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  • “C’est là le pays” de la Parole de vérité
    La Tour de Garde 1969 | 15 janvier
    • 25. En utilisant la carte, rappelez les cinq grandes régions géographiques du pays.

      25 Ce sont donc là les grandes régions de la Terre promise : la plaine qui longe la côte de la Méditerranée, la région de collines ou Séphélah, les montagnes de Samarie et de Juda, où est située Jérusalem, la Fosse jordanienne avec Jéricho, et les collines et plateaux situés à l’est du Jourdain, y compris le pays de Moab.

      26. Localisez sur la carte d’autres lieux bibliques.

      26 De nombreux traits physiques mentionnés dans la Bible figurent sur la carte ci-incluse ou sur toute autre carte. Il y a les vallées du Cédron et de Hinnom, la Araba, la rivière Arnon, le Jourdain, le mont des Oliviers, la plaine d’Esdrelon, le mont Carmel, le mont Hermon, et le Jabbok.

      27. a) Qu’est-​ce qui est important pour nous ? b) Pourquoi est-​ce important ? c) Par quoi la critique est-​elle vaincue ?

      27 Fait très important pour nous, dans chacune de ces grandes régions ont été faites de nombreuses découvertes archéologiques qui viennent confirmer ce que dit la Bible, la Parole de vérité, à propos de certains lieux. Pourquoi cela est-​il si important ? Pour la bonne raison que, si de nombreux lieux cités par la Bible ont été découverts et leur emplacement déterminé au cours des siècles, il en existe d’autres, mentionnés dans les Écritures, qui ne l’ont pas été. Certains critiques de la Parole de Dieu ont donc déclaré que puisque ces lieux sont restés inconnus, il s’ensuit que le récit biblique n’est pas exact et que les Écritures ne sont pas dignes de confiance. Les preuves fournies par l’archéologie s’avèrent très utiles pour nous sous ce rapport. Elles démontrent que les personnes qui prétendent que les lieux mentionnés par la Parole de Dieu n’ont jamais existé se trompent. La “critique sceptique” de la Bible, qui se base sur le fait que des lieux bibliques n’ont pas été identifiés, remonte plus particulièrement au XVIIIe siècle. William Foxwell Albright, une autorité en matière d’archéologie, a déclaré : “L’histoire des patriarches rapportée dans la Genèse et la tradition mosaïque des autres livres du Pentateuque ont été discréditées par la haute critique moderne (...). Certains considèrent Moïse comme un personnage légendaire.” Cette critique a été marquée par “l’attitude hypercritique qui autrefois prévalut”, mais qui est maintenant vaincue par les récentes découvertes faites en Terre promise.

      28, 29. Quel avantage le pays offre-​t-​il à celui qui recherche la vérité ?

      28 Ainsi, le pays existe toujours, et il est possible de le visiter. Les traits géographiques superficiels du pays sont clairs et nets, et un simple visiteur peut les identifier à ceux décrits dans la Parole de Dieu. Toutefois, les critiques qui s’opposent à la Parole de Dieu et cherchent à la discréditer prétendent que les personnages et les lieux dont parle la Bible sont imaginaires et que, par suite, le récit qu’elle fait n’est qu’un recueil de mythes, qu’elle n’est ni digne de confiance ni un guide sûr.

      29 Nous avons dit que les découvertes archéologiques prouvent que les détracteurs de la Bible ont tort. N’aimeriez-​vous pas connaître quelques-unes de ces découvertes ? Certainement. L’article suivant en présentera quelques-unes.

      “Tes yeux verront le roi dans sa magnificence, ils contempleront le pays dans toute son étendue.” — És. 33:17.

  • L’archéologie et le pays soutiennent la Parole de vérité
    La Tour de Garde 1969 | 15 janvier
    • L’archéologie et le pays soutiennent la Parole de vérité

      “Reconnaissez de tout votre cœur et de toute votre âme que, de toutes les bonnes paroles que Jéhovah, votre Dieu, a prononcées pour vous, aucune n’est restée sans effet ; toutes se sont accomplies pour vous, aucune n’est tombée.” — Josué 23:14, AC.

      1. À qui sont destinés les dons divins que sont le pays et la Parole ?

      LA TERRE promise que Jéhovah a donnée à Israël, son peuple, soutient et confirme sa Parole de vérité, la Bible, laquelle est un don précieux qu’il a accordé non pas seulement aux Israélites, mais également à tous ceux qui veulent l’adorer. Cette Parole fait allusion au pays ; le pays soutient la Parole et renverse particulièrement la critique malveillante, grâce à d’excellentes découvertes archéologiques. Nous pensons que vous aimeriez connaître quelques-unes de ces découvertes ainsi que les commentaires s’y rapportant, faits par des autorités en matière d’archéologie.

      2, 3. Quels points de vue autorisés indiquent que la critique mauvaise de la Bible est vaincue par l’archéologie ?

