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  • Traitement chimique des aliments
    Réveillez-vous ! 1970 | 22 novembre
    • Traitement chimique des aliments

      QUELLE quantité de poison seriez-​vous disposé à absorber ? Pareille question vous semble peut-être insensée. Vous répondrez probablement que vous n’avez aucune envie d’absorber du poison.

      Cependant, que vous vous en rendiez compte ou non, dans de nombreuses régions, particulièrement aux États-Unis et dans d’autres pays occidentaux, les aliments contiennent aujourd’hui de petites quantités de produits chimiques qui pourraient vous tuer si vous les absorbiez en doses importantes. L’emploi de ces substances s’est répandu de plus en plus depuis la Seconde Guerre mondiale.

      Vous pensez peut-être que même si ces produits chimiques sont ajoutés aux aliments préparés industriellement, les fruits et les légumes frais en sont exempts. Toutefois, pour ainsi dire toutes les denrées alimentaires subissent un traitement chimique avant d’être mises sur le marché.

      Aujourd’hui des centaines de produits chimiques sont ajoutés aux aliments. Beaucoup de ces substances sont synthétiques, c’est-à-dire fabriquées en laboratoire.

      Parlant de leur emploi généralisé à notre époque, William Longgood dit ce qui suit dans son livre Les poisons dans vos aliments (angl.) : “Pour ainsi dire chaque bouchée de nourriture que vous absorbez a été traitée avec des produits chimiques : colorants, agents de blanchiment et de conservation, émulsifiants, antioxydants, arômes, assaisonnements, pesticides, acidifiants, alcalinisants, déodorisants, substances pour humidifier et pour déshydrater, gaz, charges et diluants, épaississants, désinfectants, produits de défoliation, fongicides, neutralisants, édulcorants, antiagglutinants, agents antimousses, agents de salaison, d’hydrolyse, d’hydrogénation et de maturation et bien d’autres encore.”

      Un cas récent

      Les produits chimiques ajoutés aux aliments ont récemment défrayé la chronique à cause de la publicité faite autour des cyclamates. Ces substances étaient parmi les quelque 600 additifs “reconnus généralement comme inoffensifs” par le Contrôle alimentaire et pharmaceutique des États-Unis.

      Il s’agit d’édulcorants synthétiques destinés à remplacer le sucre pour des raisons d’ordre diététique. On les utilisait notamment dans les boissons non alcooliques, la crème glacée, les mayonnaises commerciales, les desserts, les gélatines, les confitures, les gelées et même dans les pickles. Ils entraient dans la composition de presque tous les aliments de régime et dans les vitamines parfumées pour enfants.

      Cependant, des expériences ont démontré que les cyclamates provoquent des cancers chez les rats et les souris, et donnent lieu à la naissance de poussins difformes. Or, une législation américaine stipule qu’aucun produit chimique ajouté aux aliments “ne sera considéré comme inoffensif si, ingéré par l’homme ou les animaux, il provoque chez eux le cancer”. — The Delaney Amendment to the Food, Drug and Cosmetic Act of 1968.

      Les États-Unis ont donc interdit les boissons contenant des cyclamates. Toutefois, les aliments de régime et les médicaments renfermant ces substances peuvent encore être vendus sans ordonnance médicale à condition que l’étiquette porte les indications appropriées. Plusieurs autres pays ont suivi l’exemple des États-Unis et ont interdit l’emploi de ces produits.

      Deux sons de cloche

      Cette publicité faite aux édulcorants artificiels a soulevé des doutes concernant d’autres substances. L’utilisation de tant de produits chimiques dans les denrées alimentaires ne constitue-​t-​elle pas un danger ? Les uns se sont inquiétés du fait que l’on n’a pas éprouvé certaines de ces substances pendant assez longtemps pour déterminer si elles sont vraiment inoffensives.

      Les autres affirment que ces additifs sont sans danger aux doses absorbées, mais reconnaissent qu’en quantités plus grandes ils sont nocifs et peuvent même être mortels. D’autres encore maintiennent qu’un produit qui est toxique en grandes quantités l’est également en petites quantités. L’arsenic est toujours de l’arsenic, disent-​ils, qu’il soit administré en grandes quantités ou en petites doses. De plus, puisque ces produits, ou du moins la plupart d’entre eux, sont sans valeur nutritive, pourquoi prendre le risque de les employer ?

