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  • Hibou
    Auxiliaire pour une meilleure intelligence de la Bible
    • circonstances ainsi que le nom hébreu, qui désignerait une créature poussant des ‘hurlements’ plaintifs, correspondent très bien au grand duc (Bubo ascalaphus), un oiseau que l’on rencontre dans les grottes et les ruines, et qui est très répandu dans les régions de Pétra et de Béer-Schéba. Son cri est un hululement puissant et prolongé. Le grand duc est le plus grand et le plus puissant des hiboux de Palestine. Comme les autres hiboux, la nuit ses grands yeux ont une luminescence jaune orangé quand ils reflètent la lumière. C’est sans doute cette caractéristique ajoutée à son hululement lugubre qui fait de lui, pour les peuples païens superstitieux, un symbole de mauvais présage.

  • Hiddaï
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    • HIDDAÏ

      {Article non traduit.}

  • Hiddékel
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    • HIDDÉKEL

      L’un des quatre cours d’eau issus du fleuve qui sortait d’Éden (Gen. 2:10-14). L’Hiddékel s’appelait Idiqlat en akkadien (assyro-babylonien) et Tigra en vieux perse, forme de laquelle a dérivé le nom grec, puis français, du Tigre. En arabe moderne, on le nomme Didjla. Certains le qualifient de “jumeau” de l’Euphrate, fleuve qui, avec lui, arrose la Mésopotamie. C’est sur les rives du Tigre (Hiddékel) que Daniel reçut la vision relative à la lutte pour le pouvoir qui devait opposer le “roi du nord” au “roi du sud”. — Dan. 10:4, 5; 11:5, 6.

      Le Tigre prend ses sources en Arménie centrale (dans l’est de la Turquie). On pense généralement que le Tigre et l’Euphrate avaient jadis deux embouchures séparées, mais qu’au fil des siècles l’accumulation de limon a bouché l’extrémité du golfe, de sorte qu’à présent les deux fleuves se rejoignent. Après leur confluent, ils constituent le large cours d’eau nommé Shatt-el-ʽArab, qui coule sur plus de 150 kilomètres avant de se jeter dans le golfe Persique.

      Dans sa totalité, le Tigre s’étend sur quelque 1 850 kilomètres. La largeur de ce vaste fleuve atteint parfois près de quatre cents mètres. Cependant, le Tigre est généralement peu profond, et, en amont de Bagdad, il n’est accessible qu’aux bateaux à faible tirant d’eau. Vers le haut de son cours, on se sert de radeaux allégés par des peaux de chèvres ou de moutons gonflées. Bien plus rapide que l’Euphrate, le Tigre est d’un tiers moins long que son “jumeau” et revêt moins d’importance que lui sur le plan commercial.

      Une fois dans la plaine de Mésopotamie, le Tigre passe près des sites de nombreuses villes de l’Antiquité. En face de la ville moderne de Mossoul se trouvent les ruines de Ninive, sur la rive orientale. Du même côté, mais plus au sud, on découvre Calah-Nimroud, et, plus bas, sur la rive occidentale cette fois, l’ancienne Assur. Un peu en aval de Bagdad, toujours sur la rive ouest, apparaissent les ruines de Séleucie, l’ancienne capitale de la dynastie séleucide. De l’autre côté se dressait Ctésiphon, que certains identifient à la “Casiphia” dont il est question en Esdras 8:17-20.

  • Hiel
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    • HIEL

      {Article non traduit.}

  • Hiérapolis
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    • HIÉRAPOLIS

      (“la ville sainte”).

      Ville de la province d’Asie. Au milieu de ses habitants païens se trouvait au Ier siècle un groupe de chrétiens pour lequel Épaphras ‘se donnait beaucoup de peine’. (Col. 4:12, 13.) La ville se situait à l’extrémité septentrionale de la vallée du Lycus, en Asie Mineure, à une dizaine de kilomètres au nord de Laodicée. Bien que l’apôtre Paul ne se soit apparemment jamais rendu à Hiérapolis, le long travail qu’il effectua à Éphèse (de l’hiver 52/53 à l’an 55, après la Pentecôte [I Cor. 16:8]) porta du fruit dans ‘toute l’Asie’. (Actes 19:1, 10.) Il semble que le christianisme atteignit Hiérapolis grâce à ‘la peine’ qu’Épaphras s’était donnée. D’après la tradition, les apôtres Jean et Philippe se seraient aussi dépensés à cet endroit. Malgré sa faible importance politique, la ville devint prospère pendant la paix romaine parce qu’elle était un centre dédié à l’adoration de Cybèle. Le culte de cette déesse fut mis en valeur par deux phénomènes naturels: d’une part, des sources minérales et, d’autre part, le Plutonium, la prétendue “Entrée de l’Hadès”, un gouffre étroit et profond qui exhalait des fumées mortelles.

