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  • Écriture (Sainte)
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    • ‘document’, il est parfois rendu par “écrit”. En Jean 5:47 et II Timothée 3:15, ce mot est utilisé à propos des “écrits” ou des “lettres” divinement inspirés que sont les Écritures hébraïques.

      INVOQUÉE PAR LE CHRIST ET LES APÔTRES

      Jésus Christ et les rédacteurs des Écritures chrétiennes utilisèrent souvent le terme graphê pour parler des écrits de Moïse et des prophètes qu’ils invoquaient comme autorité afin de justifier leur enseignement ou leur œuvre, parce que ces textes étaient inspirés par Dieu. L’ensemble de ces écrits en hébreu était souvent désigné par le nom “Écritures”. (Mat. 21:42; 22:29; Marc 14:49; Jean 5:39; Actes 17:11; 18:24, 28.) Ces rédacteurs emploient parfois le mot “Écriture” au singulier quand ils citent un texte en particulier, considérant celui-ci comme une partie de l’ensemble des Écritures hébraïques (Rom. 9:17; Gal. 3:8). Ils font également référence à un passage précis en parlant de l’“Écriture” ou d’une “parole de l’Écriture” au sens d’une déclaration faisant autorité (Marc 12:10; Luc 4:21; Jean 19:24, 36, 37). En II Timothée 3:16 et II Pierre 1:20, Paul et Pierre semblent nous renvoyer aux Écritures divinement inspirées, tant hébraïques que grecques, quand ils parlent de l’“Écriture”. En II Pierre 3:15, 16, l’apôtre range les lettres de Paul dans les “Écritures”.

      PERSONNIFICATION

      On reconnaissait que les Écritures étaient inspirées par Dieu, qu’elles étaient sa Parole, sa déclaration vivante (la voix même de Dieu). Dès lors, on les personnifia parfois, en les faisant s’exprimer avec l’autorité conférée par Dieu (tout comme Jésus Christ personnifia l’esprit saint ou force active de Dieu, disant que cet esprit enseigne et rend témoignage [Jean 14:26; 15:26]) (Jean 7:42; 19:37; Rom. 4:3; 9:17). Pour la même raison, il est dit des Écritures qu’elles peuvent voir à l’avance ou prêcher. — Gal. 3:8; comparez avec Matthieu 11:13; Galates 3:22.

      INDISPENSABLE AUX CHRÉTIENS

      Puisque Jésus s’est constamment référé aux Écritures hébraïques pour appuyer son enseignement, il est important que ses disciples ne s’écartent pas de ces Écritures. L’apôtre Paul souligna leur grande valeur et leur importance capitale, en disant: “Toute Écriture est inspirée de Dieu et utile pour enseigner, pour reprendre, pour remettre les choses en ordre, pour discipliner dans la justice, pour que l’homme de Dieu soit tout à fait qualifié, parfaitement équipé pour toute œuvre bonne.” — II Tim. 3:16, 17.

  • Écritures grecques
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    • ÉCRITURES GRECQUES

      {Article non traduit.}

  • Écritures grecques chrétiennes
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    • ÉCRITURES GRECQUES CHRETIENNES

      Voir BIBLE.

  • Écritures hébraïques
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    • ÉCRITURES HÉBRAÏQUES

      Voir BIBLE.

  • Écron
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    • ÉCRON

      (déracinement).

      L’une des principales villes des cinq seigneurs de l’axe des Philistins, apparemment la plus septentrionale (Josué 13:3). Sa localisation exacte est incertaine, mais de toutes les localités modernes suggérées, à savoir ʽAqir, Qatra et Khirbet el-Muqanna, les fouilles effectuées récemment dans cette dernière, située à moins de 20 kilomètres à l’est-nord-est de Aschdod, ont mis au jour la plus grande ville de cette période, et on lui donne généralement la préférence comme site d’Écron.

      L’histoire d’Écron est celle du changement constant de domination. Elle ne figure pas au nombre des villes conquises par Josué. C’est la tribu de Juda qui s’en empara plus tard (Josué 13:2, 3; Juges 1:18). Lors de la division initiale de la Terre promise, Écron se trouvait à la limite des territoires de Juda et de Dan, mais elle appartenait à Juda (Josué 15:1, 11, 45, 46; 19:40-43). Au temps où les Philistins capturèrent l’arche de l’alliance, Écron était de nouveau en leur possession. La présence de l’Arche dans cette ville causa une confusion mortelle” et c’est de là qu’on finit par la renvoyer aux Juifs (I Sam. 5:10-12; 6:16, 17). Après une nouvelle période passée sous la domination israélite, Écron avait, semble-​t-​il, été reprise par les Philistins au temps où David abattit Goliath (I Sam. 7:14; 17:52). C’est dans la première partie du dixième siècle avant notre ère que Schischac, roi d’Égypte, prétendit avoir pris Écron. Quelque deux siècles plus tard, et selon les Annales de Sennachérib, Padi, roi d’Écron, servait les Assyriens.

