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  • Pourquoi certains naissent-ils handicapés ?
    Réveillez-vous ! 1973 | 22 octobre
    • leur mère. Par exemple, de nombreux enfants sont nés avec des malformations parce que leur mère avait contracté une maladie vénérienne. En se livrant à l’inconduite avant ou après leur mariage, les parents transmettent des malformations à leurs enfants. Une femme enceinte qui fume risque plus qu’une autre de donner naissance à un enfant mort-né ou chétif. On a également découvert qu’il y a une relation entre l’aspirine et les malformations congénitales. Même en s’efforçant indûment de ne pas grossir, une femme enceinte peut faire du tort à l’enfant qu’elle porte.

      Un rapport récent sur les conséquences de l’inceste montre que dans certains cas la mère est responsable des malformations congénitales de son enfant. La Bible condamne vigoureusement l’inceste. La Loi de Moïse prévoyait la peine de mort pour une telle pratique (Lév. 18:8-17). Un médecin tchécoslovaque a fait des recherches en comparant les enfants nés de relations incestueuses à d’autres enfants qui ont été mis au monde par les mêmes femmes, mais par suite de relations normales. Cette étude a fourni la “preuve que pour les enfants nés de relations incestueuses, le risque de malformation est considérable”, et démontre les “conséquences inévitables des unions consanguines sur la mortalité infantile, les malformations congénitales et le niveau d’intelligence”. (Newsweek, 9 octobre 1972.) Ces découvertes confirment bien le principe biblique suivant : “Ce que sème un homme, c’est aussi ce qu’il récoltera ; parce que celui qui sème ayant sa chair en vue, récoltera de sa chair la corruption.” — Gal. 6:7, 8.

      Une des conséquences les plus regrettables de la naissance d’enfants handicapés est que bien souvent les parents se demandent pourquoi Dieu permet ou provoque une telle chose, comme s’il était responsable de leur malheur, ce que pensaient les parents de la petite Karen. D’autres ont adopté une attitude fataliste, comme si c’était la volonté de Dieu ou comme s’ils méritaient de connaître un tel malheur. Enfin, certains parlent de la mort prématurée d’un enfant handicapé en disant que “Dieu voulait qu’il soit avec lui”.

      Mais Jéhovah Dieu, le Créateur, ne doit pas être jugé responsable d’une telle chose. Il a créé le premier couple humain parfait, car toute son œuvre est parfaite (Deut. 32:4). Quand nos premiers parents ont péché, non seulement ils sont devenus imparfaits et ont perdu leur vie, mais tous leurs descendants sont nés imparfaits et voués à la mort (Rom. 5:12). La nature de ces imperfections a un effet sur la naissance éventuelle d’un enfant handicapé. Ainsi, toutes les femmes enceintes ayant absorbé de la thalidomide au début de leur grossesse n’ont pas donné naissance à des enfants présentant des malformations, mais seulement celles qui présentaient aussi un défaut génique. Comme nous l’avons vu, d’autres facteurs encore peuvent être impliqués.

      La Bible nous dit que “Dieu est amour” et qu’il a pris des dispositions pour rétablir le genre humain dans la perfection par le moyen du sacrifice rédempteur de Jésus-Christ et de son Royaume. Sous la direction de celui-ci, il n’y aura plus ni larme, ni deuil, ni douleur, ni mort, et toutes les malformations physiques ou mentales auront disparu. Même les morts seront ressuscités pour recevoir aussi ces bénédictions. — I Jean 4:8 ; Jean 5:28, 29 ; Actes 24:15.

      Mais que faire en attendant ? En obéissant avec soin aux lois de Dieu et en faisant preuve de sagesse pratique, on peut faire beaucoup pour éviter de donner naissance à un enfant handicapé. Aujourd’hui, il est également possible de s’adresser à des conseillers qui peuvent, du moins dans une certaine mesure, indiquer aux parents les risques éventuels qu’ils courent en donnant naissance à des enfants.

      Mais que peut faire une famille qui a déjà été frappée par un tel malheur ? Elle devrait considérer cela comme une épreuve à surmonter. Comment ? Les autres membres de la famille feront preuve de générosité, de patience et d’endurance. Tous peuvent faire leur possible pour que l’enfant handicapé soit néanmoins heureux de vivre, en faisant pour lui ce qu’ils aimeraient que les autres fassent pour eux.

  • Coup d’œil sur le monde
    Réveillez-vous ! 1973 | 22 octobre
    • Coup d’œil sur le monde

      La télévision et la violence

      En juillet dernier, cent des plus célèbres spécialistes mondiaux du comportement ont étudié, à Monaco, l’agressivité, ses causes et ses conséquences. Les résultats de milliers d’expériences ont été présentés dans l’espoir de “freiner l’escalade de la violence qui devient un phénomène inquiétant et généralisé”. Selon Le Monde du 10 juillet 1973, “les enquêtes concernant les enfants criminels montrent bien l’imbrication des dispositions innées et de l’environnement familial ou social”. Ce journal rapporte qu’une équipe de médecins belges a mené une expérience sur les effets du cinéma auprès de garçons âgés de treize à dix-huit ans. La moitié d’entre eux ont vu successivement des comédies aimables, tandis que les autres ont regardé des films violents. Chez les uns comme chez les autres, il y a eu un accroissement d’activité. Mais dans le deuxième groupe, celui-ci “s’est traduit essentiellement par un développement inquiétant et foudroyant de l’agressivité verbale et physique”. Le journal ajoute que le phénomène est identique, mais considérablement aggravé pour la télévision. Ainsi, “quatre-vingts pour cent des spectacles les plus populaires de la télévision américaine contiennent des scènes de violence, à raison de huit séquences violentes à l’heure. Les programmes les plus violents sont ceux destinés aux enfants (...). Or les enfants américains passent plus de temps durant leurs quinze premières années à regarder la télévision qu’à fréquenter l’école”. À cet égard, le professeur Liebert, de l’Université de New York, déclara : “Étant donné que nous exportons largement nos programmes violents dans toute l’Europe, nous sommes en voie de préparer, avant vingt ans, la planète entière au barbarisme.”

      La crainte d’une “pénurie mondiale de céréales”

      Le Sahel et d’autres contrées sont menacés. Il suffirait d’une mauvaise récolte ou d’une mauvaise répartition pour que de vastes régions du monde connaissent la famine. Alors que depuis vingt ans, la population a augmenté de moitié, les stocks de céréales n’ont jamais été aussi faibles ni les prix aussi élevés. Telles sont les constatations énoncées par M. Boerma, directeur général de l’Organisation des Nations unies pour l’alimentation et l’agriculture et publiées dans Le Monde du 11 juillet 1973. M. Boerma a précisé d’autre part : “Les besoins minima prévisibles de blé en 1973-​1974 ne pourront pas être couverts par la production actuelle. (...) En fait, on pourrait assister dans les prochains mois à une pénurie mondiale de céréales en cas de mauvaise récolte dans une des principales régions productrices. (...) On ne peut plus tolérer que le monde soit soumis à un système de rationnement international par les prix durant les périodes de pénurie, c’est-à-dire à un système qui permettrait au plus riche ou au premier arrivé d’emporter automatiquement le plus gros morceau. (...)” Parlant du Sahel, il a dit qu’il constituait un “symbole de notre monde en crise” et a ajouté que la famine conduira “des hordes de gens affamés” à provoquer des désordres sociaux et politiques.

      Des lamas tibétains dans une église catholique

      En juillet dernier, l’église Notre-Dame de Royan, en France, était comble lorsque des lamas tibétains ont commencé la première des cérémonies traditionnelles qu’ils

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