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  • Mictam
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    • le sens du mot hébreu mikhtâm. Les lexicographes Koehler et Baumgartner font remarquer que mikhtâm peut être apparenté à l’akkadien katamou, qui signifie “couvrir”, et ils donnent comme définition possible pour ce mot “psaume d’expiation”. (Lexicon in Veteris Testamenti Libros, p. 523.) Par conséquent, “mictam” peut désigner un cantique ou un psaume destiné à couvrir une faute, à faire propitiation pour un péché, une culpabilité ou une impureté. Il semble que le mot mikhtâm ait un rapport avec la propitiation, étant donné que les psaumes de David auxquels est associée cette expression contiennent un certain nombre de lamentations, bien qu’ils décrivent aussi la reconnaissance du psalmiste pour l’aide de Jéhovah et la confiance qu’il plaçait en ce dernier.

  • Middin
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    • MIDDIN

      {Article non traduit.}

  • Miel, rayon de miel
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    • MIEL, RAYON DE MIEL

      Le terme “miel”, tel qu’il est employé dans les Écritures hébraïques, vient des mots yaʽar, nopheth et devash, ce dernier pouvant désigner non seulement le miel d’abeilles, mais aussi le sirop de fruits. Dans les Écritures grecques on trouve le mot méli associé à l’adjectif agriôs, qui veut dire “sauvage”, pour désigner le miel d’abeilles sauvages.

      LE RAYON DE MIEL

      Le rayon de miel est une merveille de construction révélant la sagesse et l’intelligence incomparables du Créateur qui a doté les abeilles d’un tel instinct. La forme hexagonale des cellules est idéale, car le rayon peut ainsi contenir le maximum de miel avec un minimum de cire dont sont faites les parois de ces alvéoles. Quand les abeilles se mettent à édifier un rayon, certaines de leurs glandes sécrètent de la cire qui suinte par leurs pores et forme de petits flocons blancs dont elles s’emparent avec leurs pattes pour les amener à leurs mâchoires. Elles mastiquent ensuite cette cire et la fixent là où il faut sur le rayon en construction. Les parois du rayon n’ont que 3 dixièmes de millimètre d’épaisseur, mais elles peuvent supporter trente fois leur poids.

      LE MIEL

      Lorsque les Écritures parlent du miel d’abeilles, il s’agit le plus souvent de miel sauvage semblable à celui dont s’est nourri Jean le Baptiseur dans le désert (Mat. 3:1, 4). Les abeilles fondent leur colonie en des endroits divers, y compris dans les arbres et les rochers. En une certaine occasion, elles en ont même formé une dans la carcasse d’un animal qui, de toute évidence, n’était plus en décomposition mais avait été desséchée par le soleil. Cette carcasse était celle d’un lion dans laquelle Samson trouva du miel qu’il mangea. — Juges 14:8, 9.

      Une bonne nourriture

      Les propriétés énergétiques du miel sont illustrées par le cas de Jonathan, fils du roi Saül; épuisé par la bataille, il prit un peu de miel et aussitôt ses yeux “commencèrent à briller”. (I Sam. 14:25-30.) Cette nourriture énergétique figure parmi les vivres que Jéhovah fournit à son peuple dans le désert. Là où les arbres étaient peu nombreux, les Israélites mangèrent le “miel du rocher”, autrement dit le miel des rayons que les abeilles avaient construits dans des endroits pierreux. — Deut. 32:13.

      Propriétés curatives

      Le miel a aussi des vertus curatives. Il est comparé aux paroles agréables et à la sagesse, non seulement pour sa douceur et son goût raffiné, mais surtout parce qu’il est fortifiant. Les paroles agréables fortifient spirituellement, de même que le miel est tonique pour le corps. Le rédacteur des Proverbes dit: “Des paroles agréables sont un rayon de miel, doux pour l’âme et guérison pour les os.” — Prov. 16:24; 24:13, 14.

      De belles paroles

      La douceur du miel, qui flatte le palais, est une image souvent utilisée dans les Écritures. Des exemples nous sont donnés en Ézéchiel 3:2, 3 et en Révélation 10:9. Le miel vierge est fréquemment cité, car sa saveur, sa douceur et sa richesse sont considérées comme étant plus grandes que celles du miel qui a été exposé à l’air pendant un certain temps. Soulignant la douceur et le charme des propos de la Sulamite, son berger bien-aimé les compare à du “miel vierge” qui dégoutterait de ses lèvres (Cant. 4:11). Les décisions judiciaires de Jéhovah sont si excellentes et si bénéfiques qu’elles sont même “plus douces que le miel et que le miel qui coule des rayons”. (Ps. 19:9, 10.) Ses paroles ‘sont plus douces au palais que le miel à la bouche’. — Ps. 119:103.

