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  • Une vie qui a un but
    Réveillez-vous ! 1975 | 22 août
    • Cette tendance étrange et inhérente à l’homme constitue sa spiritualité. Celle-ci le pousse constamment vers un but qui est hors de sa portée, et ce but, c’est Dieu.”

      À l’origine, l’humanité rendait un culte agréable à Jéhovah et entretenait avec lui d’étroites relations. À cause du péché l’homme a perdu tout cela (Gen. 3:1-7 ; Rom. 5:12). Depuis, les hommes ont toujours cherché Dieu à tâtons. L’apôtre chrétien Paul déclara à ce sujet : “Le Dieu qui a fait le monde et toutes les choses qui y sont (...) d’un seul homme (...) a fait toutes les nations d’hommes (...) et (...) a établi par décret les temps assignés et les limites fixées de l’habitation des hommes, pour qu’ils cherchent Dieu, si toutefois ils le cherchent à tâtons et le trouvent vraiment, quoiqu’en réalité il ne soit pas loin de chacun de nous.” (Actes 17:24-27). Ceux qui ont ‘vraiment trouvé’ Jéhovah Dieu en se vouant à lui pour devenir ses adorateurs doivent, eux aussi, résoudre de nombreux problèmes. Mais ils ont une vie heureuse parce qu’elle a un but.

      À titre d’exemple, lisons ce que nous rapporte une femme du Liban :

      “J’étais auparavant une actrice et une chanteuse très connue. J’étais célèbre, acclamée et riche. Toutefois, je n’étais pas heureuse. Je détestais le milieu dans lequel je vivais et de nombreuses fois j’ai pensé mettre fin à mes jours.

      “En 1969, ma sœur est devenue témoin de Jéhovah. Elle s’est empressée de me communiquer la bonne nouvelle. (...) Quand ma sœur m’a parlé de la vérité [de la Parole de Dieu], j’ai été transportée de joie et je l’ai acceptée comme une personne affamée qui trouve de quoi manger.

      “Cela a beaucoup contrarié ma famille, car en quittant la scène je la privais de nombreux avantages matériels. Mais j’abandonnais bientôt ma carrière d’actrice et de chanteuse et je quittais ma maison luxueuse pour vivre dans un logement plus raisonnable. Je me suis débarrassée de mes toilettes indécentes et coûteuses, et je les ai remplacées par des vêtements plus modestes. Puis je me suis fait baptiser pour symboliser l’offrande de ma personne à Dieu. Ma famille essaya de diverses manières de me faire remonter sur les planches, mais pour moi c’était terminé. Tout cela provoqua une vive émotion parmi mes anciennes relations et suscita de nombreux commentaires dans la presse des spectacles et à la télévision, ce qui en définitive servit à donner le témoignage.

      “Aujourd’hui, mariée à un homme qui sert Jéhovah avec zèle et amour comme surveillant dans la congrégation du peuple de Dieu, je suis une femme heureuse.”

      De Suisse, un homme qui s’interrogeait sur le but de la vie nous rapporte :

      “Il y a quelques années, alors que j’étais particulièrement mécontent des événements mondiaux, je réfléchissais souvent à la signification de la vie (...).

      “Les livres de philosophie que j’avais lus ne m’avaient fourni aucune réponse et j’étais obligé d’admettre qu’après tout ils n’étaient que le produit de l’intelligence humaine. J’en ai conclu logiquement qu’il devait y avoir un Dieu. Aussi, chaque soir, en désespoir de cause, je lui ouvrais mon cœur par ces mots : ‘Ô Dieu, je t’en prie, conduis-​moi dans la bonne voie, celle qui mène jusqu’à toi. Prends-​moi par la main et ne me laisse pas m’égarer.’

      “J’ai prié ainsi très sincèrement plusieurs soirs. Peu après, j’ai rencontré en ville un homme et sa femme, deux témoins de Jéhovah d’un certain âge. J’ai eu le sentiment qu’ils me comprenaient et petit à petit une amitié sincère s’est développée entre nous, ce qui m’a amené à accepter une étude de la Bible (...).

      “Je pense souvent à la façon merveilleuse dont Jéhovah a exaucé ma prière et m’a conduit vers lui.” Maintenant cet homme et sa femme consacrent leur vie à aider d’autres personnes à connaître le Créateur et son dessein plein d’amour pour l’humanité.

      Les Saintes Écritures nous assurent qu’à l’homme qui est bon devant lui, Jéhovah donne “sagesse et connaissance et allégresse”. (Eccl. 2:26.) Des centaines de milliers de personnes qui adorent Jéhovah “avec l’esprit et la vérité” ont pu reconnaître la véracité de cette déclaration. Elles sont heureuses, car leur vie a un but : faire la volonté de Dieu et prêcher la bonne nouvelle de son Royaume à leur prochain (Jean 4:24 ; Mat. 24:14). Les personnes qui acquièrent la sagesse et la connaissance données par Dieu dans les Écritures n’ont pas le sentiment de gâcher leur vie. Elles n’en sont pas fatiguées. Au contraire, elles ont une vie vraiment heureuse parce qu’elle a un but qui les satisfait.

  • Les terribles ravages des maladies vénériennes
    Réveillez-vous ! 1975 | 22 août
    • Les terribles ravages des maladies vénériennes

      UN BÉBÉ de 19 jours fut admis dans un hôpital d’Atlanta, aux États-Unis. Il n’avait guère d’appétit, était léthargique, et un liquide jaunâtre s’écoulait de son œil gauche.

      Les médecins administrèrent des antibiotiques à l’enfant, mais son état continua d’empirer. Que se passait-​il ?

      Après plus de deux semaines de recherches, on découvrit qu’il souffrait d’une infection virale, l’herpès simplex type 2, une forme de maladie vénérienne. Le bébé est à présent dans un établissement pour enfants handicapés mentaux.

      Pour des millions de gens à travers le monde, l’expression “maladie vénérienne” est devenue courante. Selon le Dr Ralph Henderson, chef du service de vénérologie du Centre américain pour la recherche des maladies, “les maladies vénériennes sont les affections les plus contagieuses après le rhume banal”.

      Qu’est-​ce qu’une maladie vénérienne ? Quelle est sa gravité ? Y a-​t-​il un moyen à peu près sûr de l’éviter ?

      L’expression peut s’appliquer à nombre de maladies contagieuses dont les plus courantes sont la syphilis et la blennorragie. Pourquoi sont-​elles appelées “vénériennes” ?

      L’Encyclopédie britannique (édition de 1974) répond : “Le trait commun aux maladies vénériennes n’est pas la similitude de l’agent pathogène, les réactions des tissus ou les symptômes, mais bien le principal moyen de contamination, c’est-à-dire les rapports sexuels. C’est ce qu’implique le qualificatif qu’on leur applique et qui dérive du terme Vénus, nom de la déesse de l’amour.”

      “Une véritable guerre”

      Ces dernières années, les maladies vénériennes se sont répandues comme une traînée de poudre. À propos de la blennorragie aux États-Unis, la revue Life and Health d’avril 1974 fait la remarque suivante : “On compte un nouveau cas toutes les 16 secondes, ce qui fait 7 000 par jour et 2 millions et demi en un an !” Quant à la syphilis, elle gagne du terrain au rythme

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