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  • La vérité incite à la générosité
    La Tour de Garde 1955 | 1er septembre
    • à ceux qui sont à même de faire des contributions de lui communiquer d’avance le montant qu’ils espèrent pouvoir verser au cours de l’an. Il ne s’agit dans aucun sens du mot d’un engagement. Aussi, à la fin de l’année, la Société ne comparera pas ce que vous avez espéré donner et ce que vous avez effectivement versé. C’est uniquement une déclaration de votre part relativement à ce que vous prévoyez pouvoir donner, c’est pourquoi ces déclarations sont appelées à juste titre “ Contributions prévues ”. S’il en est qui ne désirent pas nous envoyer pareille communication, cela est parfaitement en règle.

      On peut écrire à la filiale du pays dans lequel on habite. En Suisse, adressez votre carte ou lettre à la Watch Tower Bible and Tract Society, 39, Allmendstrasse, Berne 22. Voici comment on peut rédiger sa communication relative aux “ Contributions prévues ” : “ Pendant les douze prochains mois j’espère pouvoir verser la somme de ‐‐‐‐‐‐‐‐‐F, pour l’œuvre de prédication de la bonne nouvelle du Royaume. Je vous ferai parvenir ce montant par acomptes selon la prospérité dont je jouirai grâce à la bonté imméritée de Jéhovah par Jésus-Christ. ” (Signature). À part l’adresse susmentionnée du bureau en Suisse, vous trouvez à la page 258 une liste d’autres filiales, et une liste complète à la dernière page de la plupart des publications de la Société.

      La Parole de Dieu nous rappelle ceci : “ Si Jéhovah ne bâtit pas la maison, en vain travaillent ceux qui la bâtissent ; si Jéhovah ne garde pas la cité, en vain la sentinelle veille à ses portes. ” (Ps. 127:1, Cr 1905). Sachant qu’il en est ainsi, toutes les personnes s’intéressant vivement à l’œuvre de la prédication de cette bonne nouvelle du Royaume l’appuieront non seulement en lui vouant leur temps, leurs forces, leur influence personnelle et les moyens dont ils disposent, mais elles demanderont chaque jour à Jéhovah de diriger, protéger et bénir cette œuvre.

  • Mesures bibliques
    La Tour de Garde 1955 | 1er septembre
    • Mesures bibliques

      UNE étude des systèmes de mesures utilisés en Palestine présente beaucoup de difficultés. En effet, des systèmes différents furent imposés à ce pays au fur et à mesure qu’il passait sous la domination successive de l’Égypte, de l’Assyrie, de Babylone, des Mèdes et des Perses, de la Grèce et de Rome, et pour cette raison on constate une grande variété d’unités de poids et mesures mises à jour par les archéologues.⁠1 Bien qu’il y ait une certaine divergence d’opinions quant à la valeur exacte de ces mesures, les informations dont nous disposons jettent une lumière considérable sur les textes des Écritures où il en est question.

      À Babylone, c’est le système sexagésimal, c’est-à-dire basé sur le nombre 60, qui prévalait, et notre manière de diviser le temps est une preuve de cette méthode qui a survécu jusqu’à nos jours. Les Égyptiens utilisaient, semble-​t-​il, un système décimal. Quant aux Hébreux, ils n’étaient pas attachés exclusivement à l’un de ces systèmes mais ils les combinaient plutôt.⁠2

      MESURES LINÉAIRES

      Les Hébreux et certains peuples voisins se servaient manifestement de mesures basées sur certaines parties du corps humain, telles : le doigt, la main, le bras, l’empan, le pied, le pas.⁠3 Mais il est certain que celles-ci varient avec chaque individu et des mesures-étalons étaient indispensables pour l’usage général. C’est ainsi qu’on se servit du doigt (dans sa largeur) équivalant approximativement aux trois-quarts du pouce. Selon la tradition rabbinique cela représentait sept grains d’orge alignés côte à côte. Quatre doigts équivalaient à un petit “ palme ” ; trois petits palmes formaient un “ empan ” (l’espace compris entre l’extrémité du pouce et du petit doigt écartés), et deux empans égalaient une “ coudée ”, que les autorités juives nommaient aussi “ aune ”. Puis, il y avait encore le pas qui est approchant du mètre, et la “ canne ” qui était composée de six longues coudées. Le furlong ou stade était le cinquième d’un kilomètre ou 200 mètres⁠4.

      On a beaucoup discuté sur l’évaluation de la coudée, certains soutenant qu’il y avait trois sortes de coudées de différentes longueurs. Selon les uns on devait la mesurer du coude à l’extrémité du médius, ou jusqu’aux articulations des doigts, ou au poignet ; selon les autres on la mesurait de l’aisselle à l’extrémité des doigts étendus⁠5. Cependant, il ne semble guère exister de raisons d’admettre des coudées d’aussi différentes longueurs, et le Westminster Dictionary of the Bible, publié en 1944, souligne qu’elle est probablement “ d’environ 18 pouces ”, soit approximativement six palmes⁠6 (environ 45 cm). Cette dernière coudée était d’un usage courant et fut sans doute la plus ancienne des deux coudées utilisées, la seconde étant une coudée valant une coudée ordinaire et un palme (ou à peu près 52 cm) (Ézéch. 40:5). Les Égyptiens utilisaient eux aussi un système semblable, comportant une coudée ordinaire et une coudée royale d’un sixième plus longue, qu’ils employaient dans les affaires commerciales au profit égoïste du roi. Cela ne se faisait pas en Israël.

      Mais voyons maintenant à quels résultats on parvient en nous servant de cette “ canne ” de la longueur d’une coudée, mentionnée dans certains récits bibliques. Tout d’abord concernant l’arche grâce à laquelle survécurent au déluge Noé, sa famille et quelques-uns de chaque espèce de tous les animaux, la Genèse 6:15, 16 dit : “ Voici comment tu la feras : l’arche aura trois cents coudées de longueur, cinquante coudées de largeur et trente coudées de hauteur... tu construiras un étage inférieur, un second et un troisième. ” Voilà qui n’était pas tout à fait un yacht de plaisance pour week-ends, mais une sorte d’énorme coffre de 137 mètres de long, de 23 mètres de large et de 13,50 mètres de haut, destiné à abriter pendant plus d’une année lunaire tout ce qui survécut.

      Beaucoup plus tard, dans la plaine de Dura en Babylonie, le roi Nebucadnetsar érigea une statue devant laquelle tous devaient se prosterner en signe d’adoration. Sa “ hauteur était de soixante coudées et sa largeur de six coudées ” ; en vérité cette idole de presque 3 mètres de large qui s’élevait jusqu’à environ 27 mètres vers le ciel attirait l’attention et commandait l’adoration du peuple (Dan. 3:1). Mais les Hébreux fidèles ne fléchirent point le genou devant cette monstruosité qui remplissait le peuple de crainte.

      MESURES ITINÉRAIRES

      Dans les temps bibliques, quelle distance pouvait-​on parcourir en un jour ? Cela dépendait du jour, de ceux qui participaient au voyage et des accidents du terrain. C’est pourquoi, lorsqu’il est fait mention d’“ une journée de chemin ”, nous ne pouvons guère en fixer la distance précise. On peut cependant admettre qu’elle représente une moyenne d’une trentaine de kilomètres. Certains pourraient très bien parcourir plus de 40 km, mais si le voyage était effectué par un groupe assez important, cette expression ne peut s’appliquer qu’à une quinzaine de kilomètres environ⁠7. Ce fut peut-être le cas avec les parents de Jésus lorsqu’ils rentraient de la fête.

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