      Un avertissement pour ceux qui cherchent leur propre gloire

      Le miel est bon, mais si on en abuse il donne la nausée (Prov. 25:16); cet abus du miel est comparé à la recherche de sa propre gloire. — Prov. 25:27.

      Une mise en garde contre l’immoralité sexuelle

      La tentation suscitée par la “femme étrangère”, qui use de ses charmes et de paroles douces comparables au miel pour amener l’homme à commettre l’immoralité sexuelle, est décrite en Proverbes chapitres cinq et sept. Cette description constitue un excellent avertissement pour les chrétiens aujourd’hui. — Prov. 5:3-5; 7:21, 22.

      LE MIEL DE FRUITS

      Le mot hébreu devash peut aussi désigner le jus ou sirop de fruits (figues, dattes, etc.). C’est souvent le contexte qui indique au lecteur s’il s’agit ou non de miel d’abeilles. De toute évidence, c’est le sirop de fruits que Lévitique 2:11 interdisait d’offrir sur l’autel, parce qu’il entre facilement en fermentation. Qu’il ne soit pas question du miel d’abeilles, c’est ce que montre le verset suivant 2:12, qui classe le “miel” interdit parmi les “prémices”. Le miel utilisé par les Israélites était essentiellement du miel sauvage et non une substance cultivée et récoltée comme les raisins, les figues, les dattes et autres fruits. Pour la même raison, le miel offert comme prémices par le peuple après qu’Ézéchias l’eut exhorté à soutenir la prêtrise était certainement du jus ou sirop de fruits. — II Chron. 31:5.

      UN PAYS DE LAIT ET DE MIEL

      La Palestine est souvent décrite dans les Écritures comme “un pays ruisselant de lait et de miel”; cette description est tout à fait appropriée, car non seulement y abondait le miel, mais aussi le sirop de fruits (Ex. 3:8; Lév. 20:24; Deut. 11:9; Josué 5:6; etc.). Il semble que le sirop de fruits soit désigné comme article d’échange dans le commerce avec Tyr. — Ézéch. 27:2, 17; voir ABEILLE.

  • Migdal-El
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    • MIGDAL-EL

      {Article non traduit.}

  • Migdal-Gad
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    • MIGDAL-GAD

      {Article non traduit.}

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      {Article non traduit.}

  • Migron
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    • MIGRON

      {Article non traduit.}

  • Milalaï
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    • MILALAÏ

      {Article non traduit.}

  • Milan
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    • MILAN

      (héb. ʼayyâh, “milan noir”; dhâʼâh, “milan rouge”; et peut-être dayyâh, “milan commun”).

      Le milan est à la fois rapace et nécrophage. Le milan noir aussi bien que le milan rouge, qui sont les variétés de milan les plus répandues en Palestine, sont classés dans la Loi parmi les oiseaux impurs (Lév. 11:13, 14; Deut. 14:12, 13). On croit que le nom hébreu ʼayyâh a été créé en imitation du cri perçant du milan noir (que les ornithologues désignent sous le nom de Milvus migrans).

      On ne connaît pas avec certitude la signification originale du terme hébreu dhâ’âh. Toutefois, certains pensent qu’il peut emporter l’idée de “fondre comme un trait”, que l’on retrouve dans l’expression “il arriva comme un trait [de l’hébreu dhâ’âh] sur les ailes d’un esprit” (Ps. 18:10) et dans les références faites à l’aigle qui “fond” sur sa proie (Deut. 28:49; Jér. 48:40; 49:22). Ce nom s’appliquerait alors à un oiseau de proie, et Koehler et Baumgartner (Lexicon in Veteris Testamenti Libros, p. 198) proposent le milan rouge (Milvus milvus).

      Le milan appartient à la même famille que les faucons et il est d’ailleurs décrit comme un faucon au corps mince. Un milan de taille moyenne mesure environ 60 cm de long et son envergure est à peu près d’un mètre. Le vol plané très gracieux du milan ne lui demande aucun effort. Pour effectuer ses manœuvres aériennes, pour tournoyer ou descendre en piqué, il se sert de sa longue queue en forme de fourche, très caractéristique, comme d’un gouvernail.

      Job prend l’exemple du milan noir pour montrer que l’ingéniosité de l’homme et sa recherche des richesses le mènent dans des sentiers cachés que même les oiseaux de proie à la vue perçante ne peuvent voir. — Job 28:7.

