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  • Louez Jéhovah toujours davantage
    La Tour de Garde 1965 | 15 septembre
    • 26. Pour quelle raison primordiale faut-​il chanter davantage de louanges, selon ce qui est dit dans I Chroniques 16:31 et Psaume 97 ?

      26 À l’exemple du peuple de Jéhovah dans le monde, et quels que soient votre âge, votre sexe, votre nationalité ou votre situation pécuniaire, veillez à mettre toutes ces choses en pratique et, dans les jours à venir, puissiez-​vous tous offrir à Jéhovah un plus grand chant de louanges. Cette invitation est adressée, non à la république d’Israël ou à la chrétienté, mais à vous, témoins et adorateurs unis de Jéhovah : “Louez notre Dieu, vous tous ses esclaves, qui le craignez, les petits et les grands.” (Rév. 19:5). En vérité, vous chantez le plus grand cantique jamais composé ! Son thème est de toute beauté ! “Que les cieux se réjouissent et que la terre soit dans l’allégresse ! Que l’on dise parmi les nations : ‘Jéhovah est roi !’” (I Chron. 16:31, AC). La popularité de ce chant s’accroîtra jusqu’au temps, et il est proche, où tout ce qui respire louera Jéhovah pour des temps indéfinis et même éternellement ! Continuez donc de chanter ! Que ce soit individuellement ou collectivement, louez sans cesse votre grand Créateur ; vous en recevrez des bénédictions éternelles et Jéhovah sera glorifié, honoré, justifié et loué éternellement. — Ps. 97:1 ; 145:2 ; 150:1-6.

  • Le concile œcuménique Vatican II réaffirme la réalité de l’enfer
    La Tour de Garde 1965 | 15 septembre
    • Le concile œcuménique Vatican II réaffirme la réalité de l’enfer

      L’ENFER n’est pas un sujet populaire. C’est pourquoi, en général, théologiens et membres du clergé n’en parlent pas. C’est ainsi qu’un éminent prédicateur protestant de la ville de New York a noté, dans son livre Heaven and Hell, qu’en l’espace de soixante ans environ, ce sujet n’a fait l’objet d’aucun sermon dans son église, l’une des plus grandes et des plus riches de la ville.

      C’est manifestement à cause de cette répugnance du clergé à prêcher l’enfer comme étant un lieu de tourments éternels que, dans sa troisième session, Vatican II s’est cru obligé de réaffirmer la croyance catholique romaine en la réalité de l’enfer comme lieu de tourments éternels. Une dépêche UPI rapporte ce qui suit : “Le concile œcuménique (...) a approuvé à la quasi-unanimité, par quatre tours de scrutin, un texte qui invite l’Église à prendre chaque jour conscience de son avenir dans le ciel. Le texte, qui composera le chapitre VII d’une brochure traitant de l’Église, a été amendé pour réaffirmer la réalité de l’enfer en tant que lieu de châtiment éternel pour les péchés.” — Democrat and Chronicle, Rochester, New York, 20 octobre 1964.

      Une semaine plus tard seulement, le New York Times rapporta ce qu’un prélat aurait déclaré au concile à ce sujet : “Des millions d’hommes ne comprennent pas comment Dieu le Père pourrait condamner un individu à l’enfer pendant toute l’éternité pour le seul fait d’avoir mangé de la viande un vendredi, le rangeant ainsi dans la même catégorie qu’un athée adultère. L’état d’esprit responsable de cette législation est attribuable, semble-​t-​il, plus à un respect des lois qu’à un souci purement religieux, et il fait de l’Église un objet de raillerie.” On peut noter cependant que si le prélat trouve à redire à l’enseignement des tourments éternels, c’est uniquement à cause des raisons qui provoquent un tel châtiment.

