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  • Tesson
    Auxiliaire pour une meilleure intelligence de la Bible
    • extraits des quatre Évangiles sont copiés en grec. Ils datent probablement du VIIe siècle de notre ère.

      EMPLOI FIGURÉ

      Le mot tesson a parfois un sens métaphorique dans les Écritures. Ainsi, alors qu’il était affligé et cerné par ses ennemis, David déclara ceci dans un psaume qui annonçait prophétiquement les souffrances du Messie: “Ma force s’est desséchée comme un tesson.” (Ps. 22:11-15). De fait, les objets d’argile durcissent et se dessèchent complètement pendant la cuisson.

      Il était courant de glacer les poteries aux jours du roi Salomon, car on lit en Proverbes 26:23: “Comme une glaçure d’argent étendue sur un tesson, telles sont des lèvres ferventes avec un cœur mauvais.” Comme une “glaçure d’argent” cache le tesson qu’elle recouvre, des “lèvres ferventes” peuvent masquer “un cœur mauvais” quand elles n’expriment qu’un semblant d’amitié.

  • Testicules
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    • TESTICULES

      {Article non traduit.}

  • Tête
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    • TÊTE

      (héb. roʼsh; gr. képhalê).

      Parce que la tête occupe une position supérieure, au sommet du corps humain, et surtout parce qu’elle est le siège de l’intelligence et des sens de la vue, de l’ouïe, de l’odorat et du goût, il en est souvent question dans la Bible, que ce soit au sens littéral ou au sens figuré.

      Des expressions comme ‘briser la tête’ ou ‘broyer la tête’ évoquent la destruction et la mort (Ps. 68:21; 74:13, 14). La première prophétie biblique (Gen. 3:15) annonce que la ‘postérité de la femme’, après avoir été blessée au talon, meurtrira la tête du serpent. D’autres textes montrent que dans l’accomplissement le grand serpent, Satan le Diable, doit être lancé dans l’abîme, une condition semblable à la mort, pendant mille ans, puis, peu après, être anéanti à tout jamais dans le “lac de feu”, la “seconde mort”. — Rév. 20:1-3, 7, 10, 14; 12:9.

      Des expressions qui se rapportent à la tête proprement dite sont prises habituellement dans un sens figuré. Conformément à l’interprétation du rêve du chef des échansons donnée par Joseph, Pharaon “éleva la tête” de ce chef bien au-dessus des autres serviteurs en le rétablissant dans ses anciennes fonctions. En revanche, Pharaon ‘éleva la tête du chef des panetiers de dessus lui’ en le mettant à mort (Gen. 40:13, 19-22). Dans certaines nations, on inhumait les soldats en plaçant leur épée sous leur tête, ce qui revenait à leur rendre les honneurs militaires (Ézéch. 32:27). Jésus Christ n’avait pas “où reposer la tête” en ce sens qu’il ne pouvait désigner un lieu de résidence qui fût à lui. — Mat. 8:20.

      BÉNÉDICTION, ONCTION, SERMENT

      La tête était la partie du corps sur laquelle on faisait reposer la bénédiction (Gen. 48:13-20; 49:26). Les prêtres et ceux pour qui des sacrifices étaient offerts posaient leurs mains sur la tête de l’animal, montrant ainsi que le sacrifice était fait pour eux (Lév. 1:2-4; 8:14; Nomb. 8:12). L’huile d’onction était versée sur la tête (Lév. 8:12; Ps. 133:2). Dans son Sermon sur la montagne, Jésus conseilla à ceux qui jeûnaient de ‘s’enduire la tête avec de l’huile’, afin d’avoir une apparence soignée et d’éviter de faire une démonstration hypocrite d’abnégation pour s’attirer les louanges de leur entourage (Mat. 6:17, 18). L’action consistant à enduire la tête d’un invité avec de l’huile a fini par devenir une des principales marques d’hospitalité (Luc 7:46). Quelqu’un qui mettait de la poussière, de la terre ou de la cendre sur sa tête montrait ainsi sa douleur, son affliction ou son humiliation (Josué 7:6; I Sam. 4:12; II Sam. 13:19). Lorsqu’il raconte les épreuves et les difficultés endurées par le peuple de Dieu, le psalmiste explique que des hommes ont chevauché sur la tête d’Israël. Il semble faire allusion au joug qui avait été placé sur le peuple de Dieu par de simples hommes terrestres (le mot hébreu employé ici est ʼènôsh, “homme mortel”) qui agissaient avec puissance, cruauté et arrogance (Ps. 66:12; voir Ésaïe 51:23). Jésus condamna une habitude que les Juifs avaient prise et qui consistait à jurer par leur tête. — Mat. 5:36, 37.