  • Higgaïon
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    • HIGGAÏON

      Transcription de l’expression hébraïque higgâyon, que les lexicographes considèrent comme un terme technique à valeur d’indication musicale (Ps. 9:16). Selon le contexte, ce terme a été diversement traduit par “pensées”, “sentiments”, “murmure”, “méditation”, “accords”, “son”, “chants”, “modulations”, “musique sonore”, “desseins”, “projets”, “chuchotements” lorsqu’il apparaît dans le texte hébreu (Ps. 19:14; 92:3; Lament. 3:62; AC; Da; Jé; Maredsous; MN; Os; Ostervald; Sg; ZK). De nombreuses explications ont été avancées sur le sens précis que ce terme revêt en Psaume 9:16. Toutefois, d’après les hypothèses les plus plausibles, Higgaïon indiquerait ici soit un interlude majestueux et grave à la harpe, soit une pause solennelle propice à la méditation.

  • Hilen
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    • HILEN

      {Article non traduit.}

  • Hilkiah
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    • HILKIAH

      (“Jéhovah est la portion”).

      Grand prêtre sous le règne de Josias; fils de Schallum et père d’Azariah, il fut aussi, semble-​t-​il, l’un des ancêtres d’Esdras, le copiste (II Rois 22:3, 4; I Chron. 6:13; Esdras 7:1, 2, 6). En sa qualité de grand prêtre, Hilkiah joua un rôle important dans le rétablissement du culte pur, oeuvre entreprise par Josias. Au cours des travaux de réparation du temple, Hilkiah trouva “le livre de la loi de Jéhovah par la main de Moïse”. Ce qui rendit cette découverte remarquable, c’est qu’il s’agissait sans doute de l’original rédigé par Moïse. Hilkiah remit le manuscrit à Schaphan, le secrétaire, qui l’apporta au roi. Après avoir entendu Schaphan lire le livre, le roi Josias dépêcha une délégation présidée par Hilkiah chez Huldah, la prophétesse, afin d’interroger Jéhovah pour lui et pour le peuple. — II Rois 22:3-14; II Chron. 34:14.

  • Hillel
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    • HILLEL

      {Article non traduit.}

  • Hin
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    • HIN

      Mesure de capacité employée pour les liquides (Ex. 30:24; Nomb. 28:14; Ézéch. 45:24; 46:5, 7, 11); ce terme désigne aussi le récipient utilisé pour mesurer un hin (Lév. 19:36). D’après Josèphe, historien juif, le hin tenait deux conges (ou choès) attiques tandis que le bath équivalait à soixante-douze sextarii (“pintes”, selon la traduction d’Arnauld d’Andilly) (Histoire ancienne des Juifs, liv. III, chap. IX, par. 4; liv. VIII, chap. II, par. 9). Puisque d’autres sources de renseignements nous apprennent que deux conges attiques correspondaient à douze sextarii, nous pouvons penser que le hin contenait le sixième du bath (22 litres), soit 3,67 litres. Les Écritures parlent aussi de diverses fractions du hin: le demi-hin (1,8 litre) (Nomb. 15:9, 10), le tiers (1,2 litre) (Nomb. 15:6, 7; Ézéch. 46:14), le quart (0,9  litre) (Ex. 29:40; Lév. 23:13; Nomb. 15:4, 5; 28:5, 7) et enfin le sixième (0,6 litre) de hin, ration d’eau assignée chaque jour à Ézéchiel pendant qu’il mimait la triste situation que Jérusalem connaîtrait au cours de son siège. — Ézéch. 4:11.

  • Hinnom (Vallée de)
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    • HINNOM (VALLÉE DE)

      (héb. Gê Hinnôm).

      On l’appelait également “vallée du (ou des) fils de Hinnom”, ou, tout simplement, la “Vallée”, par exemple dans la formule “Porte de la Vallée”. (Josué 15:8; II Rois 23:10; Néh. 3:13.) C’est peut-être encore elle qui est nommée “basse plaine des cadavres et des cendres grasses” en Jérémie 31:40. Si c’est un homme qui lui a donné son nom, on ne le connaît pas, pas plus, d’ailleurs, qu’on ne sait ce que signifie le mot “Hinnom”. Cette vallée située au sud et au sud-ouest de Jérusalem s’ouvre non loin de la porte qu’on dénomme aujourd’hui “Porte de Jaffa” et se dirige vers le sud. À l’angle sud-ouest de la ville, elle bifurque soudain vers l’est, longeant la limite méridionale de Jérusalem pour rejoindre les vallées du Tyropœon et du Cédron près de l’angle sud-est. Juste au-dessus de ce point de jonction, la vallée de Hinnom s’élargit. C’est probablement à cet endroit que se trouvait Topheth (II Rois 23:10). La tradition situe Akeldama, le “Champ du Sang” ou champ du potier qui fut acheté avec les trente pièces d’argent de Judas, sur le versant méridional de la vallée, près de son extrémité orientale (Mat. 27:3-10; Actes 1:18, 19). Plus haut, la vallée se rétrécit et s’approfondit, tandis que ses pentes, aménagées en terrasses, sont criblées de tombeaux.

