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  • Vêtement
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    • villes païennes sur le point d’être capturées de revêtir leurs plus beaux atours, afin de séduire les soldats qui pouvaient les prendre pour épouses. Toutefois, lorsqu’un soldat israélite prenait une captive, avant qu’il ne puisse l’épouser elle devait se défaire de ses vêtements, certains ayant peut-être des liens avec la religion païenne. — Deut. 21:10-13.

      USAGE FIGURÉ

      Jéhovah présenta Jérusalem comme s’il l’avait, figurément parlant, parée de beaux vêtements. Mais, confiante en sa beauté, elle se mit à fréquenter les nations païennes et à se couvrir d’ornements pour se rendre attrayante, telle une prostituée. — Ézéch. 16:10-14; voir Ézéchiel 23:26, 27; Jérémie 4:30, 31.

      Le vêtement est employé au sens figuré dans de nombreux passages de la Bible. Jéhovah se présente lui-​même comme étant revêtu de dignité, de splendeur, de grandeur, de lumière, de justice, de zèle et de vengeance (Ps. 93:1; 104:1, 2; És. 59:17). Il est dit de Dieu qu’il revêt son peuple des vêtements de justice et de salut (Ps. 132:9; És. 61:10). Ses ennemis seront revêtus de honte et d’humiliation (Ps. 35:26). Paul ordonne aux chrétiens de se dépouiller de la vieille personnalité et de revêtir la personnalité nouvelle qui se caractérise entre autres par les tendres affections de la compassion, par la bonté, l’humilité d’esprit, la longanimité et surtout l’amour. — Col. 3:9-14.

      De nombreux passages bibliques donnent encore un sens symbolique aux vêtements. Un uniforme ou une tenue spéciale identifie celui qui le porte à une certaine organisation ou fait de lui un partisan d’un certain mouvement. De même, le vêtement utilisé au sens figuré dans la Bible identifie une personne quant à sa prise de position et à ses activités menées en conformité avec celle-ci; nous en avons pour preuve l’illustration de Jésus relative au vêtement de mariage. — Mat. 22:11, 12.

  • Vêtement, II
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    • VÊTEMENT, II

      {Article non traduit.}

  • Vêtement, III
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    • VÊTEMENT, III

      {Article non traduit.}

  • Vêtement officiel
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    • VÊTEMENT OFFICIEL

      Le mot hébreu ʼaddèrèth (dont la racine signifie “large, grand, noble”) représente ce qui est “magnifique” (Ézéch. 17:8; Zach. 11:3); lorsqu’il qualifie un vêtement, il se rapporte sans doute à une grande cape ou à une large robe, peut-être drapée sur les épaules et faite de peau ou d’un tissu de poil ou de laine.

      La façon dont est décrit Ésaü, le premier-né d’Isaac, prouve que ce terme désigne un vêtement de poil. À sa naissance, il “sortit entièrement roux comme un vêtement officiel de poil; on l’appela donc du nom d’Ésaü”. (Gen. 25:25.) Sa ressemblance avec un vêtement officiel ne tenait pas tant à sa couleur rousse qu’à son aspect velu.

      La Septante utilise le mot grec mêlotê (qui se rapporte à une peau de mouton ou à une peau laineuse et rêche) pour rendre ʼaddèrèth, terme employé pour désigner le vêtement officiel dont se servaient Élie et Élisée (I Rois 19:13). Cela laisse entendre que cet habit était fait de peau, les poils étant laissés à l’extérieur, tout comme les costumes que portent certains bédouins. Paul, lorsqu’il mentionne les serviteurs de Dieu qui furent persécutés, dit qu’ils “ont circulé couverts de peaux de mouton, de peaux de chèvre”; il fait peut-être allusion aux vêtements que portaient ces prophètes de Jéhovah (Héb. 11:37). Jean le Baptiseur était vêtu de poil de chameau, mais il n’est pas spécifié qu’il s’agissait de son vêtement officiel de prophète. — Marc 1:6.

      Quel que soit leur aspect, ces vêtements officiels de poil semblent avoir été la marque distinctive de certains prophètes. Quand on fit au roi Achaziah la description d’“un homme possesseur d’un vêtement de poil, et (...) ceint d’une ceinture de cuir autour de ses reins”, il reconnut immédiatement qu’il s’agissait du prophète Élie (II Rois 1:8). C’est au moyen de ce vêtement officiel jeté sur lui qu’Élisée fut oint, lorsqu’il fut ‘appelé’ à abandonner sa charrue et à suivre Élie (I Rois 19:19-21). Plus tard, au moment où Élie fut enlevé dans la tempête de vent, ce vêtement fut laissé à son successeur, qui s’en servit immédiatement pour partager les eaux du Jourdain, exactement selon ce qu’avait fait son maître auparavant (II Rois 2:3, 8, 13, 14). Il semble que les faux prophètes revêtaient parfois des vêtements de poil semblables pour duper le peuple et l’amener à les considérer comme d’honorables prophètes de Jéhovah, ce qui rendait leurs messages plus crédibles. — Zach. 13:4.

      Le terme ʼaddèrèth se rapportait aussi à des vêtements royaux, vêtements de prix, comme celui que vola Acan, “un beau vêtement officiel de Schinéar”. (Josué 7:21, 24.) L’antique Babylone, ou Schinéar, était réputée pour ses vêtements magnifiques. Le roi de Ninive “ôta de dessus lui son vêtement officiel”, sans aucun doute une robe splendide, et revêtit un sac pour manifester sa repentance. — Jonas 3:6.

  • Veuve
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    • VEUVE

      (héb. ʼalmanah, veuve; gr. khêra, veuve [également, par métaphore, quelqu’un qui est privé de quelque chose]).

      Femme dont le mari est décédé et qui ne s’est pas remariée. La mort du mari rompait les liens du mariage et laissait la veuve libre de se remarier si elle le désirait (Ruth 1:8-13; Rom. 7:2, 3; I Cor. 7:8, 9). À l’époque des patriarches, et plus tard sous la loi mosaïque, le frère d’un homme décédé sans enfants devait prendre sa veuve pour femme et lui donner un enfant, afin de perpétuer la lignée familiale du défunt. — Gen. 38:8; Deut. 25:5-10; Ruth 4:3-10; voir LÉVIRAT.

      À la mort de son mari, une veuve pouvait retourner dans la maison de son père (Gen. 38:11). La Loi prévoyait une clause spéciale pour la fille d’un prêtre, veuve ou divorcée. Puisque le prêtre recevait des dîmes pour nourrir sa maisonnée, sa fille pouvait en profiter. Cette disposition la mettait à l’abri de la pauvreté, ce qui évitait de jeter l’opprobre sur la prêtrise (Lév. 22:13). Pour les veuves qui ne jouissaient pas d’une telle protection, il y avait dans la loi de Dieu des clauses qui leur donnaient le droit de glaner dans les champs, les oliveraies et les vignes (Deut. 24:19-21), de participer aux réjouissances lors des fêtes annuelles (Deut. 16:10-14) et, tous les trois ans, de recevoir une part des dîmes versées par le peuple. — Deut. 14:28, 29; 26:12, 13.

      JÉHOVAH ET JÉSUS CHRIST SE SOUCIENT DES VEUVES

      Jéhovah se présente comme Celui “qui exécute le jugement

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