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  • Assemblée internationale de la volonté divine des témoins de Jéhovah
    La Tour de Garde 1959 | 15 août
    • d’organiser uniformément les divers services, selon des méthodes s’étant révélées efficaces. Ainsi, après s’être livré lui-​même, pendant plusieurs semaines, à une inspection de la filiale à Brooklyn, la plus vaste et la plus compliquée de la Société, il composa un livre contenant des instructions à l’intention de toutes les filiales organisées et le fit imprimer. Cet ouvrage de 158 pages, à feuilles mobiles, est intitulé “ Fonctionnement des filiales de la Watch Tower Bible and Tract Society de Pennsylvanie ”. Les instructions qu’il contient devaient entrer en vigueur à partir du 1er septembre 1958. Ce nouveau livre devait être étudié et discuté. Le 16 juillet, soit environ deux semaines avant l’ouverture de l’assemblée, le président de la Société convoqua tous les serviteurs de filiale présents, plus de quatre-vingts, et leurs assistants, en tout 160 surveillants, à la Salle du Royaume située dans le bâtiment du Béthel de Brooklyn, 136, Columbia Heights. Là, jour après jour, il parcourut avec eux cet ouvrage sur le fonctionnement des filiales, le discutant, le développant, répondant à leurs questions à son sujet, jusqu’à l’avant-veille de l’ouverture de l’assemblée. Un exemplaire de ce livre spécial, remis à chacun des serviteurs de filiale fut, en fait, la première publication mise en circulation à l’assemblée internationale.

      Attendu que chaque filiale est équipée de ce livre d’instructions et doit s’y conformer, les témoins de Jéhovah de n’importe quel territoire du globe peuvent avoir la plus grande confiance dans la filiale qui surveille leurs activités et les affaires de leurs assemblées. Ils savent qu’une telle filiale, quels que soient la distance qui la sépare des bureaux, son faible développement ou le caractère récent de son établissement, fonctionne selon les méthodes les plus avancées, les plus modernes, en parfaite harmonie avec toutes les autres, même les plus anciennes et les plus grandes. Nul ne devrait donc mépriser ou refuser de reconnaître une filiale quelconque, mais tous les témoins de Jéhovah actifs devraient apprécier que l’organisation se compose de nombreuses parties qui travaillent en parfaite unité. Chaque témoin devrait donc coopérer et être soumis.

      (À suivre.)

  • Les premiers chrétiens ouvrirent la voie au codex
    La Tour de Garde 1959 | 15 août
    • Les premiers chrétiens ouvrirent la voie au codex

      Les premiers chrétiens employaient tous les moyens progressifs possibles pour répandre la bonne nouvelle du royaume de Dieu. Ce fut donc eux qui ouvrirent la voie à la forme moderne du livre. Sir Frederic Kenyon, écrivant sous ce rapport dans The Bible and Archaeology, dit :

      “ Grâce aux découvertes des dernières cinquante années, nous savons à quoi un livre grec ressemblait exactement dès le troisième siècle avant le Christ. La substance était le papyrus, fait de la partie intérieure de la tige de la plante aquatique du même nom qui croissait dans le Nil... Un rouleau grec dépassait rarement, s’il le faisait, une longueur de 9 à 10 mètres, et environ 22 à 25 cm de hauteur courante. Un tel rouleau, avec une écriture ordinaire, suffisait pour un texte de la longueur d’un simple Évangile ou des Actes...

      “ Cependant, les découvertes faites au cours du présent siècle, et spécialement dans les dix dernières années, ont montré que la communauté chrétienne à une date très primitive se rendit compte de l’avantage de façonner le papyrus sous la forme connue sous le nom de “ codex ”, ce dernier étant simplement la forme moderne du livre, avec des feuillets mis en feuilles, dont un grand nombre peuvent être attachées ensemble pour former un volume de la dimension voulue. Pour ce faire, les feuilles de papyrus telles qu’elles étaient fabriquées primitivement, au lieu d’être rattachées ensemble l’une à côté de l’autre pour former un rouleau, étaient posées, l’une tout en haut de l’autre, puis pliées une fois verticalement...

