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    La Tour de Garde 1964 | 15 juillet
    • manifestement des cas où parler serait un signe d’insoumission. Une sœur ne devrait pas contester avec les frères ou les critiquer publiquement aux réunions ou à d’autres moments dans ses conversations avec les membres de la congrégation. Elle n’exercera pas non plus une autorité sur les frères en essayant de les enseigner ou de les instruire. Si une femme a une question à poser concernant quelque chose qu’un frère a dit devant la congrégation, elle peut en discuter avec son mari à la maison. — I Cor. 14:35.

      12. Comment une femme peut-​elle participer aux études, tout en respectant les principes théocratiques ?

      12 Mais cela ne veut pas dire que la femme vouée doit garder le silence. Par exemple, lors des réunions de la congrégation, elle peut répondre aux questions posées pendant les études et les révisions orales et contribuer ainsi à rendre les réunions vivantes et édifiantes pour tous les assistants. Si un frère exprime une pensée erronée au cours de l’étude de La Tour de Garde, et qu’une sœur soit invitée à donner la réponse suivante, elle n’est pas obligée de faire conformer son commentaire à l’idée inexacte du frère. En revanche, elle ne témoignera ni par sa réponse ni par le ton de sa voix, d’un esprit critique à l’égard du frère. Elle peut citer avec tact ce que La Tour de Garde déclare sur la question, et précéder sa réponse d’une remarque comme celle-ci : “Il est intéressant de noter ce que le paragraphe affirme à ce sujet.” Il va de soi que si des frères mûrs sont présents, il serait préférable que le conducteur fasse appel à eux pour rectifier la réponse inexacte d’un frère. Tous les assistants profiteront ainsi de leurs explications et personne ne sera mis dans l’embarras.

      13. Quel est le désir de toutes les fidèles femmes-ministres, mais quelles questions se posent ?

      13 Toutes les fidèles femmes-ministres dans la société du monde nouveau désirent se conduire conformément au principe de l’autorité théocratique établi par Jéhovah. Leur loyauté à cet égard, si différente de la ligne de conduite des femmes du monde, apporte des bienfaits à la société du monde nouveau et contribue grandement à l’unité et à l’harmonie merveilleuses qui règnent en son sein. Toutefois, de temps à autre, des questions sont posées à propos de l’autorité. Parfois, on soulève les questions suivantes : En quelles circonstances, au juste, une sœur doit-​elle se couvrir la tête ? Quand est-​il permis à une sœur de prier devant d’autres personnes, et si elle le fait, est-​elle toujours obligée de porter une coiffure ?

      PRINCIPES BIBLIQUES SUR LE PORT D’UNE COIFFURE

      14. Par rapport à quel principe Paul examine-​t-​il la question du port d’une coiffure, et que déclare-​t-​il à ce sujet dans I Corinthiens 11:4-7 ?

      14 Qu’en certaines occasions une femme doive se couvrir pour marquer sa soumission, cela ressort clairement des Écritures. Après avoir énoncé le principe de l’autorité dans I Corinthiens 11:3, l’apôtre Paul applique ce principe à la conduite des affaires de la congrégation. Gardez présent à l’esprit qu’à l’époque où ces conseils furent donnés, il s’agissait également de réglementer l’emploi des dons miraculeux de l’esprit. Néanmoins, le principe du port d’une coiffure est toujours applicable dans la congrégation de nos jours. Examinons à présent ce qui est écrit dans I Corinthiens 11:4-7 (MN) : “Tout homme qui prie ou prophétise en ayant quelque chose sur la tête fait honte à celui qui est son chef ; mais toute femme qui prie ou prophétise la tête découverte fait honte à celui qui est son chef, car c’est exactement comme si elle était une femme à la tête rasée. Car si une femme ne se couvre pas, qu’elle se fasse aussi tondre ; mais si c’est une honte pour une femme d’être tondue ou rasée, qu’elle se couvre. Car un homme ne doit pas avoir la tête couverte, parce qu’il est l’image et la gloire de Dieu ; mais la femme est la gloire de l’homme.”

      15. a) Pourquoi ne serait-​il pas convenable qu’un homme se couvre quand il fait une prière devant la congrégation ou préside une réunion ? b) Pourquoi, dans les mêmes circonstances, la femme doit-​elle se couvrir ? c) Pourquoi Paul compara-​t-​il une chrétienne qui prierait dans la congrégation sans se couvrir, à une femme à la tête rasée ?

