besoins spirituels de leurs membres. Une Américaine qui s’en est rendu compte s’est mise à rechercher quelque chose de meilleur. Voici le récit qu’elle a fait lors de l’assemblée des témoins de Jéhovah tenue à Seymour (États-Unis) en décembre 1969 :
“J’avais environ treize ans quand j’ai terminé le cours de l’Église presbytérienne destiné à préparer les candidats au baptême et à la communion. Cependant, même après mon baptême, je n’ai trouvé aucune véritable satisfaction spirituelle dans cette religion. Le pasteur discréditait la Bible, affirmant que le déluge du temps de Noé n’a pas couvert la terre entière. Il était très évident aussi que l’Église s’intéressait davantage à l’argent qu’à ses membres.
“Mes parents n’étaient pas très stricts en ce qui concerne la religion, aussi me permettaient-ils d’assister aux offices d’autres Églises avec mes amies. J’ai donc commencé à rechercher une religion meilleure qui se soucierait plus de ses ouailles que de leur argent.
“Pendant un certain temps, j’ai cru l’avoir trouvée dans l’Église catholique. Mais je n’ai pas tardé à me rendre compte qu’il est mal de prier des idoles sans vie et d’attribuer au pape le rôle de médiateur entre Dieu et les hommes (I Tim. 2:5). Par la suite, j’ai essayé personnellement au moins douze religions, entre autres le judaïsme, l’islamisme, le méthodisme, le luthéranisme et l’hindouisme. J’ai même examiné le spiritisme pour voir si des choses comme la perception extra-sensorielle et la planchette oui-ja pouvaient m’apporter quelque satisfaction.
“Une de mes amies essaya de me ‘sauver’ en me convertissant à la religion baptiste, mais cette Église non plus ne me procurait pas la satisfaction spirituelle que je recherchais. Je continuais néanmoins d’assister au culte, bien que l’on me dit que je serais condamnée aux tourments de l’enfer si je ne donnais pas à l’Église le dixième de mes revenus. J’ai fréquenté les baptistes jusqu’au mardi gras de 1969. À cette occasion, mon amie ne s’est pas comportée en personne ‘sauvée’, mais elle a justifié sa conduite en citant le dicton baptiste ‘une fois sauvé, sauvé pour toujours’. Les baptistes me recommandaient toujours de lire la Bible, mais je trouvais étrange que celle-ci n’appuie pas certains de leurs enseignements.
“En rentrant à Cincinnati au mois de mai, j’étais plutôt agnostique, et l’étude de la Bible ne m’intéressait guère. Un jour cependant, deux jeunes témoins de Jéhovah sont venus chez nous pour nous présenter un petit livre expliquant la Bible. Je l’ai accepté ainsi que leur offre de me consacrer une heure par semaine afin de m’aider à étudier la Bible. Je dois avouer que j’étais assez sceptique au début. Même lorsque j’ai consenti à assister à une réunion à la Salle du Royaume, je l’ai fait plutôt à contrecœur, mais je ne l’ai pas regretté.
“Je n’ai pas tardé à constater que les témoins s’intéressaient à moi et non à mon argent. À leurs réunions ils n’enseignaient que la Bible. Ils avaient quelque chose que je n’avais jamais trouvé ailleurs et j’éprouvais le désir de me joindre à eux. J’aspirais à partager avec autrui ce que j’apprenais, et j’ai fini par le faire.
“Cela n’a pas été facile toutefois, car Satan a fait son possible pour m’empêcher de servir Jéhovah de la bonne manière. Il tourna contre moi ma famille, mes amis et mes connaissances, mais je sais que j’ai trouvé la bonne religion qui satisfait mes besoins spirituels. J’ai donc persévéré avec l’aide de Dieu et demain matin j’aurai la joie de symboliser par le baptême l’offrande de ma personne à Jéhovah.”
Effectivement, le lendemain matin cette personne se fit baptiser, et aujourd’hui elle se réjouit de faire partie des serviteurs heureux de Jéhovah, le vrai Dieu. Avez-vous trouvé, vous aussi, que votre Église ne satisfait pas vos besoins spirituels ? Avez-vous constaté avec tristesse qu’elle s’intéresse plus à l’argent qu’à votre santé spirituelle ? Si oui, entrez en rapport avec les témoins de Jéhovah et posez-leur les questions bibliques auxquelles vous cherchez une réponse. Le bonheur et la satisfaction spirituelle vous attendent.
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