      2 “Il est tout à fait exact de dire que l’archéologie biblique a fait beaucoup pour corriger l’impression, largement répandue à la fin du siècle dernier et au début du présent siècle, selon laquelle l’histoire biblique était en maints endroits d’une véracité douteuse.” C’est ce que déclare J. A. Thompson dans La Bible et l’archéologie (angl.).

      3 Dans l’avant-propos de son livre intitulé La Bible arrachée aux sables, Werner Keller écrit : “En Palestine, des lieux-dits et des villes souvent nommés dans la Bible ont été découverts exactement comme ils y avaient été décrits, à l’endroit même où les écrivains sacrés les avaient situés.” Il ajoute : “Je ne puis m’empêcher de (...) me répéter encore et toujours : La Bible a raison.”

      4. Existe-​t-​il des preuves, autres que celles données par la Bible, de l’existence du déluge ?

      4 Avez-​vous entendu dire que l’existence du grand déluge avait été mise en doute ? Certains critiques de la Bible ont tourné en ridicule le récit du déluge, déshonorant ainsi Jéhovah et Jésus-Christ et portant préjudice à ceux qu’ils ont réussi à influencer. Toutefois, l’interprétation des fouilles archéologiques confirme le récit biblique du déluge, tel qu’il apparaît dans le septième chapitre du livre de la Genèse Ge 7. L’archéologie confirme également le récit biblique digne de foi relatif à la “tour dont le sommet touche au ciel”. — Gen. 11:3, 4.

      5. Dites où se trouvent sur la carte les lieux indiqués dans le paragraphe et confirmés par l’archéologie.

      5 Parmi les lieux cités dans les dixième et onzième chapitres de la Genèse Ge 10, 11, l’archéologie confirme l’existence et l’emplacement des villes de Calach, Érec, Ur en Chaldée et Charan ou Haran. Des inscriptions en caractères cunéiformes découvertes dans les ruines du palais de Mari font allusion aux personnages suivants : Péleg, Sérug, Nachor, Térach et Haran. L’antique site de Sichem et les sources de Beer-Schéba sont également mentionnés.

      6. Indiquez les faits qui attestent l’authenticité du récit relatif à Jéricho et déterminez l’emplacement de cette ville sur une de nos cartes.

      6 La destruction de l’ancienne ville de Jéricho, située sur le bord ouest de la Fosse jordanienne, est rapportée dans Josué 6:20, 24, où est relatée la destruction miraculeuse des murailles et la prise de la ville par les Hébreux conduits par Josué. Avant qu’il ait été possible de fournir des preuves archéologiques confirmant le récit biblique, la véracité de celui-ci était mise en doute de façon spécieuse. Aujourd’hui, ce n’est plus possible. L’archéologie confirme le récit biblique de la destruction de cette ville. Les fouilles commencées en 1930, indiquent que la double muraille qui entourait la ville s’est écroulée sur la pente de la colline où elle était construite, comme si elle avait été abattue par un tremblement de terre ou quelque autre force invisible. Des maisons avaient été édifiées sur des poutres qui reliaient le sommet des deux murailles. En un certain endroit, une partie du mur est restée debout ; c’est peut-être là que se trouvait la maison de Rahab qui avait été préservée de la destruction. Les fouilles ont démontré qu’un feu violent avait été allumé ; la ville avait été incendiée. Il ne s’agissait pas d’un feu ordinaire, car la couche de cendres était anormalement épaisse, et il apparaît que tout le combustible disponible avait été rassemblé pour permettre une destruction complète. La ville n’a pas été pillée et elle n’a pas été reconstruite, pas même en partie, avant plusieurs siècles, à l’époque du roi Achab, comme le montre le récit biblique relatif à cette reconstruction. Aujourd’hui, vous pouvez vous rendre dans la Fosse jordanienne, là où sont effectuées les fouilles des ruines de l’antique ville de Jéricho, et vous verrez que l’archéologie confirme le récit de la Bible.

      7. Dites ce que représente chacun des autres lieux cités dans le paragraphe, et localisez chacun d’eux sur la carte.

      7 Comme dans le cas de Jéricho, les archéologues ont également démontré qu’une autre ville, Hatsor, avait été prise par les Israélites conduits par Josué, et détruite par ce même Josué. Outre les preuves fournies par la Bible, il existe d’autres documents se rapportant à la présence effective d’Israël en Canaan, tels que le monument de Nephthoach (Josué 15:9). Parmi les découvertes archéologiques on peut citer les restes de Béthel (Juges 1:22-25), l’emplacement de plusieurs villes philistines (Jér. 25:17, 20), les ruines de Guibéa (I Sam. 10:20-26), le site de Micmasch qui existe encore (I Sam. 13:5, 23), l’endroit où David tua Goliath (I Sam. 17:2, 3), les ruines de Beth-Schan et la maison des Astartés (I Sam. 31:10), Méguiddo et ses grandes écuries au nord de la plaine de Jizréel (I Rois 9:15), Étsjon-Guéber où l’on travaillait le cuivre et construisait des navires (I Rois 9:26), le site de Guébal (Ézéch. 27:9), la forteresse de Mitspa

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