      S’il existe des doutes quant à la nocivité de ces produits chimiques, c’est parce que certains d’entre eux, en quantités importantes, ont provoqué le cancer et d’autres affections chez des animaux de laboratoire, des rats et des souris notamment. On ignore toutefois s’ils ont le même effet sur les humains qui en absorbent beaucoup moins dans leurs aliments. On n’utilise pas couramment ces substances depuis assez longtemps pour savoir qui a raison.

      Pourquoi les utilise-​t-​on ?

      Si beaucoup de ces produits chimiques, particulièrement ceux qui sont fabriqués par l’homme, sont sans valeur nutritive et peut-être dangereux à longue échéance, pourquoi les utilise-​t-​on ? Pourquoi les ajouter aux aliments indispensables à la santé ?

      Depuis la construction de grandes villes, il est devenu de plus en plus nécessaire non seulement d’expédier des denrées alimentaires sur de longues distances, mais également de les emmagasiner pendant des périodes de temps prolongées. Il a donc fallu inventer des procédés pour conserver ces aliments. L’un de ces procédés consiste à y ajouter des produits chimiques susceptibles d’empêcher la prolifération des organismes qui gâtent la nourriture.

      Depuis un certain temps la demande d’aliments de régime augmente, surtout ceux qui ne font pas grossir. Il fallait donc supprimer le sucre, source de calories. On lui a substitué, particulièrement dans les boissons non alcooliques, des produits chimiques édulcorants.

      Une autre raison de l’utilisation des additifs est la popularité croissante des plats cuisinés qu’il suffit de réchauffer. On ajoute des produits chimiques à ces plats afin de les conserver, d’en relever le goût et d’en améliorer l’aspect.

      Le consommateur porte également une part de responsabilité dans ce domaine. Trop de gens désirent des aliments qui ont un goût et un aspect agréables, quelle que soit leur valeur nutritive. Les fabricants ajoutent donc à ces denrées des substances qui produisent l’effet voulu. Le pain blanc, par exemple, est d’aspect et de consistance agréables et il a sans doute bon goût, mais en général il est fait d’une farine privée de la plus grande partie de ses éléments nutritifs. On y a ajouté toutefois des produits chimiques pour lui donner le goût, l’apparence et la consistance voulus et pour le conserver. Très souvent aussi on y a incorporé quelques vitamines synthétiques. Il est alors vendu sous la désignation de “pain enrichi”. Au lieu de refuser un tel aliment, le consommateur l’achète volontiers.

      M. Longgood a écrit ce qui suit concernant le pain : “La description du triste sort de l’innocent grain de blé appartient plutôt aux annales du crime qu’à un traité d’hygiène alimentaire.” Et il ajoute : “Le pain blanc moyen est essentiellement un produit de l’ingéniosité chimique, de la technologie mécanique et de l’astuce publicitaire. Il est soumis à un bombardement de produits chimiques, privé de presque tous ses éléments nutritifs, enrichi de quelques vitamines synthétiques et additionné d’un émulsifiant pour l’empêcher de rassir. (...) Il est alors vendu au public crédule comme un aliment enrichi. Le pain et la plupart des autres aliments cuits que l’on trouve dans le commerce sont plus un produit de l’éprouvette que de la nature.”

      Dans les pays occidentaux, même la viande est souvent traitée avec des produits chimiques. On fait à beaucoup de jeunes bêtes des implantations d’hormones sexuelles. Ensuite on incorpore à leur nourriture des hormones synthétiques, des antibiotiques et d’autres substances destinées à les engraisser et à les protéger contre certaines maladies. De plus, leur organisme contient des pesticides absorbés avec les aliments cultivés à l’aide d’engrais artificiels et pulvérisés avec des produits chimiques. La viande, la charcuterie et les salaisons subissent encore un traitement chimique pour les colorer, leur donner du goût et les conserver.

      Pour ce qui est de la quantité de ces produits chimiques absorbés par l’homme moyen, on estime qu’elle est d’environ un kilo et demi par an. Quel en est donc l’effet sur son organisme ?

  • Les additifs sont-ils nuisibles ?
    Réveillez-vous ! 1970 | 22 novembre
    • Les additifs sont-​ils nuisibles ?