      Au fait, qu’est-​ce que la “réalité de l’enfer” ? Bien qu’il y ait un certain désaccord entre les théologiens catholiques romains quant à la nature des souffrances dans l’enfer, ils s’accordent néanmoins pour affirmer qu’il s’agit de souffrances ardentes et éternelles. Quant à leur nature, un porte-parole éminent de l’Église catholique romaine aux États-Unis, dit ceci : “Les gens qui sont en enfer sont complètement et désespérément damnés (...). Ils doivent continuer à vivre une existence diminuée et malheureuse. Il ne semble pas qu’il puisse y avoir, pour les damnés, de souffrance plus grande que d’être privé de Dieu. C’est de beaucoup l’aspect le plus cruel de ce qu’on entend par âme damnée. (...) À maintes reprises, notre Seigneur a choisi le mot ‘feu’ pour décrire la cause de la souffrance en enfer. L’Église catholique a toujours vu dans ses propres paroles l’expression d’un feu réel qui atteindrait les âmes damnées et leur procurerait des souffrances semblables à celles que nous ferait une brûlure par le feu (...). [Toutefois,] le feu de l’enfer ne s’éteint jamais, n’éclaire pas et ne détruit pas.” — What Happens After Death, Conseil suprême, Chevaliers de Colomb.

      QU’ENSEIGNE LA BIBLE ?

      Qu’en est-​il de cet enseignement d’un enfer de feu où les pécheurs sont tourmentés éternellement ? La Bible enseigne-​t-​elle cette doctrine ?

      Absolument pas ! Au commencement Dieu avertit Adam en ces termes : “Le jour où tu en mangerais [du fruit de l’arbre de la connaissance du bien et du mal], tu mourrais certainement”, et non pas : ‘tu irais dans les tourments éternels’. Et quand l’homme désobéit, Dieu ne changea pas cette loi ex post facto, après l’accomplissement de l’acte, mais il dit à Adam : “C’est à la sueur de ton visage que tu mangeras le pain, jusqu’à ce que tu retournes à la terre dont tu as été tiré ; car tu es poussière, et tu retourneras en poussière.” Dieu ne dit pas à Adam qu’il irait dans un enfer de feu, mais qu’il retournerait à la terre. — Gen. 2:17 ; 3:19a.

      Comme Adam avait commis un péché volontaire impardonnable, ayant ainsi apporté la mort à toute la race humaine, où retourna-​t-​il ? Aux tourments éternels ? Non évidemment. Il retourna au lieu d’où il avait été tiré. Et où se trouvait-​il avant sa création ? Dans un état de non-existence, comme la terre inanimée. Donc, s’il devait retourner au lieu où il était auparavant, où irait-​il ? Dans un enfer de feu, pour y souffrir des tourments indescriptibles ? Non, mais dans un état de non-existence. En d’autres termes, Adam fut détruit lorsqu’il mourut. Cette déclaration est en harmonie avec les paroles du psalmiste : “Le Seigneur veille sur tous ceux qui l’aiment, mais il fera périr tous les méchants [il marque tous les méchants pour la destruction, version catholique romaine de Mgr R. A. Knox].” Lorsqu’il pécha, de propos délibéré, Adam fut ‘marqué pour la destruction’ par Dieu, et au bout de 930 ans, il mourut. — Ps. 144:20 (145:20 dans Segond).

      Raisonnons sur ce sujet. La Bible nous apprend que la vie est un don de Dieu. En outre, elle met en contraste, non la vie dans le ciel avec la vie en enfer, mais la vie avec l’absence de vie, c’est-à-dire la mort : “Je prends aujourd’hui à témoin le ciel et la terre contre vous : je mets devant toi vie et mort.” (Deut. 30:19). Ayant été créé, puis animé du souffle de vie, Adam reçut le don de la vie. Mais du fait qu’il n’apprécia pas ce don, comme ses actions l’ont prouvé, Dieu le lui retira.

      Il est parfaitement juste et raisonnable qu’un donateur fixe certaines conditions au don qu’il fait, et l’obéissance était la condition que Dieu fixait au don

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