-
Un mariage à l’indienneRéveillez-vous ! 1972 | 8 décembre
-
-
pour les maris et les femmes, prendra soin de notre fille comme nous pourrions le faire nous-mêmes. Si les parents du garçon ont également foi en Jéhovah, qui fit le premier mariage, nous ne serons pas trompés, comme certains l’ont été.
“Un jour, en effet, des parents ont conclu un mariage pour leur fils qui avait de brillantes qualités. Il était instruit et avait beaucoup voyagé. Quand vint pour lui le moment de se marier, il demanda qu’on lui donnât une jeune fille intelligente et instruite. Ses parents lui trouvèrent une telle jeune fille. Elle était fraîche et vive ; elle semblait intelligente et donnait l’impression qu’il pourrait y avoir communion d’esprit entre leur fils et elle. Le jour du mariage, le mari souleva le voile de son épouse pour lui passer autour du cou le “mangal sudra”, une chaîne d’or que l’on porte à la place d’une alliance. Il découvrit alors un visage épais, marqué par la petite vérole et beaucoup plus âgé que prévu. C’était la sœur aînée de la fiancée promise ! Au lieu de faire un éclat, le jeune homme accepta le mariage ; mais il mène depuis lors une vie décevante avec une femme qui ne lui convient pas du tout. Il est un objet de pitié pour tout le village.
“Je suis mariée depuis vingt-cinq ans, et mon mariage a été heureux. Ce fut une joie pour nous quand notre fille a accepté le mariage que nous lui proposions. Nous avons trouvé un jeune homme qui lui convient parfaitement. Elle a été une bonne fille ; nous savons donc qu’elle sera une bonne épouse.”
Mon mariage
D’après le récit de ma mère, vous avez pu voir que mes parents ont de l’expérience. Leurs conseils m’ont montré combien il est important de veiller sur sa conduite tandis que l’on grandit. On ne sait pas qui nous observe. Comment espérer être choisie pour être la femme d’un fils de bonne famille si on n’a pas une excellente conduite ? On passera alors tout le reste de sa vie à regretter de n’avoir pas pu faire un bon mariage.
La cérémonie est maintenant terminée. Mon mari et moi prenons congé de la foule et montons dans une voiture pour faire un petit tour avant la réception. C’est la première occasion que nous avons d’échanger quelques mots. Je suis émue de trouver mon mari beaucoup mieux que ce que j’avais imaginé ou souhaité. Il se montre très aimable. Mon cœur déborde de joie et d’amour quand il me dit pendant ces premiers moments d’intimité : “Si je fais quelque chose de mal, tu m’avertiras et, de mon côté, je t’avertirai s’il t’arrive de mal faire. Il faudra qu’il y ait toujours une bonne entente entre nous.” Il parle aussi de l’aide spirituelle que nous nous accorderons mutuellement en étudiant la Bible ensemble.
Je suis vraiment heureuse de commencer ma vie conjugale avec un conjoint aussi merveilleux. Je me sens pleine de reconnaissance envers Jéhovah Dieu et aussi envers mes bons parents qui ont mis tant de soin à me trouver un excellent mari. — D’une de nos lectrices.
-
-
Les “envies” des femmes enceintesRéveillez-vous ! 1972 | 8 décembre
-
-
Les “envies” des femmes enceintes
Après une étude portant sur une centaine de femmes, deux savants britanniques ont découvert que cinquante et une d’entre elles avaient envie d’aliments inhabituels durant leur grossesse. Certaines désiraient des pickles et des pommes vertes. Soixante-deux des femmes ont déclaré que durant cette période elles avaient éprouvé du dégoût pour certains aliments et boissons qu’elles aimaient habituellement, notamment le thé et le café. Les savants ont affirmé que ces “envies” ne signifiaient pas que quelque chose manquait au régime alimentaire de ces femmes, mais que leur grossesse changeait temporairement leurs goûts.
-