      ON ESSAIE de faire croire au public que les produits chimiques ajoutés aux aliments ne sont pas nuisibles, étant donné que les quantités absorbées chaque jour sont généralement très petites. Cependant, ceux qui raisonnent à ce sujet se posent souvent cette question : “Si une grande quantité du produit est toxique, une petite quantité absorbée journellement ne sera-​t-​elle pas nuisible aussi, mais à plus longue échéance ?”

      Ceux qui affirment que les additifs sont inoffensifs citent généralement l’exemple du sel. Une petite quantité, disent-​ils, est bonne pour la santé, mais une très forte dose pourrait être mortelle. Ils en concluent qu’il en va de même pour d’autres substances. Il en est peut-être ainsi pour les produits chimiques comme le sel, que le corps élimine lorsqu’ils s’y trouvent en excès, mais pas nécessairement pour ceux qui s’accumulent dans l’organisme, comme le DDT.

      Certains font valoir aussi que jusqu’à présent on ne possède aucune preuve que ces produits chimiques ont des effets nuisibles. Ne serait-​il pas plus prudent toutefois de poser plutôt en principe qu’il n’existe pas encore de preuves formelles que ces additifs sont inoffensifs ? Dès lors, il serait plus raisonnable de maintenir l’emploi de ces substances au strict minimum jusqu’au jour où tout doute à ce sujet aura été dissipé.

      Citons l’exemple du tabac. Il y a longtemps, certains ont affirmé que la cigarette fait du tort à la santé. Cependant, comme on ne voyait, d’un jour à l’autre, aucune modification dans la santé des fumeurs, les fabricants de cigarettes affirmèrent que celles-ci ne sont pas nuisibles. Aujourd’hui, au bout de plusieurs dizaines d’années, on possède des preuves que le tabac est nocif. La cigarette peut provoquer le cancer, des affections cardiaques et d’autres maladies encore, mais il a fallu du temps pour en acquérir la certitude. Qui peut donc affirmer que les produits chimiques ajoutés aux aliments n’auront pas à la longue des effets nuisibles ?

      On sait aussi que tous les organismes sont différents. Certaines personnes peuvent rester longtemps exposées au froid sans résultats fâcheux. D’autres tombent malades après une exposition très brève.

      On ne peut donc pas fixer des limites de tolérance. Une substance qui ne nuit pas à celui dont l’organisme possède assez de vitalité pour l’éliminer, peut tuer une autre personne à qui cette vitalité fait défaut. Il est donc difficile de préciser quelle quantité de tel ou tel produit chimique est nécessaire pour que la santé en soit affectée. Même si un petit pourcentage seulement de la population subit des effets nuisibles, qui souhaiterait faire partie de cette minorité ?

      Les partisans des divers points de vue citent les résultats de diverses expériences. Par exemple, pendant six mois on fit boire à des rats uniquement des boissons à base de cola. On constata qu’elles dissolvaient les dents de ces rongeurs jusqu’aux gencives. On prétend que l’acide contenu dans ces boissons peut dissoudre le fer et la pierre à chaux. À première vue, cette expérience est impressionnante et on peut en conclure que de telles boissons seraient très nuisibles pour les humains s’ils en consommaient pendant longtemps ou même de temps à autre.

      Cependant, cet argument perd beaucoup de sa force lorsqu’on sait que le jus de citron et le vinaigre dissolvent également le fer et la pierre à chaux. Par conséquent, si les boissons à base de cola prises en petites quantités pendant une longue période sont nuisibles, il en va de même du jus de citron et du vinaigre. Il est donc évident que pour tirer des conclusions justes, il faut posséder un éventail très large de connaissances.

      Qui est le mieux renseigné ?

      Dans cette controverse concernant les produits chimiques ajoutés aux aliments, les opinions sont très divergentes. Les uns préconisent l’emploi de tout additif susceptible de produire un effet agréable aux yeux ou au palais. Les autres, plus conservateurs, disent : “Si le Créateur avait voulu que nos aliments contiennent ces substances chimiques, ne les aurait-​il pas mises dans ces derniers ? Après tout, il sait mieux que les hommes quels sont les éléments qui conviennent à l’organisme humain et dans quelles quantités.”

