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  • Guédaliah
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    • levèrent et le tuèrent, lui ainsi que tous les Juifs et les Chaldéens qui étaient avec lui. — II Rois 25:22-25; Jér. 39:14; 40:5 à 41:3.

      Fait intéressant, un sceau découvert à Lachis porte l’inscription suivante: “(Appartenant) à Guédaliah, qui est au-dessus de la maison.”

  • Guéder
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    • GUÉDER

      {Article non traduit.}

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    • GUÉDÉROTH

      {Article non traduit.}

  • Guédérothaïm
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    • GUÉDÉROTHAÏM

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  • Guédor
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    • GUÉDOR

      {Article non traduit.}

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    • GUÉ-HARASCHIM

      {Article non traduit.}

  • Guéhazi
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    • GUÉHAZI

      (vallée de vision).

      Serviteur du prophète Élisée.

      Quand Élisée se demanda ce qu’il pourrait faire pour la Sunamite qui lui avait offert l’hospitalité, Guéhazi lui fit remarquer qu’elle n’avait pas d’enfant et que son mari était âgé. En conséquence, Élisée annonça à cette femme qu’elle aurait un fils en récompense. Quelques années plus tard, ce fils qu’elle avait eu par miracle tomba malade et mourut. La Sunamite prit une ânesse, se rendit auprès d’Élisée, au mont Carmel, et le saisit par les pieds. Voyant cela, Guéhazi essaya de la repousser, mais Élisée lui dit de la laisser. Dès qu’elle eut parlé, Élisée envoya son serviteur en avant d’eux vers le garçon, et il le suivit avec la femme. Ils étaient encore en chemin quand Guéhazi revint à leur rencontre et leur expliqua qu’il avait placé le bâton d’Élisée sur le visage de l’enfant, mais que ‘le garçon ne s’était pas réveillé’. Toutefois, peu après son arrivée, Élisée ressuscita le fils de la Sunamite. — II Rois 4:12-37.

      Plus tard, Élisée recommanda à la Sunamite et à sa maisonnée d’aller résider à l’étranger, là où elle le pourrait, parce qu’une famine de sept ans était sur le point de survenir. Après la famine, elle quitta la Philistie pour rentrer en Israël et s’approcha du roi pour le supplier qu’on lui rende sa maison et son champ. Il se trouva qu’à ce moment même, Guéhazi était en train de raconter au roi comment Élisée avait ressuscité son fils. Dès qu’il eut entendu le récit de la bouche même de la femme, le roi ordonna qu’on lui restitue non seulement tous ses biens, mais encore tout ce que son champ avait produit pendant son absence. — II Rois 8:1-6.

      Le désir avide et égoïste du gain conduisit Guéhazi à sa perte. En effet, lorsque Naaman le Syrien fut guéri de la lèpre, Élisée refusa le présent que celui-ci voulait lui offrir pour le remercier (II Rois 5:14-16); en revanche, par convoitise, Guéhazi se dit que le don était mérité. Il courut donc après Naaman et, au nom d’Élisée, il lui demanda un talent d’argent et deux vêtements de rechange, prétendant mensongèrement qu’ils étaient destinés à deux jeunes hommes d’entre les fils des prophètes qui venaient d’arriver de la région montagneuse d’Éphraïm. Heureux de rendre service, Naaman lui donna non pas un, mais deux talents d’argent, ainsi que les deux vêtements de rechange, et il fit porter le tout par deux de ses serviteurs. Quand ils arrivèrent à Ophel, Guéhazi prit le présent des mains des serviteurs, les congédia puis déposa les objets chez lui, après quoi il se présenta les mains vides devant Élisée. Lorsque Élisée lui demanda: “D’où es-​tu venu, Guéhazi?”, il prétendit même n’être allé nulle part. En conséquence, Guéhazi fut frappé de la lèpre. À cause de son avidité, à laquelle il ajouta la tromperie, Guéhazi perdit le privilège de servir Élisée et transmit la lèpre à sa descendance. — II Rois 5:20-27.

