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  • Qu’est-ce que la relativité ?
    Réveillez-vous ! 1970 | 22 avril
    • notre image du monde extérieur est simple et plus nombreux sont les faits qu’il embrasse, plus notre esprit est pénétré de l’harmonie de l’univers.”

      Vers la fin de sa vie, Einstein élabora la théorie du champ unitaire. Cette théorie s’exprime par une seule série de lois physiques qui embrasse à la fois les phénomènes atomiques et les phénomènes intersidéraux. Elle démontre que les forces fondamentales de l’univers sont interdépendantes. Elle envisage l’univers et toutes ses parties comme une seule unité. Dans son ouvrage Einstein et l’univers, Lincoln Barnett dit à propos de cette théorie : “Ainsi une profonde simplicité domine l’apparente et superficielle complexité de la nature. (...) Toutes les perceptions que l’homme a de l’univers et toutes ses intuitions abstraites se ramènent finalement à l’unité, et la profonde unité cachée de l’univers est enfin dénudée.”

      L’homme qui est vraiment intelligent et humble reconnaît que l’harmonie et la majesté de l’univers ont dû avoir un Auteur, puisque rien d’organisé ne vient à l’existence par le simple hasard. Concernant l’origine de ces choses, le psalmiste de l’Antiquité s’exclama : “Les cieux racontent la gloire de Dieu.” L’apôtre Paul déclara aussi : “Évidemment, toute maison est construite par quelqu’un, mais celui qui construit toutes choses est Dieu.” — Ps. 19:2 19:1, NW; Héb. 3:4.

  • La fatigue et le bruit
    Réveillez-vous ! 1970 | 22 avril
    • La fatigue et le bruit

      LORSQUE nous travaillons dans un bruit dont le niveau dépasse 50 à 60 décibels, notre organisme est soumis à une fatigue constante. Le vacarme qui assaille nos tympans crée une sensation de tension nerveuse ; nos nerfs sont mis à vif et nous devenons irritables. Notre pouls s’accélère et notre tension artérielle augmente. La fatigue que provoque un milieu bruyant empêche le corps de se détendre ; à la fin de la journée nous sommes épuisés.

      Cette fatigue provoquée par le bruit diminue l’efficacité au travail. Des expériences ont démontré qu’un ouvrier travaillant dans un milieu bruyant dépense vingt pour cent de force de plus que dans une ambiance calme. Le bruit a un effet nuisible sur le jugement et le pouvoir de concentration ; une partie du cerveau s’occupe de sons qu’en réalité il ne veut pas entendre.

      Ces effets physiques et mentaux diminuent l’efficacité du travailleur. Une usine qui réduisit le niveau sonore de 100 à 75 décibels, fit baisser le taux des accidents de près de cinquante pour cent et augmenter le rendement de vingt pour cent. La réduction du bruit dans une usine de construction d’automobiles, diminua de moitié la consommation de comprimés contre le mal de tête. Le directeur d’usine qui fit remplacer le coussinet d’un ventilateur bruyant, augmenta le rendement de ses ouvriers de douze pour cent.

      Une importante société d’assurances américaine obtint des résultats remarquables en réduisant le bruit dans ses bureaux. Une baisse de huit décibels du niveau sonore fit diminuer de trente pour cent les erreurs de frappe des dactylos, et de cinquante pour cent celles des autres employés. Les changements de poste diminuèrent de quarante-sept pour cent. La société estima qu’en réduisant le bruit, elle avait augmenté l’efficacité générale des employés de neuf pour cent, et qu’elle avait économisé cinquante-huit dollars (plus de 300 francs français) par employé au cours de la première année.

      Le Dr Samuel Rosen, éminent oto-rhino-laryngologiste new-yorkais, décrivit récemment l’effet d’“un bruit inattendu ou indésirable”. Il déclara : “Les pupilles se dilatent, la peau pâlit, les muqueuses se dessèchent, on souffre de spasmes intestinaux et les surrénales déversent dans le sang d’abondantes sécrétions.”

      Le décibel est une unité sonore. Le son audible le plus bas est d’un décibel. Le niveau sonore le plus élevé que l’on puisse supporter sans trop de mal est d’environ 80 décibels. Le grondement d’un avion à réaction passant tout près est d’environ 150 décibels. Une circulation intense dans la rue produit un bruit qui atteint généralement le niveau maximum tolérable de 80 décibels. Cependant, ce tintamarre peut être ponctué par les cris d’une femme (90 décibels), la pétarade d’une moto (110 décibels), une sirène (125 décibels) ou une machine à river (130 décibels). Les automobiles avec leurs klaxons, les trains, les machines et les marteaux pneumatiques qui contribuent au bruit assourdissant chacun à sa façon particulière, se sont multipliés à la même cadence que les habitants des grandes villes. Le fait que les puissances sonores auxquelles sont exposés les citadins dans de nombreuses agglomérations dépassent souvent celles de l’industrie, est passé pour ainsi dire inaperçu.

      Que pouvons-​nous faire pour remédier à cette situation ? Évidemment, il ne nous est pas possible de réformer le monde, mais nous pouvons essayer de rendre notre propre milieu plus paisible.

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