reconnaissables grâce à un triangle d’eau plus claire ou d’écume. Si vous êtes pris par un de ces courants, n’essayez pas de lutter, nagez en vous laissant porter par lui jusqu’à ce qu’il ait perdu sa force. Surtout, ne vous affolez pas. Si vous êtes un bon nageur, vous ne serez pas emporté si loin que vous ne puissiez revenir.

Autre chose encore : Gardez un point de vue équilibré sur le surf. Ce sport peut être un agréable passe-temps, mais ne vivre que pour lui peut mener à la corruption. Beaucoup de “surfers” sont devenus des jouisseurs qui finissent par se tourner vers la drogue. À ce sujet, le Surfer Magazine de novembre 1969 fait les remarques suivantes :

“La triste vérité c’est que les stupéfiants, en commençant par une innocente bouffée de cigarette de marijuana, ont fait des coupes sombres parmi les grands noms du surf.

“Un finaliste d’une importante compétition d’il y a deux ans fut incapable de concourir cette année. Il était même incapable de s’exprimer intelligemment, car la drogue lui a fait perdre, l’esprit (...). Un ‘surfer’ fantastique qui avait atteint la gloire il y a quelques années a vécu une partie de cet hiver comme un animal, dans un arbre de la côte Nord. Un autre ancien grand chevaucheur de ressac a le cerveau comparable a une prune séchée, à cause des stupéfiants. Il mène à présent une existence inutile sur les pentes de l’Haleakala (...).

“(...) La drogue semble être à la mode parmi un grand nombre de ‘surfers’.”

Sans nul doute, le surf peut être un sport très agréable. Mais il faut être prudent. Beaucoup de “surfers” ont gâché leur vie ou ont été tués pour avoir manqué de jugement. Veillez à ce que cela ne vous arrive pas, ni à ceux que vous aimez.

“Quel a été le moment le plus heureux de votre vie ?”

QUE répondriez-​vous si un journaliste vous arrêtait dans la rue pour vous poser la question suivante : “Quel a été le moment le plus heureux de votre vie ?”

Telle est la question que posait aux gens un journaliste du Mirror, un quotidien paraissant dans la banlieue de Toronto, au Canada. Un homme répondit : “C’est quand j’ai appris à skier, l’année dernière.” Une dame dit : “Je vis pour le présent (...). Il n’y a certainement dans ma vie aucun événement marquant qui puisse être appelé le plus heureux.” Quant à un vieillard, il déclara : “Le mariage de ma petite-fille fut le moment le plus heureux de ma vie (...). C’était le 47^ème anniversaire de notre mariage à nous.”

Cependant, parmi toutes les réponses imprimées dans le journal, la toute première était celle d’un homme qui étudiait la Bible avec un témoin de Jéhovah. En réponse à la question précitée, il répondit : “J’ai vécu le moment le plus heureux de ma vie quand j’ai commencé à étudier la Bible avec les témoins de Jéhovah.” Il expliqua ensuite qu’il espérait, à son tour, pouvoir enseigner d’autres personnes concernant Jésus-Christ et son Royaume, le seul moyen par lequel l’humanité pourra connaître la paix totale.

Si vous désirez connaître le bonheur durable et solidement fondé qu’apporte l’étude régulière de la Parole de Dieu, adressez-​vous aux témoins de Jéhovah de votre quartier. Ou bien écrivez aux éditeurs de ce périodique ; ils seront heureux de prendre les dispositions nécessaires pour vous aider.