  • Guéliloth
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    • GUÉLILOTH

      {Article non traduit.}

  • Guémalli
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      {Article non traduit.}

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      {Article non traduit.}

  • Guénubath
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    • GUÉNUBATH

      {Article non traduit.}

  • Guéra
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    • GUÉRA

      {Article non traduit.}

  • Guérah
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    • GUÉRAH

      Unité de poids qui correspondait à un vingtième de sicle, soit 0,57 gramme. — Ex. 30:13; Lév. 27:25; Nomb. 3:47; 18:16; Ézéch. 45:12.

  • Guérar
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    • GUÉRAR

      {Article non traduit.}

  • Guérar (Ouadi de)
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    • GUÉRAR (OUADI DE)

      {Article non traduit.}

  • Guérison
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    • GUÉRISON

      Action qui consiste à ramener un malade à la santé, à rendre sain ou à réparer ce qui a été brisé ou blessé, à soigner une maladie ou à éliminer un défaut, et à ramener celui qui est souffrant à la condition de bien-être. Dans la Bible, plusieurs termes hébreux et grecs décrivent ce genre de guérison, à la fois au sens propre ou au sens figuré. Tantôt la guérison s’opérait progressivement, tantôt elle était instantanée.

      Au nombre des bienfaits dont Jéhovah a comblé tous les humains figure la faculté régénératrice de l’organisme, cette capacité qu’a le corps de guérir par lui-​même d’une blessure ou d’une maladie. Un médecin peut prescrire certains traitements pour hâter le rétablissement, mais, en réalité, ce sont les moyens de régénération dont Dieu a doté le corps qui effectuent la guérison. C’est pourquoi, bien qu’imparfait, le psalmiste David reconnut que son Créateur pouvait le soutenir au cours de sa maladie et le guérir de tous ses maux (Ps. 51:5; 41:1-3; 103:2-4). Jéhovah rendit la santé physique à Job après son affliction (Job 42:10). Les Écritures parlent de la guérison d’affections telles que la lèpre, et de celles des blessures de guerre. — Ex. 15:26; Lév. 14:3, 4; II Rois 8:29; 9:15.

      Nous lisons que Jéhovah blesse et guérit, au sens propre comme au sens figuré. Dès lors, en ce qui le concerne, il y a un temps pour blesser et un temps pour guérir (Deut. 32:39; comparez avec Ecclésiaste 3:1, 3). Ainsi, Jéhovah châtia Joram, roi infidèle de Juda, en le frappant d’un trouble intestinal pour lequel il n’y avait pas de guérison (II Chron. 21:16, 18, 19). Moïse comprit que la lèpre de Miriam venait de Jéhovah. C’est pourquoi il implora la seule personne qui était en mesure de la guérir, s’écriant: “Ô Dieu, s’il te plaît! Guéris-​la, s’il te plaît!” (Nomb. 12:10, 13). Dans le domaine de la fécondité, Jéhovah guérit le roi Abimélech, sa femme et ses esclaves femelles, après que furent passés les événements qui affectèrent Sara et la postérité promise. — Gen. 20:17, 18.

      La Bible attache plus d’importance à l’effondrement spirituel qu’aux troubles physiques et, partant, elle met l’accent sur la guérison spirituelle. Elle attire l’attention sur la responsabilité qui incombait, sous ce rapport, aux dirigeants de l’Israël selon la chair. “Du prophète jusqu’à prêtre, chacun [agissait] avec déloyauté” aux jours de Jérémie, tout en feignant de guérir l’effondrement du peuple de Dieu (Jér. 6:13, 14; 8:11). À cet égard, ces hommes ressemblaient beaucoup aux consolateurs de Job, “des médecins sans valeur”. — Job 13:4.

      JÉSUS ET SES DISCIPLES OPÈRENT DES GUÉRISONS

      Jésus Christ reconnut que ‘l’enseignement’ et la ‘prédication de la bonne nouvelle du royaume’ constituaient l’aspect le plus important de son ministère, et que l’activité qui consistait à guérir “toute sorte de maladies et toute sorte d’infirmités parmi le peuple” n’était que secondaire. C’est pourquoi, s’il était ému de pitié pour les foules, c’était surtout parce qu’“elles étaient dépouillées et disséminées, comme des brebis sans berger”. — Mat. 4:23; 9:35, 36; Luc 9:11.