      ELLE REPRÉSENTE L’INDIVIDU

      La tête étant la partie qui commande au corps, elle représentait aussi la personne elle-​même. La tête d’un naziréen était sous un vœu, comme l’indiquaient ses cheveux longs (Nomb. 6:5, 18-20). On disait que les péchés ou les erreurs d’une personne étaient sur sa tête (Esdras 9:6; Ps. 38:4; voir Daniel 1:10). Quand le jugement atteignait le méchant, on disait aussi que son mal ou sa punition venait sur sa propre tête en forme de rétribution (Juges 9:57; I Sam. 25:39; Jér. 23:19; 30:23; Joël 3:4, 7; Obad. 15; voir Néhémie 4:4). Lorsque le sang ou la dette de sang d’un individu était sur sa propre tête, cela signifiait qu’il était lui-​même responsable de sa perte pour avoir commis une mauvaise action passible de mort (II Sam. 1:16; I Rois 2:37; Ézéch. 33:2-4; Actes 18:6). Faire revenir sur la tête de quelqu’un le sang qu’il avait versé, c’était le faire répondre de sa dette de sang (I Rois 2:32, 33). Dans le même ordre d’idées, le grand prêtre d’Israël confessait les péchés du peuple en posant ses mains sur la tête du bouc pour Azazel (transférant ainsi les péchés sur le bouc), après quoi on menait l’animal dans le désert pour qu’il emporte ces fautes vers l’oubli (Lév. 16:7-10, 21, 22). Comme d’autres textes le montrent, Jésus Christ s’est personnellement ‘chargé de nos maladies et de nos douleurs’ et il a ‘porté les péchés de beaucoup’. — És. 53:4, 5; Héb. 9:28; I Pierre 2:24.

      EXALTATION, HUMILIATION, MÉPRIS

      La faveur, la direction et la sagesse divines sont comparées à une lampe qui brille sur la tête et à une guirlande de charme sur la tête (Job 29:3; Prov. 4:7-9). ‘Les yeux de l’homme sage sont dans sa tête’, en ce sens que cet homme sait où il va (Eccl. 2:14). Accablé par l’humiliation et le trouble, le roi David considérait Jéhovah comme son bouclier et Celui ‘qui relevait sa tête’, lui permettant de tenir de nouveau la tête haute (Ps. 3:3; voir Luc 21:28). Il appréciait également la réprimande du juste, la qualifiant d’huile que sa tête ne voudrait pas refuser (Ps. 141:5). On courbait la tête en signe d’humilité ou d’affliction (És. 58:5); quant aux hochements de tête, ils exprimaient la dérision, le mépris ou l’étonnement. — Ps. 22:7; Jér. 18:15, 16; Mat. 27:39, 40; Marc 15:29, 30.

      LA POSITION DE CHEF

      Au lieu de rendre littéralement les mots roʼsh et képhalê par “tête”, on les a quelquefois traduits par “chef” (du latin “caput”, “tête”). Cela convient parfaitement, car le mot “chef” emporte encore l’idée de “tête” dans un sens vieilli, tout en s’appliquant à quelqu’un qui dirige ou commande. Ainsi donc, le “chef” (littéralement la “tête”), c’est celui qui se trouve à la tête d’une famille, d’une tribu, d’une nation ou d’un gouvernement (Juges 11:8; I Sam. 15:17; I Rois 8:1; I Chron. 5:24). Un “patriarche” (gr. patriarkhês) est un “chef (ou tête) de famille”. (Actes 2:29; 7:8, 9; Héb. 7:4.) Aussi l’expression “à leur tête” avait-​elle le sens de “pour chef”. (Michée 2:13.) Israël lui-​même, s’il obéissait à Dieu, serait à la tête des nations, en haut, parce qu’il serait libre et prospère, et que les autres peuples lui seraient même redevables (Deut. 28:12, 13). En revanche, s’ils se montraient désobéissants, les Israélites devraient emprunter aux résidents étrangers, qui s’élèveraient au-dessus d’eux. — Deut. 28:43, 44.

      RELATIONS ENTRE JÉSUS CHRIST ET LA CONGRÉGATION CHRÉTIENNE

      Jésus Christ est le Chef (litt. la Tête) de la congrégation chrétienne formée de 144 000 membres, laquelle constitue le “corps”. (Éph. 1:22, 23; Col. 1:18; Rév. 14:1.) Possédant l’immortalité, Jésus est à tout moment l’élément unificateur du corps composé des chrétiens engendrés de l’esprit qui sont sur la terre, et il fournit tout ce qui est nécessaire à leur croissance spirituelle pour que ce corps fonctionne à la gloire de Dieu (I Cor. 12:27; Éph. 4:15, 16; Col. 2:18, 19). Tout comme il y avait une “maîtresse pierre” dans le temple littéral (Zach. 4:7), de même Jésus est la maîtresse pierre, ou “tête de l’angle”, du temple spirituel (Actes 4:8-11; I Pierre 2:7) et le Chef (la Tête) de tout gouvernement et de toute autorité, bien qu’étant soumis à Dieu, le Chef suprême (Col. 2:10; I Cor. 11:3). La Bible compare la position de Chef que le Christ occupe par rapport à la congrégation à celle du mari par rapport à sa femme, afin de faire bien comprendre aux couples que dans le cadre du mariage l’homme doit exercer l’autorité, faire preuve d’amour envers sa femme et en prendre soin; la femme, de son côté, doit être soumise à son mari. — Éph. 5:22-33; voir AUTORITÉ.