      “ Que le livre en papyrus, sous la forme de codex, s’il ne fut pas réellement inventé par les chrétiens, fut pour la première fois exploité par eux, ressort des preuves tirées de l’Égypte. Dans le cas des publications non chrétiennes, on ne trouva aucun codex avant le troisième siècle et, pendant le troisième siècle, il n’y a pas plus de 5 pour cent des fragments découverts qui viennent des codex. Par conséquent, le rouleau de papyrus prévalait jusqu’au début du quatrième siècle.

      “ Dans le cas des publications chrétiennes, d’autre part, la grande majorité des papyrus du troisième siècle sont des codex, et on en connaît des exemples... qui remontent au début du premier siècle. Grâce à cette adoption de la forme codex, il fut possible de rapprocher une bien plus grande quantité de matières que celle qu’un rouleau pouvait contenir. ”

  • Questions de lecteurs
    La Tour de Garde 1959 | 15 août
    • Questions de lecteurs

      ● Quant à l’expression Jéhovah Dieu, peut-​on parler de verbosité, d’exagération ou d’une dégradation du nom de Dieu ?

      Cette question est évidemment soulevée parce que Jéhovah est le nom exclusif du Créateur des cieux et de la terre, tandis que Dieu est son titre de Créateur. Nous lisons en Genèse 1:1 : “ Au commencement, Dieu créa les cieux et la terre. ” Il est exact que le nom Jéhovah identifie immédiatement le Créateur, mais il n’est pas rare que, dans les Écritures, un personnage soit désigné par son nom suivi de son titre. Le cas du Fils unique engendré de Dieu, fréquemment appelé Jésus-Christ, est un exemple. Jésus est son nom d’homme, et Christ, dont la signification est l’Oint, son titre. Il lui fut conféré immédiatement après son baptême dans le Jourdain, lorsque Dieu, pour l’oindre, déversa son esprit saint.

      Mais, pourront objecter certains, le Fils de Dieu n’est pas seul à avoir reçu le nom de “ Jésus ”, prononciation grecque du nom Yeschouah, forme abrégée de Yehoschouah, dont la signification est “ Jéhovah est le Sauveur ”. Le nom du successeur du prophète Moïse était Yeschouah (Josué), fils de Nun, et, dans l’épître aux Hébreux (tout d’abord rédigée en grec), l’auteur inspiré parle de ce Josué sous le nom de Jésus. De nos jours, en Amérique latine, de nombreux hommes portent le nom de Jésus. Ainsi, pour distinguer Jésus Fils de Dieu de ces autres Jésus, il est nécessaire de le nommer Jésus-Christ, c’est-à-dire, Jésus, l’Oint de Dieu.

      Mais le choix d’un même nom pour plusieurs hommes ne concerne pas le nom de Jéhovah ; avec ce nom il s’est attribué une désignation qui est exclusivement la sienne. Elle n’est donnée à aucune créature dans l’univers. Le nom de certains peut être une combinaison incluant le nom de Jéhovah, mais personne n’est désigné en propre par Jéhovah. Ainsi, ce nom de Jéhovah est la désignation exclusive qui s’applique au seul vrai Dieu vivant et, lorsqu’on prononce le nom Jéhovah, on pense automatiquement à Dieu, le Créateur des cieux et de la terre.

      Ce qui précède est un fait probant mais, malgré cela, notre emploi de l’expression Jéhovah Dieu pour le désigner ne déprécie pas le Créateur parce que la Bible qu’il a inspirée utilise cette expression à maintes reprises, pour commencer en Genèse 2:4 où nous lisons : “ C’est là une histoire des cieux et de la terre quand ils furent créés, lorsque Jéhovah Dieu fit une terre et un ciel. ” (NW).