      On peut illustrer ce raisonnement comme suit : Si vous étiez propriétaire d’une belle voiture conçue pour consommer un carburant de qualité supérieure, qu’arriverait-​il si vous mettiez dans le réservoir de l’essence bon marché pleine d’impuretés ? Inévitablement, le moteur fonctionnerait mal et finirait par tomber en panne. Sa vie serait abrégée.

      Le Dr William Smith, éminent cancérologue, déclara : “On tend de plus en plus à introduire dans l’organisme humain, à des fins commerciales, quantité de molécules biologiques étrangères. C’est comme si l’on jetait des poignées d’écrous et de boulons dans le mécanisme le plus délicat que l’on ait inventé.”

      Beaucoup de gens sont arrivés à la conclusion qu’il n’est même plus question de savoir si ces additifs chimiques sont nuisibles ou non, mais plutôt de savoir dans quelle mesure ils sont nuisibles. Le Dr Edward Ryan, ancien rédacteur en chef de Dental Digest, écrivit : “Toutes les fois qu’on enlève à un aliment une substance naturelle et qu’on y ajoute un produit chimique, on dérègle l’équilibre de la nature. (...) Les processus chimiques et cellulaires de l’organisme ne peuvent s’adapter aux caprices des chimistes sans qu’il en résulte des perturbations.”

      Facteurs cumulatifs

      Dans son numéro du 10 décembre 1969, Chemical Week déclara : “Selon Maurice Shils, professeur adjoint de médecine à l’Université Cornell, l’habitude d’ajouter de plus en plus de produits chimiques aux aliments ‘fait partie du problème de la pollution. On ne devrait pas incorporer de nouveaux produits à notre nourriture à moins qu’il n’existe de très bonnes raisons d’agir ainsi’.”

      En comparant les additifs à des polluants, M. Shils fait entrevoir un autre aspect de cette question : la dose quotidienne d’un seul additif absorbée par l’homme moyen n’est peut-être pas assez élevée pour produire des effets nuisibles, mais les aliments contiennent de nombreux produits chimiques. De plus, la nourriture n’est pas la seule source de ces substances ; il y en a beaucoup d’autres.

      La question de la pollution de l’environnement inquiète de plus en plus de gens. L’eau potable contient des produits chimiques. Le sol où on cultive les denrées alimentaires est imprégné de pesticides et d’engrais chimiques. L’air aussi est pollué, et même très fortement dans certains pays. Un rapport sur les conclusions des chercheurs américains du Centre de recherches atmosphériques, contient ces mots : “Le dernier vestige d’air pur relevé aux États-Unis par le Centre, était situé près de Flagstaff, dans l’Arizona. Cependant, il disparut il y a six ans quand (...) la pollution atmosphérique venant de la côte californienne atteignit cette ville.” — Register de New Haven, 21 décembre 1969.

      Dans son numéro du 26 janvier 1970, Newsweek dit : “Les déchets dans l’air rendent malade le bétail en Floride, ternissent la peinture des maisons et des voitures de Lincoln, dans le Maine, font mourir les pins situés à une centaine de kilomètres de Los Angeles, abîment les vergers du Texas et de l’Illinois et les épinards de la Californie méridionale. Certains Américains paient cette pollution de leur vie. Les affections des voies respiratoires comme l’asthme, la bronchite, le cancer du poumon et l’emphysème, augmentent à un rythme alarmant.”

      On constate donc qu’il ne s’agit plus d’un seul produit chimique en petites quantités. Il se peut très bien que l’assaut livré à notre organisme par tous ces éléments artificiels — les produits chimiques dans nos aliments, les impuretés dans l’atmosphère, les substances étrangères dans l’eau potable — soit responsable de certaines des maladies dont souffrent nos contemporains.

      Que peut-​on faire ?

      Que peut faire celui qui ne désire pas absorber tant de produits chimiques ? Tandis que dans de vastes régions du globe il est impossible d’éviter complètement l’absorption de ces substances à cause de leur emploi généralisé et souvent dissimulé, on peut mettre en pratique les suggestions données par le tableau à la page 12.