  • Téth
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    • TÉTH

      {Article non traduit.}

  • Thaddée
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    • THADDÉE

      Voir JUDAS No 2.

  • Théâtre
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    • THÉÂTRE

      Dans cet édifice, que les Grecs appelaient théatron, se donnaient des représentations dramatiques, des tragédies, des comédies, des danses et des concerts. On y jouait souvent des pièces immorales que les chrétiens fidèles évitaient (Éph. 5:3-5). Mais dans les théâtres se tenaient aussi des rassemblements publics qui avaient d’autres buts.

      C’est au théâtre d’Éphèse que furent amenés les compagnons de voyage de Paul quand un orfèvre du nom de Démétrius suscita une émeute contre ces missionnaires chrétiens. L’apôtre voulut se rendre devant le peuple au théâtre, mais ses disciples ainsi que quelques commissaires des fêtes et des jeux qui lui étaient favorables l’en dissuadèrent. — Actes 19:23-31.

      On construisait des théâtres en Grèce depuis le Ve siècle avant notre ère, et avec le temps on en édifia dans plusieurs villes importantes. La plupart des théâtres grecs étaient bâtis en demi-cercle sur le versant d’une colline présentant une forme concave. Les sièges étaient en bois ou en pierre et séparés en sections par des passages. Ils étaient disposés en gradins sur le versant peu incliné de la colline. Au centre se trouvait l’orkhêstra (un espace pour les danses et les chœurs) derrière lequel il y avait une estrade surélevée, elle-​même placée devant une skênê ou mur de scène.

      On a retrouvé des ruines de théâtres à Éphèse, à Athènes et à Corinthe. Le grand théâtre mis au jour à Éphèse avait soixante-six rangs de sièges et pouvait recevoir environ 25 000 personnes. L’acoustique était, et est toujours, si bonne qu’on entend facilement jusqu’à la rangée la plus éloignée quelqu’un qui parle à voix basse sur l’estrade.

      Le mot grec théatron désignait soit l’endroit où le spectacle était présenté, soit le “spectacle théâtral” lui-​même. Paul a écrit: “Car il me semble que Dieu nous a exhibés les derniers, nous les apôtres, comme des hommes voués à la mort, parce que nous sommes devenus un spectacle théâtral [théatron] pour le monde, et pour les anges, et pour les hommes.” (I Cor. 4:9). Paul faisait allusion à ce qui clôturait habituellement les combats de gladiateurs romains dans l’arène. On y amenait certains participants dévêtus et sans défense pour y être massacrés.

      Les Grecs et les Romains avaient l’habitude de conduire les criminels condamnés à mort à travers le théâtre, où ils étaient l’objet des huées de la foule. Lorsque Paul écrivit aux chrétiens hébreux, nul doute qu’il pensait à cette coutume. Bien qu’on ne possède aucun rapport permettant de penser que ces chrétiens ont subi pareil traitement, on sait qu’ils ont enduré des souffrances comparables. L’apôtre les exhorte en ces termes: “Rappelez-​vous les jours passés, où après avoir été éclairés, vous avez enduré un grand combat au milieu des souffrances, tantôt exposés comme dans un théâtre aux outrages et aux tribulations, tantôt vous associant à ceux qu’on traitait ainsi.” — Héb. 10:32, 33.

  • Thébez
    Auxiliaire pour une meilleure intelligence de la Bible
    • THÉBEZ

      {Article non traduit.}

  • Théophile
    Auxiliaire pour une meilleure intelligence de la Bible
    • THÉOPHILE

      {Article non traduit.}

  • Thessaloniciens (Lettres aux)
    Auxiliaire pour une meilleure intelligence de la Bible
    • THESSALONICIENS (LETTRES AUX)

      Deux lettres divinement inspirées des Écritures grecques chrétiennes, les premières que composa l’apôtre Paul qui se présente lui-​même comme leur auteur (I Thess. 1:1; 2:18; II Thess. 1:1; 3:17). Puisque Silvain (Silas) et Timothée étaient avec Paul quand il écrivit ces deux lettres (I Thess. 1:1; II Thess. 1:1), on peut en déduire qu’elles furent envoyées de Corinthe. Rien n’indique, en effet, que ces trois hommes collaborèrent de nouveau après leur séjour dans cette ville, lors du deuxième voyage missionnaire de Paul (Actes 18:5). Puisqu’il semble que les dix-huit mois durant lesquels Paul exerça son activité chrétienne à Corinthe commencèrent à l’automne de l’an 50, c’est probablement vers cette date qu’il écrivit sa première lettre aux Thessaloniciens (Actes 18:11). Il dut rédiger la seconde peu après, soit vers 51.

      Tous les grands catalogues des IIe, IIIe et IVe siècles classent les deux lettres aux Thessaloniciens parmi les livres canoniques. Elles sont d’ailleurs en complète harmonie avec le reste des Écritures en ce qu’elles exhortent les serviteurs de Dieu à avoir une belle conduite en tout temps. On notera également avec intérêt que dans ces lettres l’accent est mis sur l’importance de la prière. Paul et ses collaborateurs se souvenaient toujours des Thessaloniciens dans leurs prières (I Thess. 1:2; 2:13;

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