      Mais certains objectent que le titre “ Dieu ” fut placé à la suite du nom Jéhovah par un rédacteur inconnu, postérieur, des manuscrits bibliques. Ils font valoir le fait que dans le premier chapitre de la Genèse apparaît uniquement le mot “ Dieu ” en rapport avec le récit de la création terrestre et que le nom Jéhovah n’apparaît pas avant le deuxième chapitre, au Ge 2 verset 4. Ils prétendent que le livre de la Genèse fut compilé à partir de deux collections de documents, d’une collection qui se réfère au Créateur seulement en tant que Dieu, et d’une seconde le mentionnant en tant que Jéhovah. En hébreu, le terme employé pour désigner Dieu est Élohim, tandis que son nom est représenté par les quatre consonnes hébraïques qui forment le tétragramme, combinaison que l’on prononce aujourd’hui généralement Jéhovah. Ces gens disent donc qu’il y a un document élohiste et un document jéhoviste, que les deux furent assemblés, réunis, dans le livre de la Genèse. Ainsi, en constituant le livre de la Genèse, l’auteur de ces deux documents aurait inséré, à partir du deuxième chapitre de la Genèse, le mot Élohim (ou Dieu) après le nom Jéhovah, pour former l’expression “ Jéhovah Élohim ” ou Jéhovah Dieu. — Voir Genèse 2:4, Darby.

      Cependant, l’existence de deux documents, l’un élohiste, l’autre jéhoviste, est tout simplement le résultat d’une théorie dont la propagation est récente. Jusqu’au temps de Jésus, rien, dans l’histoire des Juifs, ne permet le moindre soupçon en faveur de cette thèse. Jésus et ses apôtres nous enseignent clairement que le livre de la Genèse fut rédigé par un seul rédacteur inspiré, le prophète Moïse. Ce fut donc ce dernier qui introduisit cette expression formée du nom du Créateur et de son titre : Jéhovah Dieu ; il agit de cette manière sous la direction du saint esprit, fait prouvant que cette combinaison est approuvée par le Tout-Puissant qui nous ordonne de ne rien ajouter, de ne rien retrancher de sa sainte Parole. — Deut. 4:2 ; 12:32.

      Cette vérité est renforcée par le fait que, dans les Écritures hébraïques, l’arrangement “ Jéhovah Élohim ” (ou Jéhovah Dieu) se rencontre trente-six fois de Genèse 2:4 à Jonas 4:6 où nous lisons : “ Et Jéhovah Dieu fit pousser un ricin qui s’éleva au-dessus de Jonas pour donner de l’ombre sur sa tête, afin de le délivrer de son mal. ” (AC). En Genèse, chapitre 2, l’expression “ Jéhovah Élohim ” se rencontre onze fois, puis au chapitre 3 neuf fois, soit un total de vingt cas en seulement deux chapitres. Les autres endroits sont Exode 9:30 ; II Samuel 7:22, 25 ; II Rois 19:19 ; Jonas 4:6 ; Psaumes 72:18 ; 84:12 84:11, NW ; I Chroniques 17:16 ; 28:20 ; 29:1 ; II Chroniques 1:9 ; 6:41 (deux fois), 2Ch 6:42 ; 26:18, et Jérémie 10:10. Outre ces cas, l’expression “ Jéhovah ha-Élohim ” (qui signifie Jéhovah, le [vrai] Dieu) se rencontre six fois, à savoir en I Samuel 6:20 ; Néhémie 8:6 ; 9:7 ; I Chroniques 22:1, 19 ; II Chroniques 32:16, selon la New World Translation ; voir aussi Version de Crampon 1905.