      La vallée de Hinnom constituait une partie de la frontière qui séparait la tribu de Juda de celle de Benjamin. Le pays de Juda s’étendait vers le sud, laissant Jérusalem dans le territoire de Benjamin, conformément à la description rapportée en Josué 15:1, 8; 18:11, 16. Cette vallée est connue à présent sous le nom de ouadi Er-Rabâbi.

      Achaz, roi apostat de Juda, fit de la fumée sacrificielle et brûla son (ou ses) fils dans cette vallée (II Chron. 28:1-3). Le roi Manassé, son petit-fils, fit pire encore: Avec lui, la méchanceté se généralisa. Il fit également “passer ses propres fils par le feu dans la vallée du fils de Hinnom”. (II Chron. 33:1, 6, 9.) Le roi Josias, petit-fils de Manassé, mit fin aux pratiques détestables perpétrées à Topheth. Pour ce faire, il souilla et profana ce lieu, peut-être en y répandant des ossements ou des ordures afin de le rendre impropre au culte. — II Rois 23:10.

      Jérémie, qui fit œuvre de prophète au cours des règnes successifs de Josias, de Joachaz, de Jéhoïakim, de Jéhoïakin et de Sédécias, proclama le jugement que Jéhovah avait rendu au sujet des péchés de la nation, et, en particulier, de ces abominables sacrifices d’enfants au dieu Molech. Il reçut l’ordre de prendre quelques anciens du peuple et des prêtres, de sortir avec eux par la Porte des Tessons (ou Porte des Monceaux de Cendres), à l’angle sud-est de Jérusalem, et de les emmener dans la vallée de Hinnom, près de Topheth. Arrivé là, il leur fit connaître la déclaration solennelle de Jéhovah en ces termes: “Voici que des jours viennent (...) où ce lieu ne sera plus appelé Topheth et la vallée du fils de Hinnom, mais la vallée de la tuerie.” Puis il brisa une gourde en terre cuite devant leurs yeux et annonça que le massacre accompli par l’épée du jugement divin serait tel que des cadavres resteraient étendus dans la vallée, sans qu’on les enterre. Voilà qui la souillerait davantage encore que l’action entreprise par Josias. — Jér. 19:1, 2, 6, 10, 11.

      Selon toute vraisemblance, ces paroles prophétiques ne signifient pas que les Juifs offraient toujours des sacrifices à Molech au temps de Jérémie, peu après la réforme décrétée par Josias. Il faut plutôt comprendre que Jéhovah allait châtier la nation en raison de ses agissements passés et présents ainsi que pour venger le sang innocent qu’elle avait répandu, tout particulièrement par les sacrifices humains perpétrés au cours du règne de Manassé. Dans une autre déclaration solennelle, le prophète informa la nation qu’elle serait punie pour les actes de Manassé (Jér. 15:4; voir II Rois 23:26; Jérémie 32:30-35). De plus, la déclaration de Jérémie rapportée au chapitre 19, verset 3, de son livre, est analogue aux paroles consignées en II Rois 21:12. En outre, aux jours de Jérémie, le peuple continuait manifestement à pratiquer l’idolâtrie, ce qui révélait qu’il ne se repentait pas le moins du monde des péchés scandaleux auxquels il avait pris part pendant le règne de Manassé.

      C’est dans cette même vallée, située au sud de Jérusalem, que Néhémie entreprit son inspection nocturne des murailles. Il se dirigea d’abord vers l’est, depuis la Porte de la Vallée jusqu’à la Porte des Monceaux de Cendres, puis remonta la vallée du Cédron sur une certaine distance et revint pour rentrer dans la ville par la Porte de la Vallée (Néh. 2:13-15). À l’époque de Néhémie, la vallée de Hinnom marquait apparemment la limite septentrionale du camp des fils de Juda (hormis ceux qui habitaient Jérusalem) (Néh. 11:25, 30). Lorsque Jérémie (2:23) attire l’attention de Juda sur ses péchés d’idolâtrie, le prophète fait peut-être allusion à la vallée de Hinnom.

      Dans les Écritures grecques chrétiennes, la vallée de Hinnom est désignée par la forme grecque de son nom, Géénna. — Mat. 5:22; Marc 9:47; voir GÉHENNE.

      [Illustration, page 671]

      Une partie de la vallée de Hinnom telle qu’on peut la voir aujourd’hui.

  • Hippopotame
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    • HIPPOPOTAME

      Voir BÉHÉMOTH.

  • Hirah
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    • HIRAH

      {Article non traduit.}

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