      15 Étant l’image et la gloire de Dieu, l’homme a été créé comme le représentant de Dieu vis-à-vis de sa femme et de sa famille et il devait assumer la responsabilité qui accompagnait l’autorité dont il était ainsi revêtu. En outre, au sein de la congrégation, l’homme devait agir en qualité de représentant du Christ, qui est le chef de la congrégation. De ce fait, lorsqu’un frère fait une prière ou préside à une réunion de la congrégation, il ne convient pas qu’il se couvre en signe de sa soumission et de son respect à l’égard des assistants. Ce serait couvrir, en quelque sorte, son autorité et agir comme s’il était anormal qu’il remplisse ces fonctions. En faisant cela, il n’agirait pas envers la congrégation comme un digne représentant du Christ et ainsi il déshonorerait son chef, c’est-à-dire le Christ. La femme, au contraire, doit se couvrir lorsqu’elle prie ou prophétise devant la congrégation, par respect pour le principe théocratique d’après lequel ces fonctions appartiennent normalement à l’homme. Elle évitera ainsi de donner l’impression qu’elle cherche à remplacer l’homme ou à usurper sa position. Si elle agissait autrement, elle déshonorerait non seulement les frères de la congrégation, mais encore son mari, en laissant supposer qu’elle ne voit pas la nécessité de se soumettre à lui non plus. Selon l’argumentation de Paul, si une femme agissait de la sorte, elle ferait mieux d’aller jusqu’au bout et de se faire couper les cheveux comme un homme ou une esclave. Mais ce serait une honte, n’est-​ce pas ? En tout cas, c’eût été honteux au temps de Paul, car de ce temps-​là, on rasait la tête d’une femme soit pour indiquer qu’elle était esclave, soit comme un signe qu’elle avait été prise en flagrant délit d’impureté au d’adultère. C’était le signe d’un blâme public.

      16. En vertu de quel principe une femme doit-​elle se couvrir, et à ce sujet, quel enseignement la nature elle-​même donne-​t-​elle ?

      16 À l’époque des premiers chrétiens, la coutume voulait qu’une femme se couvrît lorsqu’elle se montrait en public. Celle qui sortait sans porter de coiffure était considérée comme une femme de mœurs faciles qui ne respectait ni l’autorité de son père, ni celle de son mari. Toutefois, l’essentiel n’était pas là, dans le raisonnement de Paul. Il voulut surtout mettre en évidence le principe divin de l’autorité. Il poursuivit son argumentation en tirant un exemple de la nature. “Jugez vous-​mêmes : Convient-​il qu’une femme prie la tête découverte ? La nature elle-​même n’enseigne-​t-​elle pas que si un homme a les cheveux longs, c’est un déshonneur pour lui ; mais que si une femme a les cheveux longs, c’est une gloire pour elle ? Parce que les cheveux lui sont donnés en guise de coiffure.” (I Cor. 11:13-15, MN). Il ne faut pas en déduire que les cheveux longs constituent une coiffure suffisante quand une femme prie ou prophétise devant la congrégation ; sinon, le 1Co 11 verset six n’aurait aucun sens. Sa chevelure lui rappelle plutôt qu’en de telles occasions elle doit se couvrir pour manifester sa soumission.

      17. Que doit reconnaître la femme humble ?

      17 Une femme qui aurait la tête rasée ne serait pas très jolie, n’est-​ce pas ? De même, si une femme ne montre aucun respect envers l’ordre théocratique (comme une chrétienne dans la congrégation primitive qui aurait prophétisé sans se couvrir), elle est dépourvue de beauté aux yeux de Jéhovah et des autres membres de la congrégation, à cause de son manque d’humilité. Une femme fidèle reconnaît sa place dans les dispositions divines. Comme Paul le dit aux 1Co 11 versets 8 à 10 du même chapitre (MN) : “Car l’homme ne procède pas de la femme, mais la femme de l’homme ; et, qui plus est, l’homme n’a pas été créé pour la femme, mais la femme pour l’homme. C’est pourquoi la femme doit avoir sur la tête un signe de l’autorité à cause des anges.”

      18. Quelle semble être la pensée de Paul lorsqu’il dit que la femme “doit avoir sur la tête un signe de l’autorité à cause des anges” ?