      Ces précautions vous seront peut-être d’une certaine utilité, à vous et à votre famille, mais elles ne supprimeront pas les causes principales de la mauvaise santé et de la maladie. Même si l’air n’était pas pollué et si les aliments ne contenaient aucun additif, l’humanité continuerait de subir les effets du péché et de la mort. L’homme est incapable, par ses propres efforts, de s’affranchir de cette malédiction adamique. De plus, le problème de la pollution est inhérent au présent ordre de choses, qu’il nous est impossible de changer.

      Cependant, Dieu peut nous libérer du péché et de la mort, et il a promis de le faire. C’est sa Parole, la Bible, qui l’affirme. Il sait que l’homme est en train de gâcher cette belle planète qu’il a créée, aussi a-​t-​il déclaré que son dessein consiste à “détruire ceux qui détruisent la terre”. — Rév. 11:18.

      Les événements de notre époque réalisent les prophéties bibliques montrant ainsi que nous sommes très près du jour où Dieu manifestera sa grande puissance et son autorité pour mettre fin au présent ordre de choses égoïste et à ceux qui le soutiennent. — II Tim. 3:1-5.

      Après cet acte miraculeux de Dieu, son gouvernement céleste administrera les affaires de l’humanité. Sa Parole affirme que la terre deviendra un paradis. Non seulement la pollution de l’air, de l’eau et du sol ne sera jamais plus permise mais, chose plus merveilleuse encore, l’humanité sera ramenée à la perfection, tant physique que mentale. La douleur et la mort auront disparu pour toujours. — És. 45:18 ; Luc 23:43 ; Rév. 21:4, 5.

      Jéhovah Dieu sait comment opérer ces changements, car il est le Créateur de l’homme et c’est grâce à Lui que la terre produit de la nourriture pour tous. Il a fait la promesse immuable que son dessein s’accomplira. — Rév. 21:5.

      [Encadré, page 12]

      Pour réduire les quantités de produits chimiques que vous absorbez

      1) Lisez l’étiquette de tous les aliments en paquets ou en boîtes et choisissez ceux qui contiennent le moins d’additifs.

      2) Au lieu d’employer les mélanges déjà préparés pour gâteaux, desserts, etc., achetez et mélangez vous-​même vos ingrédients. Cela demandera sans doute un peu plus de temps, mais les mets seront plus sains.

      3) Si vous ne pouvez trouver du pain exempt d’additifs, vous auriez avantage à faire votre pain vous-​même. Certains pains dans le commerce ont peu de valeur nutritive.

      4) Quand cela est possible, utilisez des fruits et des légumes frais, bien lavés. Si vous avez un jardin, cultivez-​les vous-​même dans la mesure du possible.

      5) Utilisez des boissons naturelles, comme le lait, plutôt que les limonades, les sirops, etc. Certains jus de fruits dans le commerce sont peut-être exempts d’additifs. Évidemment, le jus des fruits frais est à préférer.

      6) Achetez de la viande fraîche et faites-​la cuire vous-​même plutôt que de manger de la charcuterie et des viandes qui ont subi un traitement industriel.

      7) Puisque le DDT et d’autres pesticides tendent à s’accumuler dans les tissus graisseux des animaux, vous avez intérêt à enlever la graisse de votre viande.

  • Le vêtement de mariage
    Réveillez-vous ! 1970 | 22 novembre
    • Le vêtement de mariage

      Une coutume intéressante jadis courante en Orient, nous aide à mieux comprendre les paroles de Jésus rapportées dans l’Évangile selon Matthieu (chapitre 22, versets 11 à 13) où il parle du vêtement de mariage donné aux convives d’une noce. Les voyageurs qui se rendaient dans les pays bibliques avant que l’influence occidentale n’y ait modifié les mœurs, ont raconté qu’on leur remettait un vêtement spécial quand ils assistaient à un mariage. Il s’agissait d’une longue robe aux manches larges qu’ils devaient porter par-dessus leurs propres vêtements.

      Un Syrien a expliqué que le père du marié fournissait ces vêtements peu coûteux faits d’un tissu aux couleurs gaies. Ainsi, s’il y avait des convives aux moyens modestes qui ne pouvaient se parer de beaux vêtements, ils n’étaient pas défavorisés par rapport aux autres, plus riches. Le maître des cérémonies avait le droit de réprimander tout invité qui ne portait pas ce vêtement.

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