  • Éden
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    • ÉDEN

      (plaisir, délices).

      La région où le Créateur avait disposé le parc ou jardin qui allait être la demeure originelle du premier couple humain. La déclaration qui le situait “en Éden, vers l’orient”, semble indiquer que ce jardin n’occupait qu’une partie de la région nommée Éden (Gen. 2:8). Toutefois, cet endroit est appelée plus loin “jardin d’Éden” (Gen. 2:15) et des textes postérieurs en parlent comme de l’“Éden, le jardin de Dieu” (Ézéch. 28:13) ou “jardin de Jéhovah”. — És. 51:3.

      Dans la Septante, le mot hébreu “jardin” (gan) est rendu par le vocable grec paradéisos, terme emprunté au vieux perse paridaiza, qui signifiait d’abord “enclos”, puis qui prit plus tard le sens de “parc” ou “lieu de plaisir”. C’est ainsi que le mot français “paradis” en vint à désigner le jardin d’Éden.

      En Genèse 2:15, nous lisons que “Jéhovah Dieu prit l’homme et l’installa dans le jardin d’Éden”. Ce texte semblerait indiquer que l’homme fut créé en dehors du jardin. Cependant, peut-être doit-​on simplement comprendre que Dieu ‘prit’ l’homme en ce qu’il le forma et le créa à partir des éléments de la terre pour le faire habiter, au début, dans le jardin où il était venu à l’existence. L’homme avait été chargé de cultiver ce jardin et d’en prendre soin. En Éden, beaucoup d’arbres et de plantes contribuaient à la beauté du paysage et fournissaient une grande variété de nourriture (Gen. 2:9, 15). Ce fait suffit à montrer que le jardin devait couvrir une superficie considérable.

      Le jardin abritait aussi une faune très variée. En effet, Dieu amena devant Adam “tous les animaux domestiques, et les créatures volantes des cieux, et toute bête sauvage” pour qu’il leur donnât un nom, ce qui constitua l’une de ses premières tâches (Gen. 2:19, 20). En Éden, le sol n’était pas arrosé par la pluie, mais par les eaux d’un fleuve “qui sortait d’Éden” et par une “brume” qui montait de la terre (Gen. 2:5, 6, 10). Du fait que l’homme vivait nu, on peut penser que le climat était doux et agréable. — Gen. 2:25.

      LES ÉVÉNEMENTS QUI SE PRODUISIRENT EN ÉDEN

      L’homme devait manger “à satiété” de tous les arbres fruitiers d’Éden (Gen. 2:16). Nos premiers parents se virent toutefois interdire un arbre, celui “de la connaissance du bon et du mauvais”. Selon Ève, Jéhovah avait même défendu à son mari de “toucher” à cet arbre; s’ils faisaient peu de cas de la loi divine et la transgressaient, ils seraient punis de mort. — Gen. 2:17; 3:3; voir ARBRES.

      Bien que certains critiques modernes rejettent le récit édénique à cause de sa simplicité, les circonstances de l’époque n’exigeaient manifestement qu’une preuve simple. Juste après leur création, l’homme et la femme menaient une vie simple, à l’abri des complications, des problèmes des embarras et des situations difficiles que la désobéissance à Dieu a fait fondre sur le genre humain. Néanmoins, dans toute sa simplicité, l’épreuve exprimait succinctement, mais admirablement, cette vérité universelle: Dieu est le Souverain, l’homme dépend de lui et il a des devoirs envers lui. Il faut ajouter que, bien que simple, le récit des événements survenus en Éden brosse un tableau infiniment plus élevé que les théories qui, au lieu de décrire l’origine de l’homme dans un jardin, le représentent dans une grotte, dépourvu de tout sens moral et totalement ignorant. La simplicité de l’épreuve présentée en Éden illustre le principe établi des millénaires plus tard par le Fils de Dieu, principe suivant lequel “celui qui est fidèle dans ce qui est très peu est fidèle aussi en beaucoup, et celui qui est injuste dans ce qui est très peu est injuste aussi en beaucoup”. — Luc 16:10.

      Ceci dit, la présence de cet arbre interdit en Éden ne devait nullement servir d’épine dans la chair’ à nos premiers parents. Son propos n’était pas non plus de soulever un litige ou une controverse. Si le premier couple se contentait de reconnaître la volonté de Dieu et de respecter ses instructions, sa demeure resterait telle quelle, un lieu de plaisir et de délices. En revanche, selon le récit biblique, c’est l’adversaire de Dieu qui souleva pour les humains un litige et une controverse à propos de l’arbre et les incita à transgresser les ordonnances divines (Gen. 3:1-6). Dotés du libre arbitre, nos premiers parents choisirent en pleine connaissance de cause de se rebeller contre la domination légitime de Dieu, ce qui leur fit perdre leur demeure paradisiaque et les bénédictions qui s’y rattachaient. Pis encore, ils perdirent l’occasion de manger d’un autre arbre de l’Éden, celui qui représentait le droit à la vie éternelle. — Gen. 3:22-24.