      18 Pourquoi “à cause des anges” ? Non pas comme un signe de soumission à leur égard. Dans I Corinthiens 11:3, Paul ne dit pas que les anges exercent une autorité sur les femmes sur la terre. La direction de la congrégation chrétienne et la prédication de la bonne nouvelle du Royaume ne figurent pas parmi les attributions des anges. Pour la femme il n’est donc nullement question de se couvrir par respect pour un ange dont elle serait la remplaçante. Par contre, les hommes et les femmes voués sont “un spectacle théâtral au monde, tant aux anges qu’aux hommes”. (I Cor. 4:9, MN.) Ainsi, une femme fidèle peut donner un excellent exemple aux anges. Par sa soumission loyale envers son mari et chef, conformément à l’ordre théocratique établi par Jéhovah, et par le respect qu’elle témoigne à l’égard des frères de la congrégation, elle montre le bon exemple aux anges et les encourage à continuer de se soumettre fidèlement à Jéhovah et à son Roi intronisé, Jésus-Christ.

      19. Dans I Corinthiens 11:11, 12, en quels termes Paul parle-​t-​il des rapports entre l’homme et la femme, et qu’est-​ce qui permettra à l’homme et à la femme de respecter humblement les dispositions divines ?

      19 Toutefois, pour éviter de donner à l’homme une fausse impression et lui faire croire qu’il est la créature la plus importante et que la femme est sans valeur, Paul poursuit en écrivant : “De plus, relativement au Seigneur, la femme n’est pas sans l’homme et l’homme n’est pas non plus sans la femme. De même, en effet, que la femme procède de l’homme, de même aussi l’homme est par la femme ; mais toutes choses procèdent de Dieu.” (I Cor. 11:11, 12, MN). Voilà l’idée qu’il faut garder présente à l’esprit, savoir que l’ordre établi quant à l’autorité, aux rapports entre l’homme et la femme, et concernant la conduite et l’ordre qui doit régner au sein de la congrégation, toutes ces dispositions-​là viennent de Dieu et non des hommes. Qu’on soit homme ou femme, à condition de ne pas oublier ce fait, on demeurera équilibré, humble et reconnaissant envers Jéhovah pour tous ses bienfaits.

      20. Pourquoi est-​il opportun d’examiner actuellement la question du port d’une coiffure ?

      20 Il semble que la place de la femme dans la congrégation, donnait lieu à une contestation à Corinthe. C’est pourquoi l’apôtre Paul prit le temps d’énoncer les principes impliqués pour faciliter l’intelligence de tous, puis il conclut en ces termes : “Cependant si un homme paraît discuter en faveur de quelque autre coutume, nous n’en avons pas d’autre, ni non plus les congrégations de Dieu.” (I Cor. 11:16, MN). Bien que cette matière ne soit peut-être pas un sujet de contestation parmi les témoins de Jéhovah de nos jours, il nous semble bon de l’examiner dans le détail pour voir quelles en sont les applications pratiques au sein de la congrégation chrétienne. Aussi, dans le numéro suivant de La Tour de Garde examinerons-​nous quelques-unes des circonstances qui peuvent exiger le port d’une coiffure, afin que les fidèles femmes-ministres dans la société du monde nouveau sachent comment agir conformément aux Écritures et en harmonie avec leur conscience chrétienne.

  • Traduction de la Bible des temps modernes
    La Tour de Garde 1964 | 15 juillet
    • Traduction de la Bible des temps modernes

      Une écolière de l’Ohio raconte ceci : “Un jour, au cours de littérature anglaise, nous lisions des extraits de la Bible dans la version du Roi Jacques pour montrer un genre de style anglais. Notre professeur demanda à plusieurs d’entre nous d’apporter quelques récentes traductions de la Bible afin de les comparer avec la King James Version. J’apportai la New World Translation et signalai certaines des différences entre elle et plusieurs autres traductions. Je leur indiquai que, bien souvent, la King James Version se sert de mots peu connus qui rendent difficile la compréhension des Écritures. Pour exemple, je leur citai le mot “shambles” (abattoirs ; boucherie, Da ; Marché, Seg.) (I Cor. 10:25, AV) ; je donnai aussi des explications sur le nom du Créateur. Mon professeur parut très intéressé et la classe m’écouta attentivement. Plus tard dans la journée, un jeune garçon s’approcha de moi pour me dire que mon explication lui avait plu. Je lui montrai la New World Translation, il me demanda de lui en acheter une à une librairie. Je lui remis un exemplaire. Je montrai aussi cette version à une jeune fille à qui j’avais déjà rendu témoignage. Elle en voulut un exemplaire, elle aussi. C’est ainsi que je pus placer deux bibles et parler du nom de Jéhovah en profitant d’un devoir qu’on nous avait donné à faire à l’école.”

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