      Toutefois, le Grand Enseignant témoignait aussi de la compassion aux multitudes qui le suivaient dans l’espoir d’être guéries de leurs maux d’ordre physique (Mat. 12:15; 14:14; 19:2; Luc 5:15). Les guérisons miraculeuses qu’il opéra constituaient un signe évident pour sa génération et, conformément aux prophéties, elles ajoutaient aux preuves attestant qu’il était bien le Messie (Mat. 8:16, 17). Elles préfiguraient également les guérisons dont l’humanité bénéficiera sous le Royaume de Dieu (Rév. 21:3, 4). D’une manière on ne peut plus réelle, Jésus rendit la santé à de nombreuses personnes: il guérit des boiteux, des estropiés, des aveugles et des muets (Mat. 15:30, 31), des épileptiques, des paralysés (Mat. 4:24), une femme qui souffrait d’une hémorragie (Marc 5:25-29), un homme à la main desséchée (Marc 3:3-5), un homme atteint d’hydropisie (Luc 14:2-4). Nombre de gens possédés par les démons se virent libérés de l’emprise et de l’esclavage de Satan. — Mat. 12:22; 15:22-28; 17:15, 18; Marc 1:34; Luc 6:18; 8:26-36; 9:38-42; Actes 10:37, 38.

      Pour guérir autrui, Jésus ne s’y prenait pas toujours de la même manière. Une fois, il se contenta de dire: “Lève-​toi, prends ton lit portatif et marche”, et l’homme qui se trouvait près de l’étang de Bethzatha fut guéri (Jean 5:2-9). Un autre jour, Jésus ne fit que donner l’ordre, et le malade, bien qu’il se trouvât à distance, recouvra la santé (Mat. 8:5-13). Dans d’autres cas, il posait lui-​même la main sur la personne souffrante (Mat. 8:14, 15) ou touchait une blessure pour la guérir (Luc 22:50, 51). Plusieurs personnes malades n’eurent qu’à toucher Jésus, voire la frange de ses vêtements, pour être soulagées (Mat. 14:36; Marc 6:56; Luc 6:19; 8:43-47). Et peu importait si ces gens souffraient depuis de nombreuses années. — Mat. 9:20-22; Luc 13:11-13; Jean 5:5-9.

      Ce n’était pas par sa puissance, par sa connaissance ni par sa sagesse personnelles que Jésus guérissait les malades. Il n’employait pas non plus la psychothérapie, l’hypnose ou quelque méthode analogue. Ces guérisons résultaient plutôt de l’esprit et de la puissance de Jéhovah (Luc 5:17; 9:43). Pourtant, tous n’étaient pas assez reconnaissants pour rendre gloire à Dieu après avoir été soulagés (Luc 17:12-18). À présent, tout le monde ne salue pas non plus la guérison éternelle qui résulte du sacrifice rédempteur du Christ. — I Pierre 2:24.

      Jésus délégua son pouvoir de guérison divin à ceux qui avaient été ses proches collaborateurs pendant son ministère. Les douze apôtres, puis les soixante-dix disciples qu’il envoya, reçurent le pouvoir de guérir les malades (Mat. 10:5-8; Luc 10:1, 8, 9). Après la Pentecôte de l’an 33, certains chrétiens, comme Pierre, Jean, Philippe et Paul, se virent également accorder cette faculté d’opérer des guérisons totales (Actes 3:1-16; 4:14; 5:15, 16; 8:6, 7; 9:32-34; 28:8, 9). Toutefois, lorsque le christianisme fut bien enraciné, et après la disparition des apôtres, ces “dons de guérisons” s’évanouirent à leur tour. — I Cor. 12:8, 9, 28, 30; 13:8, 13.