      L’EMPLACEMENT DE L’ÉDEN

      On n’a pu émettre que des hypothèse à propos du site originel du jardin d’Éden. Pour le situer géographiquement, on s’appuie principalement sur la description du fleuve “qui sortait d’Éden” et se divisait ensuite en quatre “têtes” qui donnaient naissance à l’Euphrate, à l’Hiddékel, au Pischon et au Guihon (Gen. 2:10-14). L’Euphrate (héb. Perâth) est bien connu. Quant à l’“Hiddékel”, c’est le nom que certaines inscriptions de l’Antiquité donnent au Tigre (comparez aussi avec Daniel 10:4). Pour les deux autres fleuves, le Pischon et le Guihon, ils n’ont pas été identifiés.

      L’Éden pouvait se trouver dans une région montagneuse; en effet, l’arche qui abritait les survivants du déluge vint s’échouer sur “les montagnes d’Ararat”. (Gen. 8:4.) Puisqu’elle n’était pas propulsée, mais se contentait de flotter, on peut logiquement en déduire qu’elle a dû rester à peu près dans la région où les eaux de déluge l’avaient soulevée du sol. L’Éden était peut-être entouré par une barrière naturelle, des montagnes par exemple; en effet, le récit explique que les chérubins n’avaient été postés qu’à l’est du jardin, là où Adam et Ève en étaient sortis (Gen. 3:24). La tradition a donc situé le jardin d’Éden dans une région qui se trouve à un peu plus de 200 kilomètres au sud-ouest du mont Ararat et à quelques kilomètres au sud du lac de Van, dans la partie orientale de la Turquie.

      Une fois qu’Adam fut banni du paradis et qu’il n’y eut plus personne pour “le cultiver et pour en prendre soin”, on peut penser que la végétation se mit à se multiplier et que seuls des animaux continuèrent à l’habiter jusqu’à ce que, quelque 1 656 ans plus tard, les trombes d’eau du déluge le fassent disparaître. Dès lors, hormis le récit divin sur son existence, rien ne permet à l’homme de situer son emplacement.

  • Éder
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    • ÉDER

      {Article non traduit.}

  • Édom
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    • ÉDOM

      (rouge, roux), ÉDOMITES

      Édom était l’autre nom d’Ésaü, le frère jumeau de Jacob (Gen. 36:1). Ce surnom lui venait de ce qu’il avait vendu son droit d’aînesse pour du ragoût roux (Gen. 25:30-34). Il se trouve également qu’à sa naissance, Ésaü était très roux (Gen. 25:25) et cette couleur dominait dans certaines parties du pays qu’Ésaü et ses descendants habitèrent par la suite.

      SÉIR ET ÉDOM

      Durant les vingt années où Jacob séjourna à Haran, Ésaü (Édom) entreprit de s’établir dans le pays de Séir, la “campagne d’Édom”. (Gen. 32:3.) Ainsi, dès avant la mort de son père (Gen. 35:29), Ésaü commençait de toute évidence à accomplir la bénédiction prophétique d’Isaac: il dirigeait son attention loin des sols fertiles de la région d’Hébron, et s’était sans doute mis à ‘vivre de son épée’ avec les quatre cents hommes placés sous son autorité (Gen. 27:39, 40; 32:6, 8). Le récit biblique indique toutefois qu’il conservait une résidence ou un campement de base dans la région d’Hébron et qu’il n’élut définitivement domicile dans la région de Séir qu’après le décès de son père (en 1738). À ce moment-​là, sa famille avait grandi, et il avait acquis de nombreux biens. — Gen. 36:6-8.

      Le pays de Séir était jusque-​là le domaine des Horites (Gen. 14:6; 36:20-30), mais les fils d’Ésaü dépossédèrent les cheiks horites de cette région et s’en emparèrent (Deut. 2:12). Par la suite, on appela cette région “Édom”, bien que son ancien nom de Séir soit resté en usage (Nomb. 24:18). Il semble que l’on retrouve l’écho du nom de Séir dans celui du djebel Esh-Sheraʼ, la principale chaîne montagneuse située au sud de la mer Morte et à l’est de l’Arabah (le prolongement méridional de la grande Fosse jordanienne ou vallée du Jourdain, au nord de la mer Morte).

      DESCRIPTION GÉOGRAPHIQUE

      Le territoire d’Édom s’étendait sur près de 160 kilomètres, depuis le ouadi de Zéred, qui constituait sa frontière septentrionale avec Moab, jusqu’à Élath

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