      Un autre terme hébreu (dayyâh) désignant un oiseau apparaît dans la liste des créatures volantes impures en Deutéronome 14:13, mais il ne figure pas dans la liste parallèle en Lévitique 11:14. Certains pensent que ce terme hébreu dérive d’un verbe qui signifie “voler rapidement”. Il est traduit par “milan commun”. — MN.

      [Illustration, page 1016]

      Milan rouge au bec crochu et à la queue fourchue.

  • Milan, II
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    • MILAN, II

      {Voir MILAN (entrées “Glede” et “Kite” regroupées.}

  • Milcah
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    • MILCAH

      {Article non traduit.}

  • Milcom
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    • MILCOM

      Voir MOLECH.

  • Mildiou
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    • MILDIOU

      Nom générique de nombreuses maladies cryptogamiques qui attaquent les plantes. Entre autres catastrophes qui frappèrent les Israélites infidèles, le mildiou ruina leurs récoltes (Deut. 28:22; I Rois 8:37-39; II Chron. 6:28-30; Amos 4:9; Aggée 2:17). On a parfois identifié le mildiou de la Bible à la rouille du blé (Puccinia graminis). Cette grave maladie parasitaire prive la plante des éléments nutritifs et de l’eau dont elle a besoin, ce qui finit par dessécher le grain. Lorsque la plante est contaminée, de petites taches couleur rouille apparaissent sur la tige et sur les feuilles.

  • Milet
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    • MILET

      Ville maintenant en ruine sur la côte occidentale de l’Asie Mineure, près de l’embouchure du Méandre (Menderes). Elle avait autrefois quatre ports. Il semble qu’au septième siècle avant notre ère les Ioniens avaient fait de Milet un centre commercial prospère qui exploitait de nombreuses colonies sur la mer Noire et en Égypte. La réputation des produits lainiers de Milet s’étendit très loin, ce qui vient corroborer la leçon d’Ézéchiel 27:18 dans la Septante. Cette version, en effet, cite “la laine de Milet” parmi les articles dont Tyr faisait commerce. Milet fut également la ville natale de philosophes célèbres, dont Thalès (640?-​546 av. n. è.), considéré comme le fondateur de la géométrie, de l’astronomie et de la philosophie grecques. Au cinquième siècle avant notre ère, les Perses prirent Milet et la détruisirent parce qu’elle avait participé à une rébellion. Par la suite (en 334 av. n. è.), la ville, qui avait été reconstruite, tomba aux mains d’Alexandre le Grand. À l’époque hellénistique et romaine, Milet fut témoin de nombreuses créations architecturales. Un vestige impressionnant de cette période est un grand théâtre construit en plein champ.

      Avec le temps, Milet perdit de son importance en raison, pense-​t-​on, de l’envasement de ses installations portuaires par les alluvions du Méandre. Il semble que l’ancienne ville se trouvait sur un promontoire en saillie sur la rive sud du golfe Latmique. Mais, aujourd’hui, ses ruines sont à huit kilomètres environ à l’intérieur des terres, et ce qui était autrefois le golfe Latmique est devenu un lac.

      PAUL VISITE MILET

      C’est probablement en 56 que l’apôtre Paul fit escale à Milet. Comme il désirait arriver si possible à Jérusalem pour la Pentecôte et qu’il ne voulait pas passer plus de temps qu’il n’était nécessaire en Asie Mineure, Paul décida, à Assos apparemment, de prendre un navire qui passait au large d’Éphèse. Mais il ne négligea pas pour autant les besoins de la congrégation de cette ville. Depuis Milet, et sans doute au moyen d’un messager, il fit appeler les anciens de la congrégation d’Éphèse (distante d’une cinquantaine de kilomètres). Il fallait vraisemblablement moins de temps pour avertir ces frères et les faire venir à Milet (trois jours au minimum) qu’il n’en aurait fallu à Paul pour se rendre lui-​même à Éphèse. Peut-être était-​ce parce que le ou les navires disponibles à Assos et passant par Éphèse faisaient davantage d’escales en cours de route que celui ou ceux qui s’arrêtaient à Milet. À moins que la situation à Éphèse elle-​même n’ait obligé Paul à s’y attarder s’il y avait fait escale. — Actes 20:14-17.

      Il semble qu’un certain temps après son premier emprisonnement à Rome, Paul soit retourné à Milet. Il dut y laisser Trophime, qui l’avait accompagné auparavant de Milet à Jérusalem, ce disciple étant tombé malade. — Voir Actes 20:4; 21:29; II Timothée 4:20.

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