      Celui qui guérissait un malade se devait d’exercer une foi et une confiance totales en Jéhovah. À l’instar de Jésus, il lui fallait reconnaître que la guérison résultait de la puissance divine (Mat. 17:14-20; Jean 5:19). Si ceux qui étaient malades, par contre, n’étaient pas tenus d’exercer la foi avant d’être guéris (Jean 5:5-9, 13), nombre d’entre eux n’en possédaient pas moins une grande foi. — Mat. 8:5-13; Marc 5:34; Luc 7:1-10; 17:19; Actes 14:8-10.

      Les guérisons miraculeuses devaient être un “signe” du soutien divin (Actes 4:22, 29, 30), et ceux qui refusaient de le reconnaître et d’en tenir compte se montraient sourds et aveugles (És. 6:10; Jean 12:37-41). Étant donné que les guérisons miraculeuses devaient servir de signe aux non-croyants, elles n’étaient généralement pas effectuées en faveur de ceux qui étaient déjà des chrétiens engendrés de l’esprit. Ainsi, lorsque Timothée souffrit de maux d’estomac, Paul ne le guérit pas miraculeusement, mais il lui conseilla de prendre un peu de vin pour se soigner. — I Tim. 5:23.

      LA GUÉRISON SPIRITUELLE

      Par ailleurs, Jéhovah accorde une véritable guérison spirituelle à ceux qui se repentent. Au sens figuré, cela signifie qu’ils peuvent retrouver sa faveur et profiter à nouveau de ses bénédictions (És. 19:22; 57:17-19; Jér. 33:6). Spirituellement parlant, pareille guérison fortifie les mains faibles et les genoux qui vacilles, elle ouvre les yeux des aveugles et les oreilles des sourds, elle guérit les boiteux et rend aux muets l’usage de la parole (És. 35:3-6). En revanche, les apostats incorrigibles ne connaissent jamais la guérison; ils ne peuvent retrouver la santé ni la prospérité spirituelles (II Chron. 36:15-17; És. 6:10; Jér. 30:12, 13; Actes 28:24-28). De même, aucune guérison n’était possible pour l’Égypte, pour son pharaon ni pour le “roi d’Assyrie”. — Jér. 46:11; Ézéch. 30:21; Nahum 3:18, 19.

      Les Écritures prescrivent le remède qui convient à ceux qui sont spirituellement malades. — Héb. 12:12, 13; Jacq. 5:14-16; Rév. 3:18.

  • Guérizim (Mont)
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    • GUÉRIZIM (MONT)

      Le mont Guérizim, qui porte aujourd’hui le nom de Djebel et-Tôr, et le mont Ébal, au nord-est, s’élèvent au cœur du district de Samarie. Bien connues dans la région, ces deux montagnes qui se font face commandent un important passage est-​ouest. Entre elles deux d’étend la vallée fertile de Sichem, dans laquelle se niche aujourd’hui la ville de Naplouse. Sichem, importante ville forte cananéenne avant l’entrée des Israélites en Terre promise, se situait à l’extrémité orientale de la vallée, à environ 2,500 kilomètres au sud-est de Naplouse. En raison de leur position stratégique, les monts Guérizim et Ébal jouèrent un grand rôle militaire et politique; par ailleurs, cette région eut également son importance du point de vue religieux. Le mont Guérizim s’élève à plus de 850 mètres au-dessus du niveau de la Méditerranée.

      Peu après la conquête d’Aï, conformément aux instructions de Moïse, les tribus d’Israël s’assemblèrent aux mont Guérizim et Ébal sous la direction de Josué. C’est là que le peuple écouta la lecture des bénédictions qu’il recevrait s’il obéissait à Jéhovah et des malédictions qui l’attendaient s’il se montrait désobéissant. Les tribus de Siméon, de Lévi, de Juda, d’Issacar, de Joseph et de Benjamin se tenaient debout devant le mont Guérizim. Les Lévites et l’arche de l’alliance étaient placés dans la vallée, tandis que les six autres tribus se tenaient debout devant le mont Ébal (Deut. 11:29, 30; 27:11-13; Josué 8:28-35). Il semble que les tribus placées devant le mont Guérizim répondaient aux bénédictions qu’on lisait dans leur direction, tandis que les autres tribus répondaient aux malédictions lues vers

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