      En conséquence, nous sommes donc divinement autorisés à employer, pour nous référer à lui, l’expression Jéhovah Dieu qu’il a créée. Il l’a fait consigner dans la Parole rédigée sous l’inspiration de son esprit. Nous ne déshonorons donc pas Dieu en employant une expression qui procède de lui. Nous ne considérerons pas comme “ impur ” et “ dégradant ” ce qu’il regarde comme pur et comme l’honorant. Le nom de Dieu n’est pas universellement connu ; beaucoup ignorent également que le nom Jéhovah s’applique à Dieu, le Créateur des cieux, de la terre et de l’homme. Pour ces raisons, l’expression Jéhovah Dieu est une aide. Elle fait comprendre à ces personnes que ce Jéhovah que nous prêchons est le seul vrai Dieu vivant, celui à qui le genre humain doit l’adoration, par son Fils Jésus-Christ, pour obtenir la vie éternelle dans le monde nouveau.

      Les publications de la Watch Tower Bible and Tract Society de Pennsylvanie et les représentants de cette société continueront donc à employer l’expression Jéhovah Dieu, à son honneur et à sa louange, de même que toutes les autres expressions que l’esprit de Jéhovah a révélées à ces saints hommes de jadis en vue de l’identifier dans son récit sacré, la Bible.

      ● Devons-​nous assimiler les injections de sérums à l’absorption de sang ou de plasma sanguin au moyen de transfusion ? C’est notamment le cas lors de traitements à l’aide d’antitoxines, contre la diphtérie, ou de l’utilisation de quantités de sang pour l’introduction de globuline gamma dans le circuit sanguin. On le fait généralement en vue de créer des résistances aux maladies par le moyen d’anticorps. — N.P., États-Unis.

      Non, il ne semble pas nécessaire que nous placions les deux traitements dans la même catégorie, bien que nous l’ayons fait dans le passé. Chaque fois que l’interdiction de manger du sang est mentionnée dans la Bible, c’est en rapport avec la nourriture, il s’agit donc d’un aliment dont l’ingestion est défendue. Ainsi, lorsqu’il fut permis pour la première fois à l’homme de manger de la viande, c’est-à-dire à l’époque où les survivants du déluge reçurent à nouveau le mandat divin de procréer, il était expressément interdit de manger du sang (Gen. 9:3, 4). Dans la loi de Moïse, il était interdit en tant que nourriture, c’est pourquoi nous le trouvons figurant avec la graisse comme des aliments ne devant pas être mangés (Lév. 3:17 ; 7:22-27). Il en fut de même au temps des apôtres. Ce fut en rapport avec le fait de manger de la viande sacrifiée aux idoles que l’ingestion d’animaux étouffés et de sang fut interdite. — Actes 15:20, 29.

      L’injection d’anticorps véhiculés dans du sérum sanguin ou de quantités de sang ordonnées en vue de créer des anticorps n’est pas comparable à une absorption de sang par la bouche ou par transfusion, cas où cela devient un aliment qui sert à reconstituer les forces vitales du corps. Quoique Dieu ne destine pas l’homme à contaminer son système sanguin par des vaccins, des sérums ou de faibles volumes de sang, il ne semble pas que cette façon de faire soit comprise dans la volonté exprimée de Dieu qui défend d’absorber ce liquide. C’est pourquoi chacun doit juger s’il veut ou non accepter ce genre de médicament.

  • Communications
    La Tour de Garde 1959 | 15 août
    • Communications

      RESTER ÉVEILLÉ POUR LE MINISTÈRE DU ROYAUME — I Cor. 16:13, 14.

      Il est hors de doute que pour suivre le Christ, il nous faut faire non seulement des actes de miséricorde mais, avant tout, prêcher la vérité sur Dieu, sa Parole et son royaume, autrement dit : exercer le ministère du Royaume. C’est pourquoi Jésus, à la fin de son ministère, affirma qu’il avait achevé l’œuvre que son Père lui avait donné à faire. Aujourd’hui c’est la société du monde nouveau des témoins de Jéhovah, sel de la terre et lumière du monde, qui accomplit l’œuvre de prédication et d’instruction prescrite par Dieu dans sa Parole. C’est pourquoi, au cours du mois de septembre, les témoins de Jéhovah proposeront à leurs semblables, de maison en maison, un livre relié et une brochure dont l’étude leur permettra de parvenir à une connaissance exacte de la Parole de Dieu. Tous nos lecteurs sont les bienvenus pour prendre part à cette œuvre bénie.

      TEXTES QUOTIDIENS POUR SEPTEMBRE

      16 On donnera à celui qui a, mais à celui qui n’a pas on ôtera même ce qu’il a. — Luc 19:26. wF 15/9/58 24, 25

      17 Le maître de cet esclave-​là viendra en un jour qu’il n’attend pas, et à une heure qu’il ne sait pas, et il le coupera en deux et lui donnera sa part avec les hypocrites. — Mat. 24:50, 51, Da. wF 1/2/59 25, 29a

      18 Pas de nonchalance dans vos occupations. Soyez bouillants d’esprit. Soyez esclaves de Jéhovah. — Rom. 12:11, NW. wF 1/11/58 11, 12, 14a

      19 Persévérez dans la prière, veillez-​y avec actions de grâces. — Col. 4:2. wF 15/1/59 5, 6a

      20 Vous êtes manifestement une lettre de Christ, écrite, par notre ministère, non avec de l’encre, mais avec l’esprit du Dieu vivant, non sur des tables de pierre, mais sur des tables de chair, sur les cœurs. — II Cor. 3:3. wF 1/9/58 11a

      21 Veille sur toi-​même et sur ton enseignement. — I Tim. 4:16. wF 15/12/58 34, 37, 42

      22 Dès que Jésus eut été baptisé, il sortit de l’eau. Et... une voix fit entendre des cieux ces paroles : Celui-ci est mon Fils, le bien-aimé, que j’ai approuvé. — Mat. 3:16, 17, NW. wF 1/1/59 1, 2a

      23 Si vous aviez de la foi comme un grain de sénevé... rien ne vous serait impossible. — Mat. 17:20. wF 15/1/59 2, 3a

      24 Cependant... ils marcheront avec moi en vêtements blancs. — Apoc. 3:4. wF 1/2/59 31, 33a

      25 Qu’ils sont beaux sur les montagnes, les pieds de celui qui apporte de bonnes nouvelles... De celui qui dit à Sion : Ton Dieu règne ! (Ton Dieu est devenu Roi, NW). — És. 52:7. wF 1/5/59 1, 2a

      26 Revêtez-​vous d’humilité ; car Dieu résiste aux orgueilleux, mais il fait grâce aux humbles. — I Pierre 5:5. wF 15/3/59 27, 28a

      27 Si donc quelqu’un se conserve pur... il sera un vase d’honneur, sanctifié, utile à son maître, propre à toute bonne œuvre. — 2 Tim. 2:21. wF 1/2/59 33, 34a

      28 Sonde-​moi, (Jéhovah) ! Éprouve-​moi. — Ps. 26:2. wF 1/1/58 6, 7a

      29 Retiens ce que tu as, afin que personne ne prenne ta couronne. — Apoc. 3:11. wF 1/6/58 29, 30a

      30 Il (Moïse) considérait l’opprobre du Christ comme une richesse plus grande que les trésors de l’Égypte. — Héb. 11:26, La. wF 1/7/58 8

      ÉTUDES DE “ LA TOUR DE GARDE ” POUR LES SEMAINES DU

      13 septembre : Les missionnaires du royaume : porteurs des meilleures nouvelles, § 1-19. Page 244.

      20 septembre : Les missionnaires du royaume : porteurs des meilleures nouvelles, § 20-35, et Missionnaires du royaume de Dieu qui est entré dans son règne, § 1, 2. Page 248.

      27 septembre : Missionnaires du royaume de Dieu qui est entré dans son règne, § 3-21.

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